Derrière le vernis de nos sociétés, des faits sociaux moins visibles
Dans son avant-propos, « Quand la mondialisation par le bas ou « entre pauvres » accueille des milieux criminels le long de sa route euroméditerranéenne », Alain Tarrius aborde des sujets qui feront l’objet de précision dans les différents articles du livre. Je souligne notamment, la place des « notaires informels » et l’interdiction des ventes de marchandises susceptibles de poursuites pénales, les circulations commerciales et les réseaux commerçants, les populations transmigrantes, la mondialisation par le bas et le « poor to poor », les capitales du « territoire circulatoire transnational », les frontières et les cosmopolitismes immigratoires, les routes des économies souterraines mondialisées, la connaissance « de l’intérieur » des formes de transmigration souterraine inusuelle, des jeunes femmes balkaniques et « les clubs prostitutionnels licites du Levant espagnol, associées à la calabraise ‘Ndrangheta pour les drogues »…
Alain Tarrius : Trafics de femmes
Au cœur de l’Europe, allers et retours entre les Balkans et l’Espagne
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