Lukas Stella

INTOXICATION MENTALE, Représentation, confusion, aliénation et servitude, Éditions L’Harmattan, 2018. — L’INVENTION DE LA CRISE, 
Escroquerie sur un futur en perdition, Éditions L’Harmattan, 2012. — STRATAGÈMES DU CHANGEMENT De l’illusion de l’invraisemblable à l’invention des possibles Éditions Libertaires, 2009. — ABORDAGES INFORMATIQUES (La machine à réduire) Croyances informatisées dans l’ordre des choses marchandes, Éditions du Monde libertaire - Alternative Libertaire, 2002 — http://inventin.lautre.net/linvecris.html

  • SUR LES ORWELLIENNES ÉLECTIONS FRANÇAISES

    Le totalitarisme de la mystification démocratique de la Forme-Capital absorbant l’intégralité du réel, anéantissant progressivement l’espèce humaine et tentant de réduire la lutte des classes à l’impuissance émancipatrice vient donc à nouveau de mettre en scène une élection intégralement truquée et bidon avec le Front National « fasciste » dans le rôle de « Goldstein » (le « méchant » opposant contrôlé) et le macronisme « démocratique » de la sanglante répression des Gilets-Jaunes (assumant pleinement son rôle de « Big Brother » de notre aliénation capitaliste accomplie).

    Nous nous sommes radicalement foutus de ce spectacle concurrentiel-orwellien pitoyable qui n’a eu pour objet que de décider du renouvellement de la forme macronienne de notre soumission imposée au Capital et qui a suscité le même intérêt malsain auprès des spectateurs-électeurs que toute la merde télévisuelle déversée quotidiennement sur les télécrans de la servitude, du mensonge et de la débilité omniprésents.

    Nous nous plaçons depuis le début sur un autre terrain : celui de la révolution contre ce Système totalitaire de merde qui détruit tout et qui falsifie tout. Le rejet total de cette civilisation complètement dégénérée :
    « Ainsi à l’intérieur du monde du despotisme du Capital (c’est ainsi que de nos jours se présente la société) il est impossible de délimiter un Bien, un Mal. Tout est condamnable. C’est en dehors de lui que peuvent surgir les forces négatrices. Le Capital englobant toutes les vieilles contradictions, le mouvement révolutionnaire doit rejeter tout le produit du développement des sociétés de classes ; c’est en cela que consiste, pour une bonne partie, la lutte contre la domestication, contre la décadence de l’espèce humaine. C’est le moment essentiel du procès de formation des révolutionnaires, absolument nécessaire pour que la révolution se produise. » (Invariance, Déclin du mode de production capitaliste ou déclin de l’humanité ?)

    Nous ne sommes pas de simples opposants à ce Système de merde, nous sommes un schisme. Entre cette société et nous, aucune entente n’est possible :
    « Prétendre lutter contre une épidémie, et demain contre la catastrophe écologique, en conditionnant toute vie sociale à la présentation d’un « pass », sorte de version électronique généralisée du livret ouvrier du XIXe siècle, pour ensuite flétrir comme irresponsables ceux qui trouvent prétention extravagante – le pouvoir présent a pris goût à cette opération récurrente : poser un réel délirant, puis déclarer hérétiques ceux qui refusent d’y souscrire. Mais nous ne sommes pas une hérésie. Nous sommes un schisme… » (Manifeste conspirationniste)
    « La société s’est officiellement proclamée spectaculaire. Être connu en dehors des relations spectaculaires, cela équivaut déjà à être connu comme ennemi de la société.« (Guy Debord, Commentaires sur la Société du spectacle)

    Nous n’avons pas cherché à convaincre quiconque de ne pas voter : les mécanismes aliénants du Capital réifiant-totalitaire qui déterminent la survie contrainte de chacun sont désormais plus forts que toute offensive humaine se voulant anti-système.

    Nous n’avons pas cherché à convaincre quiconque de ne pas participer à cette mascarade électorale de la démocratie de notre réification : les puissances médiatiques spectaculaires du Système de lobotomisation des masses ont désormais atteint une puissance inégalée.
    Nous sommes face à un vrai système totalitaire, celui de notre anéantissement programmé, celui de la servitude et du mensonge devenus structurels.

    L’extrême Droite du Capital n’a jamais servi à rien d’autre qu’à constituer un épouvantail « fasciste » digne du personnage de « Goldstein » dans « 1984 » d’Orwell, et cela pour permettre au camp le plus progressiste/libéral/démocratique du Capital de l’emporter dans l’agitation de l’étendard de « l’antifascisme » et de « l’antiracisme » (ce qu’on avait déjà vu avec le duel Chirac/Le Pen en 2002 ou encore il y a 5 ans avec le duel Macron/Le Pen).

    L’extrême Droite du Capital n’a jamais été programmée qu’à jouer spectaculairement le rôle du « méchant » afin de permettre aux forces progressistes/démocratiques du Capital de l’emporter, ce que les vieilles revues marxistes/communistes expliquaient déjà :
    « Le Front National joue donc le rôle du méchant ; disant haut et fort ce que les autres pratiquent en dépit des discours humanitaires, il paraît ainsi plus dangereux que ces derniers, par comparaison ceux-ci deviennent un moindre mal auquel il faudrait se résigner, à défaut de l’approuver avec enthousiasme, de peur d’avoir le FN sur le dos. Le réflexe anti-fasciste est ainsi réactivé par la gauche (et surtout l’extrême-gauche) et la droite elle-même y souscrit. Le réflexe anti-fasciste est encore aujourd’hui un élément non-négligeable de la politique bourgeoise. » (Le Prolétaire, juillet-août 1988)
    « En agitant l’épouvantail du fascisme, il s’agit pour la bourgeoisie de se protéger contre le développement de la lutte de classe. Sa propagande est en réalité destinée à embrouiller la conscience des ouvriers et à dévoyer leur lutte hors du terrain de la défense intransigeante de leurs conditions de vie contre les attaques capitalistes, le seul terrain qui permette l’unité croissante de la classe ouvrière et le développement de sa perspective révolutionnaire. Elle les pousse à soutenir l’État démocratique, lequel n’est autre que l’instrument de la dictature du capital. Ainsi, tous ceux qui, aujourd’hui comme hier, appellent les ouvriers à se mobiliser contre le fascisme remplissent la fonction d’affaiblir et désarmer la classe ouvrière, en lui faisant oublier que c’est contre la classe dominante, comme un tout, qu’elle doit diriger son combat, et non pas contre certaines de ses fractions en s’alliant à certaines autres. » (Courant communiste international, janvier 2000)

    Le scénario orwellien-spectaculaire proposé cette année (le « démocratique et progressiste » Macron contre la « dangereuse fasciste » Marine le Pen) semblait obsolète/« has-been » car il avait déjà été employé en 2017, mais il a tout de même été à nouveau mis en scène par le Système avec succès.

    La société contemporaine du Spectacle démocratique de notre dépossession est bel et bien le système totalitaire parfait de notre aliénation accomplie…
    Jamais la démocratie n’est apparue aussi clairement comme n’étant rien d’autre que le système politique du mensonge absolu de la liberté dictatoriale du Marché, de la fausse vie et du monde renversé…

    Pour assurer la victoire de Macron (après la répression des Gilets-Jaunes et la tyrannie ségrégationniste-réifiante de l’infâme « pass sanitaire » du mensonge covidiste) le Système devait nécessairement mettre face à lui un candidat d’« extrême Droite », c’est-à-dire un candidat qui ne pouvait que perdre en suscitant forcément l’horreur de toutes les forces progressistes et démocratiques de la Gauche du Capital.

    Le rôle objectif du Front National n’a jamais été historiquement que celui d’un épouvantail « réactionnaire ». Le Front National n’a jamais été rien d’autre que « l’idiot utile » de la démocratie du Capital, celle-ci s’en servant comme d’un diable à agiter pour « faire peur », exactement à la manière dont « Big Brother » maintient la population d’« Océania » dans « la peur » en brandissant l’épouvantail « Goldstein ».

    Nous avons ainsi vécu le « remake » spectaculaire d’une ancienne « pièce de théâtre » (ce que reconnaissait Lionel Jospin lui-même à propos du « Front National ») :
    « Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n’avons jamais été face à une menace fasciste et donc tout antifascisme n’était que du théâtre, nous avons été face à un parti (le Front-National) qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste. » (Lionel Jospin, France culture, 29 septembre 2007)

    Des milliers de Français lobotomisés par la propagande orwellienne ont ainsi encore participé à la mascarade électorale, que ce soit pour voter « contre » ou pour voter « pour » (mais surtout pour voter « contre »). Les seules personnes potentiellement respectables dans cette sinistre mascarade électorale sont les abstentionnistes qui ont compris, au moins instinctivement, que toute cette mise en scène électorale était (comme la précédente) intégralement bidon.

    On a pu voir à nouveau toutes les forces « progressistes » et « démocratiques » de la Gauche du Capital (France « [In]soumise », syndicats, Parti « [capitaliste] communiste » français, antifascistes d’opérette, etc.) apporter leur soutien direct/indirect massif à la Macronie du Capital au nom de « l’antifascisme » et de « l’antiracisme », tout cela afin de « faire barrage à l’extrême Droite », comme si cette dernière avait jamais eu la moindre chance d’arriver au pouvoir alors même qu’elle est en vérité spectaculairement programmée depuis le début pour perdre en jouant le rôle du vilain méchant « parti réactionnaire et fasciste ».

    La justification d’une alliance de toutes les forces progressistes du Capital, c’est le Front National comme « méchant » qui la fournit politiquement en France depuis des années. Décrit comme parti « fasciste » qui menace la Démocratie, cet idiot utile de la mystification démocratique permet la réactivation des réflexes anti-fascistes et l’appel à la formation d’une union de toutes les forces démocratiques de la marchandise totalitaire par-delà les divergences politiques ou de classes.

    Ainsi cette alternative intégralement bidon (le camp « démocratique » du Capital contre la « menace fasciste » du Capital) a encore fonctionné, et des milliers d’électeurs de la Gauche du Capital se sont précipités dans les urnes pour « faire barrage à l’extrême droite », c’est-à-dire pour faire barrage à l’opposition contrôlée, apportant ainsi leur soutien à Macron et jouant parfaitement eux aussi un rôle d’ « idiots utiles » du Système.

    De l’autre côté, des milliers d’électeurs de la Droite du Capital se sont précipités avec bêtise dans les urnes en pensant que le vote Le Pen allait changer quoi que ce soit quant aux ravages structurellement nécessaires du capitalisme, en rêvant par exemple à la résurgence d’une « culture française » pourtant largement dissoute depuis des années dans la dégradation spectaculaire-américaine-marchande de toute culture et dans le « melting-pot » de la misère capitaliste de l’aliénation généralisée :
    « Quelles cultures ? Il n’y en a plus. Ni chrétienne ni musulmane ; ni socialiste ni scientiste. Ne parlez pas des absents. Il n’y a plus, à regarder un seul instant la vérité et l’évidence, que la dégradation spectaculaire-mondiale (américaine) de toute culture. » (Debord, Notes sur la question des immigrés : https://cerclemarx.com/notes)

    Démonstration historique que le vote n’est rien et que la démocratie est bien la dernière forme de domination étatique et politique du Capital progressiste-mystifiant-réifiant-totalitaire de notre destruction programmée :
    « Ce n’est surtout pas en votant que l’on s’assimile. Démonstration historique que le vote n’est rien, même pour les Français, qui sont électeurs et ne sont plus rien (1 parti = 1 autre parti ; un engagement électoral = son contraire ; et plus récemment un programme — dont tous savent bien qu’il ne sera pas tenu — a d’ailleurs enfin cessé d’être décevant, depuis qu’il n’envisage jamais plus aucun problème important. Qui a voté sur la disparition du pain ?). On avouait récemment ce chiffre révélateur (et sans doute manipulé en baisse) : 25 % des « citoyens » de la tranche d’âge 18-25 ans ne sont pas inscrits sur les listes électorales, par simple dégoût. Les abstentionnistes sont d’autres, qui s’y ajoutent. » (Debord, Notes sur la question des immigrés : https://cerclemarx.com/notes )

    En 1845, Marx écrivait une critique du texte de Friedrich List intitulé « Système national d’économie politique » (publié en 1841). Friedrich List était un économiste allemand qui défendait l’idée d’un « protectionnisme éducateur », ce protectionnisme était supposé pouvoir protéger le « marché national » des effets négatifs de la concurrence étrangère, Friedrich List pensait ainsi pouvoir « maîtriser » l’argent et conserver tous les « avantages » du libre-échange économique sans avoir à souffrir des « inconvénients ». La critique de Marx fut absolument radicale, il la développera également dans son « Discours sur la question du libre-échange » en 1848.

    Le « patriotisme économique » dont rêve l’extrême Droite du Capital est une impossibilité structurelle qui ne fait que reprendre les vieilles idées protectionnistes radicalement déconstruites par Marx il y a déjà plus de 150 ans…

    De l’autre côté et face à cette opposition spectaculaire bidon de l’extrême Droite du Capital (programmée pour perdre et pour faire avancer la démocratie réifiante-progressiste de notre aliénation capitaliste) nous avons donc désormais à nouveau le visage hideux de la Macronie du Capital qui se présente à l’horizon… Le visage hideux de la « démocratie pure » du Capital et de notre anéantissement dans la réification du « pass sanitaire »…

    Et voici donc l’homme de la Banque Rothschild, l’homme du scandale Benalla, l’homme de l’affaire Kohler, l’homme de l’affaire Alstom, l’homme du cabinet Mc Kinsey et de ses liens occultes avec la diabolique entreprise pharmaceutique Pfizer, l’homme de la répression sanglante et impitoyable des Gilets-Jaunes de la France réellement dissidente, l’homme de l’ignoble « pass sanitaire » de notre ségrégation sociale « QR Codisée » (un « pass sanitaire » qui n’a d’ailleurs pas beaucoup dérangé certaines de nos « belles âmes démocratiques antifascistes » pourtant soucieuses de « lutter contre les discriminations » ) « réélu démocratiquement »…
    Quelle gigantesque imposture ! Quelle énorme escroquerie ! Nous vivons vraiment une dystopie orwellienne !

    Politiciens corrompus, journalistes imbéciles, dissidents bidons, faux révolutionnaires, artistes « rebelles » en carton, sportifs risibles, gauchistes débiles, droitards stupides, rebelles d’opérette, humoristes pas drôles, faux intellectuels, universitaires neuneus, boomers bêbêtes, etc., tous ces clowns et tous ces chiens de garde sont les différents visages de l’opposition contrôlée en l’actuelle démocratie du mensonge capitaliste totalitaire…

    Il n’y a définitivement rien à attendre des « extrêmes » du Capital (extrême Gauche comme extrême Droite) qui représentent les différents visages de l’opposition contrôlée en l’actuelle mystification démocratique de cette société du Spectacle où les « Goldstein » sont légion…

    La « France [In]soumise » et le « Front National » (« Rassemblement National ») ont en effet superbement bien joué leurs rôles d’opposants contrôlés au service de la démocratique Macronie du Capital… Merci à eux !

    L’émancipation humaine n’a rien à attendre du parlement, des élections, des bulletins de vote, etc. Strictement rien. Les structures politiques, les structures juridiques, les structures médiatiques, les structures administratives, les structures scientifiques, les réseaux sociaux, les mouvances alternatives, les mouvances droitardes, les mouvances gauchistes, les syndicats, etc., tout est sous contrôle. Nous sommes face à un Système totalitaire complet tentant de surmonter la crise qu’il traverse en intériorisant toutes ses limites, ce qui signifie très concrètement une guerre ouverte du Système contre nos existences et notre humanité :
     « Ce qui est nouveau, c’est que l’économie en soit venue à faire ouvertement la guerre aux humains ; non plus seulement aux possibilités de leur vie, mais à celles de leur survie (…) » (Debord, Commentaires sur la société du Spectacle)

    Cette démocratie du Capital est bel et bien un simulacre et le pire mensonge qui puisse être :
    « La démocratie est une contradiction dans les termes, un mensonge, et, au fond, une pure hypocrisie […] La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement. Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi, il faudra réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement. » (Engels, Progrès de la réforme sociale sur le continent)

    Le seul point positif de la réélection de la Macronie du Capital est qu’on peut espérer qu’elle puisse permettre au chaos social de s’accélérer, permettant ainsi (peut-être) de précipiter enfin la fin définitive de ce système capitaliste de merde (ce qui est tout sauf une question définitivement tranchée). A l’international, le conflit Ukraine/Russie n’annonce malheureusement rien de très positif quant au devenir de l’espèce humaine et la menace d’un « holocauste nucléaire » est potentiellement imminente :
    « Le développement chaotique du Capital n’entraîne pas nécessairement sa fin catastrophique car sa tendance ‘universelle’ contient en fait la possibilité de son propre dépassement, l’intériorisation de ses limites (ceci ne nie évidemment pas que le maintien du mode de production capitaliste soit gros d’une catastrophe insurmontable : la destruction de la vie à la surface du globe. Le Capital peut échapper à son propre devenir catastrophique, mais il crée par là-même les conditions d’un anéantissement humain). » (Invariance, Juillet 1972)
    « L’immortalité à laquelle aspire l’argent en se comportant négativement envers la circulation (en s’en retirant) est atteinte par le Capital précisément parce qu’il s’abandonne à la circulation. » (Marx, Urtext)

    Souvenons-nous ultimement des paroles de Marx dans le « Discours sur la question du libre-échange » et dans « La Guerre civile en France », gardons espoir que la putréfaction de l’actuelle société soit porteuse d’une nouvelle société prochainement bien meilleure !
    « Mais en général, de nos jours, le système protecteur est conservateur, tandis que le système du libre-échange est destructeur. Il dissout les anciennes nationalités et pousse à l’extrême l’antagonisme entre la bourgeoisie et le prolétariat. En un mot, le système de la liberté commerciale hâte la révolution sociale. C’est seulement dans ce sens révolutionnaire, Messieurs, que je vote en faveur du libre-échange. » (Marx, Discours sur la question du libre-échange)
    « Eux-mêmes sont inacceptables, même avec le suffrage universel. […] ils ne parviendront qu’à accélérer la putréfaction de la vieille société qu’ils représentent et la maturité de la nouvelle qu’ils combattent. » (Marx, La guerre civile en France, deuxième essai de rédaction)

    Ce dernier espoir est justement incarné en France avec les derniers Gilets Jaunes authentiques !
    Haut les cœurs camarades ! La lutte ultime contre ce Système de merde qui veut nous anéantir est engagée plus que jamais !
    « L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. » (Marx, Sur la Question Juive)
    « Mensonges progressistes et réalité capitaliste » (Programme Communiste, juillet-septembre 1967)

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    Cette note mystérieuse nous est parvenue par des voies secrètes. Toute personne en possession de la présente note peut (si elle le juge bon) diffuser les éléments qu’elle contient, à charge seulement d’en indiquer la provenance énigmatique…
    https://cerclemarx.com/sur-les-orwelliennes-elections-francaises