#célérusses

  • Ingérences Russes : Viginum & co sauvent [surtout] le personnel politique | Mediapart | 20.04.24

    https://www.mediapart.fr/journal/international/200424/les-dessous-de-la-bataille-francaise-contre-la-desinformation-russe

    Quant aux lois passées afin de prévenir les ingérences étrangères, elles posent des risques pour les libertés publiques, dénoncent certains. « Je me demande si le vrai piège que les Russes nous tendent ne consiste pas, au nom de notre défense, à durcir de nouveau nos lois, à restreindre encore nos libertés, s’interroge à voix haute le député (Renaissance) et cadre dans le numérique, Éric Bothorel. Il ne faut pas sous-estimer cette possibilité. »

    #célérusses

  • Le dérèglement climatique va « décimer les économies du G20 », avertit le chef de l’ONU Climat
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/le-dereglement-climatique-va-decimer-les-economies-du-g20-a

    AFP parue le 10 avr. 2024 - 15h46

    Le G20, divisé sur les questions géopolitiques, ne peut pas « reléguer au second plan » un dérèglement climatique qui « va décimer » leurs économies, a averti mercredi le chef de l’ONU Climat, plaidant pour un « nouvel accord » financier à même d’aider les pays en développement à lutter contre le réchauffement.

    Ces gens de l’ONU sont d’une malveillance. On en arriverait à être d’accord avec Israël et à conclure que l’ONU est un ennemi du monde libre et non faussé.

  • Retex Menace nucléaire : les discours et les actes | Mediapart | 27.03.24

    https://www.mediapart.fr/journal/international/270324/menace-nucleaire-les-discours-et-les-actes

    à la fois précise et pédagogique, avec la chercheuse Héloïse Fayet, responsable du programme « Dissuasion et prolifération », au centre des études de sécurité de l’Institut français des relations internationales (Ifri).

    Elle revient notamment sur les derniers discours de Vladimir Poutine concernant l’arme nucléaire, qu’elle invite à nuancer. « On ne voit rien, sur le terrain, qui laisserait penser que les [forces armées] russes s’apprêtent à l’utiliser », relève-t-elle.

    Nous voilà rassuré.es ! Toute cette peur armaguedonesque déversée sur le bon peuple d’occident, p.ex. par Biden, #célérusses !

  • JO 2024 et baignades en Seine : une guerre des nuages russe ?

    Un facétieux écrivain invité de la nouvelle édition du nouveau Nouvel Obs vient d’y publier une remarquable, et très sérieuse, Tribune qui apporte de l’eau au moulin de notre croisade contre l’aberration des baignades en Seine ourdies par Mme Hidalgo et consorts depuis dix ans. Car dans le contexte international que nous connaissons, c’est bien une nouvelle attaque de trolls de Saint Pétersbourg, via la géoingénierie, qui pourrait couler l’esquif porté par la mondovision que notre association de malfaiteurs s’efforce contre toute évidence de maintenir à flots à coup de menteries extravagantes. Réjouissant. Fluctuat ET mergitur ?

    https://www.eauxglacees.com/JO-2024-et-baignades-en-Seine-une-guerre-des-nuages-russe?var_mode=calc

  • Le nucléaire selon LeMaire | Mediapart | 21.03.24

    https://www.mediapart.fr/journal/international/210324/nucleaire-cet-uranium-russe-que-la-france-continue-d-importer

    Interrogé par Mediapart, le cabinet de Bruno Le Maire, désormais chargé du nucléaire, semble tomber de sa chaise : « C’est complètement faux, la France ne dépend pas de la Russie pour l’enrichissement de son uranium. » Et invite à se méfier de Greenpeace car « cette association a toujours tout fait pour décrédibiliser le nucléaire français ».

    Vivement la dissolution.

    Presque un demi milliard d’import par an - 358 et 400 millions - en 2022 et 2023, tamponnés par la douane française.

    #célérusses

    • Henri Proglio, ancien PDG d’EDF, qui a expliqué en décembre 2022 à la commission d’enquête parlementaire sur la souveraineté énergétique, qu’il siégeait au conseil consultatif international de Rosatom « parce qu[’il] y trouve un intérêt intellectuel, d’une part, qu’[il] connaî[t] ces personnes depuis toujours, d’autre part » : « Je ne vois donc pas pourquoi je leur ferais l’affront de démissionner, que cela fasse plaisir ou pas à certains. » Et d’ajouter : « EDF et le nucléaire français continuent de travailler avec le nucléaire russe, et elle devra encore durablement travailler avec les nucléaires russe et chinois, ne vous en déplaise ! »

    • Alors pourquoi continuer d’acheter autant d’uranium transformé à Rosatom ? L’ancienne ministre de l’énergie, Agnès Pannier-Runacher, y avait répondu devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, lors de l’examen de la loi d’accélération du nucléaire, en mars 2023. « EDF est liée par contrat avec une entreprise russe et la non-exécution de ce contrat apporterait plus d’argent à la Russie que son exécution minimale, avait-elle expliqué. Nous ne sommes pas idiots : nous donnons le minimum d’argent à la Russie. C’est aussi simple que cela. »

      Et un contrat, c’est sacré. Avec un état voyou ou pas. Il faut respecter les règles de l’OMC. Sinon c’est la porte ouverte à la chienlit. C’est pas comme les « sanctions » :-)

    • Alors pourquoi continuer d’acheter autant d’uranium transformé à Rosatom ?

      Plusieurs hypothèses pour répondre à cette question sont abordées dans ce rapport Power Plays Developments in Russian Enriched Uranium Trade, du RUSI, qui consacre son troisième chapitre, le plus long…, à la France.

      The Royal United Services Institute (RUSI) is the world’s oldest and the UK’s leading defence and security think tank. Its mission is to inform, influence and enhance public debate on a safer and more stable world. RUSI is a research-led institute, producing independent, practical and innovative analysis to address today’s complex challenges.
      Since its foundation in 1831, RUSI has relied on its members to support its activities. Together with revenue from research, publications and conferences, RUSI has sustained its political independence for 193 years.

      https://static.rusi.org/SR-power-plays-web-final.pdf

      Parmi les pistes évoquées :
      • constitution de stock pour anticiper un renforcement des sanctions visant spécifiquement l’uranium
      • réorientation des flux qui partaient en Suède, flux totalement interrompus au lendemain de l’invasion de l’Ukraine ; la France écoulerait ce qui passait par la Suède

      la synthèse du rapport (lecture vivement recommandée !)

      This report examines the extent of Western (European and US) dependencies on Russian enriched uranium and identifies ways in which Rosatom may be continuing to access global, including Western, nuclear fuel supply chains, despite some efforts in the US and Europe to diversify away from Russian supply. The report studies changes in Russian enriched uranium trade patterns since the start of 2022 to identify possible indicators of efforts to adapt to restrictions on Russian uranium supply that have been or may be introduced by governments and companies.

      The report examines four main case studies. In the first case study, the report outlines possible Chinese displacement activity using Russian material, identifying trade patterns that suggest that increased imports of Russian enriched uranium into China may be facilitating greater exports of Chinese enriched uranium supply, including to the US. The second case study addresses well-documented increases in enriched uranium imports from Russia to France and considers a range of possible explanations for this growth. While the precise flow and use of the additional Russian material that is being imported into France is difficult to ascertain definitively, it appears that France may be offering an outlet for Russian enriched uranium that is no longer welcome in other countries. This may be facilitating the reallocation of Russian supplies across European utilities’ supply chains, allowing Russia to continue accessing the European nuclear fuel market even as some countries seek to diversify away from Russian supply. The third case study examines reported deliveries through France and possibly the Netherlands of Russian enriched uranium to a French-owned fuel fabrication facility in Germany. The trade data reviewed for this report could not confirm the extent of deliveries to Germany of Russian material through third countries, or whether there have been shifts in such activity since the start of 2022; however, any such deliveries to Germany may be providing an additional option for Russian enriched uranium imports no longer welcome in other countries and may potentially be used in the future fabrication of VVER assemblies in Germany. The fourth case study touches on US dependencies on Russian enriched uranium and the likely limits of a proposed US ban on imports of Russian uranium in limiting Russia’s role in global nuclear fuel supply chains and Rosatom revenues.

      Ultimately, the report demonstrates how Russia may be able to take advantage of incongruencies in sanctions or other restrictions, as well as persistent contractual dependencies and supply challenges, to maintain access to Western nuclear fuel supply chains and continue generating revenue through its enriched uranium exports. To improve effectiveness, any future sanctions or other bans aimed at limiting Russia’s presence in global nuclear fuel supply chains must be multilateral and accompanied by a concerted effort to increase Western and partner capacity across the supply chain, to successfully undercut dependence on Russian supply.

      It is worth noting that most of the activities described in this report are entirely legal and likely represent logical efforts by companies to adapt to the changing trade and geopolitical landscape while continuing to meet whatever contractual obligations they may have for continued purchase and import of Russian material. As such, the report does not imply any violations of the laws of any relevant jurisdiction, or any international laws or sanctions. As described in more detail in Chapter II, the delivery to the US of enriched uranium that has been displaced by Russian supply, as may be the case with Chinese enriched uranium trade, may be in contravention of US regulation, unless assurances have been given to US authorities that such displacement is not taking place.

      The practices described in this report raise questions over the extent of Western dependencies on Russian enriched uranium supply, the implications for Western energy security, the imbalance of vulnerability this may create between some Western governments and Moscow, and the effectiveness of efforts to cut Russia out of global, or even Western, nuclear supply chains. While the nuclear sector holds strategic significance for Moscow, it is not a major revenue source for Russia when compared to Russian trade in other commodities, such as oil and gas. However, as outlined in this report, Western reliance on Russian enriched uranium supply is proving challenging to shake, at least in the short term, and may create some difficulties for Western generation of nuclear energy, although experts disagree on the urgency and extent of potential challenges. The willingness, or necessity, of some Western countries to overlook Russian adaptations following efforts by other countries to limit Russian presence in Western nuclear fuel supply chains also points to a political and moral dissonance with stated US and European commitments to support Ukraine in its fight against Russian aggression.

  • « Troupes au sol » en Ukraine : Emmanuel Macron persiste et signe | AFP | 14.03.24

    https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/140324/troupes-au-sol-en-ukraine-emmanuel-macron-persiste-et-signe

    Le président français a affirmé jeudi soir que la « sécurité » des Français passait par la « défaite de la Russie » en Ukraine et que les Occidentaux devaient être « prêts à répondre » en cas d’« escalade » russe en Europe.

    c’est les SNU qui vont être content.es du voyage :-)

  • Dans la tête de Vladimir Poutine | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/dans-la-tete-de-vladimir-poutine

    Alors que se profile l’élection présidentielle en Russie, la sociologue Elisabeth Sieca-Kozlowski, autrice de l’ouvrage « Poutine dans le texte » paru récemment chez CNRS Éditions, décrypte pour nous l’évolution de la pensée et de la rhétorique du dirigeant russe depuis son accession au pouvoir.

    L’interview décrit un monde où la Russie manœuvre seule dans le vaste monde, monde où les occidentaux ne sont que spectateurs et victimes. Ça me rappelle quelque chose. Mais quoi ?

  • Europe’s farmer protests have been fertile ground for Russian propaganda – POLITICO
    https://www.politico.eu/article/europe-farmer-protest-russia-war-propaganda

    While starting at the grassroots level, the protests have been keenly exploited by Russia to sow division and undermine popular support for Ukraine’s defense.

    La météo pourrie, célérusses. Le déficit public, célérusses. La rougeole, célérusses. Les punaises de lit, célérusses.

    #célérusses

  • Arrêtez tout, on a enfin une explication sur la présence des punaises de lit à Paris. En fait, au journal de 20h, on t’a édifié pendant plusieurs minutes pour t’expliquer que cette rumeur, célérusses. Oui, ttes les 45 secondes les fermes de trolls russes publient des trucs sur les rezosocios pour nous faire croire que les punaises de lit existent et c’est rien que pour faire de la propagande contre les jeux olympiques. Parce que ds la réalité tout le monde sait bien que les reportages de la même chaîne diffusés l’an dernier, au moment où certains députés réclamaient une commission pour trouver une solution à ça fléau, c’était déjà de la propagande poutinienne !