ValK.

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  • L’information, c’est le pouvoir.

    Manifeste de la guérilla pour le libre accès, par #Aaron_Swartz : #hommage #pdftribute #Framablog
    http://www.framablog.org/index.php/post/2013/01/14/manifeste-guerilla-libre-acces-aaron-swartz

    Aussi chez #Attac France :
    http://www.france.attac.org/articles/manifeste-de-la-guerilla-pour-le-libre-acces

    L’hacktiviste et militant du partage Aaron #Swartz s’est suicidé vendredi à l’âge de 26 ans. Il avait notamment contribué à la création du format #RSS et des #Creative-Commons. Il était poursuivi en justice aux USA pour avoir mis à disposition plus de 4 millions d’articles scientifiques du site #JSTOR, acte pour lequel il risquait plus de 30 ans de prison. Le meilleur #hommage à lui rendre, c’est peut-être de diffuser son manifeste pour le #libre-acces...

    • Il se passe quelque chose d’assez extraordinaire actuellement sur Internet suite à la tragique disparition d’Aaron Swartz : des centaines de professeurs et scientifiques du monde entier ont décidé de publier spontanément leurs travaux en Libre Accès !

      Manifeste de la guérilla pour le libre accès

      L’information, c’est le pouvoir. Mais comme pour tout pouvoir, il y a ceux qui veulent le garder pour eux. Le patrimoine culturel et scientifique mondial, publié depuis plusieurs siècles dans les livres et les revues, est de plus en plus souvent numérisé puis verrouillé par une poignée d’entreprises privées. Vous voulez lire les articles présentant les plus célèbres résultats scientifiques ? Il vous faudra payer de grosses sommes à des éditeurs comme Reed Elsevier.

      Et il y a ceux qui luttent pour que cela change. Le mouvement pour le libre accès] s’est vaillamment battu pour s’assurer que les scientifiques ne mettent pas toutes leurs publications sous copyright et s’assurer plutôt que leurs travaux seront publiés sur Internet sous des conditions qui en permettent l’accès à tous. Mais, même dans le scénario le plus optimiste, la politique de libre accès ne concerne que les publications futures. Tout ce qui a été fait jusqu’à présent est perdu.

      C’est trop cher payé. Contraindre les universitaires à débourser de l’argent pour lire le travail de leurs collègues ? Numériser des bibliothèques entières mais ne permettre qu’aux gens de chez Google de les lire ? Fournir des articles scientifiques aux chercheurs des plus grandes universités des pays riches, mais pas aux enfants des pays du Sud ? C’est scandaleux et inacceptable.