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  • « Les accessoires de Frida Kahlo étaient une extension de son art »
    https://www.lemonde.fr/m-styles/article/2018/08/01/les-accessoires-de-frida-kahlo-etaient-une-extension-de-son-art_5338120_4497

    Vêtements, maquillages, accessoires… c’est la première fois que des effets personnels de Frida Kahlo quittent le Mexique et la Casa Azul, là ou la célèbre peintre a résidé toute sa vie. Ils sont exposés et mis en scène, avec certaines de ses œuvres, à Londres, au Victoria & Albert Museum jusqu’au 4 novembre.

    D’où proviennent les pièces exposées ?

    Nous exposons plus de deux cents objets personnels ayant appartenu à l’artiste, prêtés par le Musée Frida-Kahlo de Mexico, qui n’est autre que la Casa Azul (« maison bleue ») où l’artiste est née et a vécu avec son époux, le peintre muraliste Diego Rivera. Nous présentons des archives privées, des lettres, mais aussi des colliers en perles de jade, des rouges à lèvres, fards à joues, étuis à cigarettes et vêtements. On retrouve le crayon pour les yeux Revlon qu’elle utilisait pour assombrir son regard. Son mari se souvenait de leur première rencontre en ces termes : « Elle avait des sourcils sombres et épais réunis au-dessus de son nez. Ils ressemblaient aux ailes d’un oiseau, leurs arcs noirs encadrant des yeux bruns extraordinaires. » Pendant de nombreuses années, ses effets personnels ont été entreposés dans deux pièces de la maison et placés sous scellés, sur ordre de Diego, à la mort de Frida, en 1954. Les chambres n’ont été ouvertes qu’en 2004 et c’est la première fois, depuis, que ces pièces sont exposées hors du Mexique.

    Pourquoi Frida Kahlo est-elle devenue une référence internationale de la mode ?

    Elle était très en avance sur son temps et c’est ce qui la rend si pertinente et si contemporaine. Elle s’est forgé une identité très puissante à travers ses convictions politiques, son handicap (elle fut rescapée d’un terrible accident de bus en 1925) et son art, qui résonne encore aujourd’hui. Son style contribue autant à son mythe que ses peintures. Ses robes de Tehuana (robes traditionnelles mexicaines), ses coiffes, ses corsets peints à la main et ses prothèses, qu’elle fabriquait elle-même, étaient une forme d’expression personnelle, mais aussi, et surtout, une extension de son art. Elle a d’ailleurs beaucoup inspiré les designers de mode d’aujourd’hui, de Jean Paul Gaultier, avec ses explorations autour du corset, à Alessandro Michele chez Gucci, en passant par Riccardo Tisci, qui lui rendit hommage dans la collection haute couture de Givenchy automne-hiver 2010-2011, notamment avec ces vestes en forme d’ailes de colombe que l’on retrouve dans l’œuvre de Frida, surtout quand elle était en proie à la douleur et qu’elle s’accrochait à l’espoir de pouvoir s’échapper de son propre corps.

    Lire aussi : Frida Kahlo, haute en couleur

    Comment son apparence vestimentaire reflétait-elle son engagement politique ?

    Sa garde-robe est le reflet de sa fierté pour la culture de son pays : elle a utilisé son apparence comme une déclaration politique, façonnant son allure comme une forme d’allégeance à l’identité mexicaine. Nous exposons ses vêtements traditionnels mexicains, tels que des rebozos (des châles mexicains) ou son resplandor, une coiffe de dentelle portée par les femmes de la société matriarcale, de l’isthme de Tehuantepec, dans le sud du Mexique. Son vestiaire est d’ailleurs principalement composé de pièces traditionnelles d’Oaxaca, à l’ouest de Tehuantepec. Au fil du temps, le style de l’artiste a évolué, fusionnant vêtements traditionnels mexicains et pièces étrangères. On repère des vêtements ethniques du Guatemala et de la Chine, ainsi qu’une intéressante collection de blouses européennes et américaines. L’artiste illustre cette fusion des styles européens et mexicains dans l’un
    de ses autoportraits les plus célèbres, Les Deux Frida (1939).

    J’essaye d’imaginé une expo Diego Rivera durant laquelle serait exposé son rasoir, son after shave, ses calfutes et sa poire à lavement en guise de peinture. A la limite on aurais vu ses pinceaux, couleurs, outils de travail... et on aurais pu croire que Frida Kahlo était une artiste, mais non c’est juste une lafâme, cet petit être mignon qui met du rouge à lèvre.

    Ce sont les hommes, couturiers misogynes qui réduisent cette artiste à son vetement, un corcet de souffrance qui les faits bander.

    Elle a d’ailleurs beaucoup inspiré les designers de mode d’aujourd’hui, de Jean Paul Gaultier, avec ses explorations autour du corset, à Alessandro Michele chez Gucci, en passant par Riccardo Tisci, qui lui rendit hommage dans la collection haute couture de Givenchy automne-hiver 2010-2011, notamment avec ces vestes en forme d’ailes de colombe que l’on retrouve dans l’œuvre de Frida, surtout quand elle était en proie à la douleur et qu’elle s’accrochait à l’espoir de pouvoir s’échapper de son propre corps.

    Si des fois une femme voulait s’échappé de son corps, les mecs se bousculent pour l’y ramener de force et d’outre tombe.

    #sexisme #historicisation #capitalisme

  • Les unes après les autres, les multinationales se retirent de Chine, p...
    http://www.express.be/business/fr/economy/les-unes-apres-les-autres-les-multinationales-se-retirent-de-chine-parce-quelles-decouvrent-quil-nest-pas-si-facile-dy-gagner-de-largent/200827.htm

    L’Oréal a décidé de ne plus commercialiser les produits de sa marque de cosmétiques Garnier en Chine, rapporte le Financial Times. En revanche, le groupe a décidé de maintenir ses deux autres marques : Maybelline, et L’Oréal Paris. Une semaine plus tôt, c’est une autre marque de cosmétiques, américaine cette fois-ci, qui avait annoncé se retirer du marché chinois : Revlon. Le retrait de Chine devrait lui coûter 22 millions de dollars et il impliquerait la suppression de 1.100 postes.

    D’autres firmes d’autres secteurs avaient auparavant commencé à manifester un certain scepticisme à l’égard de la Chine. La chaîne de supermarchés britannique Tesco a décidé de mettre en place une joint venture avec un partenaire local pour déployer ses activités en Chine, plutôt que de le faire seul. Et le groupe allemand Metro a décidé de procéder à la fermeture de tous les magasins de produits électroniques de sa filiale Media-Saturn dans l’Empire du Milieu.

    « Cela démontre que ce n’est pas si facile de se développer en Chine », affirme Shaun Rein, analyste chez China Market Research. Pourtant, le marché des cosmétiques chinois, le 3ème du monde en importance, pèse 25,9 milliards de dollars, et la firme de recherche Euromonitor lui a prédit une croissance de 63% entre 2010 et 2015.

    Tracer un cercle sur une carte englobant la Chine, l’Inde et les pays du Sud-est asiatique revient à identifier la majorité de la population mondiale, et pendant longtemps, les sociétés occidentales ont vu dans la classe moyenne chinoise en pleine croissance une occasion unique d’étendre massivement leurs parts de marché mondiales. Les investissements en Chine étaient perçus comme rentables, et toutes les entreprises qui ont décidé de s’attaquer à ce marché ont vu le cours de leurs actions grimper. Mais ce n’était qu’une perception… les bénéfices n’ont pas forcément suivi.

    Selon l’institut de recherche Bernstein Research, l’Empire du Milieu absorbe 71% des volumes de bière vendus en Asie, mais elle ne génère que 17% des profits. « Cela ne signifie pas que les brasseurs devraient renoncer à la Chine », écrit le journal. « Une petite marge sur de gros chiffres d’affaires peut encore produire de gros bénéfices ». Toutefois, les entreprises qui envisagent de pénétrer le marché chinois doivent se livrer à une analyse plus sélective et mieux expliquer à leurs investisseurs ce qu’il sera possible d’y faire, ou pas. Enfin, suivre la croissance du chiffre d’affaires ne suffit pas, il faut également une analyse plus détaillée des bénéfices.

    Pour le Financial Times, le fait que ces sociétés revoient leur implication sur le marché chinois est une indication que les investisseurs tirent leurs conclusions concernant le rapport entre les chiffres d’affaires souvent pléthoriques et la rentabilité réelle et qu’ils se montrent plus sélectifs sur leurs activités.

    #Chine
    #multinationales
    #L'Oréal
    #profit

  • L’actrice Emma Stone en a ras-le-bol des questions sur ses secrets de beauté - Bitch Flicks
    http://www.btchflcks.com/2012/08/emma-stone-points-out-sexist-double-standards-in-media.html

    (Tout en étant sous contrat avec Revlon...)

    In its August 2012 issue, Teen Vogue conducted a joint interview with Emma Stone and Andrew Garfield to promote The Amazing Spider-Man (Sidebar, do we really need a Spider-Man reboot?? How about a Wonder Woman or Catwoman film first…ugh). After the interviewer inquired, “Emma, I have to ask about your hair color,” Stone talked about how she preferred being a blonde because it’s the hair color she possessed as a child. But then here’s where things get awesome.

    Emma Stone: But people do always ask that. They ask who is my style icon, what’s the one thing that I can’t leave my house without. I’m always like, “My clothes!” I can pretty much leave without anything.It’s fine as long as I’m not naked.

    Andrew Garfield: I don’t get asked that—

    Emma Stone:You get asked interesting, poignant questions because you are a boy.

    Teen Vogue: It’s sexism.

    Emma Stone: It is sexism.

    (...)

    In the past few months, the media has egregiously objectified female Olympic athletes, bodysnarked Ashley Judd’s allegedly “puffy” face, spewed a sexist backlash against Girls and Lena Dunham’s weight, and deemed Jennifer Lawrence’s body too fat and not “hungry enough” to play Katniss Everdeen in The Hunger Games.

    Thankfully, we’ve also witnessed Ashley Judd, Meryl Streep, Zoe Saldana, Scarlett Johansson, Anne Hathaway (in an albeit subtle way), Sarah Polley, Rashida Jones and now Emma Stone calling out sexism — objectification, body policing and double standards — in the media and Hollywood. Teens have also started speaking out with petitions against Seventeen and Teen Vogue to cease photoshopping and increase images of diversity. We need more people — women and men — denouncing misogyny and sexism. Only then can we hope to attain equality.

    Hollywood, like the rest of society, is far from gender equitable. Female actors earn far less than their male colleagues. Only 33% of speaking roles belong to women. Women write only 10% and direct a mere 7% of the 250 top grossing domestic films. We don’t see nearly enough complex women on-screen as too many films revolve around white dudes. All of these abysmal stats coinciding with the media’s rampant objectification, misogyny and sexism strip women and girls of their power.

    #actrices #mode #sexisme

  • Dangerous Beauty : 5 Scariest Beauty Products
    http://www.forbes.com/sites/melaniehaiken/2012/03/12/dangerous-beauty-top-5-contaminated-beauty-products

    1. Mercury in Skin Creams?

    ../..

    2. Lead in Lipstick?

    The brands that tested positive for lead levels included well-respected national brands including L’Oreal, Revlon, Avon, and Cover Girl.

    .../... In other words, gals, don’t lick your lips, eat anything while wearing lipstick, or kiss anyone and everything’s fine.

    3. Bacteria in Mascara?

    ../..

    4. Formaldehyde in Hair Straighteners

    ../..

    5. Mineral Makeup

    scary, mais, les filles, si vous ne vous léchez pas les lèvres (!!) vous pouvez continuer à y appliquer consciencieusement du poison

    #chimie #cosmétique #santé #femmes