person:carl bernstein

  • How Much Do #New_York_Times Reporters Use Anonymous Sources ? | naked capitalism
    https://www.nakedcapitalism.com/2018/02/much-new-york-times-reporters-use-anonymous-sources.html

    La quantité de #tuyaux offerts à un #MSM par un « officiel haut placé » anonyme est directement proportionnelle à la quantité de #propagande fournie par le premier en faveur du second, qui, par ailleurs et à la différence du #whistleblower, n’offrira jamais rien qui puisse remettre en cause l’#ordre_établi.

    THE #CIA AND THE #MEDIA
    Carl Bernstein (1977)
    http://www.carlbernstein.com/magazine_cia_and_media.php

    How Americas Most Powerful News Media Worked Hand in Glove with the Central Intelligence Agency and Why the Church Committee Covered It Up

  • Les lanceurs d’alerte au cinéma
    https://la-bas.org/4922

    « Dites à Katie Graham qu’elle va se prendre le nichon dans une essoreuse si vous publiez ça » : c’est par ces mots que le président du Comité pour la réélection de Richard Nixon menaça Carl Bernstein et Bob Woodward, en 1972. Les deux journalistes du Washington Post s’apprêtaient en effet à publier leur enquête sur le cambriolage de l’immeuble du Watergate, siège du Parti démocrate, qui allait forcer le président Nixon, impliqué dans l’affaire, à démissionner.Continuer la lecture…

    #Vidéo #Culture #Mordillat_mord

  • Etats-Unis : Coup de tonnerre, le FBI lance la procédure RICO contre Hillary Clinton - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/etats-unis-coup-de-tonnerre-le-fbi-lance-la-procedure-rico-contre-

    Énorme ! Ce pourrait être le plus grand scandale politique depuis le Watergate, c’est vous dire l’ampleur des dégâts que pourraient occasionner les résultats de cette nouvelle enquête dans laquelle sont impliquées des personnes très proches de l’ancienne première dame américaine, Hillary Clinton, mais qui pourrait également ternir l’image duFBI.

    La procédure RICO (pour Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act) est tout sauf anodine, puisqu’il s’agit d’une Loi sur les organisations mafieuses et la corruption. A seulement quelques jours des élections présidentielles américaines, ce pourrait être un coup fatal pour la candidate qui, contrairement à ce que nous raconte la presse atlantiste, est au coude à coude avec un Donald Trump qui ne va pas manquer de saisir l’occasion pour lui asséner le coup de grâce.

    Comme le souligne un article de OuestFrance, l’ampleur du travail pour étudier des milliers de messages rend peu probable que le FBI parvienne à de nouvelles conclusions d’ici au 8 novembre, mais pour autant, quel que soit le résultat des élections, l’enquête en cours ne s’arrêtera pas pour autant, et ce pourrait être alors un mandat de courte durée pour Hillary.

    Le businessmen Trump déclare sans surprise (et à juste titre) de son coté que « Hillary aurait dû être condamnée il y a bien longtemps », et de plus en plus d’éléments tendent à le prouver. Quand on voit chez nous en France se représenter aux élections un Nicolas Sarkozy, dont la responsabilité est mise en cause dans de nombreuses affaires malhonnêtes, peut-t-on espérer voir la justice faire enfin son travail correctement ?

    J’aimerais pouvoir vous affirmer que oui, mais les grands mécènes qui tirent les ficelles de ces marionnettes ne sont certainement pas décidées à voir leurs plans échouer, et feront une fois encore tout ce qui est en leur pouvoir pour continuer en toute impunité. Que voulez-vous, on ne change pas le monde en signant des pétitions, et pour reprendre un autre passage de Ouestfrance citant une déclaration de Sean Spicer :

    On les a vus faire pendant 30 ans. Le zèbre ne va pas changer ses rayures...
    Le Veilleur

    Le FBI a activé la procédure RICO contre le crime organisé, pour rouvrir l’enquête sur Hillary Clinton

    Coup de tonnerre, revirement spectaculaire, à 11 jours de l’élection présidentielle, le FBI rouvre son enquête sur le scandale des emails d’Hillary Clinton.

    Selon les premières informations disponibles, des milliers d’emails assez préoccupants pour rouvrir l’enquête — alors que James Comey a décidé de ne pas faire inculper Hillary Clinton en juillet dernier malgré les charges accablantes — ont fait surface sur les ordinateurs et smartphone d’Anthony Weiner et de sa femme Huma Abedin.

    Huma Abedin, la personne la plus proche d’Hillary Clinton, son bras droit, sa confidente, sa conseillère, sa collaboratrice politique, est sérieusement mise en cause. Lors de l’enquête du FBI sur les emails, Abedin a été entendue sous serment, et a été amenée à fournir aux enquêteurs l’ensemble des appareils sur lesquels elle avait pu échanger des mails avec Clinton.

    Il semble maintenant confirmé qu’elle a menti aux enquêteurs, puisque des milliers d’emails ont été découverts, lors de l’enquête du FBI sur le second scandale sexuel qui implique son mari, Anthony Weiner.

    Quatre appareils : un ordinateur partagé avec son mari pédophile visé par une enquête du FBI pour s’être engagé dans des activités sexuelles avec une mineure, deux smartphones de Weiner, et un smartphone appartenant à Huma Abedin contenant des milliers d’emails ont été découverts.

    Tremblement de terre constitutionnel

    L’enquête va se prolonger bien au-delà de l’élection, ce qui fait qu’en cas d’élection, une présidente élue sera sous les projecteurs d’une enquête du FBI, et pourra être mise en accusation à tout moment. Quid de la validité des décisions qu’elle prendra ? Quid de sa légitimité ? Quid de l’image de l’Amérique, un nouveau Vénézuéla ?

    Hypocrisie et mensonge

    Après avoir appris que le FBI rouvre son enquête, Hillary Clinton a demandé que le policier fédéral rendu public les emails concernés.

    Étrange demande de transparence venant d’une femme qui a détruit plus de 30 000 emails, a chargé une société informatique d’effacer le contenu des disques dur des serveurs de mail, a fait détruire à coups de marteau, certains de ses BlackBerry, et a refusé pendant des mois de rendre public le contenu de ses emails, au prétexte qu’il s’agissait de mails de yoga ou d’organisation du mariage de Chelsea.

    Hypocrisie également de la gauche américaine en panique, qui maintenant accuse James Comey d’être vendu aux républicains, après avoir, en juillet dernier, déclaré qu’il est un grand homme, intègre, que l’Amérique doit être fière d’avoir à la tête du FBI.

    Hillary Clinton, qui n’est pas à un mensonge près, a déclaré que toute l’affaire était suspecte, car seuls les députés républicains ont été informés par le courrier de James Comey de la réouverture de l’enquête. En réalité, démocrates et républicains ont reçu sa lettre.

    Spéculations

    Au point où nous en sommes, avec le peu d’informations disponibles, on ne peut que faire des spéculations sur ce qui a pu motiver Comey de reprendre l’enquête. En voici quelques-unes :

    Il est sous une formidable pression de la part des agents du FBI dégoûtés qu’à lui seul il ait pu détruire la réputation de l’agence.
    Anthony Weiner, l’ex-député démocrate et mari d’Huma Abedin qui fait l’objet d’une enquête du FBI, et risque 15 à 20 ans de prison pour cette nouvelle affaire de pédophilie, a peut-être passé un accord avec le FBI : sa liberté ou une réduction très substantielle de peine contre les ordinateurs et smartphone qu’Huma Abedin a dissimulées aux enquêteurs. Ce peut être aussi, en partie, une vengeance contre Abedin qui l’a quitté en plein scandale.
    D’un autre côté, les emails peuvent n’être que des doublons de ce que le FBI a déjà découvert. Comey ne lâcherait pas une telle bombe atomique à 11 jours de l’élection. Mais que peuvent-ils bien contenir d’éléments nouveaux, alors que des dizaines de milliers sont passés entre les mains des enquêteurs sans que Clinton ne soit mise en accusation.
    Wikileaks s’apprête peut-être à publier des emails qui accusent Hillary Clinton si lourdement, qu’ils mettent directement en cause la probité de James Comey, déjà extrêmement fortement entamée par la légèreté avec laquelle il a conduit l’enquête, bafouant tous les standards de rigueur de l’agence.
    Les agents qui enquêtent dans le dossier Weiner ont peut-être trouvé des emails si compromettants que James Comey a craint qu’en refusant de rouvrir l’enquête, les documents fuiteraient à la presse, et ruinerait non seulement sa carrière, mais son futur, voire pire si Trump est élu.
    Beaucoup ont suggéré que James Comey n’a pas voulu recommander l’inculpation d’Hillary Clinton, car il ne voulait pas être celui qui influence une élection présidentielle. Son annonce, à 11 jours de l’élection, rend caduque cette hypothèse.
    Procédure de la loi RICO

    La Loi sur les organisations mafieuses et la corruption (RICO), votée en 1970, offre aux différentes agences chargées d’enquêter, un outil pour lutter contre le crime organisé, et permet de poursuivre et faire condamner toute personne impliquée dans une affaire de corruption ou de racket à propos d’une enquête en cours.

    Sont considérées comme activité de racket par la loi : la corruption, la contrefaçon, le blanchiment d’argent, le détournement de fonds, etc.

    Le chercheur Frank Huguenard, un chroniqueur et supporter de Bernie Sanders, a publié un papier dans le Huffington Post expliquant que « Hillary Clinton va être mise en accusation selon la procédure RICO ». Son article a été supprimé du site et son compte a été fermé par le HuffPost sans explication.

    Huguenard affirme que selon ses sources au sein du FBI, l’agence envisage de se servir de la procédure RICO contre Hillary Clinton.

    Carl Bernstein, l’un des journalistes du Washington Post qui a fait éclater l’affaire du Watergate contre Nixon dans les années 70, pense que le FBI ne rouvrirait pas l’enquête à moins que les documents qu’il a découverts sur les smartphones et l’ordinateur d’Anthony Weiner ne fussent pas « nucléaires ».

    Andrew C. McCarthy, l’ex procureur général en charge du dossier de l’attentat contre le World Trade Center en 1993 dans article publié dans laNational Review, affirme que :

    Mme Clinton semble avoir transformé le bureau du Secrétariat d’Etat en une entreprise de racket. Il s’agit d’une violation de la loi RICO — la Loi sur les organisations mafieuses et la corruption de 1971 — Code pénal sections 1961 et suivantes
    McCarthy poursuit :

    Sous la loi RICO, une « entreprise » peut être une association formelle ou informelle, légitime ou illégitime, entre plusieurs personnes —ce peut être une famille mafieuse, une fondation caritative, ou un département du gouvernement. Il y a racket [au sens de RICO] si ses affaires montrent une répétition d’activités de racket. 

    On entend par « répétition » le fait d’avoir violé deux lois fédérales ou plus, quand elles s’ajoutent à la liste des délits répertoriés dans l’enquête.

    Dans le cas présent, la liste des délits comprend la corruption, la fraude et l’obstruction de la justice. 

    La fraude consiste par exemple à avoir levé des fonds sous de fausses raisons (la fondation Clinton par exemple, qui aurait camouflé des dons ayant des retombées politiques illégales) et des comportements destinés à priver les Américains de leur droit d’obtenir un service honnête de la part d’un employé de l’Etat (par exemple en offrant des avantages à des personnes en échange de sommes d’argent). 

    La fraude et l’obstruction envers la justice peuvent être démontrées par de faux témoignages —qui peuvent être des déclarations publiques (par exemple « j’ai remis l’ensemble de mes emails professionnels au Département d’Etat ») ou des mensonges proférés à des employés du gouvernement (par exemple dissimuler des dons « humanitaires » reçus de pays étrangers après avoir promis de les divulguer, ou prétendre ne pas savoir que le symbole « » dans un document du gouvernement veut dire que le document est classé confidentiel).

    Les révélations de WikiLeaks au travers des emails piratés sur le compte email de John Podesta, le président de la campagne électorale de Clinton, accumulent les preuves que la fondation Clinton était organisée dans le but d’enrichir personnellement les Clinton en utilisant les pouvoirs dont disposait alors la Secrétaire d’Etat Clinton. Hillary a systématiquement conduit ses affaires sur un serveur email extérieur au gouvernement. Elle a fait de faux témoignages devant le public, devant la Maison-Blanche, devant le Congrès, devant les tribunaux, et devant le FBI. 

    Elle a détruit des milliers d’emails —alors qu’ils faisaient l’objet d’une demande du Congrès, et d’une demande au nom de la loi sur la liberté de l’information — et ce dans le but de dissimuler (entre autres) les interactions choquantes entre le Département d’Etat et la fondation Clinton.

    Selon la loi fédérale, ce sont les caractéristiques d’une entreprise de fraude, de corruption et d’obstruction prévues par la loi RICO.

    En cas de confirmation, l’obligation d’appointer un juge indépendant qui mène une enquête criminelle crédible est criante.
    Par Jean-Patrick Grumberg - Dreuz.info

    Le-veilleur.com - Article libre de reproduction à condition de laisser le lien pointant vers cette page

    Note

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

     Par Le-veilleur - Article libre de reproduction à condition de laisser le lien pointant vers cette page.

  • Que reste-t-il du #Watergate ?
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2014-08-09-Que-reste-t-il-du-Watergate

    Est-il vraiment nécessaire d’ajouter que la #Maison_Blanche a continué à « #mentir » aux Américains, souvent avec l’aide empressée des #journalistes qui devaient pourtant s’installer dans le rôle de #contre-pouvoir campé pour eux par Bob Woodward et Carl Bernstein ? (...)

    ... on observe au contraire une confusion presque totale entre la communication présidentielle et le commentaire politique ordinaire de la #presse (2). L’absence de recul sera encore plus observable en période de crise internationale, les guerres d’Afghanistan et d’Irak en fournissant des exemples récents qu’aucune #caricature n’est susceptible d’excéder.

  • Pétition pour que le « #Washington_Post » évoque les affaires d’#Amazon avec la #CIA
    http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/01/08/petition-pour-que-le-washington-post-evoque-les-affaires-d-amazon-

    Une pétition signée 30 000 fois demande que le journal, propriété du patron d’Amazon, mentionne le contrat de 600 millions de dollars entre le géant de la vente en ligne et la CIA. Le journal s’y oppose et insiste sur sa déontologie.

    Why the Washington Post’s New Ties to the CIA Are So Ominous
    http://my.firedoglake.com/nsolomon/2014/01/13/why-the-washington-posts-new-ties-to-the-cia-are-so-ominous

    After creation of the CIA in 1947, it enjoyed direct collaboration with many U.S. news organizations. But the agency faced a major challenge in October 1977, when — soon after leaving the Washington Post – famed Watergate reporter Carl Bernstein provided an extensive expose in Rolling Stone.

    Citing CIA documents, Bernstein wrote that during the previous 25 years “more than 400 American journalists … have secretly carried out assignments for the Central Intelligence Agency.” He added: “The history of the CIA’s involvement with the American press continues to be shrouded by an official policy of obfuscation and deception.”

    Bernstein’s story tarnished the reputations of many journalists and media institutions, including the Washington Post and New York Times. While the CIA’s mission was widely assumed to involve “obfuscation and deception,” the mission of the nation’s finest newspapers was ostensibly the opposite.

    During the last few decades, as far as we know, the extent of extreme media cohabitation with the CIA has declined sharply. At the same time, as the run-up to the U.S. invasion of Iraq attests, many prominent U.S. journalists and media outlets have continued to regurgitate, for public consumption, what’s fed to them by the CIA and other official “national security” sources.

    The recent purchase of the Washington Post by #Jeff_Bezos has poured some high-finance concrete for a new structural bridge between the media industry and the surveillance/warfare state. The development puts the CIA in closer institutionalized proximity to the Post, arguably the most important political media outlet in the United States.

  • An open letter from Carl Bernstein to Guardian editor Alan Rusbridger | Media | theguardian.com
    http://www.theguardian.com/media/2013/dec/03/open-letter-carl-bernstein-alan-rusbridger

    But your appearance before the Commons today strikes me as something quite different in purpose and dangerously pernicious: an attempt by the highest UK authorities to shift the issue from government policies and excessive government secrecy in the United States and Great Britain to the conduct of the press – which has been quite admirable and responsible in the case of the Guardian, particularly, and the way it has handled information initially provided by Mr Snowden.

    Indeed, generally speaking, the record of journalists, in Britain and the United States in handling genuine national security information since World War II, without causing harm to our democracies or giving up genuine secrets to real enemies, is far more responsible than the over-classification, disingenuousness, and (sometimes) outright lying by a series of governments, prime ministers and presidents when it comes to information that rightly ought to be known and debated in a free society. Especially in recent years.

    You are being called to testify at a moment when governments in Washington and London seem intent on erecting the most serious (and self-serving) barriers against legitimate news reporting – especially of excessive government secrecy – we have seen in decades.

    #surveillance
    #nsa
    #snowden