Lukas Stella

INTOXICATION MENTALE, Représentation, confusion, aliénation et servitude, Éditions L’Harmattan, 2018. — L’INVENTION DE LA CRISE, 
Escroquerie sur un futur en perdition, Éditions L’Harmattan, 2012. — STRATAGÈMES DU CHANGEMENT De l’illusion de l’invraisemblable à l’invention des possibles Éditions Libertaires, 2009. — ABORDAGES INFORMATIQUES (La machine à réduire) Croyances informatisées dans l’ordre des choses marchandes, Éditions du Monde libertaire - Alternative Libertaire, 2002 — http://inventin.lautre.net/linvecris.html

  • ILS SONT DEVENUS FOUS !

    "Répétez un mensonge assez fort et assez longtemps et les gens le croiront."
    Joseph Goebbels (propagandiste nazie)

    Le Coronavirus est un virus respiratoire banal, son taux de mortalité est identique à celui de la grippe, il n’y a pas de pandémie, c’est la peur et l’hystérie qui sont contagieuses. (https://youtu.be/hI2nHadx76M

    ) (https://www.facebook.com/lili.bertaire/videos/992249757835952)
    Un laboratoire biotechnologique de recherche sur les virus situés à Wuhan en Chine, Wuxi Pharmatech inc, est financé par le milliardaire George Soros, grand spéculateur de la haute finance. Le Coronavirus en même temps que le krach financier serait une coïncidence ?.. Pendant ce temps certains profitent de la crise pour rafler des milliards... Le spectacle médiatique répand en permanence la panique pour faire accepter l’escroquerie de la crise financière.

    La crise est la norme. La panique des uns fait le bonheur des autres. Le capitalisme n’est pas affaibli par la crise, avoir une crise de temps à autre est son fonctionnement normal. Le krach est un outil financier. La crise est déclenchée par les spéculateurs les plus avisés pour accélérer et accroitre énormément et rapidement leurs profits sur le dos des plus petits qui ne l’ont pas vu venir.

    Cette crise était annoncée de longue date, les spéculateurs milliardaires ont utilisé le coronavirus pour mieux la déclencher et en tirer les meilleurs profits, quitte à ébranler l’équilibre général.

    L’économie et la production ne représentent moins de 10 % des richesses, les 90 % restant traficotent dans les sphères de la haute finance, dans des bulles financières spéculatives, qui rapportent bien plus que l’économie réelle pour ceux qui en ont les moyens et savent y faire. Si l’économie s’en retrouve affaiblie c’est pour mieux faire payer les populations. Quand certains perdent d’autres gagnent, rien ne se perd, la circulation de l’argent s’accélère considérablement pour un moment seulement.

    Lukas Stella