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  • Émeutes en Nouvelle-Calédonie : « Si on n’approvisionne plus, des gens vont être en grande difficulté et certains vont mourir » - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/05/16/emeutes-en-nouvelle-caledonie-si-on-napprovisionne-plus-des-gens-vont-etre

    La situation sur l’archipel de la Nouvelle-Calédonie est très délicate. Les grandes surfaces sont difficilement alimentées, certaines ont brûlé, d’autres ont été pillées, faisant craindre une pénurie à la population. L’approvisionnement en médicament et la continuité des soins sont également perturbés par les émeutes, les professionnels de la santé tirent la sonnette d’alarme.

    Faudrait en parler aux gens de Gaza. Peut-être que d’un seul coup, on (les commentateurs autorisés de nos grands organes de presse) se rendrait compte de ce qu’ils vivent dans les grandes surfaces gazaouis.

  • « Droit de correction » : que sait-on sur ce motif qui a permis à un policier accusé de violences contre sa femme et ses enfants d’être relaxé ? - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/23/droit-de-correction-que-sait-on-sur-ce-motif-qui-a-permis-a-un-policier-ac

    « Cette décision m’a laissé sans voix », a déclaré Me Jérôme Tiberi, avocat des enfants. La cour d’appel relaxe parce qu’elle considère ces violences comme légitimes. Mais c’est se baser sur un fait justificatif qui n’existe pas en droit positif !". Et pour cause, voilà près de cinq ans que ce présumé « droit de correction » est interdit en France. « Le droit de correction a existé, il y a longtemps, d’un parent sur un enfant, d’un mari sur sa femme, il s’appliquait même aux enseignants sur leurs élèves, mais il a été plusieurs fois contredit par la Cour européenne des droits de l’Homme », évoque Me Mikaël Benillouche, auprès de nos confrères du Parisien.

  • 17 avril : quatre engins du chantier de l’A69 sont enflammés
    https://ricochets.cc/17-avril-quatre-engins-du-chantier-de-l-A69-sont-enflammes-7485.html

    Face à l’extrême brutalité insupportable, réitérée et organisée du capitalisme, d’Atosca, de ses financeurs voyous encravatés et des forces de l’Ordre, quelques machines ont été brûlées dans la nuit du 16-17 avril. Atosca indique avoir d’autres engins de chantier disponibles, l’insécurité des zones naturelles vitales du secteur persiste donc. Les arbres, animaux et zones humides, victimes de cette infime minorité d’extrémistes irresponsables et assistés, se plaignent de manière virulente, (...) #Les_Articles

    / Humour, ironie, satire..., #Ecologie, #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, (...)

    #Humour,_ironie,_satire... #transport
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/tarn/autoroute-a69-un-gang-revendique-l-incendie-des-engins-
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/17/autoroute-a69-les-vigiles-avaient-deja-retrouve-sur-le-chantier-des-engins
    https://www.lejournaldici.com/actualite/a-la-une/a69-les-limites-de-lacceptable-ont-ete-depassees

  • Autoroute A69 : « Sachez que le feu suivra vos interventions »… Un groupuscule revendique les incendies des engins de chantier à Saïx - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/19/sachez-que-le-feu-suivra-vos-interventions-un-groupuscule-revendique-les-i

    Après l’incendie d’engins de chantier qui œuvrent sur la construction de l’A69 à Saïx, dans la nuit de mardi à mercredi, un groupuscule a revendiqué l’acte. Dans un communiqué envoyé par mail jeudi soir à 23h, ceux qui se surnomment le GIEC, pour « Gang d’Insolent.es Eclatant le Capital », revendiquent avoir « désarmé » les engins de chantiers qui « opèrent au profit d’une classe bourgeoise en roue libre ».

    « Nous avons affaire à des criminels », avait dénoncé ce jeudi le préfet du Tarn Michel Vilbois à l’issue d’une réunion de sécurité tenue à Albi. « Il faut que les masques tombent » avait-il conclu.

    Si, dans le communiqué du GIEC, les auteurs des incendies démentent « toute forme de séquestration et de violence physique sur place », ils invitent à « maintenir le rapport de force dans cette guerre contre le capitalisme et à s’unifier face à la montée du fascisme institutionnel et civil. »

    Et de prévenir : « sachez que le feu suivra vos interventions, que la moindre perquisition sera pour nous une occasion de surenchérir. Cela vaut aussi pour toutes les initiatives fascistes à venir. »

  • L’explosion de l’intolérance au gluten provoquée par l’additif alimentaire le plus utilisé au monde ? Une étude toulousaine inquiète - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/17/ladditif-alimentaire-le-plus-utilise-au-monde-est-il-responsable-de-lexplo

    Le dioxyde de silice, un additif alimentaire baptisé E551, favoriserait selon une étude menée par des scientifiques toulousains de l’INRAE le développement de l’intolérance au gluten, connue sous le nom de maladie cœliaque lorsqu’elle est diagnostiquée.

    Il est présent dans les fromages fondus, le chocolat, certaines confiseries ou encore les préparations à base de céréales pour les bébés. Lui, c’est le E551, un additif alimentaire que l’on retrouve dans la composition de nombreux aliments transformés et dont on connaît la présence par une inscription en minuscule dans la composition des préparations qui sont alignées dans les rayons de nos supermarchés. Et dont l’absorption pourrait favoriser ce qu’on appelle la maladie cœliaque, la fameuse intolérance au gluten, qui entraîne des symptômes digestifs importants si le régime sans gluten n’est pas adopté. C’est en tout cas le résultat d’une étude menée par des chercheurs toulousains de l’INRAE, du laboratoire Toxalim qui planche sur les risques toxiques de contaminants présents dans l’alimentation, et publié récemment dans la revue spécialisée Environmental Health Perspectives.

    Il faut dire que l’équipe ENTeRisk – pour Endocrinologie & Toxicologie de la Barrière Intestinale – s’y connaît un peu en matière d’additifs alimentaires. Ils sont même spécialistes de tous ceux qui ne sont pas de nature organique. Ces dernières années, ils ont ainsi découvert que le dioxyde de Titane, baptisé E171, un colorant blanc utilisé notamment en pâtisserie et confiserie, contenait des nanoparticules de dioxyde de titane aux effets très nocifs. Ces dernières, présentes dans les premières selles de l’enfant ou encore dans le placenta, pouvaient générer un risque sanitaire. De quoi susciter une réaction des autorités qui ont décidé d’interdire en 2022 son utilisation au niveau européen. Il reste encore autorisé dans la composition des médicaments et des dentifrices, mais la récente publication de l’équipe toulousaine montrant que les nanoparticules qui composent cet additif peuvent aussi passer directement par les muqueuses de la bouche pourrait participer à signer la fin de son utilisation.

    En s’intéressant au E171, les chercheurs de l’équipe ENTeRisk ont aussi décidé de scruter de près son cousin, le fameux E551, le dioxyde de silicium. « C’est l’additif le plus fabriqué et le plus consommé au monde, il permet d’éviter les grumeaux et maintient une fluidité. Il est utilisé dans le process alimentaire et dans la conservation des aliments, comme le sucre, le thé, la poudre de cacao ou encore la farine, on le retrouve un peu partout, y compris dans l’alimentation animale. On le retrouve dans la composition d’au moins 2 800 aliments transformés dans le monde. Mais il est aussi utilisé comme auxiliaire technologique lors de la transformation alimentaire et, dans ce cas, n’apparaît pas dans la liste des ingrédients indiquée sur les emballages », rappelle Eric Houdeau, le directeur de recherche à Toxalim qui anime ce groupe de chercheurs.
    Appliquer le principe de précaution ?

    Avec Bruno Lamas, chercheur au sein de son équipe, ils ont voulu savoir quel impact cet additif avait sur le système immunitaire des humains, puisque chacun d’entre nous est exposé tout au long de la vie à cet additif via son alimentation, et ce dès la naissance.

    « Nous nous sommes aperçus que cet additif bloquait le processus physiologique de tolérance orale aux protéines alimentaires. Lorsque nous mangeons, il y a une réponse qui bloque les réactions immunitaires inflammatoires contre ces protéines. Ainsi, le système immunitaire les reconnaît comme inoffensives et les tolère en empêchant la mise en place d’un système de défense défavorable à notre alimentation, la base de la vie. Si ce processus ne se met pas naturellement en place, cela induit une réaction inflammatoire au niveau intestinal, ce qui est la première étape du déclenchement des réactions allergiques ou des maladies auto-immunes, comme la maladie cœliaque », détaille Eric Houdeau.

    Cette expérience a été menée en collaboration avec une équipe canadienne qui travaille sur des souris qui possèdent « le gène de susceptibilité à l’intolérance au gluten, comme 40 % de la population mondiale dont 1 % développera la maladie cœliaque », indique Bruno Lamas. « Quand on donne du gluten à ces souris, elles développent des symptômes d’intolérance à cette protéine. Mais quand on leur donne du gluten et l’additif E551, ces symptômes sont exacerbés et c’est dans ces situations-là que la maladie peut se développer », poursuit le chercheur toulousain.

    Aujourd’hui, les résultats de leur étude sont entre les mains des autorités sanitaires, que ce soit l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) ou encore L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). Ces mêmes autorités qui ont décidé d’interdire il y a deux ans l’additif E171. Car, si, comme le répète Eric Houdeau, « la plupart des 350 additifs alimentaires présents en Europe ne sont pas toxiques à notre niveau d’exposition », mais quand les effets de l’un d’eux ont démontré leur nocivité pour la santé, le fameux principe de précaution devrait s’appliquer afin de laisser le temps d’approfondir les recherches scientifiques.

    • https://www.inrae.fr/actualites/ladditif-alimentaire-e551-favoriserait-mise-place-dune-maladie-coeliaque

      Le E551, plus communément connu sous le nom de dioxyde de silice, est une poudre constituée de nanoparticules (particules inférieures à 100 nm) utilisée comme additif antiagglomérant dans des aliments secs ou en poudre tels que les soupes, les épices, les préparations infantiles à base de céréales, les cafés solubles et produits chocolatés ou encore les pâtes alimentaires lyophilisées. On le retrouve ainsi dans la liste des ingrédients de plus de 2 600 produits alimentaires de par le monde1. Il empêche la formation de grumeaux, pour préserver le goût, la texture et la stabilité des aliments. Cet additif est également beaucoup employé comme auxiliaire technologique, il est indispensable dans les étapes de transformation des aliments. Dans ce cas il n’apparaît pas dans la liste des ingrédients constituant la recette, mais est tout de même présent dans le produit final. L’être humain est ainsi exposé de façon quotidienne et à faible dose au E551 via son alimentation.

      Liste sûrement non exhaustive des aliments industriels contenant du dioxyde de silice:

      Dans quels produits est-il utilisé ?

      Ce sont surtout dans les produits lyophilisés que l’on trouve du dioxyde de silicium.
      Principales fonctions

      C’est un antiagglomérant qui sous forme de séparateur permet aux aliments poudreux de garder leur fluidité et empêche d’autres produits de se coller. C’est également un stabilisant, un agent de viscosité dans les préparations en poudre en vrac. Son utilisation à des fins industrielles alimentaires est connue depuis des années.
      Où le trouve t-on ?

      Le dioxyde de silicium se trouve dans :

      • Les préparations infantiles à base de céréales ;

      • Les fromages en tranches, le fromage râpé, les fromages fondus ;

      • Les soupes et potages en sachet (le E551 évite les grumeaux à la reconstitution) ;

      • Les chips ;

      • Certaines confiseries (bonbons, dragées), les chewing-gums (sur certains, la poudre de talc apparaît) ;

      • Les édulcorants en poudre et en comprimés ;

      • Les sels et substituts de sel ;

      • Les produits alimentaires séchés en poudre ;

      • Les mélanges d’épices en poudre ;

      • Les vins et eaux-de-vie.

      Les produits peuvent contenir des quantités libres ou limitées en fonction des denrées alimentaires. Dans les spiritueux, il n’y a aucune obligation de le mentionner.

      https://www.passeportsante.net/nutrition/additifs-alimentaires?doc=dioxyde-silicium-faut-savoir-sur-cet-addit

  • Ces chevreuils en état d’ivresse publique qui provoquent des accidents de la route et ravagent des jardins - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/14/ces-chevreuils-en-etat-divresse-publique-qui-provoquent-des-accidents-de-l

    l’essentiel Les chevreuils, comme à chaque printemps, font encore parler d’eux à travers leurs frasques et leur comportement totalement hors la loi vis-à-vis de… l’alcool ! En effet, en consommant des bourgeons contenant une substance alcaloïde qui les rend ivre, ils ne savent plus dans quel bois ils habitent, errent, titubent. Ces cervidés saccagent des jardins et provoquent même des accidents. Exemple dimanche. La victime témoigne. Le chevreuil saoul, quant à lui, a pris la fuite. En se cognant aux arbres ? Peut-être.

  • « On est face à une urgence sanitaire » : le film qui dénonce l’omerta autour d’une épidémie de cancers chez les jeunes enfants - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/09/on-est-face-a-une-urgence-sanitaire-le-film-qui-denonce-lomerta-autour-dun

    Vice-président de Médecins du Monde, le Toulousain Jean-François Corty a co-réalisé avec Valéry Gaillard le documentaire « Contrepoisons, un combat citoyen » , sur le combat de parents autour d’un cluster de cancers de jeunes enfants qui sera diffusé sur France 3.

    Votre documentaire se penche sur une "épidémie" de cancer pédiatrique dans la région nantaise, peut-on parler de scandale sanitaire ?

    Entre 2015 et 2020, sur la commune de Sainte-Pazanne et ses environs, près de Nantes, 25 enfants ont eu un cancer, 7 en sont morts. Il existe en France plusieurs clusters de ce type à Saint-Rogatien près de la Rochelle, dans le Haut-Jura, dans l’Eure entre autres. On estime à 2 500 le nombre de nouveaux cas et 500 décès par an à l’échelle nationale. Par ailleurs, des statistiques de la Caisse nationale d’Assurance-maladie ont révélé une augmentation de 18 % des cas entre 2003 et 2019, et ces chiffres sont probablement sous-estimés du fait de biais méthodologiques de recensement. De fait, l’incidence de l’épidémie progresse à bas bruit en France, sans que l’on sache vraiment pourquoi, en lien avec l’exposition chronique et le cumul de toxiques environnementaux, type perturbateurs endocriniens, hydrocarbures, pesticides, ondes électromagnétiques, radon entre autres. Il nous semble que l’État devrait considérer cette épidémie comme une urgence sanitaire, mais ce n’est manifestement pas le cas, même s’il y a des avancées au niveau des traitements, compte tenu du manque de moyen pour en comprendre l’origine précise et mieux prévenir les nouveaux cas.

    Comment expliquer le déni des autorités régionales de santé qui ne semblent pas avoir pris la mesure du phénomène ?

    Il y a un enjeu majeur autour de l’amélioration de la connaissance du nombre réel de cas, mais aussi de la compréhension et l’identification des origines pour mieux les prévenir, que ce soit sur Sainte-Pazanne et sa région ou à l’échelle nationale. De fait, les lenteurs institutionnelles à apporter des réponses adaptées interrogent et les personnes concernées souhaitent des mesures exceptionnelles pour limiter les retards en matière de prévention des cancers et le défaut de mise en protection des enfants. Il faut améliorer le recueil de données pour avoir un système d’alerte plus performant, en faisant en sorte que les registres des cancers existants soient à jour et couvrent tout le territoire national. Les familles demandent une mise à jour et un accès à ces registres, mais sans grand succès pour l’instant. Elles espèrent aussi que les institutions sanitaires puissent remettre en question leurs méthodes d’analyses, que ce soit dans l’établissement épidémiologique des clusters, comme des enquêtes environnementales pour comprendre les causes de ces cancers au niveau des territoires, ce qu’elles ne sont pas capables de faire aujourd’hui.

    « L’incidence de l’épidémie progresse à bas bruit, sans que l’on sache vraiment pourquoi »

    Un insecticide, le lindane, est pointé du doigt, mais sans certitude, les pratiques des industriels et des agriculteurs sont-elles couvertes par les pouvoirs publics et les politiques ?

    On ne peut rien affirmer. Il y a de fait plusieurs causes possibles, avec un effet cumulatif probable, ce qu’on appelle « l’effet cocktail ». Dans le secteur de Sainte-Pazanne et ses environs, on retrouve sur certains lieux du lindane, du radon, du dieldrine, qui sont classés « cancérogènes avérés ou probables pour l’humain » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Mais il y a aussi des câblages de haute tension, des postes de transformation électrique pour des parcs éoliens et des épandages de pesticides dans cette zone d’agriculture maraîchère et viticole intensive. C’est peut-être le cumul d’un ou plusieurs facteurs qui ont pu générer ces maladies, mais on n’a pas aujourd’hui les recherches adéquates pour mieux comprendre.

    Vous racontez le combat exemplaire des parents pour avoir une explication à la maladie de leurs enfants, pensez-vous que la vérité sera faite un jour ?

    Les parents et les proches veulent surtout comprendre ce qui s’est passé. Ils ont monté le collectif Stop aux Cancers de nos Enfants. Après plusieurs mois de travail, ils ont mis en place une task-force en s’entourant d’experts en toxicologie, en sociologie de la santé et d’un avocat afin d’initier les enquêtes environnementales pour comprendre l’origine de ces cancers et faire en sorte que d’autres enfants ne tombent pas malades. Ce sont des citoyens devenus des parents experts, acteurs originaux du maillage sanitaire à l’échelle de leur région à même de bouger les institutions. Grâce à leur travail acharné, ils sont à l’origine de l’Institut citoyen de recherche et de prévention en santé environnementale de Loire-Atlantique qui est une structure originale car elle met autour de la table des élus, des citoyens, des chercheurs, des pollueurs afin de lancer des recherches spécialement dédiées aux problèmes de santé publique qui les touchent. Grâce à ces futurs travaux, ils espèrent mieux comprendre ce qui s’est passé. C’est l’expression d’une démocratie sanitaire active qui est très touchante, face à une épidémie de cancers pédiatriques qui relève d’une urgence de santé publique et face à laquelle on attend davantage de la puissance publique.

    Votre film peut-il relancer le débat sur l’usage des pesticides alors que la France vient de reculer sur le glyphosate qui est encore utilisable dans nos champs ?

    Ce film c’est d’abord un hommage aux familles, aux enfants, à leurs proches, aux chercheurs aussi souvent bénévoles, tous mobilisés contre ce mal que sont les cancers pédiatriques. C’est l’histoire de leur combat contre l’inertie des institutions, contre des pratiques industrielles nocives, contre le mensonge et le mépris. J’espère qu’il sera un outil supplémentaire de communication pour défendre leur cause. À l’heure où les scientifiques estiment que les résultats de leurs recherchent ne sont pas assez pris en compte, où il y a de fait une tension entre enjeux de santé publique et enjeux économiques, où les politiques à l’échelle nationale et européenne semblent mépriser la santé environnementale, ces familles nous rappellent que l’action au niveau du territoire a encore du sens et qu’il ne faut rien lâcher.
    La première diffusion du documentaire est programmée le 25 avril sur France 3 Pays de Loire.
    https://vimeo.com/927463736?share=copy

  • 28 condamnations à 28 ans, la dernière fois le Toulousain avait montré son sexe au juge ! - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/04/08/28-condamnations-a-28-ans-la-derniere-fois-le-multirecidiviste-toulousain-

    Au tribunal correctionnel de Toulouse, c’est un habitué du box. Mickaël P. 28 ans s’est, une fois n’est pas coutume, retrouvé menottes aux poignets dans les geôles du palais de justice ce lundi 8 avril. Il devait être jugé en comparution immédiate. Dans la nuit du 1er au 2 avril, à Castanet, il a été interpellé pour des violences conjugales. Sa compagne, la cinquantaine, n’a pas souhaité se porter partie civile.

    Agité, pour ne pas dire ingérable dans le box, le prévenu faisait de grands gestes à la victime ; au point de s’attirer les foudres du président Didier Suc, qui connaît bien le loustic. C’est ce même prévenu qui, en août 2020, avait exhibé son sexe devant le magistrat qui le jugeait pour avoir tenté de noyer un moniteur de kayak ! L’affaire d’exhibition s’était terminée par un outrage.

    Pour ses retrouvailles avec le magistrat lundi, le prévenu fâchait d’entrée de jeu Didier Suc, à qui il reprochait de rappeler ses « diverses condamnations. » 28 en tout. « J’ai déjà payé pour ça chef » apostrophait-il le magistrat. Le tout devant son avocat Me Nicolas Raynaud de Lage, navré bien que probablement habitué des frasques de son client. Les retrouvailles entre le juge et le multirécidiviste furent de courte durée, l’audience était finalement renvoyée au 25 avril ; dans l’attente d’une expertise psychiatrique.

  • Israeli troops end Al-Shifa hospital raid, leaving behind bodies and trail of destruction | CNN
    https://www.cnn.com/2024/04/01/middleeast/israel-idf-withdraws-al-shifa-hospital-intl-hnk/index.html

    Medical crews are working to recover hundreds of bodies scattered across the grounds at Al-Shifa, with at least 300 bodies found so far, according to Gaza’s Civil Defense. Determining the precise number of people killed is difficult, it added, because Israeli troops had buried bodies inside and around the complex and bulldozed nearby roads.

    Raed al-Dahshan, director of operations at Gaza’s Civil Defense, told CNN it is “almost impossible” for ambulances to reach the hospital due to damaged roads in the city.

    IDF spokesman Rear Adm. Daniel Hagari said 900 suspected militants had been detained during its two-week operation. More than 500 of these had been identified as members of Hamas or Palestinian Islamic Jihad (PIJ), Hagari said Monday, adding some of those detained are “commanders and significant people.”

    CNN is unable to verify the numbers of bodies inside Al-Shifa independently because of the lack of reporting access in Gaza. CNN has reached out to the IDF on these figures but is yet to hear back.

  • « Quelle mauvaise foi ! »... la ministre Dominique Faure répond aux critiques après des propos maladroits sur les malades du cancer
    https://www.ladepeche.fr/2024/02/18/quelle-mauvaise-foi-dominique-faure-repond-aux-critiques-apres-des-propos-

    Interrogée par France Culture sur la manière dont elle a vécu le récent remaniement, la ministre a dressé un « parallèle » entre cette période de flottement et l’attente vécue par les personnes « à qui on a diagnostiqué un cancer ».

    « J’ai fait ce parallèle avec des gens à qui on a diagnostiqué un cancer et qui attendent pendant quatre semaines, cinq semaines parfois, les résultats des analyses pour savoir quelle forme de cancer, comment ils vont être soignés, quels risques ils ont. Et donc la vie, elle apprend la patience », a-t-elle expliqué au micro de nos confrères.

    • Depuis 2017, c’est toujours la même question, la même sidération : mais comment c’est possible d’être aussi cons ? Comment c’est possible que tous ces macronistes soient aussi abrutis ?

    • Ben là, ce n’est pas qu’une citation, on a le déroulé complet, oui, c’est sidérant de bêtise crasse, totalement hors-sol, mais dans quel plastique sont-iels fondu·es ?

    • #disruption

      disruption \dis.ʁyp.sjɔ̃\ féminin

      (Didactique) Rupture, fracture.
      II paroît qu’à l’époque de la disruption des roches calcaires contre les roches schisteuses. — (Jean Louis Giraud Soulavie, Histoire naturelle de la France méridionale, 1781)
      (Fusion nucléaire) (Physique nucléaire, magnétohydrodynamique, physique des plasmas) Interruption brutale du courant généré par le plasma thermonucléaire d’un tokamak.
      Étude d’une méthode d’amortissement des disruptions d’un plasma de tokamak. — (Cédric Reux, Étude d’une méthode d’amortissement des disruptions d’un plasma de tokamak, 2010, thèse de doctorat.)
      (Marketing) (Anglicisme) Stratégie d’innovation par la remise en question des formes généralement pratiquées sur un marché, pour accoucher d’une « vision », créatrice de produits ou de services radicalement innovants.
      L’humanité vit désormais au rythme de la disruption. La disruption, c’est une innovation qui place son inventeur dans une situation de monopole quasi absolu du marché qu’il vient de créer - ce qui lui permet de rafler la mise, sans crainte de concurrent. — (Pascal Chabot, interview dans Télérama n° 3558, 21 mars 2018, page 6.)
      La disruption est une rupture, une innovation radicale qui rebat totalement les cartes d’un marché établi. Sa recette commence à être connue : un astucieux mélange d’esprit entrepreneurial et de nouvelles technologies « de rupture ». — (Irénée Régnauld, « La démocratie à l’épreuve de la "disruption" », Socialter, numéro 29, juin-juillet 2018, page 68.)
      (Psychologie) Accélération de la société qui génère une perte de repères chez l’individu

      https://fr.wiktionary.org/wiki/disruption

  • « Les prix des carburants auraient pu baisser davantage, les distributeurs n’ont pas respecté leurs engagements », juge la CVLC - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/02/16/les-prix-des-carburants-auraient-pu-baisser-davantage-les-distributeurs-no

    C’est ce qu’on appelle une promesse non-tenue. Dans un rapport publié ce jeudi 15 février, l’Association nationale de défense des consommateurs CVLC met en garde contre l’augmentation des marges brutes – soit la différence entre le prix hors taxes du carburant et le prix en sortie de raffinerie – des distributeurs de carburants qui atteignent des niveaux « pas acceptables ». Les prix des carburants ont explosé depuis le début de la guerre en Ukraine. Mais en 2022, les distributeurs ont accepté de réduire leur marge brute.

    But what a surprise ! :-))

  • Guerre en Ukraine : le parquet antiterroriste ouvre une enquête après la mort de deux humanitaires français en Ukraine
    https://www.ladepeche.fr/2024/02/03/direct-guerre-en-ukraine-le-parquet-antiterroriste-ouvre-une-enquete-apres

    Le parquet #antiterroriste (#Pnat), sollicité par l’AFP, a indiqué ouvrir une enquête après la mort jeudi dans le sud de l’Ukraine de deux humanitaires français lors d’un bombardement russe.
    La Cour internationale de justice (#CIJ) s’est estimée vendredi compétente pour juger une affaire portée par l’Ukraine contre Moscou au sujet de l’invasion de 2022, que le président russe Vladimir Poutine avait justifiée en accusant Kiev de mener un « génocide ».

    Le PNAT et la CIJ sont légitimes... en Ukraine. Mais à Gaza, c’est une autre affaire.

    • Tu vois cette information, je l’ai retrouvée dans le journal local du fin fond de la Loire. Une demi-page consacrée à l’Ukraine, et à la CIJ. Parce que la CIJ, c’est important d’en parler, surtout quand il s’agit de génocide, et qu’il s’agit de Poutine qui accuse l’Ukraine de cela et que la CIJ te dit qu’en effet, elle va prendre le temps de vérifier si les accusations de Poutine étaient condamnables ou pas. Parce que oui, c’est bien Poutine qui est accusé par l’Ukraine de réaliser des dénonciations calomnieuses. Et là, ça mérite la demi-page dans la presse quotidienne semi-départementale. Cette presse ne te parle pas de Gaza, ni de la Palestine, évidemment. Décontraction avec les faits qu’on te disait, hier.

  • Grosse fuite dans une usine : 12 500 litres de lait se déversent dans une rivière
    https://www.ladepeche.fr/2024/02/01/grosse-fuite-dans-une-usine-12-500-litres-de-lait-se-deversent-dans-une-ri

    À Caussade, en Tarn-et-Garonne, un accident survenu durant une opération de maintenance dans une fromagerie a provoqué une pollution, jeudi 1er février. Le cour d’eau tout proche et la station d’épuration ont été impactés.

    Un petit cours d’eau se jetant dans la Lère a été pollué par un rejet de lait provenant de la laiterie – fromagerie située impasse de Meaux, à Caussade, ce jeudi 1er février 2024.

    Faut bosser pour obtenir les infos non cité dans l’article… les acteurs coupables de cette pollution sont : Fromagerie #Lescure / #Terra_Lacta qui appartient au groupe #Savencia
    525 Impasse Meaux
    82300 Caussade

    #laiterie #pollution
    Et il me semble qu’il y a déjà sur seenthis un accident de ce type qui a pollué la Seiche en Ille-et-Vilaine.

    Pollution de la Seiche en Ille-et-Vilaine : « Les rejets continuent, on a plusieurs milliers de poissons morts »
    https://seenthis.net/messages/624973

  • « Traités comme du bétail » : violences physiques, sexuelles... ce que l’on sait sur les plaintes déposées par 20 anciens élèves dans le Béarn - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/02/01/traites-comme-du-betail-violences-physiques-sexuelles-ce-que-lon-sait-sur-

    Une vingtaine d’anciens élèves du collège-lycée catholique Notre-Dame de Bétharram, situé dans le Béran (Pyrénées-Atlantiques) ont porté plainte pour des « violences physiques » et « sexuelles ». Certains affirment que les élèves étaient « traités comme du bétail ».

  • Pourquoi les agriculteurs ont-ils le droit de tout casser ? - Frustration Magazine
    https://www.frustrationmagazine.fr/agriculteurs-fnsea

    Parfois, le puissant syndicat FNSEA et sa branche jeune, les Jeunes Agriculteurs (JA) vont plus loin en s’en prenant aux personnes : en mars dernier, une centaine de tracteurs ont pénétré dans l’agglomération de La Rochelle, en Charente-Maritime, et les manifestants ont pu, en toute impunité, dégrader la maison du vice-président de Nature Environnement 17, une association écologiste impliquée dans la lutte contre les méga-bassines. C’est la deuxième fois que son domicile est attaquée , et la police n’a rien fait pour l’en empêcher. Son épouse a été injuriée, des inscriptions homophobes ont été faites dans la rue. Aux dernières nouvelles, aucun manifestant n’a été inquiété pour ces actes. La violence des agriculteurs ne fait l’objet d’aucune édition spéciale de BFM TV. On ne demande à personne, et surtout pas au président de la FNSEA, à l’initiative de ces actions, de « condamner les violences » . Et ces violences n’ont rien de nouveau : Basta Mag documente la succession d’actes de dégradation de l’espace public, mais aussi de maltraitance envers des animaux, commis par des agriculteurs mobilisés depuis 60 ans… Sans que cela ne scandalise grand monde. Pourquoi une telle impunité médiatique et policière ?

    #séparatisme (agricole) #FNSEA #agroindustrie

  • Elle devait envoyer l’ADN des créateurs de Stark Trek sur la Lune, mais se désintègre en plein Pacifique : retour sur l’échec de la sonde Peregrine - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/01/19/elle-devait-envoyer-ladn-des-createurs-de-stark-trek-sur-la-lune-mais-se-d

    Un échec pour les riches personnalités qui avaient payé pour envoyer les cendres de leurs proches, des éléments d’ADN ou divers objets sur la Lune. Très controversée, la mission avait ainsi vendu des prestations pour le moins étonnantes, proposant de transporter des choses (ou des personnes décédées) dans l’espace, des fragments d’ADN des créateurs de Star Trek font d’ailleurs partie du voyage.

  • Le motard fait une roue arrière, double des voitures et se tue

    « Un motard de 23 ans a trouvé la mort sur une route de Gironde après avoir fait une roue arrière et doublé des voitures. (...) »

    Un vrai motard, ou une racaille de cité ?

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    Essaie encore ! :-D :-D :-D

    https://www.ladepeche.fr/2024/01/16/le-motard-fait-une-roue-arriere-double-des-voitures-et-se-tue-11699354.php

  • Covid-19 : l’hydroxychloroquine responsable de 17 000 décès dans six pays dont la France selon une étude - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/01/04/covid-19-lhydroxychloroquine-responsable-de-17-000-deces-dans-six-pays-don

    Selon l’étude de Science, l’hydroxychloroquine serait associée à près de 17 000 décès dans six pays dont la France, sur la période de la première vague entre mars et juillet de cette même année. Des chercheurs du CHU de Lyon ont, quant à eux, précisé que près de 13 000 personnes en seraient mortes aux États-Unis et près de 200 en France, mais France Inter, qui expose cette enquête précise que ces chiffres pourraient être largement sous-évalués. L’étude exclut en effet l’Inde et le Brésil, deux pays où le traitement a été très utilisé mais pour lesquels nous n’avons pas suffisamment de données chiffrées.