Les logiciels de surveillance des dissidents aux régimes « modérés » (c.-à-d. alliés aux régimes « civilisés ») sont « controversés ».
Les cyberattaques aux conséquences civiles délétères contre les régimes « voyous » relèvent de, comme dirait l’autre, « la puissance de dissuasion » des régimes « civilisės. »
Le foutage de gueule est vraiment monumentalissime.