(...) Au bout d’une demi-heure, il me dit : « tu signes ou tu pars ». Je le regarde, je prends mes affaires. Je pars. Il me rattrape, modifie le contrat, se fait mielleux : « nous nous sommes mal compris » me dit-il. Très bien. Je reste alors. Et je signe.
Là, tout va de mal en pis. (...)
LE SALAIRE DE LA PEUR : De la liberté d’échouer
▻http://le-salaire-de-la-peur.blogspot.fr/2013/05/de-la-liberte-dechouer.html