person:maria miller

  • #Jo_Bartosch : Aux olympiades de l’oppression, les femmes sont toujours perdantes
    https://tradfem.wordpress.com/2017/06/18/aux-jeux-olympiques-de-loppression-les-femmes-sont-toujours-perda

    Dans leur activisme en faveur des droits des trans, les « progressistes » se réclamant du néo-libéralisme contribuent en fait au démantèlement de mesures de protection fondées sur l’identité sexuelle pour lesquelles se sont battues plusieurs générations précédentes de féministes.

    Lorsque j’ai commencé à militer à la fin des années quatre-vingt-dix, cela m’a rendue aussi à la mode que les jeunes amateurs de Dongeons et Dragons, mais avec moins d’amis (et une vulve). Je me suis fait les dents sur la scène politique en distribuant avec enthousiasme des tracts qui alertaient les gens au fanatisme du British National Party avec la juste ferveur d’une adolescente marxiste. À ce titre, j’ai été assez surprise de me retrouver, une demi-vie plus tard, qualifiée à plusieurs reprises de « fasciste ».

    Il semble que ce qui me fait ressembler, comme les autres féministes qui pensent comme moi, à des gens comme Mussolini, Hitler et Franco, c’est notre choix de prioriser les droits des femmes et des filles. Et cette critique ne vient pas seulement de la gauche – on voit même des personnes aussi ancrées dans le ventre de l’establishment que Maria Miller, présidente de la Commission parlementaire sur les femmes et les égalités, persifler nos préoccupations en cherchant à nous discréditer comme de « prétendues féministes ».

    L’enjeu qui nous attire de telles calomnies, aussi bien de la gauche que de la droite, est celui de l’identité de genre. À ce stade, je devrais m’excuser auprès de mes collègues libéraux dont l’indignation risque d’asperger d’hummus leurs iPhones, mais je ne fais pas grand cas du sentiment d’identité interne d’un individu. Je ne veux pas provoquer de désagrément excessif, et j’utiliserai les pronoms et les noms que choisissent les gens, mais au final, s’il existe une disjonction entre la façon dont un individu se sent et son apparence personnelle, c’est à lui ou elle de piloter ce navire.

    Au Royaume-Uni, la première enquête lancée par la Commission sur les femmes et les égalités, dès son lancement en 2015, fur une « Enquête sur l’égalité des transgenres ». L’une de ses recommandations fut la mise à jour de l’Equality Act britannique (2010) pour remplacer la notion de « réaffectation de genre » par une caractéristique protégée contre toute discrimination, « l’identité de genre ».

    Traduction : Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2017/04/22/oppression-olympics-women-always-lose

    Jo Bartosch a fondé le groupe féministe Chelt Fems, qu’elle a présidé pendant sept ans. En mars, elle est devenue directrice de Critical Sisters, une organisation formée pour promouvoir la libération des femmes et la pensée critique dans l’ensemble de la gauche. Suivez ses écrits sur Twitter : @CriticalSisters.

    #trans #olympiades_de_l'oppression #violences_masculines

  • The rise of the “clamourati”

    Ca mérite bien un nouveau tag, non ?

    Today’s media in England are in full throated “clamour” mode.

    The status of whether something constitutes a genuine political scandal can be determined by whether (and to what degree) it is accompanied by the editorial clich a “clamour”. Oh we brits love a juicy word ! But for full effect the “c” word must be accompanied by the addition of the word ’resignation’ or better yet ’sacking’ as the outcome they/we are supposed to be clamouring for.

    Clamouring is much in evidence today with the controversy swirling around the government?s culture minister?s the unfortunate Maria Miller and what was deemed her too perfunctory apology (the nuances of English apology culture’how and when to say sorry -particularly if you don’t mean it - is Arcane indeed). But the spectacle of today’s ’clamour culture’ in full cry has all the fascination of a particularly nasty traffic accident. Each politician on live news media (whatever they have they have been invited to talk about) is ritually asked when and how Ms Miller should fall on her sword.

    Their reply is rarely candid and never illuminating but one thing is clear, we now need a new collective noun for all the participants: how about “the clamourati” ?

    d a v i d g a r c i a
    new-tactical-research.co.uk

    by way of @nettime
    #clamourati #clameur #media #david_garcia