Tradfem

La collective TRADFEM est née en 2013 autour de plusieurs projets de traductions, en particulier le texte d’Andrea Dworkin « Je veux une trêve de 24 heures durant laquelle il n’y aura pas de viol ». Ce texte a été travaillé par un petit groupe de gens qui ont alors souhaité prolonger cette collaboration. Celle-ci s’est ensuite étendue avec l’arrivée de nouvelles personnes. Aujourd’hui (2016), la collective rassemble une dizaine de membres, qui ne sont pas nécessairement des professionnel.le.s de la traduction et qui s’y investissent selon leurs possibilités respectives. TRADFEM est mixte avec des personnes vivant en France, au Québec, en Espagne et en Allemagne.

  • Pour #Amnesty_International, un homme est une femme si bon lui semble
    https://tradfem.wordpress.com/2020/11/21/pour-amnesty-international-un-homme-est-une-femme-si-bon-lui-semb

    C’est avec ce slogan, sans doute créé dans un hôpital psychiatrique, qu’Amnesty International hausse d’un cran son combat contre les droits des femmes (cf. leur soutien aux proxénètes) en prenant parti sans réserve pour les hommes qui « s’identifient » à leur guise contre les droits des femmes.
    L’organisation multimilliardaire prend ainsi, contre les femmes, le parti des violeurs qui se disent « femmes » pour être incarcérés avec leurs victimes, des athlètes médiocres qui préfèrent gagner contre des femmes que perdre contre des hommes, des voyeurs qui cherchent à s’imposer dans les salles de douche, les vestiaires et les W.-C. des femmes, des masculinistes qui multiplient des recours pour discrimination contre les refuges de violences conjugales, des politiciens qui accaparent les postes dédiés aux femmes, etc. etc.