"en 2005, l’âge moyen au diagnostic était de 71 ans"
"le taux de survie du cancer prostatique atteint 80%, 1 an après le diagnostic de la tumeur prostatique, et il dépasse 65%, 5 ans après le diagnostic. Ce taux de survie correspond à un des plus élevé par rapport aux autres cancers, malgré l’âge avancé des patients et donc des diverses autres causes de mort."
▻https://www.carenity.com/infos-maladie/cancer-de-la-prostate/taux-de-survie-du-cancer-de-la-prostate-220
"Les statistiques de survie au cancer de la prostate sont des estimations très générales qui doivent être interprétées avec prudence. Puisqu’elles sont fondées sur l’expérience de groupes d’hommes, elles ne permettent pas de prévoir les chances de survie d’un homme en particulier. En général, la plupart des hommes ayant reçu un diagnostic de cancer de la prostate ne meurent pas de cette maladie mais bien d’une autre cause."
▻http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/prostate/prognosis-and-survival/survival-statistics/?region=qc#ixzz5cU0bRRKN
"le cancer de la prostate a été surnommé la « tortue des cancers » en raison de la lenteur des divisions cellulaires. Pour la plupart des autres cancers, le temps de doublement se mesure en semaines. Pour la prostate c’est en mois ou en années."
"La glande de la prostate n’étant pas plus grosse qu’une noix, sa petite taille permet d’effectuer des prélèvements biopsiques précis. Difficile de passer à côté d’un cancer, même minuscule, vu que l’on prélève des fragments de tissu à intervalles réguliers. La biopsie est, en fait, si efficace que le vrai problème est celui d’un surdiagnostic."
"À l’époque où la pénicilline n’existait pas, une pneumonie, par exemple, était aussi mortelle qu’un cancer. Depuis les antibiotiques, cette époque est révolue. Ce que l’on oublie trop souvent, c’est que le cancer de la prostate possède sa propre « pénicilline » qui agit en empêchant la production et l’activité de la testostérone, l’hormone mâle qui stimule la croissance de ce cancer. Un inhibiteur de testostérone l’obligera donc à régresser. Le cancer de la prostate est l’unique cancer sensible aux inhibiteurs de la testostérone."
▻https://www.thierrysouccar.com/sante/info/cancer-de-la-prostate-pourquoi-il-est-particulier-550