person:günther oettinger

  • Intéressant changement de #titre (+ photo... et de contenu ?) dans un article de AP où il était question de #performance de l’#armée autrichienne à la frontière...


    L’article et le titre que je suppose originaux sur un tweet :
    Austrian police, army perform border closure exercice
    https://twitter.com/ProfImogenTyler/status/1011730607309754368

    Le titre est devenu :
    On both sides of Atlantic, migrants meet hostile reception

    https://abcnews.go.com/International/wireStory/austrian-police-army-perform-border-closure-exercise-56163013

    #Autriche #militarisation_des_frontières #frontières #fermeture_des_frontières

    • Giochi con le frontiere

      Mille tra poliziotti e soldati, finti profughi che «assaltano» il confine. L’Austria organizza una mega esercitazione anti migranti al confine con la Slovenia. Una prova muscolare alla vigilia del suo turno di presidenza Ue. Mentre nel Mediterraneo resta incerto il destino dei profughi (veri) che si trovano sulla Lifeline


      https://ilmanifesto.it/edizione/il-manifesto-del-27-06-2018
      via @albertocampiphoto

    • Persisting migration impasse in Germany leads to Austrian border protection exercise

      The recent European Council meeting has been a key place to find such a solution. The European Council released its conclusions this morning, which Günther Oettinger, the European commissioner for budget and human resources and CDU politician, hailed as a “genuine breakthrough” which the CDU will recognise “as a big step in the right direction”. On leaving the summit, Chancellor Merkel agreed that the EU agreeing on a common text was a “good signal” but acknowledged that “we still have a lot of work to do to bridge the different views”.

      In light of the internal German debates, Austria undertook a larger scale border patrol training exercise, additionally it was the inaugural outing of a new border police unit ‘Puma’. Vice-Chancellor Heinz-Christian Strache of the FPÖ party said the exercises were, “to prepare ourselves for all developments and send a clear signal that there will no longer be a loss of control and free passage like in 2015.” He added, “The reasons for this are the debate about intra-European border closures, triggered by Germany, as well as current developments on the refugee routes in the Balkans.”

      Chancellor Sebastian Kurz of the ÖVP party said of the apparent moves for harder borders, “I want to cooperate so that it will not come to that. We must ensure that illegal migrants no longer make it to the European Union in the first place, because then we would not need intra-European border controls.”

      https://www.ecre.org/persisting-migration-impasse-in-germany-leads-to-austrian-border-protection-ex

  • Le cas italien détruit le mythe européen Marc Botenga - 24 Mai 2018 - Solidaire
    http://solidaire.org/articles/le-cas-italien-detruit-le-mythe-europeen

    L’Italie a presque un nouveau gouvernement. Cette alliance entre populistes du Mouvement 5 Étoiles et extrême-droite de la Ligue inquiète l’Union européenne. Le nouvel exécutif pourrait ne plus respecter les traités européens. Mais c’est surtout l’émergence de ce gouvernement même qui devrait inquiéter. Parce qu’il illustre toutes les limites de l’intégration européenne.

    « Nous ne pouvons que conseiller de maintenir le cap en matière de politique économique et financière, de promouvoir la croissance via des réformes et de maintenir le déficit budgétaire sous contrôle. »


    Avant même sa formation officielle, Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission européenne, menaçait déjà le nouveau gouvernement italien. « Ils jouent avec le feu, parce que l’Italie est très endettée. Des actions irrationnelles ou populistes peuvent causer une nouvelle crise européenne », ajoutait Manfred Weber, le dirigeant allemand du parti populaire, au Parlement européen. « Si le nouveau gouvernement prenait le risque de ne pas respecter ses engagements sur la dette, le déficit, mais aussi l’assainissement des banques, c’est toute la stabilité financière de la zone euro qui serait menacée », avertissait de son côté Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie.

    Des recettes européennes en faillite
    C’est comme prescrire un régime à un affamé. Depuis un quart de siècle ce sont précisément les recettes européennes, appliquées par les gouvernements de gauche et de droite, qui ont mené l’Italie au bord du gouffre. La libéralisation du marché du travail qu’impose maintenant le président Emmanuel Macron en France a commencé même avant les réformes Hartz en Allemagne. Le travail précaire et hyper-flexible deviendra la nouvelle norme. Certes, l’Italie est toujours la troisième économie de la zone euro. Elle en est même la deuxième puissance industrielle. Mais les choses changent. La chercheuse italienne Marta Fana a expliqué que depuis 25 ans, l’Italie devient de plus en plus une périphérie européenne, est soumise toujours davantage au leadership économique qu’incarnent l’Allemagne et la France. Pendant que l’Allemagne a profité de ces 25 dernières années pour faire des investissements très forts dans l’industrie, l’Italie a quasiment arrêté de faire des investissements. Rome s’est pliée entièrement à toutes les directives européennes, sur les aides de l’État, l’euro, le déficit, perdant 25 % de structure de production. Cette tendance a été renforcée par la crise de 2008. En 2017, la production industrielle italienne était toujours inférieure de 20 % à son niveau d’avant la crise. L’Italie, synthétise Fana, est en train d’être déclassée : « Nous n’avons pas qu’une perte de structure de production parce que les entreprises ferment, mais on a une perte de structure de production nationale parce que les entreprises italiennes sont achetées par des multinationales françaises et souvent allemandes. Celles-ci utilisent l’Italie comme main d’œuvre mais déplacent les centres de décision, et la recherche et développement vers leurs pays. »1

    Après des décennies de gouvernance européenne, les partis traditionnels se sont effondrés lors des dernières élections. La droite berlusconienne a raté son grand retour. L’ancien Premier ministre social-démocrate Matteo Renzi, grand exemple d’Emmanuel Macron, a payé le prix fort pour ses libéralisations. Après 25 ans de promesses non-tenues, les Italiens ne les croient plus. Face à un taux de chômage élevé et un avenir morose, des millions de jeunes quittent le pays pour trouver du travail à Berlin, Bruxelles ou Paris. D’autres se tournent vers ceux qui promettent de rompre radicalement avec le modèle européen. Ce sont les populistes du Mouvement 5 Etoiles et l’extrême-droite qui ont le mieux incarné ces aspirations de rupture.

    Un néolibéralisme national ?
    Toutefois, dans le programme de gouvernement, les deux partis n’offrent pas un modèle social radicalement différent. Certes, il y a des mesures populaires. A défaut d’une allocation de chômage, l’introduction d’un « revenu citoyen » de 780 euros pendant deux ans est surtout populaire au sud du pays. Ces mesures ont fait le succès de la rhétorique des 5 Étoiles. Néanmoins, le programme du nouveau gouvernement italien ressemble davantage à un « néolibéralisme dans un seul pays », comme le décrit le journaliste anglais Paul Mason, destiné à redonner de la force aux entreprises italiennes.2 Il s’agit en effet avant tout de favoriser le patronat italien qui considère que la lutte avec ses concurrents allemands est perdue. Aucune mesure concrète contre le travail précaire, par exemple. Pour chaque geste vers la gauche, il y a donc trois mesures fortes de droite. L’introduction d’un salaire minimum va de pair avec la réintroduction de « vouchers » (généralisation de titres-services) permettant de contourner toute législation sociale et éviter même de passer par un contrat de travail. Le nouveau revenu citoyen est accompagné d’une obligation d’accepter certaines offres d’emploi. La mise sur pied d’une banque d’investissements, pour subventionner des entreprises privées, va de pair avec l’instauration d’une « flat tax » où les grandes entreprises et les très riches paieront bien moins d’impôts. Les moyens promis pour les soins de santé viendront en premier lieu de rationalisations plutôt que d’investissements nouveaux.

    A ces mesures socio-économiques s’ajoute une matrice fortement nationaliste et raciste. C’est une technique utilisée aussi par Viktor Orban, Premier ministre hongrois, pour obtenir une certaine adhésion populaire. Quelques mesures de gauche et une bonne dose de nationalisme doivent ranger les travailleurs derrière « leur » patronat. Parce qu’il s’agit bien de défendre le patronat local. Cet objectif fait que l’accord de gouvernement fait l’impasse sur une vérité toute simple : c’est l’alliance étroite entre fédération patronale et gouvernement italiens qui est le principal responsable de la crise sociale aujourd’hui. Mais cela reste tabou. Afin de dédouaner le patronat italien de sa responsabilité, l’accord gouvernemental s’en prend aux migrants. L’Italie aurait beaucoup de raisons de critiquer le manque de solidarité des autres États européens qui lui laissent la gestion d’une bonne partie des réfugiés. Les migrants sont d’ailleurs souvent les premières victimes du travail précaire. Mais le programme du gouvernement italien n’en a cure et ne fait qu’attiser le racisme et la discrimination. Les migrants sont sans détour ni preuves associés au terrorisme et même aux mauvais comptes publics. Pour y pallier, le gouvernement propose la mise sur pied de « centres de rassemblement » d’environ un demi-million d’immigrés pour les renvoyer en Afrique.

    Clash avec l’Europe ?
    Ces potentielles déportations massives n’inquiètent pas le moins du monde l’Union européenne. Ni le fait qu’un parti d’extrême-droite comme la Ligue rentre au gouvernement. Ni que Marine Le Pen lui apporte son soutien. Non, c’est bien la volonté du gouvernement italien à renégocier les traités qui inquiète. Contrairement à leurs promesses de campagne, les deux partis au gouvernement n’envisagent plus explicitement une sortie de l’euro, mais leur programme est clairement trop coûteux pour les règles budgétaires européennes. Ceci reflète une contradiction au sein du patronat italien, dont une partie a profité et profite du marché unique européen, mais qui en même temps veut davantage de soutien de « son » État. Les mesures de soutien promises à l’industrie italienne de l’armement dans la compétition européenne en sont une conséquence logique. Ce libéralisme plus « national » ne promet rien de bon pour les travailleurs. Au contraire, dans la course à la compétitivité, ils seront poussés à davantage de sacrifices pour « renforcer » l’économie. Donc, le patronat italien. L’absence de mesures concrètes pour améliorer les droits sociaux n’est pas une coïncidence.

    Entre néolibéralisme européen et libéralisme xénophobe italien, des arrangements sont possibles. Néanmoins, le risque d’un affrontement entre les deux est réel. Les institutions européennes, et leurs alliés à droite et à gauche en Italie, feront tout pour faire marcher l’Italie au pas des traités. Dans le contexte actuel, une pression agressive ne pourra que renforcer le national-libéralisme raciste. De la Hongrie, à la France, de l’Autriche à l’Italie, voici la perspective qu’offre l’actuelle intégration européenne : libéralisme autoritaire européen ou national-libéralisme xénophobe. Le défi pour la gauche italienne, et pour la gauche européenne en général, est de sortir de ce faux choix pour imposer un changement social qui en finit avec la précarité et le déclin social. Un projet de gauche qui rompt avec les diktats européens, non pas en faveur du patronat national, mais pour les travailleurs.

    #Italie #populisme #nationalisme #racisme #xénophobie #néolibéralisme #traités-européens #euro #M5S #Union-européenne #UE #intégration-européenne #crise-européenne #Bruno-Le-Maire #Manfred-Weber #Libéralisation #Travail #précarité #flexibilité #Industrie #Allemagne #France #euro #déficit #dette #crise #multinationales #Matteo-Renzi #flat-tax #patronat #migrants #droits-sociaux #banque #finance #national-libéralisme #Social

    • « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter »
      Günther Oettinger, commissaire européen au budget

      Tout y est : l’arrogance brutale des dirigeants allemands qui considèrent l’Europe du sud comme un « club med », la violence des dirigeants de la Commission européenne qui veulent mater les récalcitrants quel qu’en soit le prix pour les peuples. Ceux qui tuent le projet européen sont là. « L’union européenne » se tourne cette fois-ci contre un de ses pays fondateurs. La fin s’approche pour ce système.
      Jlm

  • 10 everyday things on the web the EU Commission wants to make illegal : Oettinger’s legacy
    https://juliareda.eu/2016/12/10-illegal-things

    In a few days, scandal-prone Günther Oettinger will stop being Europe’s top internet policy maker – he’s being promoted to oversee the EU budget. But before leaving, the outgoing Digital Commissioner submitted dangerous plans that undermine two core foundations of the internet : Links and file uploads. While Oettinger is going away, his lobby-dictated proposals are here to stay. These proposals are pandering to the demands of some news publishers to charge search engines and social networks (...)

    #web #surveillance #copyright

  • A Bruxelles, le malaise Günther Oettinger, nouveau maillon faible de la Commission européenne
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/11/19/gunther-oettinger-nouveau-maillon-faible-de-la-commission-europeenne_5033960
    Les propos et le comportement de l’Allemand irritent une partie des élus européens. Mais le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, esquive le problème.

    Il y a eu l’affaire Barroso, président de la Commission européenne pendant dix ans recruté cet été par la banque d’affaires américaine Goldman Sachs ; puis le scandale lié à la société offshore de l’ex-commissaire Neelie Kroes, révélé par les « Bahamas Leaks ».

    Bruxelles doit désormais composer avec les écarts de langage et de comportement de Günther Oettinger, le commissaire allemand à l’économie numérique. Et le malaise est d’autant plus grand autour de la place Schuman, le centre névralgique des institutions européennes, qu’une fois de plus, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, tarde à réagir.

    M. Oettinger, homme politique anciennement élu du Bade Wurtemberg et membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), a déjà défrayé la chronique fin octobre en tenant des propos déplacés à propos des Chinois. Lors d’un discours devant des chefs d’entreprise allemands, secrètement enregistré, il les a qualifiés de « bridés » et a raconté avoir reçu des ministres de la République populaire tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».

    Mardi 15 novembre, à la suite des révélations du site EUobserver, M. Oettinger a aussi reconnu avoir emprunté, en mai, le jet privé d’un homme d’affaires allemand, Klaus Mangold, considéré comme un proche de Moscou, pour se rendre à un dîner avec le premier ministre hongrois Viktor...
    #paywall #seenthis_request

    • Il y a eu l’affaire Barroso, président de la Commission européenne pendant dix ans recruté cet été par la banque d’affaires américaine Goldman Sachs ; puis le scandale lié à la société offshore de l’ex-commissaire Neelie Kroes, révélé par les « Bahamas Leaks ».

      Bruxelles doit désormais composer avec les écarts de langage et de comportement de Günther Oettinger, le commissaire allemand à l’économie numérique. Et le malaise est d’autant plus grand autour de la place Schuman, le centre névralgique des institutions européennes, qu’une fois de plus, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, tarde à réagir.

      M. Oettinger, homme politique anciennement élu du Bade Wurtemberg et membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), a déjà défrayé la chronique fin octobre en tenant des propos déplacés à propos des Chinois. Lors d’un discours devant des chefs d’entreprise allemands, secrètement enregistré, il les a qualifiés de « bridés » et a raconté avoir reçu des ministres de la République populaire tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».

      Mardi 15 novembre, à la suite des révélations du site EUobserver, M. Oettinger a aussi reconnu avoir emprunté, en mai, le jet privé d’un homme d’affaires allemand, Klaus Mangold, considéré comme un proche de Moscou, pour se rendre à un dîner avec le premier ministre hongrois Viktor Orban. Le commissaire s’est justifié en expliquant que le vol lui avait été suggéré par le gouvernement hongrois, car il ne pouvait pas prendre l’avion initialement prévu pour arriver à l’heure.

      Portefeuille stratégique du budget

      A chaque fois, la direction de la Commission a volé au secours de M. Oettinger, même si ce dernier a dû platement présenter ses excuses à la Chine après des réactions officielles de Pékin.
      Jeudi 17 novembre, Margaritis Schinas, chef des porte-parole de la Commission, soulignait que M. Oettinger n’a pas violé le code de conduite des commissaires. Ces derniers sont censés refuser tout cadeau supérieur à 150 euros. « Le vol n’est pas un cadeau mais un moyen de déplacement offert par le gouvernement hongrois. » Et « oui », M. Oettinger conserve toujours la confiance de M. Juncker, a précisé M. Schinas.

      Le cas Oettinger n’a pas été évoqué lors du collège hebdomadaire des commissaires, mercredi 16 novembre, et M. Juncker n’en a pas non plus profité pour soumettre à ses collègues la réforme du code de conduite qu’il avait pourtant dit vouloir leur proposer dans une interview au quotidien belge Le Soir, début novembre.

      Cette réforme, visant à faire passer de dix-huit à trente-six mois la période durant laquelle les ex-commissaires doivent obtenir l’aval d’un comité d’éthique pour accepter un nouveau poste, était pourtant prévue à l’agenda. « L’ordre du jour était trop chargé », faisait savoir la Commission, jeudi.
      Les écarts du commissaire allemand sont d’autant plus problématiques que ce dernier a été choisi pour récupérer, outre le numérique, le portefeuille stratégique du budget européen (près de 150 milliards d’euros annuels), la commissaire chargée de ce dossier, la Bulgare Kristalina Georgieva, ayant récemment annoncé sa démission.

      Climat de plus en plus crépusculaire

      L’inaction de M. Juncker face à l’accumulation des affaires alimente les fantasmes : parmi eux, le fait que M. Oettinger soit le commissaire allemand, donc intouchable. Elle contribue au climat de plus en plus crépusculaire qui règne au sein des institutions européennes, ébranlées par le Brexit, démoralisées par l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche et par la vague populiste et europhobe qui menace l’Europe.

      « Dans ce contexte, nous nous devons d’être irréprochables, quand on est la Commission de la dernière chance, comme disait Juncker au début de son mandat, on fait super-gaffe », déplorait, mercredi, un des initiateurs de la pétition « anti-Barroso » de l’été, fonctionnaire européen préférant rester anonyme. Lui et des collègues ont décidé de ne pas lâcher l’affaire : ils réclament un durcissement du code de conduite des commissaires.

      Au Parlement européen, la « campagne » anti-Oettinger bat déjà son plein, une partie des élus étant résolus à ne pas lui faire de cadeau. « Il y a urgence à renvoyer M. Oettinger à pied, à cheval ou à dos d’âne, soulignent les élus socialistes français dans un communiqué jeudi. Sa candidature à une promotion au sein de la Commission Juncker est incompréhensible. Elle fera l’objet d’une audition par le Parlement qui débouchera sur un vote. Nous prendrons nos responsabilités… »

    • https://seenthis.net/messages/538861

      Les Chinois, des bridés, les wallons, des coco, le commissaire européen Oettinger dans sa splendeur !
      http://www.rtbf.be/info/monde/europe/detail_la-chine-denonce-les-propos-du-commissaire-europeen-oettinger-sur-les-br

      La Chine a dénoncé ce mercredi le « sentiment de supériorité » du commissaire européen à l’Economie numérique Günther Oettinger, qui a utilisé dans un discours le terme péjoratif de « bridés » pour décrire les Chinois.

      Le responsable politique allemand avait été secrètement enregistré lors d’une réunion de chefs d’entreprises à Hambourg (nord de l’Allemagne) la semaine dernière. Il racontait avoir reçu des ministres chinois, tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».
      L’auteur de l’enregistrement, diffusé vendredi sur YouTube et repris samedi par le site du magazine allemand Der Spiegel, déclare avoir commencé à filmer après que Günther Oettinger eut utilisé des termes comme « les yeux bridés » ou les « escrocs » à propos des Chinois.

      « Un effarant sentiment de supériorité »
      « Les remarques en question démontrent un effarant sentiment de supériorité enraciné chez certains dirigeants politiques occidentaux » , a déclaré mercredi Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’un point presse régulier. « Nous espérons qu’ils puissent apprendre à avoir une vision objective d’eux-mêmes et des autres et à respecter et traiter les autres sur un pied d’égalité. »

      Interrogé par le journal allemand Die Welt, Günther Oettinger avait assuré samedi qu’il « s’agissait d’une expression familière qui ne se voulait en aucun cas un manque de respect vis-à-vis de la Chine ».
      Oettinger n’en est pas à son premier dérapage. En 2014, il avait traité la France de « pays déficitaire récidiviste », ce à quoi le PS français avait appelé à sa démission du poste de commissaire européen.

      Plus récemment, dans le contexte des négociations sur le CETA, l’Allemand a affirmé que « la Wallonie est une micro-région gérée par des communistes qui bloque toute l’Europe », ajoutant « ce n’est pas acceptable ». Des propos que le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) avait qualifié de « mépris total ».

      #commission_européenne #ue #UEF #union_européenne #chine #chinois #raciste #Günther_Oettinger #Allemagne

  • Les Chinois, des bridés, les wallons, des coco, le commissaire européen Oettinger dans sa splendeur !
    http://www.rtbf.be/info/monde/europe/detail_la-chine-denonce-les-propos-du-commissaire-europeen-oettinger-sur-les-br

    La Chine a dénoncé ce mercredi le « sentiment de supériorité » du commissaire européen à l’Economie numérique Günther Oettinger, qui a utilisé dans un discours le terme péjoratif de « bridés » pour décrire les Chinois.

    Le responsable politique allemand avait été secrètement enregistré lors d’une réunion de chefs d’entreprises à Hambourg (nord de l’Allemagne) la semaine dernière. Il racontait avoir reçu des ministres chinois, tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».
    L’auteur de l’enregistrement, diffusé vendredi sur YouTube et repris samedi par le site du magazine allemand Der Spiegel, déclare avoir commencé à filmer après que Günther Oettinger eut utilisé des termes comme « les yeux bridés » ou les « escrocs » à propos des Chinois.

    « Un effarant sentiment de supériorité »
    « Les remarques en question démontrent un effarant sentiment de supériorité enraciné chez certains dirigeants politiques occidentaux » , a déclaré mercredi Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’un point presse régulier. « Nous espérons qu’ils puissent apprendre à avoir une vision objective d’eux-mêmes et des autres et à respecter et traiter les autres sur un pied d’égalité. »

    Interrogé par le journal allemand Die Welt, Günther Oettinger avait assuré samedi qu’il « s’agissait d’une expression familière qui ne se voulait en aucun cas un manque de respect vis-à-vis de la Chine ».
    Oettinger n’en est pas à son premier dérapage. En 2014, il avait traité la France de « pays déficitaire récidiviste », ce à quoi le PS français avait appelé à sa démission du poste de commissaire européen.

    Plus récemment, dans le contexte des négociations sur le CETA, l’Allemand a affirmé que « la Wallonie est une micro-région gérée par des communistes qui bloque toute l’Europe », ajoutant  "ce n’est pas acceptable". Des propos que le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) avait qualifié de « mépris total ».

    #commission_européenne #ue #UEF #union_européenne #chine #chinois #raciste #Günther_Oettinger #Allemagne

    • Ils se lâchent tous à la commission européenne !
      jean claude junker, signe le TTIP en faisant une croix. . . . . .
      https://seenthis.net/messages/537929
      Les autres font pas mieux.

      Bon, une majorité des européens ne se laissent plus abuser par le paradis UE.
      Un Wallon, Paul Magnette les défie avec un discours de chef d’état, avant de signer honteusement.
      Les verts allemands, et quelques juges constitutionnels bloqueront les tribunaux d’arbitrages (espérons le) définis par ce TTIP.
      Les italiens voteront certainement NON au référendum de Monsieur Renzi.

      Ils servent plus à grand chose, ces messieurs de la commission européenne, ils se lâchent, et nous montrent leur mépris le plus profond.
      Les gouvernants des pays de l’UE n’on plus besoin d’eux afin de leur faire attribuer la responsabilité des décisions mortiféres qu’ils prennent (Les décisions que les dirigeants des pays de l’union européenne prennent). Ils servent plus à rien.
      Ces messieurs de la commission européenne, en lesquels plus personne ne croient, ne se tiennent plus, se lâchent, et nous montrent clairement une petite partie de leur mépris.

    • Les Chinois, des bridés, les wallons, des coco, le commissaire européen Oettinger dans sa splendeur !
      http://www.rtbf.be/info/monde/europe/detail_la-chine-denonce-les-propos-du-commissaire-europeen-oettinger-sur-les-br

      La Chine a dénoncé ce mercredi le « sentiment de supériorité » du commissaire européen à l’Economie numérique Günther Oettinger, qui a utilisé dans un discours le terme péjoratif de « bridés » pour décrire les Chinois.
      Le responsable politique allemand avait été secrètement enregistré lors d’une réunion de chefs d’entreprises à Hambourg (nord de l’Allemagne) la semaine dernière. Il racontait avoir reçu des ministres chinois, tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».

      L’auteur de l’enregistrement, diffusé vendredi sur YouTube et repris samedi par le site du magazine allemand Der Spiegel, déclare avoir commencé à filmer après que Günther Oettinger eut utilisé des termes comme « les yeux bridés » ou les « escrocs » à propos des Chinois.

      « Un effarant sentiment de supériorité »
      « Les remarques en question démontrent un effarant sentiment de supériorité enraciné chez certains dirigeants politiques occidentaux » , a déclaré mercredi Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’un point presse régulier. « Nous espérons qu’ils puissent apprendre à avoir une vision objective d’eux-mêmes et des autres et à respecter et traiter les autres sur un pied d’égalité. »
      Interrogé par le journal allemand Die Welt, Günther Oettinger avait assuré samedi qu’il « s’agissait d’une expression familière qui ne se voulait en aucun cas un manque de respect vis-à-vis de la Chine ».

      Oettinger n’en est pas à son premier dérapage. En 2014, il avait traité la France de « pays déficitaire récidiviste » , ce à quoi le PS français avait appelé à sa démission du poste de commissaire européen.

      Plus récemment, dans le contexte des négociations sur le CETA, l’Allemand a affirmé que « la Wallonie est une micro-région gérée par des communistes qui bloque toute l’Europe », ajoutant  "ce n’est pas acceptable". Des propos que le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) avait qualifié de « mépris total ».

      #commission_européenne #ue #UEF #union_européenne #chine #chinois #raciste #Günther_Oettinger

  • Juncker gèle la proposition sur les logiciels de surveillance
    http://www.euractiv.fr/section/innovation-entreprises/news/juncker-postpones-controversial-export-control-bill-on-surveillance-technol

    Le président de la Commission a bloqué une proposition de loi qui compliquerait l’exportation de logiciels de surveillance hors de l’UE. C’est la deuxième fois ce mois-ci que l’exécutif freine un dossier technique. Le projet de loi sur le contrôle des exportations sur les produits dits à double usage était terminé et devait être présenté le 21 septembre. En dernière minute, un groupe de commissaires menés par Günther Oettinger, chargé du numérique, a toutefois tenté de faire pression pour modifier la (...)

    #surveillance #surveillance

  • Leaseweb veut nous expliquer comment sauvegarder nos données dans l’ère de la cyber-guerre et des fausses promesses du genre save-harbor.

    Hosting-Gipfel in Berlin - Diplomatic Council
    http://www.diplomatic-council.org/de/portal/hosting-gipfel-in-berlin

    Das Diplomatic Council lädt zum Hosting-Gipfel nach Berlin. Ausrichter der Tagesveranstaltung am 17. Februar im renommierten SOHO House ist das DC Corporate Member LeaseWeb, eines der weltweit größten Hosting-Netzwerke.

    Keynotesprecher sind RA Ralf Schulten, Chairman des Global Small and Medium-sized Enterprises Forum („Mittelstandsforum“) im Diplomatic Council, und Beststellerautor („Schwarmdumm“) Prof. Dr. Gunter Dueck, Fellow des amerikanischen Ingenieursverbandes IEEE und Mitglied der IBM Academy of Technology.

    DC Chairman RA Ralf Schulten informiert über ein Thema, das derzeit vielen vor allem mittelständischen Firmen in Deutschland auf den Nägeln brennt: Was bedeutet die Einigung zwischen der EU und den USA über neue Regeln zum Datenaustausch und Datenschutz, kurz „EU-US Privacy Shield“, genannt? Die Nationale Initiative für Internet-Sicherheit (NIFIS) nennt den „EU-US Privacy Shield“ bereits eine „Mogelpackung“. Auf dem Hosting-Gipfel gibt DC Chairman RA Ralf Schulten Auskunft, welche Regeln Unternehmen in dieser rechtsunsicheren Situation für das Hosting ihrer Daten beachten sollten, um sich vor Ungemach zu schützen. Das Thema hat unter anderem deshalb so hohe Brisanz, weil bei Nichtbeachtung des Datenschutzes eine unmittelbare Haftung durch Vorstand oder Geschäftsführung eintreten kann.

    Venez nombreux pour une fois qu’il y a un repas gratuit dans le Soho House, club autrement cher et exclusif ;-) (Il faut s’inscrire à l’URL plus haut en indiquant les coordonnés de son entreprise.)

    About Leaseweb
    https://www.leaseweb.com/about

    The LeaseWeb platform resides on one of the largest, most reliable networks in the world, boasting 5.0 Tbps bandwidth capacity and 99.9999% core uptime. Thanks also to state-of-the-art data centers, and a broad choice of technologies, we are able to deliver an industry-leading portfolio of solutions – from bare metal to public and private clouds.

    With such ingredients to hand, we can help you find the perfect combination of IaaS options to maximize the performance of every workload – in the most efficient way for your business now – and as your requirements change.

    All LeaseWeb solutions are easy to configure and manage too. Our intuitive customer portal and API allows you to set up your infrastructure exactly as you want it, deploy new services on-demand and keep on top of your costs.

    #sécurité #internet #business #Berlin #cloud #hosting #safe_harbor #privacy_shield

    • The Business Implications of the EU-U.S. “Privacy Shield”
      https://hbr.org/2016/02/the-business-implications-of-the-eu-u-s-privacy-shield

      the Court of Justice’s rejection of the old Safe Harbor was based entirely on potential U.S. government practices, for which there is little indication of changed policy or procedure.

      Final approval for the Privacy Shield deal, reflecting the complex bureaucracy that plagues the EU, will include review by a dizzying array of governmental and quasi-governmental privacy bodies, the Commission itself, and its member states. Further legal challenges are all but guaranteed. Uncertainty will cloud internet-based companies doing business abroad for months, if not years, to come.

      Meanwhile, the Privacy Shield, even if it survives its trial by fire, will likely do nothing to add even a modicum of new protection to the personal information of European citizens.
      ...
      To the extent that the privacy concerns in Europe are genuine, they are a reflection of a profoundly different approach to privacy in two giant economies. U.S. privacy law, inspired by our revolutionary founding, focuses more on restrictions, such as the Fourth Amendment, that protect citizens from information collection and use by government rather than private actors. In fact, private actors are often protected from such restrictions by the First Amendment.

      But in Europe, scarred by catastrophic abuses of personal information that include the Inquisition, centuries of religious wars, the Holocaust, and the surveillance states of the former Soviet bloc countries, citizens enjoy broad privacy protections from companies and each other. In Europe, the government is seen as the principal protector of personal information from abuse by non-governmental institutions — the opposite of the U.S. model.

      L’article ne dit pas grand chose à propos du sujet évoqué par son titre, mais il constate quelques idées des base citées ici.

    • EU-US Privacy Shield offers flimsy protection | InfoWorld
      http://www.infoworld.com/article/3029969/privacy/eu-us-privacy-shield-offers-flimsy-protection.html

      While U.S. companies — especially tech giants like Google, Microsoft, and Facebook, which rely heavily on the easy flow of data — are primarily concerned with reestablishing a legal framework for data transfers, the real issue for Europeans is mass surveillance by government.
      ...
      Several privacy groups have called on the United States to improve its privacy laws to match those in Europe. “The problem is that the U.S. remains unchanged,” said Marc Rotenberg, president of the Electronic Privacy Information Center.
      ...
      Ultimately, EU-US Privacy Shield is what Computerworld calls a win-win in diplomatic terms: “The EU gets a solemn promise of privacy protections, which its voters want. And the U.S. gets no delays in data transfers, which U.S. companies want.”

    • Commission européenne - Communiqué de presse
      http://europa.eu/rapid/press-release_IP-16-216_fr.htm

      La Commission européenne et les États-Unis s’accordent sur un nouveau cadre pour les transferts transatlantiques de données, le « bouclier vie privée UE-États-Unis »

      Strasbourg, le 2 février 2016

      La Commission européenne et les États-Unis se sont accordés sur un nouveau cadre pour les transferts transatlantiques de données, le « bouclier vie privée UE-États-Unis »

      Le collège des commissaires a approuvé aujourd’hui l’accord politique et a chargé M. Andrus Ansip, vice-président de la Commission, et la commissaire européenne, Mme Věra Jourová, de préparer les étapes nécessaires à la mise en place du nouveau dispositif. Ce nouveau cadre vise à protéger les droits fondamentaux des citoyens de l’Union lorsque leurs données sont transférées vers les États-Unis et à apporter une sécurité juridique aux entreprises.

      Le « bouclier vie privée UE-États-Unis » (EU-US Privacy Shield) tient compte des exigences énoncées par la Cour de justice de l’Union européenne dans son arrêt du 6 octobre 2015, qui a déclaré invalide l’ancien régime de la sphère de sécurité (Safe Harbour). Le nouveau dispositif oblige les entreprises américaines à mieux protéger les données à caractère personnel des citoyens européens et prévoit un renforcement du contrôle exercé par le ministère américain du commerce et la Federal Trade Commission (FTC), notamment par une coopération accrue avec les autorités européennes chargées de la protection des données. Dans le cadre de ce nouveau dispositif, les États-Unis s’engagent à ce qu’en vertu du droit américain, l’accès des autorités publiques aux données à caractère personnel transmises soit subordonné à des conditions, des limites et une supervision bien définies, empêchant un accès généralisé. Les Européens auront la possibilité d’adresser des demandes d’information à un médiateur spécialement désigné à cette fin et de lui soumettre des plaintes.

      M. Andrus Ansip, vice-président de la Commission européenne, a déclaré : « Nous nous sommes accordés sur un nouveau cadre solide pour les flux de données vers les États-Unis. Nos concitoyens peuvent avoir la certitude que leurs données à caractère personnel seront bien protégées. Nos entreprises, notamment les plus petites, bénéficieront de la sécurité juridique dont elles ont besoin pour développer leurs activités de l’autre côté de l’Atlantique. Nous avons le devoir de nous assurer du bon fonctionnement du nouveau dispositif et de veiller à ce qu’il tienne ses promesses sur la durée. La décision prise aujourd’hui nous aidera à créer un marché unique du numérique dans l’Union, un environnement en ligne fiable et dynamique ; elle renforce encore notre partenariat privilégié avec les États-Unis. Nous allons maintenant œuvrer pour mettre ce cadre en place dès que possible. »

      La commissaire Věra Jourová a déclaré : « Le nouveau dispositif protégera les droits fondamentaux des citoyens européens lorsque leurs données à caractère personnel seront transférées vers des entreprises américaines. Pour la toute première fois, les États-Unis ont formellement garanti à l’Union que l’accès des autorités publiques à des fins de sécurité nationale sera subordonné à des conditions, des garanties et des mécanismes de supervision bien définis. Pour la première fois également, les citoyens de l’Union disposeront de voies de recours dans ce domaine.Dans le contexte des négociations sur cet accord, les États-Unis ont donné l’assurance qu’ils ne se livraient à aucune surveillance de masse à l’égard des Européens. Enfin, l’accord prévoit un réexamen annuel conjoint afin de suivre de près la mise en œuvre de ces engagements ».

      Le nouveau dispositif comportera les éléments suivants :

      des obligations strictes pour les entreprises qui traitent des données à caractère personnel européennes, et un contrôle rigoureux : les entreprises américaines qui souhaitent importer des données à caractère personnel provenant d’Europe devront s’engager à respecter des conditions strictes quant au traitement de ces données et garantir les droits des individus. Le ministère américain du commerce veillera à ce que les entreprises publient leurs engagements, ce qui les rendra opposables au regard de la loi américaine et permettra à la FTC de contraindre les entreprises à les respecter. Par ailleurs, toute entreprise traitant des données provenant d’Europe relatives aux ressources humaines devra s’engager à se conformer aux décisions des autorités européennes chargées de la protection des données ;

      un accès par les autorités américaines étroitement encadré et transparent : pour la première fois, les États-Unis ont garanti par écrit à l’Union européenne que l’accès par les autorités publiques américaines à des fins d’ordre public et de sécurité nationale sera soumis à une supervision, des limites et des garanties bien définies. De telles exceptions devront être appliquées de manière proportionnée, et uniquement dans la mesure où elles sont nécessaires. Les États-Unis ont exclu qu’une surveillance de masse soit exercée sur les données à caractère personnel transférées vers les États-Unis dans le cadre du nouveau dispositif. Pour contrôler régulièrement le fonctionnement de l’accord, un réexamen conjoint aura lieu tous les ans, qui portera également sur la question de l’accès à des fins de sécurité nationale. Ce réexamen sera mené par la Commission européenne et le ministère américain du commerce, lesquels inviteront des experts nationaux du renseignement travaillant au sein des autorités américaines et européennes de protection des données à y participer ;

      une protection effective des droits des citoyens de l’Union et plusieurs voies de recours : tout citoyen qui estime que les données le concernant ont fait l’objet d’une utilisation abusive dans le cadre du nouveau dispositif aura plusieurs possibilités de recours. Les entreprises devront répondre aux plaintes dans des délais définis. Les autorités européennes chargées de la protection des données pourront transmettre des plaintes au ministère américain du commerce et à la FTC. Le recours aux mécanismes de règlement extrajudiciaire des litiges sera gratuit. Pour les plaintes concernant un éventuel accès par des services de renseignement nationaux, un nouveau médiateur sera institué.

      Prochaines étapes

      Le Collège a chargé M. Ansip et Mme Jourová d’élaborer un projet de « décision sur le caractère adéquat » dans les semaines à venir, que le Collège pourrait adopter après avoir obtenu l’avis du groupe de travail « Article 29 » et consulté un comité composé de représentants des États membres. Dans l’intervalle, les États-Unis prendront les dispositions nécessaires à la mise en place du nouveau cadre, des mécanismes de contrôle et du nouveau médiateur.

      Contexte

      Le 6 octobre dernier, la Cour de justice a déclaré, dans l’affaire Schrems, que la décision de la Commission relative à l’accord sur la sphère de sécurité n’était pas valide. L’arrêt a ainsi confirmé l’approche adoptée par la Commission depuis novembre 2013 en vue d’une révision de l’accord sur la sphère de sécurité, afin de garantir concrètement un niveau suffisant de protection des données, équivalent à celui exigé par le droit de l’Union.

      Le 15 octobre, M. Andrus Ansip, vice-président de la Commission européenne, et les commissaires européens Günther Oettinger et Věra Jourová ont rencontré des représentants d’entreprises et de secteurs concernés qui ont demandé une interprétation claire et uniforme de l’arrêt, ainsi que des précisions sur les instruments qu’ils ont le droit d’utiliser pour transmettre des données.

      Le 16 octobre, les 28 autorités nationales chargées de la protection des données (réunies au sein du groupe de travail « Article 29 ») ont publié une déclaration sur les conséquences de l’arrêt.

      Le 6 novembre, la Commission a publié des orientations à l’intention des entreprises sur les possibilités de transferts transatlantiques de données à la suite de l’arrêt, dans l’attente de la mise en place d’un nouveau cadre.

      Le 2 décembre, le collège des commissaires a examiné l’état d’avancement des négociations. Mme Věra Jourová a été chargée de poursuivre les négociations avec les États-Unis en vue de définir un cadre renouvelé et sûr pour les transferts de données à caractère personnel.

    • Europe And US Seal ‘Privacy Shield’ Data Transfer Deal To Replace Safe Harbor | TechCrunch
      http://techcrunch.com/2016/02/02/europe-and-us-seal-privacy-shield-data-transfer-deal-to-replace-safe-har

      Making an initial statement on the Privacy Shield deal, European privacy campaigner #Max_Schrems, whose legal action against Facebook ultimately brought down the original Safe Harbor, expressed scepticism the deal goes far enough to stand the test of another legal challenge at the ECJ.

      “The Court has explicitly held, that any generalized access to such data violates the fundamental rights of EU citizens. The Commissioner herself has said this form of surveillance continues to take place in the US yesterday. Today there should be some agreement, in whatever form, that ensures that EU data is not used anymore. This will be the sticking point for a new challenge before the Court in respect to national surveillance,” he noted.

  • La #5G pourrait faire rebondir l’économie, mais l’Europe est en retard | La révolution de l’information
    http://meta-media.fr/2015/03/06/la-5g-pourrait-faire-rebondir-leconomie-mais-leurope-est-en-retard.html

    Un réseau programmable qui va servira l’internet des dizaines de milliards d’objets connectés. Les voitures communiqueront entre elles, avec les parkings, les panneaux de signalisation, les stations services.

    Mais pour cela il faut des #investissements. [ Günther Oettinger le nouveau commissaire européen à l’économie numérique ] propose donc un partenariat public/privé et lâche du lest sur la #neutralité du Net redoutée par les telcos qui, douchés par deux années de crise et effrayés par l’arrivée de Google— veulent pouvoir créer des voies rapides plus chères.

    A entendre les #éléments_de_langage repris mot à mot à Barcelone par tous les opérateurs européens mais aussi par Oettinger lui-même, on sent que les choses s’organisent. Et que certains services spécialisés seront prioritaires, rapporteront plus et vont se développer.

    Les deux mêmes exemples sont ainsi repris inlassablement, jour après jour ici : « les voitures autonomes et connectées devront pouvoir réagir dans la milliseconde ; la télémédecine va sauver des vies. Comment prendre le risque de laisser ce type de services au milieu du trafic avec comme seule garantie l’obligation du “best effort” ? ».

    via @rosselin

  • Les quatre semaines où Paris a failli tout perdre, Monde
    http://www.lesechos.fr/journal20141201/lec1_monde/0203976600104-les-quatre-semaines-ou-paris-a-failli-tout-perdre-1069866.php

    Renaud Honoré / Correspondant à Bruxelles | Le 01/12 à 06:00, mis à jour à 11:27

    Le vice-président #Letton chargé de l’euro, Valdis #Dombrovskis et Le président #Commission-européenne, Jean-Claude #Juncker.
    Photo Eric Feferberg/AFP

    Ils pensaient avoir fait le plus dur. Quand fin octobre la Commission européenne finit par donner son feu vert provisoire au budget #2015 hexagonal, l’#Elysée comme #Bercy poussent un soupir de soulagement. Il a certes fallu trouver en catastrophe 3,6 milliards d’euros de nouvelles économies, mais le col a été franchi et l’arrivée paraît proche. Faux espoir. Dans les quatre semaines qui ont suivi, la France a frôlé le précipice , tout proche de devenir le premier membre de la zone euro sanctionné pour ses déficits. « En interne, il y avait plusieurs voix pour réclamer de la fermeté face à Paris », souligne un fonctionnaire européen.

    Début novembre, les choses ne se présentaient pourtant pas trop mal. Jean-Claude Juncker arrive à la tête de la Commission européenne , et il n’a guère envie de commencer son mandat par un conflit ouvert avec Paris. Pierre #Moscovici prend la place du Finlandais Jyrki Katainen – « un type pas commode » aux yeux de Paris –aux Affaires économiques. Et le vice-président en charge de l’euro, le Letton Valdis Dombrovskis, n’est pas forcément l’ayatollah de la rigueur annoncé. « Il n’est pas de mauvaise composition », juge-t-on à Paris. « Certes il a pris des mesures très dures quand il était Premier #ministre de la #Lettonie. Mais il n’aurait pas duré quatre ans à ce poste s’il n’avait pas été capable de compromis », assure son entourage.

    Pourtant, quand il embarque le jeudi 13 novembre avec Jean-Claude Juncker vers l’Australie et le G20 de Brisbane, le Letton a sa tête des mauvais jours. Des chiffres alarmants viennent de remonter des services de la Commission. Et c’est encore la France ! Ce n’est pas tant le budget 2015 qui pose problème que celui de 2014. Dès cette année, le pays est censé avoir pris des « actions suivies d’effets » (« effective actions ») pour réduire le déficit. Mais Bruxelles constate que le compte n’y est pas au vu de l’exécution du budget. Dans l’avion qui l’amène en Australie, Jean-Claude Juncker doit se rendre à l’évidence : il aura du mal à ne pas infliger une amende à la #France si le pays ne fait rien. D’autant que les 3,6 milliards d’économies additionnelles promis pour 2015 ne convainquent que partiellement les experts bruxellois. Arrivé à Brisbane, c’est ce qu’il dit en tête à tête à François #Hollande.

    Le président français tombe des nues. Les services de Bercy n’ont pas du tout identifié un tel écart dans l’exécution du budget 2014. Revenu à Paris, c’est le branle-bas de combat. La France n’a plus que quelques jours pour éviter l’humiliation des sanctions. Entre l’Elysée et le cabinet de Jean-Claude Juncker, les coups de fil se multiplient. Pierre Moscovici se démène lui aussi et organise une réunion à la hâte à Bruxelles entre les experts de la Commission et ceux de Bercy pour comprendre les écarts. Paris plaide sa bonne foi, jure que de meilleurs chiffres vont arriver fin 2014. « Ce problème technique n’aurait pas créé toute cette turbulence si la France n’avait pas suscité tant de méfiance », juge un diplomate européen. Une solution émerge alors : on donnera à la France trois mois de plus pour prouver sa bonne foi. Toujours le souci de Jean-Claude Juncker de s’éviter une crise politique majeure. Mais dans le même temps, Paris va s’engager sur un calendrier de réformes pour en finir avec les faux-fuyants. Le 21 novembre, Manuel #Valls prend alors sa plume pour écrire une lettre de 6 pages où il liste les efforts à venir du gouvernement.

    >> La lettre de Manuel Valls adressée à Bruxelles
    http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/0203974513597-la-lettre-de-manuel-valls-adressee-a-bruxelles-1069319.php?yJ

    Quiproquo

    Les tensions auraient pu retomber, mais c’était sans compter avec Günther Oettinger. En privé, le commissaire allemand au Numérique ne se gêne pas pour critiquer la France, aussi bien pour l’état des finances publiques que pour la qualité des voitures qui y sont produites. On imagine que la perspective de voir Paris bénéficier d’un nouveau sursis doit le faire bouillir. Alors il décide il y a dix jours de rédiger un article pour la presse européenne, bien qu’il ne soit pas du tout en charge du dossier. « Après tout, ma signature se retrouvera en bas de la décision qui sera prise, en tant que membre de la Commission », fulmine-t-il. Mais l’Allemand s’emmêle les pinceaux. Un quiproquo fait qu’une version non expurgée et non retravaillée de sa tribune – où il fustige le « récidiviste » des déficits qu’est la France – paraît sur le site des « Echos » avec 24 heures d’avance sur ce qu’il avait prévu. Catastrophe ! Les équipes de Günther Oettinger n’ont du coup pas eu le temps de prévenir de leur initiative au sein de la Commission ou à Paris. Quand il apprend la sortie de son collègue, Pierre Moscovici est furieux. « Ça a beaucoup fait jaser dans la maison, c’est clairement une méthode contraire à l’esprit d’équipe », constate un proche d’un commissaire influent.

    L’Allemand a raté son effet. Cinq jours plus tard, devant tous les autres commissaires, Jean-Claude Juncker doit poliment mais fermement le rappeler à l’ordre. Et avalise dans la foulée le nouveau délai accordé à Paris. Ce n’est qu’un répit. Déjà, les équipes de la Commission se préparent à un début d’année 2015 compliqué. Pierre Moscovici a prévenu vendredi pendant la conférence de presse : « Toutes les procédures sont à notre disposition. » Et, bis repetita, Günther Oettinger, même réprimandé, ne peut s’empêcher de renchérir : « Ce n’est que partie remise en ce qui concerne les sanctions » contre la France, déclare-t-il hier au « Spiegel », réclamant une « réforme solide du marché du travail ». Le plus dur est encore devant la France.

  • Andrus Ansip la neutralité du net devrait être un droit
    http://www.numerama.com/magazine/30964-andrus-ansip-34la-neutralite-du-net-devrait-etre-un-droit34.html##Op.

    Opération séduction pour Andrus Ansip, le futur commissaire européen chargé du marché unique numérique, qui travaillera en lien avec Günther Oettinger, chargé de l’économie et de la société numérique (voir notre article du 10 septembre 2014). Alors que ce dernier a envoyé des signes très inquiétants, le premier continue d’enregistrer des bons points.

  • Andrus Ansip : « la neutralité du net devrait être un droit »
    http://www.numerama.com/magazine/30964-andrus-ansip-34la-neutralite-du-net-devrait-etre-un-droit34.html

    « Opération séduction pour Andrus Ansip, le futur commissaire européen chargé du marché unique numérique, qui travaillera en lien avec Günther Oettinger, chargé de l’économie et de la société numérique (voir notre article du 10 septembre 2014). Alors que ce dernier a envoyé des signes très inquiétants, le premier continue d’enregistrer des bons points. »

    #public

  • Les signaux très inquiétants du futur commissaire européen au numérique
    http://www.numerama.com/magazine/30765-les-signaux-tres-inquietants-du-futur-commissaire-europeen-au-numeri.

    C’est à se demander s’il ne va pas falloir rappeler en urgence Neelie Kroes pour s’occuper du numérique au sein de la future Commission Juncker, tant Günther Oettinger a fait mauvaise impression lors de son audition devant les députés européens. En effet, l’Allemand a envoyé des signaux inquiétants sur certains dossiers et laissé transparaître une connaissance limitée sur les enjeux du numérique.

  • La Russie reprendra les livraisons de gaz à l’Ukraine | Russia Beyond the Headlines

    http://fr.rbth.com/economie/2014/10/01/la_russie_reprendra_les_livraisons_de_gaz_a_lukraine_31025.html

    385 dollars (305 euros) pour 1.000 mètres cubes, ce n’est pas bon marché :)

    Le 28 septembre, lors du sommet tripartite Ukraine – Russie – UE, un accord a été trouvé pour la reprise des livraisons de gaz russe en Ukraine. C’est ce qu’a déclaré le commissaire européen à l’énergie, Günther Oettinger, selon l’agence d’information russe ITAR-TASS. Selon M. Oettinger, l’Ukraine a accepté de payer sa dette de 3,1 milliards de dollars, tandis que la Russie reprendra ses livraisons de gaz au prix de 385 dollars (305 euros) pour 1.000 mètres cubes.

    Toutefois, l’accord est temporaire, et les deux parties seront amenées à négocier à nouveau dans six mois. D’après les explications du commissaire européen, l’Ukraine devra payer 3,1 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros) avant la fin de l’année afin d’honorer la dette contractée auprès de Gazprom pour le gaz déjà livré.

    #russie #ukraine #gaz #guerre_du_gaz

  • Les signaux très inquiétants du futur commissaire européen au numérique
    http://www.numerama.com/magazine/30765-les-signaux-tres-inquietants-du-futur-commissaire-europeen-au-numeri

    « C’est à se demander s’il ne va pas falloir rappeler en urgence Neelie Kroes pour s’occuper du numérique au sein de la future Commission Juncker, tant Günther Oettinger a fait mauvaise impression lors de son audition devant les députés européens. En effet, l’Allemand a envoyé des signaux inquiétants sur certains dossiers et laissé transparaître une connaissance limitée sur les enjeux du numérique. »

    #c

  • L’UE renonce à sanctionner le secteur énergétique russe
    http://www.brujitafr.fr/article-l-ue-renonce-a-sanctionner-le-secteur-energetique-russe-123652298.

    © Photo : Flickr.com/EnergieAgentur.NRW/cc-by ATHENES, 16 mai - RIA Novosti/La Voix de la Russie L ’UE n’adoptera pas de sanctions contre le secteur énergétique russe, a annoncé vendredi à Athènes le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Oettinger. « Nos partenaires russes sont des fournisseurs importants de gaz naturels sur nos marchés depuis 40 ans. L’UE a décidé que ses sanctions contre la Russie ne concerneront pas le secteur énergétique russe. La Russie fournit du gaz, l’UE paie pour ce gaz. Nous ne souhaitons pas transformer les livraisons de gaz en arme », a indiqué M.Oettinger au terme d’une rencontre des ministres européens de l’Energie. (...)

  • Sommet de l’Energie : l’UE et F. Hollande vont-ils enterrer toute transition ?

    Transition énergétique : pendant que journalistes et ONG ont les yeux rivés sur le débat franco-français, le sommet de l’Energie européen du 22 mai pourrait avaliser les gaz de schiste et minorer la lutte contre les changements climatiques au profit de « la compétitivité-coût et de la sécurité d’approvisionnement ».

    http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes/200513/sommet-de-lenergie-lue-et-f-hollande-vont-ils-enterrer-toute-transit

    #approvisionnement #Climat #Connie_Hedegaard #énergie #extraction #fracturation_hydraulique #gaz_de_schiste #Günther_Oettinger #investissement #libéralisation #marché_carbone #marché_intérieur #réchauffement_climatique #union_européene

    @rezo @fil