person:wael al-halqi

  • Le régime syrien annonce une offensive soutenue par la Russie pour prendre tout Alep , où dans le sud une contre-offensive du régime et de ses alliés tente déjà de récupérer le terrain perdu ces derniers jours face à l’offensive récente d’une coalition comprenant al-Nousra, des groupes salafistes et d’autres affiliés à l’ASL.
    Syrian PM says Russia to back new Aleppo attack ; opposition says truce near collapse
    Reuters / 10.04.16
    http://www.reuters.com/article/us-mideast-crisis-syria-idUSKCN0X70GE

    Syrian Prime Minister Wael al-Halaki told a delegation of visiting Russian lawmakers of preparations to “liberate” Aleppo, Syria’s biggest city and commercial hub before the conflict that erupted in 2011. Aleppo is divided into areas controlled separately by the government and opposition.
    “We, together with our Russian partners, are preparing for an operation to liberate Aleppo and to block all illegal armed groups which have not joined or have broken the ceasefire deal,” he was quoted as saying by TASS news agency.
    Dmitry Sablin, a member of Russia’s upper house of parliament and a member of the delegation, told RIA news agency “Russian aviation will help the Syrian army’s ground offensive operation”.

    L’opposition de Ryadh déclare que la cessation des hostilités est sur le point de s’effondrer :

    A member of the main opposition council said the last 10 days had “witnessed a serious deterioration, to the point where the ceasefire is about to collapse”. Bassma Kodmani of the High Negotiations Committee also told Journal du Dimanche that a U.S.-Russian ceasefire monitoring mission was “powerless”.
    The army says groups that had agreed to the cessation of hostilities had taken part in Nusra Front attacks on government-held positions south of Aleppo. Free Syrian Army groups meanwhile blame the fighting on government violations.
    “The air strikes are now roughly back to what they were,” said Mohamed Rasheed, head of the media office with the Jaysh al-Nasr rebel group. A Syrian military source said: “The battles are raging because ... armed groups that were part of the (truce) joined Nusra in the attack.”

    Tandis qu’on annonce l’arrivée de renforts nombreux pour le régime du côté d’Alep, tout semble en place pour une confrontation majeure du côté de Lattaquieh (frontière turque) et à Alep. Les Russes, les Iraniens et le régime semblent vouloir infliger une leçon à tous les groupes qui se sont alliés à al-Nousra, non seulement en récupérant le terrain perdu récemment, mais en réalisant des faits nouveaux sur le terrain.
    Qu’en pensent les Américains ? Jusqu’où va leur entente avec les Russes ?

    • Selon al-Monitor, à la suite de la déclaration fracassante du premier ministre syrien Wael al-Halaki sur la vaste contre-offensive prévue à Alep et qui serait soutenue par les Russes, des officiels russes auraient dit aux Américains : ne l’écoutez pas, il est irrationnel :
      http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2016/04/us-russia-ceasefire-syria-kerry-lavrov-nusra-aleppo-geneva.html#

      Russian officials have told the Americans that they are committed to sustaining the cessation of hostilities. Indeed, after Syrian Prime Minister Wael al-Halqi was cited telling a visiting delegation of Russian lawmakers April 9 that a Russian-backed Syrian army operation was soon to get underway to liberate Aleppo, the Russians told the Americans don’t listen to him, he’s “irrational,” a Syrian opposition contact in touch with US officials working on Syria told Al-Monitor.
      Notably, after the US expressed concern about how a major operation against Jabhat al-Nusra near Aleppo could affect the cease-fire ahead of new talks, Russia did not provide air support to Iranian special forces involved in intense clashes against Jabhat al-Nusra in Al-Eis, near Aleppo, on April 11-12, an Iranian and a British journalist near Aleppo said.

  • Syrian Prime Minister: Beirut Partly to Blame for #syria Chaos
    http://english.al-akhbar.com/content/syrian-prime-minister-beirut-partly-blame-syria-chaos

    Syrian Prime Minister Wael al-Halaqi sit during the latter’s welcoming ceremony in Tehran on November 30, 2013. (Photo: AFP - HO -PRESIDENT.IR) Syrian Prime Minister Wael al-Halaqi sit during the latter’s welcoming ceremony in Tehran on November 30, 2013. (Photo: AFP - HO -PRESIDENT.IR)

    Syrian Prime Minister #Wael_al-Halqi seems very optimistic. In an interview with Al-Akhbar, he seemed to understand the magnitude of the security risks facing Syria, but continues to work on a reconstruction program. Though he believes Geneva II will be held on time, Halqi nevertheless is convinced that the solution will only materialize in Damascus.

    Elie Chalhoub

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    #Mideast_&_North_Africa #Articles #Bashar_al-Assad #Hamas #Hassan_Nasrallah #Hezbollah #Khaled_Meshaal #Syrian_army

  • L’économie syrienne au bord de l’effondrement - Syrie - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20131003-economie-syrienne-bord-effondrement-destruction-al-halqi-pib

    L’économie syrienne au bord de l’effondrement

    Les destructions subies par les secteurs publics et privés en Syrie se montent à 16 milliards de dollars.

    Le régime de Damas s’inquiète de plus en plus des conséquences économiques du conflit qui ravage le pays depuis deux ans et demi. Dans une allocution au Parlement syrien, le Premier ministre Wael al-Halqi a reconnu lui-même que la machine économique syrienne était au bord de l’effondrement. Et chose rare depuis le début de la guerre civile, il a donné une estimation chiffrée des destructions subies par le pays.

    Près de 3 000 milliards de livres syrienne soit environ 16 milliards de dollars (environ 1,8 milliards d’euros). Voilà selon le gouvernement syrien, le montant des destructions subies depuis deux ans par les secteurs publics et privés. Cité par l’agence officielle Sana, le Premier ministre syrien, Wael al-Halqi, a en outre reconnu que les réserves de devises étrangères étaient en voie d’épuisement. Et que l’Etat allait devoir emprunter de l’argent à des pays amis, sans doute la Russie et l’Iran, principaux alliés du régime syrien.

    Production de pétrole et tourisme à l’arrêt, agriculture désorganisée

    Depuis que le conflit a éclaté en Syrie, le régime de Damas est confronté à des difficultés économiques chaque jour plus importantes : d’un côté, il y a les sanctions internationales, et de l’autre, l’effondrement de la production de pétrole, la majorité des champs d’hydrocarbures étant situés dans les territoires rebelles.

    Autre difficulté : la disparition de la manne touristique et la désorganisation du secteur agricole. Pour Damas, les rentrées d’argent sont devenues quasiment nulles, une situation d’autant plus difficile à gérer qu’il faut soutenir l’effort de guerre. Selon une étude des Nations unies, le PIB syrien se serait effondré de 30 à 40% au cours des deux dernières années.

    → À (RE)LIRE : Le goût amer de la résolution de l’ONU sur la Syrie

    #économie
    #Syrie
    #pétrole
    #tourisme
    #agriculture

    • Encore un journaliste fâché avec les maths… :-)

      3 000 000 000 000,00 SYP = 21 930 000 000,00 USD
      3 000 000 000 000,00 SYP = 16 110 000 000,00 EUR

      22 milliards de dollars, ou 16 milliards d’euros.

    • À noter qu’en 2011, la dette publique syrienne était de 35% du PIB. Pour rappel, le Japon était à 205%, l’Italie à 120%, la France à 86%…

      Le PIB de la Syrie était en 2012 de 74 milliards de dollars US (j’ignore si ces chiffres sont fiables).