• [The Locomotion] #typhon
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/typhon

    Lors de la release party de Phoenician Drive à la Brasserie Illegaal en juin dernier, j’ai eu le plaisir d’interviewer #john_silvestre qui interprétait les morceaux de son groupe Typhon en version solo.

    Tout seul au milieu de la brasserie avec son micro,une batterie, une guitare et une myriade d’effets, John arrive à traverser une tempête post-rock en solitaire. On a parlé de ses autres projets, notamment de son duo rap-noise #eckhart, le label Öhro et la différence entre Bruxelles et #genève.

    The Locomotion - Typhon

    Spare - I Dreamt I Died Somewhen Else Eckhart - The Hard Way Spare - 7 Gates Of He/aven/ll But My Heart Got 1 Key Godspeed You ! Black Emperor - The Dead Flag Blues (extrait) Vivre avec un Chien et un Fusil - Sourcils en détresse Typhon - Avant L’Aurore

    The Locomotion est une (...)

    #genève,typhon,john_silvestre,eckhart
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/typhon_16258__1.mp3

  • #Réfugiés_climatiques : quand attiser la « peur du migrant » masque la réalité des phénomènes migratoires

    À chaque vague, Saint-Louis s’enfonce un peu plus sous l’océan, dont le niveau ne cesse de monter ; les eaux qui assuraient jadis les moyens de subsistance de cette ville du nord du Sénégal menacent désormais sa survie même. Les Nations Unies ont déclaré que Saint-Louis était la ville d’Afrique la plus en danger du fait de l’élévation du niveau de la mer : l’Atlantique engloutit jusqu’à deux mètres de côte chaque année. Plusieurs milliers d’habitants ont été contraints de se reloger à l’intérieur des terres suite aux tempêtes et à l’inondation de Doune Baba Dièye, un village de pêcheurs des environs. Pour les personnes qui habitent toujours sur place, la vie devient de plus en plus précaire.

    Des situations comme celles-là se répètent à mesure que la #crise_climatique s’aggrave. La migration et les #déplacements_de_population induits par le climat sont en hausse, de même que l’angoisse et la désinformation qui l’accompagne. Depuis quelques années, nous observons une multiplication des propos sensationnalistes et alarmistes dans les médias et chez les responsables politiques de l’hémisphère nord, qui affirment que le #changement_climatique entraîne directement et automatiquement une #migration_de_masse, et mettent en garde, en usant d’un #vocabulaire_déshumanisant, contre l’imminence des « #flots » ou des « #vagues » de millions, voire de milliards, de migrants ou de réfugiés climatiques au désespoir qui pourraient submerger l’Europe pour fuir un hémisphère sud devenu inhabitable.

    Les prédictions apocalyptiques retiennent peut-être l’attention de l’opinion, mais elles occultent la réalité complexe du terrain et alimentent une #xénophobie et un #racisme déjà profondément enracinés en Europe en jouant sur la #peur du migrant. Elles dressent en outre un tableau très inexact : ce que révèlent les études sur le changement climatique et la migration est très différent des discours alarmistes qui ont pris place.

    Les experts s’accordent à dire que le changement climatique se répercute sur la #mobilité. Cependant, la relation entre ces deux éléments n’est pas directe, comme elle est souvent décrite, mais complexe, résultant de #causes_multiples et propre à un contexte donné. Par ailleurs, les estimations relatives à l’impact du changement climatique sur la mobilité sont mises en doute par les incertitudes quant à la manière dont évolueront à l’avenir le climat, la capacité d’adaptation des pays et les politiques migratoires internationales.

    #Mythe et réalité

    Les prévisions de millions ou de milliards de personnes déplacées au cours des prochaines décennies laissent entendre que le déplacement et la migration induits par le climat se manifesteront dans un futur éloigné alors qu’il s’agit d’une réalité bien présente. À l’échelle mondiale, le nombre de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays atteint des records : près de 25 millions de personnes ont dû quitter leur foyer en 2019 suite à des catastrophes soudaines. L’aggravation des #phénomènes_météorologiques_extrêmes, comme les #typhons, les #tempêtes et les #inondations, conjuguée aux changements qui s’opèrent plus lentement, tels que l’élévation du niveau de la mer, la dégradation des sols et les variations des précipitations, devrait accroître la mobilité due au climat.

    Traiter la « #migration_climatique » comme une catégorie de migration distincte implique à tort qu’il est possible de différencier le climat des autres facteurs. Or, les décisions de quitter un endroit résultent d’une multitude d’éléments qui sont profondément liés entre eux et qui interagissent de manière complexe. Pour les personnes qui vivent de l’agriculture de subsistance, les conditions environnementales et les résultats économiques ne font qu’un, étant donné que des changements de pluviométrie ou de température peuvent entraîner de graves conséquences économiques. Caroline Zickgraf, directrice adjointe de l’Observatoire Hugo, un centre de recherche basé à l’université de Liège, en Belgique, qui étudie comment l’environnement et le changement climatique agissent sur la migration explique :

    « Si l’on ne voit pas que tous ces facteurs différents sont imbriqués – facteurs sociaux, politiques, économiques, environnementaux et démographiques – on passe vraiment à côté de la situation générale »

    Une autre idée fausse persiste au sujet du changement climatique et de la mobilité des humains, consistant à croire que la plupart des individus qui se déplacent quittent leur pays. Depuis quelque temps, l’attention vis-à-vis des migrants porte largement sur les Africains qui cherchent à aller en Europe. Cette forme de migration internationale de longue distance représente l’image la plus répandue de la migration et, pourtant, les faits indiquent que ce n’est pas la plus fréquente, mais cette réalité est souvent inaudible.

    En Afrique de l’Ouest et centrale, la migration vers l’Afrique du Nord ou l’Europe représente seulement de 10 à 20 % des déplacements, alors que les 80 à 90 % restants s’effectuent à l’intérieur de la région. « Depuis plusieurs années, l’Europe attire de moins en moins les candidats à la migration, en raison des difficultés qu’ils rencontrent pour bénéficier des programmes de régularisation, trouver du travail et rester mobiles », souligne Aly Tandian, président de l’Observatoire sénégalais des migrations et professeur de sociologie associé à l’université Gaston Berger de Saint-Louis. Les pays africains constituent les destinations principales des migrants d’#Afrique_de_l’Ouest parce qu’il n’y a pas de contraintes de visa et qu’il est plus aisé de voyager sur la terre ferme, ce qui facilite la mobilité des personnes en quête d’opportunités, outre la familiarité que procure la proximité socioculturelle et linguistique de nombreux pays d’accueil, explique-t-il.

    Hind Aïssaoui Bennani, spécialiste de la migration, de l’environnement et du changement climatique auprès de l’Organisation internationale pour les migrations à Dakar, au Sénégal, affirme que l’ampleur de la #migration_économique est souvent mal reconnue, en dépit de son importance dans l’ensemble de la région. La plupart des migrants économiques partent pour trouver du travail dans le secteur des ressources naturelles, notamment l’agriculture, la pêche et l’exploitation minière. « L’#environnement est non seulement un élément moteur de la migration, qui oblige les personnes à se déplacer mais, en plus, il les attire », précise Mme Bennani. Elle ajoute toutefois que le changement climatique peut également entraîner l’#immobilité et piéger les individus qui ne peuvent pas partir par manque de ressources ou de capacités, c’est-à-dire généralement les plus vulnérables.

    Ce qui alimente la peur

    On ne peut pas savoir combien de personnes ont quitté leur région à cause du changement climatique et, d’après les experts,il est difficile, voire impossible, de prédire avec précision le nombre de citoyens qui devront se déplacer à l’avenir, du fait de la complexité inhérente à la migration et au changement climatique. « Il va y avoir toute une série de scénarios à partir des actions que nous menons en termes de politique et de climat, mais aussi par rapport à la réaction des gens qui, souvent, n’est pas linéaire. Cela ne se résume pas à dire ‘le changement climatique s’intensifie, donc la migration s’intensifie », indique Caroline Zickgraf.

    L’année dernière, un rapport (https://www.visionofhumanity.org/wp-content/uploads/2020/10/ETR_2020_web-1.pdf) réalisé par le think tank international Institute for Economics and Peace a révélé que les menaces écologiques contraindraient au déplacement 1,2 milliard de personnes d’ici à 2050. Ce chiffre s’est répandu comme une traînée de poudre et a été couvert par les principaux organes de presse à travers le monde, mais plusieurs experts reconnus dans le domaine de la migration récusent ce chiffre, parmi lesquels Caroline Zickgraf, qui estime qu’il n’est pas suffisamment scientifique et qu’il résulte d’une manipulation et d’une déformation des données. À titre de comparaison, un rapport de la Banque mondiale datant de 2018 qui s’appuyait sur des techniques de modélisation scientifiques prévoyait qu’il y aurait 140 millions de migrants climatiques internes d’ici à 2050 si aucune action urgente pour le climat n’était mise en place.

    L’idée selon laquelle « le changement climatique entraîne une migration de masse » est utilisée par la gauche pour alerter sur les conséquences humanitaires du changement climatique et pour galvaniser l’action en faveur du climat, alors qu’elle sert de point de ralliement à la droite et à l’extrême droite pour justifier la militarisation des frontières et les politiques de lutte contre l’immigration. Caroline Zickgraf note :

    « Mentionner la migration dans le but d’accélérer l’action pour le climat et d’attirer l’attention sur l’incidence du changement climatique pour les populations me semble tout à fait bien intentionnée. Mais malheureusement, très souvent, c’est la question de la sécurité qui prend le dessus. On attend une action pour le climat, et on se retrouve avec des politiques migratoires restrictives parce qu’on joue avec la peur des gens. »

    La peur n’incite pas les citoyens ni les gouvernements à agir davantage pour le climat mais a plutôt tendance à exacerber le racisme et la xénophobie et à contribuer à l’édification de la « forteresse Europe ». De surcroît, présenter la « migration climatique » comme un risque pour la sécurité justifie la mise en place de programmes de financement destinés à empêcher la migration en faisant en sorte que les candidats au départ restent chez eux, ce qui est contraire au droit humain fondamental de circuler librement. Alors que l’urgence climatique augmente, la « crise européenne des réfugiés » de 2015 est de plus en plus souvent invoquée pour prédire l’avenir. Caroline Zickgraf pense qu’en recourant à des tactiques qui alarment le public, ce ne sont pas les changements climatiques qui font peur, mais « l’Autre » – celui qui doit se déplacer à cause de ces changements.

    Un autre problème émane de la recherche sur la migration elle-même : quelles études, réalisées par quels chercheurs, sont reconnues et écoutées ? D’après Aly Tandian, étant donné qu’en Europe toutes les causes de la migration ne sont pas prises en considération, les analyses européennes se limitent à leur compréhension des questions migratoires sur le terrain en Afrique. « De plus, c’est souvent l’Europe qui est mandatée pour réaliser des études sur la migration, ce qui appauvrit en partie les résultats et les décisions politiques qui sont prises », observe-t-il.

    La mobilité, une #stratégie_d’adaptation

    La tendance actuelle à présenter la migration en provenance de l’hémisphère sud comme une anomalie, un problème à résoudre ou une menace à éviter ne tient pas compte du fait que la migration n’est pas un phénomène nouveau. Depuis la nuit des temps, la mobilité est une stratégie d’adaptation des humains pour faire face aux changements du climat ou de l’environnement. Et il ne s’agit pas toujours d’un moyen d’échapper à une crise. « La migration est une question de résilience et d’adaptation et, en Afrique de l’Ouest et centrale, la migration fait déjà partie de la solution », note Hind Aïssaoui Bennani.

    Dans certains endroits, nous devrons peut-être, et c’est souhaitable, faciliter la migration de manière préventive, dit Caroline Zickgraf, en veillant à ce que les gens migrent dans les meilleures conditions dans le contexte du changement climatique. « Ce que nous souhaitons vraiment, c’est donner le choix, et si nous considérons seulement la migration comme quelque chose de négatif, ou qui doit toujours être évité, nous ne voyons pas tous les intérêts qu’il peut y avoir à quitter une région vulnérable à l’impact du changement climatique. »

    Étant donné que le changement climatique pèse lourdement sur les fragilités et les inégalités existantes et qu’il frappera de façon disproportionnée les populations de l’hémisphère sud, alors qu’elles en sont le moins responsables, favoriser la mobilité n’est pas une simple stratégie d’adaptation, mais fait partie intégrante de la justice climatique.

    La mobilité peut permettre aux habitants de Saint-Louis et des innombrables lieux qui subissent déjà les effets du changement climatique, en termes de vies humaines et d’opportunités, d’être moins vulnérables et de vivre mieux – un rôle qui se révélera particulièrement essentiel dans un monde de plus en plus marqué par l’instabilité climatique.

    https://www.equaltimes.org/refugies-climatiques-quand-attiser?lang=fr
    #réfugiés #asile #migrations #réfugiés_environnementaux #adaptation

    ping @isskein @karine4

  • Deadly typhoon forces Japan to face its vulnerability to increasingly powerful storms | Science | AAAS
    https://www.sciencemag.org/news/2019/10/deadly-typhoon-forces-japan-face-its-vulnerability-increasingly-powerful

    ... the levees built up over decades along virtually all of Japan’s major rivers may not provide protection from the increasingly powerful storms expected to accompany climate change.

    #vulnérabilité #Japon #typhons #digues #fleuves #inondations

  • Typhon Faxai au Japon : vents jusqu’à 150 km/h sur Tokyo ! - Par Gilles MATRICON, météorologue
    Publié le 07/09/19, mis à jour le 08/09/19 à 16h17
    https://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2019-09-08/typhon-faxai-au-japon-vents-jusqu-a-150-km-h-sur-tokyo-5225

    Faxai est né au milieu du Pacifique Nord en milieu de semaine. Il se dirige actuellement vers le Japon qui se prépare lundi à être touché par ce typhon qui s’annonce potentiellement très dangereux.

    Le typhon Faxai s’est renforcé au cours de ces 24 dernières, passant de tempête tropicale au rang de de typhon d’intensité 4/5 samedi selon l’échelle de Saffir-Simpson avec des rafales à 250 km/h au plus près du coeur du typhon.

    L’est du Japon et Tokyo en alerte maximale

    Faxai se dirige tout droit vers la côte Est du Japon. C’est lundi que ce typhon est attendu sur terre en catégorie 2 ou 3 /5. A l’heure actuelle, son point d’impact se situe juste au sud de Tokyo. D’ores et déjà, des alertes ont été émises pour les provinces d’Ibaraki, Tochigi, Gunma, Saltama, Chiba, Tokyo, Yamananashi, Kanagawa et Shizuoka.


    https://twitter.com/KeraunosObs/status/1170604539906547712

    Agencia Metereológica de Japón reportó que esta noche el tifón #Faxai, el más intenso de la historia, estaría haciendo contacto con tierra el área metropolitana tokiota.


    https://twitter.com/ElectronicaJCCB/status/1170705143953788928
    #Faxai #typhon
    #ouragan #cyclone

    • Un puissant typhon fait un mort et des dizaines de blessés à Tokyo
      Le Monde avec AFP Publié hier à 23h54, mis à jour à 10h15
      https://www.lemonde.fr/international/article/2019/09/08/un-puissant-typhon-s-abat-sur-tokyo_5507999_3210.html

      Le typhon Faxai a, pour l’instant, blessé une trentaine de personnes, tué une femme, et engendré de nombreuses coupures de courant et interruptions de services de transport.
      (...)
      L’arrivée de Faxai sur Tokyo coïncide avec celle, prévue, des équipes devant participer à la Coupe du monde de rugby, qui démarre le 20 septembre au Japon. L’équipe de France a atterri et a pu rejoindre son camp d’entraînement près du mont Fuji juste avant l’arrivée du typhon, mais les Australiens, qui devaient arriver lundi matin, n’ont pas eu cette chance.

      Ce quinzième typhon de l’année en Asie s’était déjà éloigné vers le large lundi en milieu de matinée et se déplaçait dans l’océan Pacifique vers le nord-est. L’agence météo mettait en garde contre de possibles glissements de terrain dans les régions de Chiba et de Fukushima (nord). (...)

  • #revue
    #Désastres et #alimentation

    Dans ce numéro spécial il a été délibérément choisi de replacer le séisme qui a frappé le Japon le 11 mars 2011 dans le temps long, de façon à en cerner les limites. Les images de cette #catastrophe, largement médiatisée, ont rappelé la #vulnérabilité des sociétés humaines face à l’enchaînement des #risques naturels et humains. À la succession de destructions et à l’#accident_nucléaire de la centrale de #Fukushima, s’est ajoutée une #crise_alimentaire qui a révélé, au-delà du cas proprement japonais, le lien étroit existant entre alimentation et #catastrophes.
    #Séismes, #tsunamis, #éruptions_volcaniques et #typhons, sans oublier leurs effets secondaires, rythment depuis longtemps la vie dans l’archipel japonais. En effectuant une table rase, les crises qu’ils entraînent permettent à chaque fois une remise en question, un renouveau, et constituent un élément fondamental du lien entre les hommes, leur #culture et leur #milieu. Les auteurs des articles, choisis parmi des spécialistes japonais pour la majeure partie, développent ce point en tenant compte à la fois du volet de la #production_alimentaire et de celui de la #consommation.
    Ils mettent l’accent sur les ruptures provoquées par les crises mais aussi sur la continuité d’une culture alimentaire propre au Japon montrant que le défi est celui d’un retour à une normalité à chaque fois réinventée et repensée en fonction de la modernité de l’époque.


    http://gc.revues.org/2803
    cc @odilon
    #Japon

  • Tu sais que moi aussi, mes enfants, je les ai prénommés « Israël », « Tsahal » et quand au petit dernier, on l’a sobrement appelé : « Hasbara ».
    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/asie-pacifique/131115-philippines-l-armee-israelienne-deploie-un-hopital-de-campagne

    Jeudi les secouristes de l’’armée israélienne dont de nombreux médecins ont commencé à déployer leur hopital de campagne dans la ville de Bogo une des localités devastée par le passage du typhon. Près de 100 tonnes d’aide humanitaire et d’équipement médicaux dont du matériel pédiatrique et pour les salles d’accouchements ont été acheminés depuis Israël dans un jumbo d’El Al. Cette installation de très haut niveau peut traiter jusquà 500 malades à la fois.

    Quelques heures après son installation un bébé est né vendredi matin dans cet hôpital et les parents en signe de reconnaissance l’ont nommé « Israël », rapporte le porte-parole de Tsahal sur le site de l’armée.

    Ah, j’aime l’odeur du paternalisme colonial : #typhon_washing

  • Climat : mieux qu’un sommet mondial, des actions locales
    http://fr.myeurop.info/2013/11/14/climat-sommet-Varsovie-actions-locales-en-europe-12554

    Christelle Granja

    Tandis que les pays de la planète sont réunis à Varsovie pour une énième conférence consacrée au climat, des actions sont menées localement. Redessiner les vignobles espagnols, dessaler l’eau de mer, surveiller un invasif moustique en Italie du nord : focus sur trois initiatives européennes. (...)

    #EUROFOCUS #Environnement #Espagne #Europe #Irlande #adapter_changement_climat_COP19_environnement #GIEC #typhon

  • Et si la France renonçait à accueillir la conférence climat de 2015 au profit des Philippines ?

    Incapable de mettre en œuvre une véritable transition écologique, le gouvernement français devrait retirer sa candidature pour organiser la COP21 en 2015 au profit des Philippines dont le négociateur en chef vient de se mettre en grève de la faim à Varsovie, exigeant des avancées significatives.

    http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes/121113/et-si-la-france-renoncait-accueillir-la-conference-climat-de-2015-au

    #Climat, #conférence #émissions_de_gaz_à_effets_de_serre #financements, #Folie, #François_Hollande, #grève_de_la_faim #LeBourget, ONU, #Pablo_Solon #Paris #réchauffement_climatique #typhon #Varsovie #Walden_Bello Yeb Sano

    @rezo