World’s largest indoor #farm in #Japan: 100x productivity compared to outdoor fields, uses 99% less water, 40% less power, creates 80% less food waste. No word about CAPEX though - probably not profitable outside of Japan or HK for now. Interesting photosynthesis-specific LED lighting + customized circadian rhythms.
▻http://weburbanist.com/2015/01/11/worlds-largest-indoor-farm-is-100-times-more-productive #agriculture
Eh beh c’est un beau futur qu’on nous prépare. Miam.
Ouep, aussi propre que dans une centrale nucléaire on dirait
Pas un mot sur l’utilisation de #pesticides - je me demande si ce type d’exploitation en utilise plus ou moins qu’une exploitation traditionnelle.
Je me demande aussi si l’automatisation accrue ne va pas pousser à encore plus de normalisation et donc encore plus de réduction de la diversité #génétique.
Selon le modèle décrit ici ►http://seenthis.net/messages/312082, il n’est pas utile d’utiliser de pesticides, tout est aseptisé.
40% less power
mais comment ça peut utiliser 40% d’énergie en moins que mon potager qui en consomme zéro (si je fais exception de la voiture du facteur et du train postal pour les fois où je commande des graines).
Outre le rejet viscéral qu’il m’inspire, j’ai du mal à piger le concept, rationnellement parlant.
tout est aseptisé.
jusqu’au jour où un pathogène passe la barrière et se fait un festin comme jamais ;-)
@koldobika J’imagine que la différence de consommation d’énergie prends en compte un cycle complet incluant engins agricoles et transport entre la ferme et le lieu de distribution... Mais je serai curieux de voir le détail. Évidemment le cas du potager co-localisé avec le lieu de consommation est idéal - j’imagine que le point de comparaison a plutôt été une exploitation maraîchère régionale typique de la grande consommation.
Je pense que ça utilise moins d’énergie si tu prends en compte le carburant pour le tracteur et l’énergie grise des *cides, qui sont absents de ce système.
Pour l’uniformité, je pense pas que ce soit pire qu’une ferme conventionnelle où il n’y a qu’une seul variété en générale. Par contre si le système se généralise, alors oui je pense que comme c’est plus spécialisé il y a moins de variétés qui iront.
Cela dit dans une monoculture conventionnelle il y a quand même un sol avec des bactéries et autres micro-organismes, et il y a de l’air et tout ce qui s’y promène.
Je parlais un niveau de la diversité des variétés cultivées. Je pense qu’il faut beaucoup d’uniformité pour les salades sur des champs extensifs aux US ou au contraire gérés très intensivement comme au Japon. Et donc une ou pas beaucoup plus de variétés.
Apparemment le système ne produit que des plantes à feuilles, salades et aromatiques. Mais pas de poireau.
▻http://www.fieldrobotics.org/~ssingh/VF/Challenges_in_Vertical_Farming/Schedule_files/SHIMAMURA.pdf
#agriculture_urbaine
Les obèses qui mangent de la salade grossissent ▻http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?aid=8824428
Plus de détails sur le pré/probiotiques ▻http://www.farm.ucl.ac.be/Full-texts-FARM/Roberfroid-2010-1.pdf #nutrition #obesite
Petite réponse taquine à propos de la salade c’est 2 kcal produite ►http://seenthis.net/messages/312082
En résumé, les non-obèses qui mangent de la salade ont un apport calorique faible tandis que les obèses qui mangent cette même salade ont un apport calorique nettement plus important en particulier issu de l’absorption d’acides gras.
La salade ne contient pas d’acides gras.
Je mange de la salade et je pense que je vais apporter à mon corps l’énergie contenue dans cette salade que je mesure dans un calorifère par la combustion de l’aliment.
C’est faux.
Je mange de la salade, la salade nourrit mon microbiote intestinal qui produit différents substrats issus de l’aliment ET des réactions microbiennes locales. Selon ma flore digestive ET mes capacités d’absorption, je prends plus ou moins de calories avec ma salade.
Les obèses ont souvent une flore pauvre, peu diversifiée, dont la pousse est favorisée bien sûr par la consommation de graisses et de sucres rapides qui fait que même les aliments peu calorifiques sont susceptibles de produire plus d’énergie sous forme de graisse. Double peine.
La solution à la mode dans les publications ? La greffe de selles. C’est pas très ragoutant, je sais mais ça se vend.
De fait, ce n’est qu’un des aspects même s’il est important, si l’on veut maintenir une flore diversifiée et moins néfaste il faut la favoriser et là, cela passe par une modification de l’hygiène de vie : alimentation diversifiée et qualitative, activité physique, diversité des contacts microbiens cqfd.
Il y a deux ans (déjà…) nous avions causé de #transfusion_fécale
@simplicissimus oui, là ►http://seenthis.net/messages/91689
merci (et les publications que je rapporte datent d’ailleurs de 2010 et 2012 mais sont à la mode).
