On a un sac à dos lesté par la nécessité d’une parole militante, néfaste à la capacité de faire littérature. Ecrire un roman ce n’est pas du militantisme. J’ai mis plus d’un an avant de me retrouver à hauteur d’homme, de pouvoir entrer en compagnonnage avec le cheminement modeste de mon personnage. La confrontation au réel est nécessaire, mais elle doit être mesurée, tenue à distance
Le cheminot et le futur président (Tomas Kusar et Vaclav Havel) - Entretien avec Antoine Choplin - La vie en livres
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