• Durant plusieurs jours à Lampedusa, des centaines de migrant-e-s ont manifesté de manière pacifique dans les rues de l’île. Ils refusent la procédure d’identification qui repose sur la prise d’empreintes digitales, une procédure qui les contraindrait à rester en Italie alors qu’ils souhaitent demander l’asile dans un autre pays.
      Selon le règlement européen Dublin II 1, les personnes qui sollicitent le statut de réfugié doivent déposer leur demande d’asile dans le premier pays dans lequel ils ont été identifiés. Informé-e-s par leurs proches des mauvaises conditions d’accueil en Italie et de la situation économique du pays, les migrant-e-s demandent à être libres de choisir leur pays de destination ; ils citent en particulier la Norvège, la Suède et l’Angleterre. Les perspectives de trouver un emploi et d’accéder au système éducatif sont en effet limitées en Italie.
      Provenant de l’Afrique Subsaharienne, principalement de l’Érythrée, ces femmes et ces hommes ont traversé le Soudan, vécu la tragédie de la traversée du désert avant d’arriver en Libye, pays connu pour le racisme à l’égard des migrant-e-s et l’absence de respect des droits humains, comme dénoncé dans un rapport de mission par la FIDH, Migreurop et JSFM1. Ils n’ont ensuite eu d’autres choix que de prendre la mer dans des conditions périlleuses pour rejoindre l’Europe afin d’être reconnus comme réfugiés et espérer ainsi accéder à leurs droits, vivre en sécurité et dignement. Les capacités d’accueil des centres italiens sont actuellement saturées. Samedi 20 juillet, 950 personnes étaient enfermées dans le Centre de Premier Secours et d’Accueil de Lampedusa, où la capacité officielle serait d’environ 300 places. En l’absence de dispositions claires en matière de durée de détention à l’intérieur du centre d’accueil, le maintien est décidé de façon totalement arbitraire. Une partie des migrant-e-s sont présent-e-s à Lampedusa depuis plus de deux semaines dans l’attente d’un transfert vers la terre ferme.
      Samedi 20 juillet, la manifestation s’est terminée sur la place de l’Église où les migrants ont procédé à un long rituel religieux. Ils ont immédiatement été rejoints par les organisateurs, les volontaires et le public du Lampedusa In Festival, ainsi que des représentants des institutions civiles et religieuses Les manifestants ont ensuite discuté longuement avec un représentant de la police qui les a priés de rejoindre le centre en leur promettant que, dès le lendemain matin, les transferts seraient effectués en commençant par les femmes et les enfants. Les migrant-e-s, qui demandaient à être transférés tous ensemble, ont décidé de rester dormir sur la place, renonçant à l’eau et à la nourriture qui ne leur étaient garantis que s’ils rejoignaient le centre. Les opérateurs du projet « Praesidium »2 n’ont pas trouvé de solution alternative. La Préfecture, responsable de la gestion du centre, n’a pas autorisé la distribution des repas. Les associations présentes et certains habitants ont apporté des fruits et de l’eau aux migrant-e-s. Les militants et les forces de l’ordre sont restés toute la nuit sur la place avec les manifestants.
      Le lendemain, le dimanche 21 juillet à midi, les migrant-e-s ont continué leur protestation, sous la chaleur et à jeun. Le cortège est passé par le centre de l’île et le port avant de revenir sur la place de l’Église. Le jour même, environ deux cent personnes ont été transférées vers la terre ferme alors que 208 personnes, secourues et interceptées par les garde-côtes au large des côtes libyennes, étaient conduites à Lampedusa.
      Dans l’après-midi, après de nouvelles négociations, les manifestants ont finalement accepté de rentrer au centre d’accueil, assurés que leurs requêtes seraient écoutées.
      L’association Askavusa dénonce :
      – l’état d’exception et l’urgence humanitaire permanent comme politique de gestion ordinaire des migrations en Italie
      – l’instrumentalisation de Lampedusa comme vitrine de la rhétorique de « l’invasion » et du choc culturel et ses conséquences de légitimation des pratiques sécuritaires3
      – les politiques européennes d’externalisation des frontières vers les pays du sud, notamment par la mise en place du programme Eurosur
      – le paradoxe des politiques de fermeture des frontières qui fabriquent des « clandestins » à la base du système économique global et désignent les migrant-e-s comme responsables de l’échec de ce modèle.

      L’association Askavusa invite à :

      – respecter l’équilibre social et économique de la communauté lampedusaine et à réviser radicalement le système d’accueil qui porte à l’enfermement des migrant-e-s
      – repenser le règlement européen Dublin II et du futur Dublin III pour une réelle solidarité entre les États membres afin de garantir les droits des migrant-e-s
      – réfléchir à une autre gestion de la mobilité garantissant à toutes et à tous le respect de leurs droits et de leur dignité ainsi que la liberté personnelle de chacun-e

      Association Askavusa

      #migration #manifestation #lampedusa

  • Tensione a #Lampedusa: corteo di #migranti fuggiti dal centro di accoglienza

    –-> Un #cortège de #migrants qui ne veulent pas rentrer dans leur #centre_de_détention parce qu’ils ne veulent pas être identifiés en #Italie, car ils pensent ne pas pouvoir obtenir une vraie protection dans ce pays

    In duecento, prevalentemente eritrei, manifestano in paese: non vogliono essere identificati. Tra loro molte donne e minori. La cronaca di Valeria Brigida

    http://video.repubblica.it/mondo-solidale/tensione-a-lampedusa-corteo-di-migranti-fuggiti-dal-centro-di-accoglienza/135537/134071?ref=HREC1-6

    #protestation #identification #asile #réfugiés #empreintes_digitales #résistance #identification

    • Lampedusa, profughi in rivolta. «No alle impronte digitali»

      Una manifestazione spontanea di oltre 200 persone, per lo più eritrei, con tante donne e tanti bambini, sta avendo luogo nell’isola. Le persone sono fuggite dal centro di accoglienza che non riesce più a contenere la gente che arriva, a centinaia, ogni giorno. Il rifiuto delle impronte trova ragione nel fatto che l’identificazione in Italia impedirebbe loro di scegliere altri paesi europei

      http://www.repubblica.it/solidarieta/profughi/2013/07/20/news/lampedusa_profughi_in_rivolta_no_alle_impronte_digitali-63375459

    • Lampedusa, vincono gli eritrei. No alle impronte digitali

      –-> Lampedusa: les erythréens gagnent, pas d’empreintes digitales

      Sull’isola dopo la protesta degli immigrati per i riconoscimenti di identità. Con la mediazione del parroco si raggiunge un accordo: saranno trasferiti in altre città a piccoli gruppi

      Accord: les migrants seront transférés dans d’autres petites villes en petits groupes

      http://www.repubblica.it/cronaca/2013/07/21/news/lampedusa_vincono_gli_eritrei_no_alle_impronte_digitali-63432090/?ref=HREC1-9

    • Update 3 -Lampedusa Protest on #fingerprints

      After long negitiations between a Delegation of the #refugees and the local maior, priest and police (and church people from rome in the background) a compromise was agreed: all protesters can leave Lampedusa without fingerprints, but only in groups of 50 or 60 people day after day.

      And they just went back to the camp after 2 Day protest with no or little food, but with a lot of new contacts and the experience of the strength of a common struggle.

      Supporters in Lampedusa have to check, if the promise will be kept during next days. And others in italy if the people will not be brought to closed camps in sicily to be fingerprinted by force there...

      http://kein-mensch-ist-illegal-hh.blogspot.de/2013/07/update-3-lampedusa-protest-on.html

    • Durant plusieurs jours à Lampedusa, des centaines de migrant-e-s ont manifesté de manière pacifique dans les rues de l’île. Ils refusent la procédure d’identification qui repose sur la prise d’empruntes digitales, une procédure qui les contraindrait à rester en Italie alors qu’ils souhaitent demander l’asile dans un autre pays.
      Selon le règlement européen Dublin II 1, les personnes qui sollicitent le statut de réfugié doivent déposer leur demande d’asile dans le premier pays dans lequel ils ont été identifiés. Informé-e-s par leurs proches des mauvaises conditions d’accueil en Italie et de la situation économique du pays, les migrant-e-s demandent à être libres de choisir leur pays de destination ; ils citent en particulier la Norvège, la Suède et l’Angleterre. Les perspectives de trouver un emploi et d’accéder au système éducatif sont en effet limitées en Italie.
      Provenant de l’Afrique Subsaharienne, principalement de l’Érythrée, ces femmes et ces hommes ont traversé le Soudan, vécu la tragédie de la traversée du désert avant d’arriver en Libye, pays connu pour le racisme à l’égard des migrant-e-s et l’absence de respect des droits humains, comme dénoncé dans un rapport de mission par la FIDH, Migreurop et JSFM1. Ils n’ont ensuite eu d’autres choix que de prendre la mer dans des conditions périlleuses pour rejoindre l’Europe afin d’être reconnus comme réfugiés et espérer ainsi accéder à leurs droits, vivre en sécurité et dignement. Les capacités d’accueil des centres italiens sont actuellement saturées. Samedi 20 juillet, 950 personnes étaient enfermées dans le Centre de Premier Secours et d’Accueil de Lampedusa, où la capacité officielle serait d’environ 300 places. En l’absence de dispositions claires en matière de durée de détention à l’intérieur du centre d’accueil, le maintien est décidé de façon totalement arbitraire. Une partie des migrant-e-s sont présent-e-s à Lampedusa depuis plus de deux semaines dans l’attente d’un transfert vers la terre ferme.
      Samedi 20 juillet, la manifestation s’est terminée sur la place de l’Église où les migrants ont procédé à un long rituel religieux. Ils ont immédiatement été rejoints par les organisateurs, les volontaires et le public du Lampedusa In Festival, ainsi que des représentants des institutions civiles et religieuses Les manifestants ont ensuite discuté longuement avec un représentant de la police qui les a priés de rejoindre le centre en leur promettant que, dès le lendemain matin, les transferts seraient effectués en commençant par les femmes et les enfants. Les migrant-e-s, qui demandaient à être transférés tous ensemble, ont décidé de rester dormir sur la place, renonçant à l’eau et à la nourriture qui ne leur étaient garantis que s’ils rejoignaient le centre. Les opérateurs du projet « Praesidium »2 n’ont pas trouvé de solution alternative. La Préfecture, responsable de la gestion du centre, n’a pas autorisé la distribution des repas. Les associations présentes et certains habitants ont apporté des fruits et de l’eau aux migrant-e-s. Les militants et les forces de l’ordre sont restés toute la nuit sur la place avec les manifestants.
      Le lendemain, le dimanche 21 juillet à midi, les migrant-e-s ont continué leur protestation, sous la chaleur et à jeun. Le cortège est passé par le centre de l’île et le port avant de revenir sur la place de l’Église. Le jour même, environ deux cent personnes ont été transférées vers la terre ferme alors que 208 personnes, secourues et interceptées par les garde-côtes au large des côtes libyennes, étaient conduites à Lampedusa.
      Dans l’après-midi, après de nouvelles négociations, les manifestants ont finalement accepté de rentrer au centre d’accueil, assurés que leurs requêtes seraient écoutées.
      L’association Askavusa dénonce :
      l’état d’exception et l’urgence humanitaire permanent comme politique de gestion ordinaire des migrations en Italie
      l’instrumentalisation de Lampedusa comme vitrine de la rhétorique de « l’invasion » et du choc culturel et ses conséquences de légitimation des pratiques sécuritaires3
      les politiques européennes d’externalisation des frontières vers les pays du sud, notamment par la mise en place du programme Eurosur
      le paradoxe des politiques de fermeture des frontières qui fabriquent des « clandestins » à la base du système économique global et désignent les migrant-e-s comme responsables de l’échec de ce modèle.

      L’association Askavusa invite à :

      respecter l’équilibre social et économique de la communauté lampedusaine et à réviser radicalement le système d’accueil qui porte à l’enfermement des migrant-e-s
      repenser le règlement européen Dublin II et du futur Dublin III pour une réelle solidarité entre les États membres afin de garantir les droits des migrant-e-s
      réfléchir à une autre gestion de la mobilité garantissant à toutes et à tous le respect de leurs droits et de leur dignité ainsi que la liberté personnelle de chacun-e

      –------

      EXTRAITS DE LA VIDEO :

      Habitant : « Moi je pense que les personnes doivent manifester dans leurs pays, et non pas chez les autres »

      Habitant : « ce n’est pas une bonne image pour le #tourisme »

      Habitant : « si ceux qui arrivent à Lampedusa se permettent de faire ce qu’ils veulent, cela signifie que l’Etat n’existe pas »

      Manifestant : « Nous refusons de donner nos empreintes digitales car sinon nous devons rester en Italie, ce qui signifie passer encore des années en attendant les documents, sans avoir du travail »

      Habitant qui a défilé avec les manifestants : « La majorité de la population sur l’île essaie de cacher les migrants et ont honte de la présence de migrants sur l’île »

      http://www.youtube.com/watch?v=JFu0h8CYfUM&feature=share&list=UUDsP5wVi6kSQUs5SzvlCkww

  • #‎Surpeuplement‬ des centres d’‪#‎accueil‬ en ‪#‎Italie‬.

    Le 10 juillet 2013, 17 algériens à la dérive ont été secourus par les #garde-côtes sardes.

    Quatre d’entre eux ont été acheminés à l’hôpital de Sirai, dans le sud-ouest de la #Sardaigne, d’où ils ont essayé de s’échapper. Un seul y est parvenu, les seize autres #harraga ont été enfermés dans le centre de première assistance d’Elmas, CPA, près de Cagliari. Ils ont été placés dans le bâtiment des femmes, qui ont été transférées dans les locaux réservés aux gardiens.

    Les militants No Border en Sardaigne dénoncent le #surpeuplement, le #racisme et la #gestion_autoritaire de ce centre, ainsi que la piètre qualité des repas, l’insuffisance de la ration alimentaire et l’absence d’assistance médicale.

    No Border Sardaigne explique également que pendant trois semaines, des demandeurs d’asile ont été arbitrairement enfermés dans la structure sans autorisation de sortie. Suite à la montée des tensions, l’administration les a finalement laissé sortir le 12 juillet.

    Le 19 juin dernier, en raison du surpeuplement du centre de secours et de premier accueil de Lampedusa, CSPA, environ deux cent personnes avaient été transférées au centre d’Elmas, qui est pourtant un centre de première assistance.

    Enfin, le 11 juillet à #Lampedusa, plus de 600 personnes étaient encore dans l’attente d’un transfert vers une autre structure en Italie- rappelons que le centre peut normalement héberger jusqu’à 300 pesonnes. La veille 140 personnes quittaient l’île par voie aérienne vers Rome et Turin. Le 11 juillet en fin de matinée, 123 personnes étaient à leur tour transférées par ferry en #Sicile alors que les garde-côtes venaient de secourir -à 100 miles de Lampedusa- une embarcation avec à son bord 123 personnes...

    http://www.boats4people.org/index.php/fr/actualite/actuarticles/612-sardaigne-centre-daccueil-transferts-lampedusaAgrigento.

    #migration #demandeurs_d'asile #centres_pour_requérants_d'asile

  • Québec : le héros introuvable de Lac-Mégantic - Le Point
    http://www.lepoint.fr/monde/quebec-celui-qui-a-detache-les-wagons-au-milieu-du-brasier-est-il-un-heros-1

    Au milieu de la nuit, alors que le brasier anéantissait le centre-ville de la bourgade québécoise de Lac-Mégantic, un homme s’est lancé seul dans les flammes pour détacher et éloigner les derniers wagons-citernes qui n’avaient pas encore explosé. Ce « héros » introuvable n’a toutefois pas cherché à recevoir de lauriers : il s’agit du conducteur du train fou qui a fait 20 morts et laissé 30 personnes disparues probablement décédées, selon le dernier bilan de la police.

    • Et le pauvre gars est reclus chez lui.
      Accuser le conducteur de négligence, c’est dégueulasse. La procédure était de laisser un train de pétrole sur une pente et sans conducteur. C’est bien la direction qui est responsable, pas ce pauvre bougre sur qui ces salopards veulent faire reposer la tragédie.

    • La procédure était effectivement criminelle... laisser une locomotive allumée dans la nature pour servir de frein à main à l’équivalent de 150 camions-citernes sur une pente à 1,2%, c’est juste impensable..
      Notre héros malheureux avait-il conscience de ce qu’il faisait laissant ainsi son train en pleine nuit ? Il aurait dû lui aussi. N’importe quel chauffeur routier qui transporte des hydrocarbures sait qu’il a une bombe atomique sous les fesses...
      La ruée vers l’or noir et la pensée industrielle, ça rend débile...

      Je ne crois pas cependant que sa compagnie arrivera à en faire un #lampiste #bouc-émissaire

    • En tout cas, il essaye, bien aidé en cela par certains médias…
      Surprise : BFMTV développe le point de vue du boss,…
      parle de la colère des habitants,
      mais oublie complètement le communiqué en petit nègre (cf. http://seenthis.net/messages/154421#message154835 ).

      International : Lac-Mégantic : le conducteur mis en cause, 20 morts - BFMTV.com
      http://www.bfmtv.com/international/lac-megantic-conducteur-mis-cause-557206.html

      Les freins du convoi ferroviaire dont l’accident et l’explosion ont fait 20 morts ce samedi à Lac-Mégantic étaient-ils bien réglés ? Un employé de la compagnie ferroviaire est-ils à l’origine du drame ? C’est ce que semble affirmer Edward Burkhardt, président de la MMA (Montreal, Maine and Atlantic Railway).

      « Les freins manuels n’ont pas été appliqués de façon adéquate sur ce train et il était de la responsabilité de l’employé de le faire », a-t-il indiqué à la presse alors qu’il se trouvait ce mercredi sur les lieux de l’accident.
      (…)
      L’employé en question a été suspendu sans solde et pourrait être formellement accusé, a-t-il indiqué. « Je peux conclure que les freins n’étaient pas appliqués sans quoi il n’y aurait pas eu d’accident », a affirmé le patron de la MMA, cité par Radio Canada.

  • Lampedusa, i morti ammazzati che i governi hanno taciuto

    –-> #Lampedusa, les morts en Méditerranée sont tués par les gouvernements qui ont tu

    “Ha gettato fiori sul mare per ricordare i morti fantasma”, hanno scritto molti giornali per parlare della visita di papa Francesco a Lampedusa. Nessuno ha voluto dire senza ipocrisia che nel Mediterraneo non si muore per la violenza della natura o per la crudeltà del destino, ma a causa di un accurato piano elaborato con coscienza di causa (pena di morte) di un governo italiano. Lo ha detto il Papa dall’altare costruito alla buona, con legno di barche affondate, rivolto a chi comanda, a qualunque grado di responsabilità: “Per favore, non fatelo più”.
    Non c’era aria da cerimonia o l’astuzia di dire cose buone. C’era verità e dolore del primo Papa che ha scelto di accorgersi che i profughi, i rifugiati, i migranti morti in mare non sono le dolorose vittime di una disgrazia. Sono morti ammazzati.

    –-> Dans la Méditerranée on ne meurt pas à cause de la violence de la nature ou pour la cruauté du destin, mais à cause d’un plan élaboré en connaissance de cause (peine de mort) par le gouvernement italien. C’est ce que le pape a affirmé lors de sa visite à Lampedusa.

    http://www.ilfattoquotidiano.it/2013/07/09/lampedusa-cio-che-i-governi-hanno-taciuto/650844

    #pape #migration #accusation #Méditerranée #meurtre #accident

  • Lampedusa, l’île où l’on ne « vient » pas

    Depuis des années, l’île de #Lampedusa où s’est rendu le #pape François, lundi 8 juillet, est sans doute l’endroit qui incarne le plus toutes les tensions et les drames liés aux #flux_migratoires qui convergent vers l’Europe. Cet îlot de 20 km2 est situé à environ 100 km des côtes nord-africaines et 200 km de la Sicile. Or, chaque été, dès que la mer redevient calme, les arrivées de #migrants à bord d’embarcation de fortune reprennent, et avec elles, leur lot de #morts anonymes.

    –->

    On ne « vient » pas, pourtant, à Lampedusa. On l’ #évite, en principe. C’est par défaut que la plupart des candidats à l’émigration s’y retrouvent. L’objectif des embarcations est généralement la #Sicile, une île plus grande, où il existe de nombreuses criques non surveillées pour accoster.

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/07/08/lampedusa-l-ile-ou-l-on-ne-vient-pas_3444467_3224.html

  • Quello che il papa non vede
    Ce que le #pape ne voit pas à #Lampedusa...

    Sulla visita del papa, ciò che i media non dicono è che la polizia ha ripulito alla grande l’isola. In un post, Fulvio Vassallo Paleologo, docente presso l’Università di Palermo, da anni impegnato con l’Asgi (Associazione studi giuridici sull’immigrazione), spiega che in questi giorni sono stati tenuti alla larga anche i medici che si battono per i diritti dei migranti, «testimoni troppo scomodi di abusi» che vanno coperti ad ogni costo. «La finzione mediatica di Lampedusa vuota, linda e pronta dell’accoglienza deve andare di nuovo in onda… Con l’aggiunta di tute nuove e campo di volley. Hanno ridotto a 128 i migranti sull’isola, con una maggioranza di minori non accompagnati, buoni da esibire».

    –-> la police aurait « nettoyé » l’île avant l’arrivée du pape, ne laissant que 128 migrants, en majorité des mineurs non accompagnés...

    http://comune-info.net/2013/07/quello-che-il-papa-non-vede-a-lampedusa

    #nettoyage

  • Isabelle de Léon, agent au #Pôle-Emploi - Big Brother Awards France
    http://bigbrotherawards.eu.org/Isabelle-de-Leon-agent-au-Pole

    Pour #refus de de participer à une formation au #contrôle des papiers d’identité des demandeurs d’emplois.

    Refusons le contrôle des #chômeurs, qu’ils soient avec ou sans-papiers !

    Nous affirmons tout notre soutien aux conseillers à l’emploi qui ne réalisent pas cette procédure.
    Nous exigeons dès à présent que les #lampes_bleues soient retirées de tous les Pôles Emploi et que les responsables de Pôle Emploi répondent publiquement de ces procédures et révèlent ce qui les autorisent à faire réaliser à leurs salariés des #contrôles_d’identité dans cette institution publique, censée informer, orienter et indemniser les chômeurs, mais qui nous prouve sans cesse qu’elle s’est retournée contre nous.

    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4749

  • Comprenons-nous bien : ce monsieur nous explique très calmement qu’au moins un ministre a ou a eu un compte en Suisse. Les paris sont ouverts, lequel est-ce ?

    Pierre Condamin-Gerbier, ex-cadre de l’établissement financier suisse Reyl et Cie et témoin dans l’enquête sur l’affaire Cahuzac, a affirmé la même chose qu’aux sénateurs la veille, à savoir qu’il détenait une liste d’une quinzaine de noms d’ex ou actuels ministres détenteurs d’un compte en Suisse. Il a également déclaré que ses documents, « des éléments de preuve », avaient été remis à une partie tierce.

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/06/13/cahuzac-n-est-qu-un-fusible_3429677_3224.html

    Le fait que de nombreux responsables politiques français ont utilisé des places financières comme la Suisse pour eux-mêmes ou pour leur parti est un « secret de Polichinelle », avait-il dit. M. Condamin-Gerbier a été responsable de la délégation UMP en Suisse, notamment lors de la campagne présidentielle de 2007,

  • Graphisme & interactivité blog par Geoffrey Dorne » Fabriquer votre lampe torche avec… du papier !
    http://graphism.fr/fabriquer-votre-lampe-torche-avec-du-papier

    Le LiteLite est une lampe en papier qui produit un doux éclat diffus grâce à son faisceau lumineux sorti tout droit de son tunnel de papier. Cette lampe de poche est livrée à plat avec une feuille de papier épais pré-perforée que vous pouvez plier et assembler en un carré afin de former votre lampe de poche. Pour cela, il suffit de plier cette petite feuille, d’attacher la pile et la LED ensemble et d’enrouler l’élastique autour du tube pour tenir ensemble. La lampe de poche s’allume lorsque vous appuyez sur la partie arrière et s’éteint lorsque vous la relâchez… tout simplement.

    #Lampe #LiteLite #Papier #LED

  • Expulsions massives de Tunisiens à Lampedusa
    https://www.lereveil.ch/expulsions-massives-de-tunisiens-a
    « A #Lampedusa, les autorités veulent se débarrasser des Tunisiens insoumis au plus vite. Hier, les premiers 300 Tunisiens ont été amenés en Sicile, d’où ils seront expulsés vers la #Tunisie. 1000 autres suivront jusqu’à ce soir, selon la promesse du ministère de l’intérieur que jusqu’alors, tous les migrants auront quitté l’île. »
    #sans-papiers #migration

  • La tension monte à Lampedusa
    https://www.lereveil.ch/la-tension-monte-a-lampedusa
    « Des heurts ont opposé mercredi 21 septembre en milieu de journée des policiers en tenue anti-émeutes à quelques centaines d’immigrés tunisiens qui manifestaient dans la petite île italienne de #Lampedusa contre leurs conditions d’accueil. Les affrontements ont fait une douzaine de blessés, dont trois membres des forces de l’ordre. Les policiers, équipés de casques et de boucliers, ont matraqué des immigrés, selon des images de la chaîne de télévision Sky TG-24. »
    #sans-papiers #Tunisie

  • Centre de rétention de migrants à Lampedusa en feu
    https://www.lereveil.ch/centre-de-retention-de-migrants-a
    « Haute tension à #Lampedusa. Peu après 17h, le camp de déportation dans l’île Lampedusa a pris feu lorsque des migrants y ont à nouveau protesté. Les protestations et révoltes durent depuis des jours, contre les conditions inhumaines dans le camp extrêmement surpeuplé et les expulsions forcées vers la Tunisie. »
    #sans-papiers

  • La Forteresse assassine : 25 migrants meurent asphyxiés
    https://www.lereveil.ch/la-forteresse-assassine-25
    « Nouveau drame de l’immigration lundi sur l’île italienne de #Lampedusa : les cadavres de 25 migrants ont été retrouvés dans la salle des machines d’un bateau surchargé de #réfugiés en provenance de Libye. 271 migrants ayant survécu à la traversée sur ce petit navire d’une quinzaine de mètres ont été pris en charge par les garde-côtes. Ceux-ci n’ont découvert les 25 corps que lors d’une inspection de l’embarcation, les survivants ne les ayant pas avisés du drame. »
    #migration #forteresse_europe

  • Paris : Un nouveau squat de harragas sans logis sous expulsion - IMC Nantes
    https://nantes.indymedia.org/article/23777

    Paris : Un nouveau squat de harragas sans logis sous expulsion

    Depuis le 16 mai, plusieurs dizaines de harragas de Lampedusa sans logis occupent un immeuble vide rue Bichat à Paris-10e. Son propriétaire, l’AFTAM (gros gestionnaire de foyers, dont justement plusieurs de migrants) le laissait vide depuis quelques mois.

    Hier soir, jeudi 26 mai, vers 19h40, des dizaines de flics (dont 6 cars de gendarmes mobiles) ont tenté de rentrer en force dans l’immeuble, malgré tous les documents administratifs (assurance, EDF,…) démontrant qu’il était occupé depuis près d’une semaine par ses occupants.
    Sur le moment, l’AFTAM a lâché une vague promesse d’entamer une procédure, tout en refusant de « communiquer » sur la question avant vendredi. En tout cas, cette nuit, le bâtiment était toujours cerné par les flics (rue Bichat barrée des deux côtés).

    L’AFTAM veut-elle se rendre complice du ministère de l’Intérieur en expulsant les occupants harragas pour les remettre à la merci des rafles ? Son slogan proclame « donner les moyens de l’autonomie », est- ce que ce serait par hasard en livrant une cinquantaine de harragas à la police ?
    L’AFTAM doit prendre ses responsabilités, et ce n’est pas en se cachant derrière une possible procédure express qu’elle pourra garder les mains propres !

    Un foyer autogéré pour les harragas !
    Des papiers pour tous !
    Ni police ni charité !

    Des harragas sans-logis de Lampedusa et leurs voisins solidaires,
    jeudi 26 mai 2011, minuit

    Le site de l’AFTAM : http://www.aftam.fr
    on y découvre que le fondateur en est Stephane Hessel.

    #bolivar51 #réfuigiés #tunisiens #lampedusa #
    #botzaris36

  • Internazionale - Harraguantanamo - 19 mai 2011

    http://www.internazionale.it/harraguantanamo

    Ilyess, 30 ans, originaire de Zarzis (Tunisie) a documenté son voyage de « harraga » en 70 photos, prises avec son portable du 28 mars au 17 avril 2011. Du départ de Tunisie, à la traversée à Lampedusa, entre émergence et accueil, jusqu’à au campement de tentes de Trapani, où il a vécu 13 jours « comme à guantanamo », comme il dit lui : sans assez d’eaux pour les douches pour 700 personnes , entre tentatives de fuites, dans la constante incertitude sur son propre destin.

    Le portable de Ilyess photographie le boat-people chargé de migrants, la famille qui l’accueil à Lampedusa, et puis et surtout la « tendopoli », le campement de Trapani, que il définit Guantanamo : la bouffe (donnée derrière une grille pour des questions de sécurité), les moments de repos jouant à football, les gréves de la faim et du sommeil organisés par protestation en enfin le titre de séjour pour motifs humanitaires. Les dernières prises de vue montrent le paysage sicilien qui voit du bus quand il est enfin libre de poursuivre son voyage et essayer de rejoindre Paris.

    Ilyess arrive à Paris le 20 avril 2011.

    #migrations #asile #réfugiés #tunisie #lampedusa

  • Réponse du Cabinet du Maire de la Ville de Paris à notre interpellation par lettre ouverte dont la signature reste ouverte ici http://goo.gl/CJa11
    Je vous la livre telle quelle, pas le temps de la commenter mais c’est toujours le même discours depuis le début.

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    Monsieur,

    Vous avez laissé un message sur le site de la Ville de Paris le 22 mai, et je me fais un devoir de vous renseigner plus complètement. Et d’abord sur les conditions d’évacuation de l’immeuble situé 51 Avenue Simon Bolivar.

    Cet immeuble de bureaux n’est absolument pas conçu pour accueillir des personnes en hébergement, puisqu’il ne comporte ni chambres, ni sanitaires (douches), ni cuisine.

    Il est surtout dangereux en termes de risque incendie. Selon un rapport de la Direction de l’Urbanisme de janvier 2009, ce bâtiment présente plusieurs problèmes graves au regard de la sécurité incendie : structure métallique offrant une résistance au feu insuffisante, issue de secours non-conforme, isolement de parois non-conforme, présence très importante de bois non traité, etc. Tous ces éléments ont conduit la Ville à mettre un terme à son occupation par les services techniques municipaux.

    C’est sur la base de ces éléments que « Jeudi noir », qui avait également investi les lieux, a accepté de quitter ce site dangereux pour les personnes car présentant une insuffisante résistance au feu.

    Dès le lundi, la Ville de Paris a cherché à prendre des contacts. Pendant deux jours, Pascale Boistard, Adjointe au Maire de Paris, des élus du 19ème arrondissement, des adjoints de la majorité (Denis Baupin), le cabinet du Maire, et le Secrétariat Général de la Ville ont été présents sur le site quasiment en permanence. Il a été très compliqué de trouver des interlocuteurs : aucun représentant ni porte parole reconnu n’a été désigné, les décisions étant prises au sein d’une assemblée générale composée de militants « extrémistes » se réunissant dans l’immeuble, dont l’accès était interdit à la Ville de Paris.

    Malgré nos demandes, nous n’avons jamais pu disposer d’une liste complète des Tunisiens occupant l’immeuble, ni connaître précisément leur nombre. Plusieurs réunions ont eu lieu, notamment dans les locaux de la CFDT, pour leur indiquer l’extrême dangerosité du site, que la Ville ne prendrait pas le risque de laisser à l’intérieur des personnes exposées à un tel risque et qu’elle leur proposait des hébergements.

    Dès le mardi après midi, la Ville de Paris a proposé un nombre les places d’hébergement en nombre suffisant pour éviter l’arrestation des Tunisiens en situation irrégulière. 100 places étaient en effet disponibles dans un centre d’hébergement spécialement ouvert pour les Tunisiens occupant l’immeuble, géré par l’association Aurore et financé par la Ville. Ces places venaient s’ajouter aux 120 places en hôtel gérées par « France Terre d’Asile ». Et une quarantaine de places supplémentaires pouvaient être mobilisées dès le mercredi soir.

    Mardi soir, alors qu’un bus des TAM était sur place pour accompagner les Tunisiens vers ce centre d’hébergement, plusieurs militants présents sur place les ont dissuadés d’accepter ces propositions malgré les risques imminents (connus de tous) d’intervention de la police et d’arrestation. Le collectif a manifesté dans la soirée son hostilité aux pompiers présents sur place (qui ont dû quitter les lieux) lorsqu’un des occupants a escaladé le toit de l’immeuble dans des conditions de danger extrême.

    La Ville a constamment répété aux occupants que nous ne pourrions pas les laisser dans les lieux au-delà du mardi soir et qu’une évacuation interviendrait in fine s’ils restaient, avec les risques d’interpellation induits.

    La Ville a dû déposer une plainte lundi, procédure administrative nécessaire dans tous les cas d’occupation illicite, afin de dégager la responsabilité du propriétaire en cas d’accident dans le bâtiment. L’intervention s’est faite mercredi à la demande de la Ville pour raisons de sécurité.

    La plainte a été retirée avec le départ des occupants et n’est en rien une circonstance aggravante pour les Tunisiens arrêtés et placés en garde à vue du fait de leur situation irrégulière. Nous n’avons eu de cesse de répéter depuis 10 jours l’indignité et l’inefficacité des arrestations policières.

    Si le collectif avait accepté les propositions d’hébergement de la Ville disponibles la veille de l’évacuation, les 84 Tunisiens arrêtés en situation irrégulière auraient été protégés des interpellations. Nous ne pouvons que regretter que les « organisateurs » de ce collectif n’aient pas eu comme priorité la protection immédiate de ces personnes.

    Dans cette affaire, personne de bonne foi ne peut contester qu’il aurait été irresponsable de laisser près de 200 personnes dans cet immeuble dangereux plusieurs semaines (ce qui aurait été le cas si nous ne l’avions pas évacué dans le délai de 48 heures), a fortiori dans les conditions de grande confusion, voire de violence, qui régnait parmi les occupants.

    Personne ne peut contester non plus que la Ville a tout fait pour offrir aux occupants une solution alternative d’hébergement et n’a cessé de prévenir les occupants des conséquences inévitables de leur refus. Elle ne pouvait faire perdurer une telle situation, dangereuse pour les occupants.

    En l’absence de réponse de l’Etat qui a la responsabilité de la prise en charge des sans-abri, la Ville a mis en œuvre des mesures exceptionnelles afin que cette population soit accueillie dans des conditions dignes en mobilisant près de 300 places d’hébergement. La situation de ces personnes en errance nécessite un suivi social et sanitaire appuyé ainsi qu’un accompagnement juridique dans le respect de la dignité des personnes et du droit qu’il s’agisse des accords de Schengen ou de la convention européenne des droits de l’homme.

    Le Maire de Paris a demandé à l’Etat que les situations individuelles soient étudiées avec pragmatisme. En avril 2008, un accord de coopération a été signé entre la France et la Tunisie pour accueillir 9000 Tunisiens qui souhaiteraient travailler en France. Aujourd’hui, seules un peu plus de 2000 personnes ont bénéficié de cet accord. Au regard de la situation de chacun, le Maire de Paris demande que l’Etat respecte le cadre de cet accord et propose, chaque fois que cela est possible, une régularisation par le travail. Pour les Tunisiens qui souhaiteraient retourner en Tunisie, la Ville invite l’Etat à mettre en place un dispositif adapté à ces circonstances exceptionnelles, notamment en proposant une aide au retour revalorisée.

    J’ajoute que lors du Conseil de Paris des 16 et 17 mai, la collectivité parisienne a souhaité mobiliser ses services et soutenir l’action des associations autour de plusieurs priorités définies de façon coordonnée. Ainsi, la Ville facilite l’hébergement d’urgence des personnes les plus fragiles réalisé par les associations « France Terre d’Asile » et « Aurore » qui mobilisent au total 230 places d’accueil en hôtel ou en centre d’hébergement sur un mois, avec un accompagnement individuel et la recherche de solutions dans le respect du droit et de la dignité humaine : une convention liant l’association « France Terre d’Asile » au Département de Paris financera cette action d’orientation individuelle et de prise en charge hôtelière (130 places) à hauteur de 92 000 €. Une autre convention liant l’association « Aurore » au Département de Paris financera l’ouverture d’un centre d’hébergement de 100 places d’accueil, avec un service de restauration et de suivi social, à hauteur de 90 000 €.

    Il s’agit d’autre part de soutenir la mise en place de maraudes humanitaires de nuit réalisées par l’association « Emmaüs » afin d’aller au contact des personnes à la rue pour leur proposer une aide sociale immédiate et procéder à des signalements en cas de problème de santé avéré. Ces équipes ont également pour mission de réaliser une veille sociale sur les sites les plus sensibles dans les 10ème, 19ème et 20ème arrondissements afin de mieux évaluer la composition et l’évolution de ces groupes communautaires. Cette action sera financée par le biais d’une subvention exceptionnelle de 12 000 €.

    Enfin, pour aider au renforcement de l’aide alimentaire délivrée par les associations « La chorba » et « Une chorba pour tous », qui distribuent quotidiennement plus de 500 repas à ces personnes, une subvention exceptionnelle de 8.000 € sera versée à chacune des deux associations.

    En outre, des kits d’hygiène sont distribués et une prise en charge médicale est proposée quand cela est nécessaire. C’est une enveloppe de près de 335 000 euros qui est consacrée aux Tunisiens.

    Je termine en soulignant que la Ville ne peut accepter les dégradations des équipements publics ni les violences (notamment à l’endroit de ses personnels) qui ont marqué l’occupation du gymnase de la rue de la Fontaine-au-Roi, et je ne doute pas que votre sentiment rejoigne le nôtre.

    Veuillez recevoir, Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.
    Le Chef du Cabinet du Maire de Paris

    Emmanuel Grégoire

    #Tunisie #Lampedusa #Paris #delanoe #petition

  • Comment bien gérer la montée en charge d’une application web ? | Simple Entrepreneur
    http://www.simpleentrepreneur.com/2008/03/11/comment-gerer-la-montee-en-charge-d-une-application-web

    Voici quelques pistes qui seront particulièrement utiles à ceux qui développent une application dans un environnement LAMP (Linux, Apache, Php et MySql) ou RoR (Ruby On Rails). Il s’agit en fait des retours d’expérience de sites comme Flickr, Digg

    #charge #dev #php #ror #rails #ruby #mysql #linux #serveur #load #architecture #redondance #load_balancing #flickr #digg #twitter #lamp #performance #groupe:clever-age