company:manpower group

  • A IBM, les licenciements continuent : les assistantes interrompent le CCE
    https://paris-luttes.info/a-ibm-les-licenciements-continuent-6313

    Avec pas moins de 4 articles en 2016 consacrés aux licenciements à IBM vous êtes un peu au courant de la situation sociale chez le géant de l’informatique. Voici les dernières nouvelles de la lutte des 102 assistantes contre leur transfert (projet Gallium) vers Manpower Group Solutions (filiale de (...) — Salariat - précariat, grèves, région parisienne

  • Du déficit persistant de travailleurs qualifiés
    http://www.actuchomage.org/2012052921002/Social-economie-et-politique/du-deficit-persistant-de-travailleurs-qualifies.html

    L’« inemployabilité » est leur leitmotiv, toujours martelé à la charge des postulants. Pourtant, en droit du #travail français, « l’employeur a l’obligation d’assurer l’adaptation des salariés à leur poste de travail. Il veille au maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard notamment de l’évolution des emplois, des technologies et des organisations. Il peut proposer des formations qui participent au développement des compétences ». On se souvient d’une époque où les entreprises ne faisaient pas la fine bouche, formant sur le tas des millions de travailleurs qui donnaient, au final, pleinement satisfaction et étaient même autorisés à emprunter "l’ascenseur social".

    Tout cela est bien fini. Grâce au #chômage de masse, ils n’ont que l’embarras du choix et se permettent de pousser leurs exigences au maximum (avec des contreparties minimum…), quitte à friser le délire. Tout est bon pour pleurer misère : le « déficit de compétences des candidats », en particulier « la maîtrise d’une langue étrangère » ; et « le manque d’expérience », selon les motifs relevés par l’enquête Manpower Group.

    Comble de la mauvaise foi, en tête des raisons invoquées pour ne pas pourvoir un poste figure « le manque de postulants » (!!!) ; et quelques employeurs pointent « un problème de qualités personnelles », comme « le manque d’enthousiasme » ! C’en est trop, sachant que les rémunérations proposées et les conditions de travail sont de plus en plus indignes. D’ailleurs, Manpower Group note que, pour attirer des moutons à cinq pattes, la hausse du #salaire n’est utilisée que par 8% des employeurs.