Dans les archives d’Otto Neurath de l’université de Readings au Royaume-uni
Il y avait une boite sur laquelle était marqué en allemand "figures [ou visualisations] intéressantes"
Parmi les documents, il y avait cette couverture que Neurath avait donc mis de côté. C’était en avril 1939, et « L’espoir français » sentait déjà les possibilités de guerre.