• Avril 2023

    #Urgent! Two #Kurdish #refugees have reportedly been stranded in the buffer zone on the #Greek-#Turkish #border for three days. One of them is called Serhat Karadeniz, who communicated their situation to his family in #Turkey by phone. His father Hüseyin Karadaniz told me about the desperate situation of the two refugees. He also told me that the two refugees want to apply for asylum in #Greece, because they are fleeing political persecution in Turkey and would face political prison charges if they returned. Reportedly, the two refugees have been without food and water for three days and are experiencing health problems due to the cold. According to the last information, that the two Kurdish refugees are in the buffer zone in the Feres region, calling for urgent help from the Greek authorities and the United Nations to receive their asylum requests.


    https://twitter.com/vedatyeler_/status/1645398180949897218

    #limbe #zone_frontalière #île #Evros #asile #migrations #réfugiés #frontières #fleuve_Evros #Turquie #Grèce #Thrace #îlots
    #nudité

    –-

    ajouté à la métaliste sur #métaliste sur des #réfugiés abandonnés sur des #îlots dans la région de l’#Evros, #frontière_terrestre entre la #Grèce et la #Turquie :
    https://seenthis.net/messages/953343

  • Coronavirus : les praticiens étrangers « font le boulot dont les médecins français ne veulent pas »
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/04/16/coronavirus-les-medecins-etrangers-en-premiere-ligne-sans-la-reconnaissance-

    Ils sont entre 4 000 et 5 000 à faire tourner les services des urgences ou de réanimation des hôpitaux publics, mais avec des salaires très inférieurs à ceux de leurs homologues diplômés en France. [...]

    Un interne Padhue touche 1 300 euros net par mois et 100 euros la garde, rappelle le chef des urgences de l’hôpital de Saint-Denis, quand un jeune médecin diplômé en France commence sa carrière à 3 900 euros (et 200 euros la garde). « Il y a un vrai prolétariat organisé dans les hôpitaux, résultat d’une gestion malthusienne à l’œuvre depuis trente ans », dénonce Amine Benyamina.

    #santé #travail #exploitation #paywall

    • Oui, mais les « médecins français » y veulent pas mettre les mains dans le corona-cambouis paske y z’ont peur et qu’y sont en colère, comme celui qu’est venu « couiner » dans le micro du Huff’post, l’aut’ jour ...

      (So sorry @odilon, c’était mon dernier coup de gueule de la journée mais tous ces petits-bourges, ils commencent par me baver sur les ornements, mais grave ...)

    • Coronavirus : les praticiens étrangers « font le boulot dont les médecins français ne veulent pas », Stéphane Mandard, le 16 avril 2020

      Ils sont entre 4 000 et 5 000 à faire tourner les services des urgences ou de réanimation des hôpitaux publics, mais avec des salaires très inférieurs à ceux de leurs homologues diplômés en France.

      « Sans ces médecins-là, non seulement nous ne pourrions pas faire face à la vague de Covid-19, mais mon service serait fermé. » Mathias Wargon dirige les urgences de l’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Ces « médecins-là » sont tunisiens, algériens, syriens, libanais, congolais… Sur les dix-huit praticiens du service du docteur Wargon, quinze sont ce que l’administration française appelle des praticiens hospitaliers à diplôme étranger hors Union européenne (Padhue).

      Ils sont entre 4 000 et 5 000 en France, majoritairement originaires du Maghreb, et surtout répartis dans les établissements publics. Ce sont ces #internes ou praticiens dits associés, qui enchaînent les gardes la nuit et le week-end, font tourner les urgences mais aussi les services de réanimation, de radiologie ou de psychiatrie. Bref, des rouages essentiels dans le système de soins français.

      « Ils sont en première ligne dans tous les services où il y a une énorme pénibilité du travail » , résume Hocine Saal, vice-président du syndicat (Snpadhue) qui les représente. « En gros, ils font le boulot que les médecins français ne veulent pas faire, mais sans la reconnaissance ni la rémunération , dit plus crûment Mathias Wargon. Tous les soirs, on donne la claque pour remercier les soignants, on parle de revaloriser leurs salaires, de primes [jusqu’à 1 500 euros, a annoncé le gouvernement mercredi 15 avril], de Légion d’honneur, mais, ces gens-là, on les oublie. »
      Pas certain, en effet, que le chef de l’Etat pensait à ce bataillon de #médecins_étrangers, lorsqu’il assurait, lundi 13 avril, lors de son intervention télévisée : « il nous faudra nous rappeler aussi que notre pays, aujourd’hui, tient tout entier sur des femmes et des hommes que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal » .

      Parcours du combattant

      Un interne Padhue touche 1 300 euros net par mois et 100 euros la garde, rappelle le chef des urgences de l’hôpital de Saint-Denis, quand un jeune médecin diplômé en France commence sa carrière à 3 900 euros (et 200 euros la garde). « Il y a un vrai prolétariat organisé dans les hôpitaux, résultat d’une gestion malthusienne à l’œuvre depuis trente ans » , dénonce Amine Benyamina. Chef du service psychiatrie-addictologie de l’hôpital Paul-Brousse, à Villejuif (Val-de-Marne), ce Franco-Algérien est à l’initiative d’une pétition (qui avait reçu plus de 25 000 signatures jeudi matin) et d’une lettre ouverte adressée à Edouard Philippe le 5 avril visant à obtenir « l’intégration des médecins étrangers engagés dans la lutte contre la pandémie » .

      « Ces médecins à diplôme étranger qui luttent au quotidien méritent la reconnaissance de la République pour leur engagement en première ligne, alors que leur #salaire est souvent dérisoire par rapport à ceux de leurs collègues, et qu’ils risquent de retourner à la précarité et à l’incertitude sur leur avenir en France une fois la crise surmontée » , indique le texte, signé par une douzaine de médecins, dont l’ancien ministre de la santé Bernard Kouchner, le généticien Axel Kahn, ou l’ancien directeur de Santé publique France, François Bourdillon.

      Ces derniers exhortent le premier ministre, « par souci de justice, d’engager immédiatement l’intégration pleine et entière dans le système de santé (égalité de statut, de déroulement de carrière et de rémunération, avec une reconnaissance immédiate fondée sur les attestations de services effectués pendant la crise) de tous ces praticiens afin que leur dévouement ne soit pas occulté, comme cela a pu être le cas dans certaines périodes de l’histoire de notre pays » .

      Car la carrière d’un médecin à diplôme étranger ressemble à un parcours du combattant. Première embûche de la longue et incertaine procédure dite d’autorisation d’exercice : les épreuves de vérification des connaissances. Cette année, elles ont été reportées à cause de la pandémie. « Le niveau exigé est très élevé, note M. Wargon. Un cardiologue tunisien a eu 16,75 mais a été recalé. Pourtant, depuis vingt ans que je travaille avec des médecins étrangers, je peux vous assurer que leur niveau s’est nettement amélioré et n’a souvent plus rien à envier à celui des jeunes médecins français. »

      Pour ceux qui réussissent le concours viennent ensuite les trois ans de pratique dans un service avant de passer devant une commission. « Cette période de “mise à niveau” est souvent vécue comme une humiliation par des professionnels qui travaillent sous tension » , commente M. Benyamina, « ulcéré » que cette situation perdure vingt-cinq ans après l’avoir lui-même connue lorsqu’il débarquait en France, ses diplômes algériens en poche.

      Pour son confrère M. Wargon, également signataire de la lettre ouverte, la crise sanitaire actuelle doit être l’occasion d’ « en finir avec cette hypocrisie » : « Ils doivent passer sous les fourches Caudines des examens pour espérer être payés un jour comme leurs confrères français. Mais, pour s’occuper des malades, là, ils n’en ont pas besoin ! »

      « C’est du foutage de gueule »

      Pour l’heure, le premier ministre n’a pas répondu à leur lettre. « Les conditions d’obtention de l’autorisation d’exercice sont devenues de plus en plus drastiques. Aujourd’hui, il faut attendre un an à un an et demi pour avoir les résultats de la commission. Comme si cette précarisation arrangeait tout le monde » , s’offusque Hocine Saal, chef des urgences au centre hospitalier André-Grégoire, à Montreuil (Seine-Saint-Denis).
      La nouvelle loi santé prévoit, pour les médecins déjà dans le système de soins français, de remplacer le concours par une étude de dossier au niveau régional, puis national. Cette évolution est saluée par le Snpadhue, qui n’est « pas opposé au principe d’une évaluation » . Mais le décret d’application se fait attendre : « Il devait être publié en septembre, puis en octobre, puis en décembre et, maintenant, avec la pandémie, il est tombé aux oubliettes » , déplore M. Saal.

      Le ministère de la santé a cependant publié une note, lundi 13 avril, afin de permettre aux établissements de santé de recruter plus facilement des médecins à diplôme étranger pour faire face à la crise sanitaire… mais pour occuper « des fonctions non médicales (aides-soignants, accueil et orientation…) » « C’est du foutage de gueule » , s’emporte Mathias Wargon. « C’est complètement à côté de la plaque. C’est la pire réponse qu’on puisse apporter à des médecins » , s’indigne Amine Benyamina. Contactés par Le Monde, ni le ministère de la santé ni le conseil national de l’ordre des médecins n’ont répondu.

  • VIDÉO. « Balance ta blouse » : à Saint-Nazaire, le clip des urgentistes en grève fait mouche
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/video-balance-ta-blouse-a-saint-nazaire-le-clip-des-urgentistes-en-grev
    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAxOTEyZGE4NjI2ZGQ5M2IzM2ZhZjM4MTc3YjVlNGRlMjEwY2I?width=1260&he

    « Buzyn on a pour toi le plus triste des poèmes ». C’est bien à la ministre de la Santé que s’adresse ce clip réalisé par les médecins et infirmières des urgences de Saint-Nazaire.

    Comme partout en France, ils sont en grève depuis le 10 mai dernier pour dénoncer le manque de moyens. Et après les manifestations, tracts, pétitions, ils ont choisi de réaliser un clip. Une parodie de Balance de ton quoi de la chanteuse Angèle rebaptisée Balance ta blouse.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=189&v=QV-OcN2wrgk&feature=emb_logo

  • Refuser un destin de #bétail_cognitif avec #Gilles_Châtelet – Le Comptoir
    https://comptoir.org/2019/06/13/refuser-un-destin-de-betail-cognitif-avec-gilles-chatelet

    un mathématicien opposé au calcul rationel

    Le #mathématicien et philosophe, ancien professeur de l’Université libre de Vincennes, ne sera pas parvenu à achever l’œuvre de désenfermement dont « Vivre et penser comme des porcs » était la promesse, et qui lui aurait à coup sûr donné une place de choix au sein de la résistance française contre le #pragmatisme_libéral. C’est une des raisons pour lesquelles il faut lire ce livre : pour tenter de contrer la fatalité, et offrir post-mortem à Gilles Châtelet un peu de l’écho que son entreprise contre « l’#Homme_moyen » mérite.

    [...]

    Les Animaux malades du consensus, publié en 2010 aux éditions Lignes, c’est là tout le maigre matériau que l’on pourra trouver du mathématicien et philosophe (qui a par ailleurs produit quelques ouvrages dans ces deux disciplines) : un somme toute bien maigre taillis qui fait penser que l’auteur devait être de ces essences qui ne font pas de rejets.

    [...]

    Gilles Châtelet montre brillamment de quelle façon les « partisans branchés de la #Contre-Réforme_libérale » s’emploient à élargir la « spiritualité de marché » du domaine économique au domaine politique ; à promouvoir l’envie politique en miroir du besoin économique et à ainsi dégrader la politique en « gestion d’une compétition d’agrégats ». Il tire à boulets rouges sur ces « politologues-mathématiciens » qui, par la promotion du calcul différentiel (promotion de micro-volontés individuelles sensées s’agréger en un tout cohérent), permettent de « donner de la fluidité au brutal », et surtout de faire émerger la masse, masse formidablement inertielle et indifférente, car « le chaos des opinions et des microdécisions finit toujours par accoucher de quelque chose de raisonnable. »
    [...]

    L’ouvrage de Gilles Châtelet commence par un avertissement où on lit cette #urgente_nécessité : « refuser un destin de bétail cognitif ».

  • relai appel solidarité avec la grèce

    #GRECE : APPEL #URGENT À #SOLIDARITE : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1931174663859818&set=a.1386628864981070.1073741828.10000901
    L’image contient peut-être : 4 personnes, personnes souriantes, plein air
    Yannis Youlountas
    12 mai, 09:21
    A quelques jours du départ, le taux de remplissage des 17 fourgons atteint péniblement 60% et, pire encore, les dons ne sont qu’à 30% de l’objectif nécessaire. Alerte rouge.

    GRÈCE : APPEL URGENT À SOLIDARITÉ

    Le tri et chargement de la collecte dans le sud-est de la France a été effectué ce mercredi près de Marseille (photo). Celui du sud-ouest vient de commencer ce week-end près d’Albi.

    Le bilan est le même : alors que les billets de ferry ne sont plus échangeables, les 17 fourgons peinent à se remplir ! Le taux de remplissage vient seulement de dépasser la moitié de la capacité totale et approche lentement des deux tiers. Nous attendons les toutes dernières collectes pour en savoir plus.

    Côté dons, c’est l’alerte rouge : ils sont beaucoup plus bas que précédemment (30% de l’objectif) alors que les besoins sont encore plus importants, tant la situation est difficile : cuisines sociales gratuites, dispensaires médicaux autogérés, squat de réfugiés, collectifs solidaires et de luttes, etc.

    La raison est simple. Elle est logique et légitime. Cette année, en France, vous avez été très sollicités par d’autres actions de solidarité, nombreuses et importantes, telles que :
    – caisses de grève (cheminots, postiers, etc.) ;
    – soutien aux victimes des violences policières ;
    – collectes pour la ZAD ;
    – collectes pour les migrants (à la frontière italienne et ailleurs).

    On comprend très bien et on vous en félicite. Mais la Grèce reste la ligne de front principale contre le durcissement du capitalisme en Europe, ainsi que le grand piège à ciel ouvert des migrants. Beaucoup de nos lieux autogérés sont exsangues. Les collectifs de luttes sont écrasés de procès (parfois des dizaines, comme pour Rouvikonas). Les stocks de vivres sont au plus bas, six mois après le convoi de novembre 2017.

    Les 45 camarades prêts à partir (de France et de Belgique) partent bénévolement et se déplacent à leurs frais. Ils prennent également le risque d’être harcelés par les autorités policières et inquiétés par les groupes fascistes (qui la dernière fois n’avaient pas manqué de nous menacer et de titrer à notre sujet dans leurs journaux en Grèce).

    Nous comptons donc sur vous pour un petit coup de pouce, aussi modeste soit-il. La somme des petits (ou grands) gestes nous permettra peut-être d’atteindre l’aide nécessaire ou, au moins, de s’en rapprocher.

    SI VOUS NE DEVEZ DONNER QU’UNE SEULE FOIS EN 2018 POUR NOS LIEUX ET ACTIONS EN GRÈCE, C’EST MAINTENANT QU’IL EST ESSENTIEL DE LE FAIRE.

    Vu l’urgence et la proximité du départ, choisissez le soutien par virement ou par Paypal plutôt que par chèque (temps d’envoi postal + temps de traitement + temps d’encaissement).

    Iban pour virement et bouton Paypal sur cette page :
    http://lamouretlarevolution.net/spip.php?rubrique15

    Merci de ne pas oublier la Grèce, première ligne de front contre le durcissement du capitalisme en Europe et grand piège à ciel ouvert des migrants.

    Yannis Youlountas et les 44 autres camarades prêts à partir
    Collectif artistique et solidaire ANEPOS

    PS : principaux destinataires déjà aidés :
    http://lamouretlarevolution.net/spip.php?rubrique14

    [Mise à jour à 13h00] Si vous choisissez Paypal, sachez que ce site demande désormais d’ajouter aussi les chiffres après la virgule : ne vous trompez pas (une camarade qui voulait donner 200 euros tout à l’heure a donné 2,00 euros avant de s’en rendre compte par hasard).

  • #GABON #URGENT CORPS MUTILÉ FEMME SOUS LE PSEUDO #SARKOZY DÉCOUVERT À BOOUÉ #CrimeRituel - PEUPLES OBSERVATEURS AVANT-GARDE-TOGOLAISE.over-blog.com
    http://avant-garde-togolaise.over-blog.com/2016/10/gabon-urgent-corps-mutile-femme-sous-le-pseudo-sark

    Vision d’horreur jeudi 6 octobre 2016 à Booué, le chef-lieu du département de la Lopé, dans la province de l’Ogooué-Ivindo (nord-est du Gabon). Le corps mutilé d’une femme de 40 ans, connue sous le pseudonyme de Sarkozy, a été découvert dans un précipice.

  • #Elsevier is taking down papers from #Academia.edu

    Lots of researchers post PDFs of their own papers on their own web-sites. It’s always been so, because even though technically it’s in breach of the copyright transfer agreements that we blithely sign, everyone knows it’s right and proper. Preventing people from making their own work available would be insane, and the publisher that did it would be committing a PR gaffe of huge proportions.

    Enter Elsevier, stage left. Bioinformatician Guy Leonard is just one of several people to have mentioned on Twitter this morning that Academia.edu took down their papers in response to a notice from Elsevier. Here’s a screengrab of the notification:

    http://svpow.com/2013/12/06/elsevier-is-taking-down-papers-from-academia-edu

    #copyright #revue #revue_scientifique #revue_académique #université #propriété_intellectuelle
    (mais, en fin de compte, cher Elsevier, les #auteurs ne comptent vraiment rien du tout ?)

    J’aime beaucoup ce « Hi guy » (et tout le reste évidemment...)

    • Voilà un événement qui mérite qu’on en parle : il y a là une attaque très violente à la liberté de publier son propre travail, ses propres créations, Elsevier joue sur les mots de la loi. a diffuser largement et tout faire pour lutter contre. Je me souviens avoir personnellement demandé à un éditeur scientifique de libérer un texte sur la cartographie de la pensée, lequel texte n’était accessible qu’àprès avoir payé 50 dollars à l’époque, c’était il y a dix ans. Je me souviens que j’étais furieux...

    • Elsevier s’en prend maintenant directement aux universites.

      Elsevier steps up its War On Access
      http://svpow.com/2013/12/17/elsevier-steps-up-its-war-on-access

      Now, they’re targeting individual universities.

      The University of Calgary has just sent this notice to all staff:

      The University of Calgary has been contacted by a company representing the publisher, Elsevier Reed, regarding certain Elsevier journal articles posted on our publicly accessible university web pages. We have been provided with examples of these articles and reviewed the situation. Elsevier has put the University of Calgary on notice that these publicly posted Elsevier journal articles are an infringement of Elsevier Reed’s copyright and must be taken down.

    • How one publisher is stopping academics from sharing their research
      http://www.washingtonpost.com/blogs/the-switch/wp/2013/12/19/how-one-publisher-is-stopping-academics-from-sharing-their-research

      Both the University of California-Irvine and Harvard University have confirmed to the Washington Post that they received similar takedown requests.

      With academics doing much of the work and the Internet reducing distribution costs, you might expect the cost of academic publishing to fall as the Internet makes communication more efficient. Instead, the opposite has happened. Subscription rates for top academic journals have skyrocketed in recent decades — with one study reporting per journal subscription costs rose 215 percent between 1986 and 2003, despite the consumer price index only increasing 68 percent in that same time period.

      More recently, these rising costs coupled with scaled-back library budgets due to the Great Recession have left many universities struggling to maintain access to the body of scholarly work they helped produce. Even one of the world’s wealthiest universities, Harvard, has felt the crunch. “Many large journal publishers have made the scholarly communication environment fiscally unsustainable and academically restrictive,” said the Harvard Library Faculty Advisory council in a 2012 memo on the subject.

      But while libraries have been hurting, the system works quite well for the publishers. Elsevier represents the “scientific, technical and medical” segment of the business of its parent company, Reed Elsevier. The subsidiary generated over $1 billion profits in 2012 with a 34 percent profit margin, according to the company’s financial disclosures. That year, Elsevier accounted for 52 percent of the Reed Elsevier’s operating profits, with the disclosure reporting “approximately 65 percent of revenue came from subscription sales” like those to academic institutions.

  • Une maman de la maternelle 22 rue tandou a été arrêtée mardi midi. Il faut absolument la faire sortir du commissariat au plus vite !
    Envoyer un mail à la préfecture pour demander sa libération, ça marche si nous sommes nombreux à le faire.
    Ci-dessous un modèle à copier-coller ou modifier à son goût. A vous de choisir la formule de salutation finale.
    N’hésitez pas à renvoyer le même mail qq heures plus tard, tant que vous n’avez pas eu de bonnes nouvelles.

    Voici l’adresse pour mailer et le n° pour faxer (merci Fred)
    fax 01 53 71 67 23
    Email : prefpol.dpg-etrangers-secretariat@interieur.gouv.fr

    MERCI

    Modèle de texte :

    Madame ZHAO Tan, née le 19 novembre 1983 à Zhejiang en Chine, a été arrêtée ce mardi midi.
    Elle n’est pas venue chercher sa petite fille ESTELLE, âgée de 3 ans, à la sortie de l’école maternelle du 22 rue Tandou. Cette enfant, née à Aubervilliers le 26 octobre 2007, doit retrouver sa maman au plus vite.
    La communauté éducative de l’école du 22 rue Tandou, directrice, enseignantes, personnels et parents, est très affectée par la nouvelle de cette arrestation, qui bouleverse la vie d’une famille, perturbe la classe et l’école, déstabilise les petits camarades d’Estelle.
    Nous tous, habitants du quartier, parents d’élèves ou enseignants, sommes très inquiets. Nous demandons que Madame Zhao regagne son foyer au plus vite.

    #RESF #APPEL #URGENT