Le regard abusé ne rencontre jamais que des reconstitutions holographiques de la réalité, ce qui caractérise une sorte d’achèvement de la fausse conscience. A un certain point de fausse conscience, ce même regard produit d’ailleurs de lui-même instantanément ces reconstitutions, de sorte qu’il ne rencontre jamais que les hologrammes dont les programmes se sont implantés en lui.