MARC HURTADO « MY LOVER THE KILLER »
▻https://laspirale.org/video-660-marc-hurtado-my-lover-the-killer.html
MARC HURTADO « MY LOVER THE KILLER »My Lover The Killer ou la rencontre cinématographique de deux « monstres » sacrés... Lydia Lunch et Marc Hurtado, sous la forme d’un road-trip aussi intense qu’halluciné ! Entretien sur les chapeaux de roues et bande-annonce du film, à 72 heures de sa première projection dans le cadre de L’Étrange Festival 2020.
BILLETTERIE & INFORMATIONS
Jeudi 03 Septembre 2020 - 19H30 - Salle 300 En présence du réalisateur, débat en fin de séance. Samedi 05 Septembre 2020 - 19H00 - Salle 100 En présence du réalisateur. Site officiel : Étrange Festival.com
RÉSUMÉ DU FILM
Le film My Lover The Killer est un portrait poétique de Lydia Lunch réalisé par Marc Hurtado. Nous suivons Lydia Lunch à travers l’Europe et découvrons, enfouie dans le labyrinthe de sa vie et de son oeuvre tumultueuse, (...)
“My Lover The Killer” is the latest collaboration between Lydia Lunch and Marc Hurtado. They first worked together on the ’Sexodrone’ track of the Etant Donnés’s album “Re-Up” in 1999. Featuring Terry Edwards (Gallon Drunk), Ian White (Gallon Drunk), Mark Cunningham, We Are Birds of Paradise, David Lackner.
▻https://munsterrecords.bandcamp.com/album/my-lover-the-killer
Retrovirus - Lydia Lunch
Nine Standout Releases From Lydia Lunch’s Collaborative Universe
▻https://daily.bandcamp.com/lists/lydia-lunch-collaborations-guide
Au coeur de la nuit avec Jim Rose et Joe Coleman
▻http://www.arte.tv/guide/fr/071427-000-A/au-coeur-de-la-nuit
L’artiste de cirque Jim Rose et le #peintre Joe Coleman, tous deux américains, explorent la culture circassienne qui imprègne la ville de #Nantes. Depuis les années 1990, l’artiste de cirque américain #Jim_Rose redonne vie avec succès aux #freak_shows d’antan, en s’entourant de performeurs trash aux talents aussi insolites que spectaculaires. C’est à Nantes, sa ville d’adoption, qu’il rencontre son peintre favori, le provocateur#Joe_Coleman. S’attachant à représenter une face sombre de l’Amérique, peuplée de fous ou d’exclus, ce dernier a lui aussi des affinités avec le monde marginal des circassiens. Tous deux découvrent ensemble les extraordinaires Machines de l’île avant de rencontrer l’artiste Pierrick Sorin et de visiter le musée Jules-Verne. Ils font halte aussi à l’école de cirque Chapidock, puis auprès du collectif Quai des champs, qui œuvre pour la promotion des #arts_nomades.
Brooklyn Heights, ses rues ombragées, ses fleuristes chics et sa vue imprenable sur les gratte-ciels de Wall Street. Un quartier confortable, prisé par une nouvelle génération de yuppies qui fuit la hausse des loyers dans Manhattan, conséquence directe de la politique hygiéniste de la mairie new-yorkaise.
Luxe, calme et volupté huppée, le touriste de passage, auquel il ne manque plus que la silhouette élancée de Sarah Jessica Parker pour se croire transporté dans un épisode de la série Sex & The City, aurait bien du mal à imaginer que ce havre de paix bourgeois abrite un des artistes les plus fascinants et les plus dérangeants de notre époque.
- Laurent Courau -
Article initialement paru dans CULTures Magazine (Serious Publishing).
▻http://laspirale.org/texte-172-joe-coleman-apocalypse-right-now.html
Runtime: 89 min
Language: English
Country: Austria
Color: color
Director: #Robert-Adrian_Pejo
Cast:
Joe Coleman
#Hasil_Adkins
#Katharine_Gates
#Jim_Jarmusch
#Nancy_Pivar
#Harold_Schechter
▻http://www.ubu.com/film/coleman_rip.html
#documentaire
Né en 1955, le petit Joe dont le papa est un alcoolo fini, est placé dans une école pour enfants retardés et commence très vite à dessiner des saints tout ensanglantés et brûlés vifs…youpi ! A l’âge de 10 ans il reçoit un prix pour le dessin d’un tas d’ordure et fini par bouter le feu à son école catholique…re-youpi !
Depuis 2012, le Marché Noir permet de présenter toutes sortes de
travaux de micro publications difficilement visibles autrement
PCCBA ( ►http://www.le-terrier.net/pccba ) sera présent, dès demain soir (ça commence à 18h et ça finit à 22h demain, et les journées de vendredi et samedi sont ouvertes à partir de 14h, jusqu’à 18h).
Des tas de trucs que nous avons tout juste achevé seront présentés à cette occasion : le dernier Amici et le dernier Pré Carré , Temple & Jardin , toutes choses montrées dans le Terrier ces derniers jours, mais aussi des choses sur lesquelles nous travaillons discrètement depuis un moment à l’atelier : un deuxième livre de Lucas Taïeb (« On s’y retrouve tous »), dans un grand format vertical, cette fois-ci, avec une couverture
bichro en patamogravure de votre serviteur, un petit bidule
expérimental né d’un week-end avec Noémie Lothe et Aurélien Leif « LLL », et « BLU » un travail de furieux sur lequel nous nous escrimons depuis presque trois mois, consacré à la couleur bleue (30 exemplaires de format carré réalisés avec de la taille-douce, du bois gravé, des pochoirs au crayon de couleur, à la bombe, au carbone frotté, de la patatogravure, de la patamogravure, des estampages d’objets, de l’aquarelle, du cynaotype, de l’alugraphie, de la couture sur calque, des vignettes d’imprimerie en destruction graduelle, des réhauts d’acrylique, le tout pris dans une belle reliure japonaise au raphia)
j’espère pouvoir vous montrer tout ça ce week end, et causer avec vous pliage, couture, collage, estampe
Il y avait aussi guili guili goulag pour le vernissage des #expos, hier soir.
@vanderling j’ai eu mon concert annuel de musique qui fait poum au début de l’année avec Chocolat Billy. C’était bien, mais j’abuse pas. Un par an, c’est le maximum de ce que je peux en supporter.
@philippe_de_jonckheere oui, à #Rennes ! dans des locaux fraîchement retapés.
ah oui, ils ont l’air bien barré aussi chocolat billy @l_l_de_mars
Lydia Lunch... C’est plus un musée qu’un bastion, alors, hein ...
Sinon, « bien barrés », justement, sans doute pas assez ; c’est pour ça que je ne me fais qu’un concert par an de musique de ce genre (que j’appelerais vaguement « musique folklorique du XXe siècle », que d’autres appeleraient peut-être rock, mais ça obligerait à des nuances dont j’ai pas grand-chose à foutre entre pop, rock, rap, variété et tous ces autres bibelots sonores).
Au delà de trois morceaux, quand même, je m’emmerde et je commence à roupiller.
Tout ça ça vaut pas Pascal Comelade !
▻https://www.qwant.com/music/pascal-comelade/@overview
elle n’a que 57 ans, toujours active et bien accompagnée sur scène. Surement dans sa vie aussi ! la dame réside à Barcelone depuis 2004.
▻http://vimeo.com/64088879
je ne parlais pas de l’âge de L. Lunch, mais de l’âge de sa musique (l’âge des musiciens, ça nous dit pas grand-chose de celui de leur musique, hein...)
Enfin bon, on s’en fout, tout ça (je veus dire : on a pas vraiment d’autre horizon que le bavardage ou la thèse) c’était pour dire que Lunch, Comelade, ou Guili Guili Goulag, pour moi, ça ne fait aucune différence et que c’est la raison de mon rabotage du programme du Marché Noir à sa partie éditoriale.
Ouais, on s’en fout ! le marché noir de ce week-end c’est l’édition et plutôt la micro-édition. Après je dérive sur la musique mais c’est aussi que je préfère les p’tits labels ou les expériences improbables que les gros bouzins industriels. (festivals, SMAC ...)