Net worth comparison of the top 10 richest person in the world in March 2020 and January 2021
#riches #toujours_plus_riches #prédateurs
Net worth comparison of the top 10 richest person in the world in March 2020 and January 2021
Mukesh Ambani dethroned: How China’s Zhong Shanshan became Asia’s richest man, earning US$71 billion in 2020 from vaccines and Nongfu Spring water | South China Morning Post
▻https://www.scmp.com/magazines/style/news-trends/article/3116736/mukesh-ambani-dethroned-how-chinas-zhong-shanshan
His pharmaceutical company Beijing Wantai Biological and his bottled water company Nongfu Spring went public. The former manufactures vaccines and hepatitis E test kits while the latter is considered the largest and cleanest packaged water manufacturer in China, where tap water is not considered safe to drink. Zhong has also attracted attention for being one of a handful of billionaires who aren’t in the tech or retail industries, unlike other big players.
encore un multi #milliardaire inconnu au bataillon
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#coronavirus #inégalités #milliardaires #fortune #enrichissement des #riches
#Jeff_Bezos ($189.4b), #Bill_Gates ($114b), #Mark_Zuckerberg ($95.5b), #Warren_Buffett ($80b), #Elon_Musk ($73b), #Steve_Balmer ($71b), #Larry_Ellison ($70.9b), #Larry_Page ($67.4b), #Sergey_Brin ($65.6b), #Alice_Walton ($62.5b), #Jim_Walton ($62.3b) and #Rob_Walton ($62b)
Les bénéfices des entreprises explosent : les plus riches empochent des milliards tandis que les plus pauvres en paient le prix | Oxfam International
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Ses avoirs ont augmenté de 92 milliards de dollars en seulement cinq mois, entre le 18 mars et le 20 août 2020. Jeff Bezos aurait pu payer de sa poche à chacune des 876 000 personnes employées par Amazon une prime unique de 105 000 dollars et rester aussi riche qu’il l’était au début de la pandémie
Télécharger le document de 60 pages en anglais :
▻https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/621044/bp-power-profits-pandemic-100920-en.pdf?sequence=8&isA
#Oxfam #coronavirus #inégalités #milliardaires #fortune #enrichissement des #riches
A propos d’#Elon_Musk et de 11 autres milliardaires :
Elon Musk est la personne qui a gagné le plus d’argent pendant la pandémie
Taylor Nicole Rogers, Business Insider, le 19 août 2020
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Twelve US Billionaires Have a Combined $1 Trillion
Chuck Collins, Omar Ocampo, Inequality, le 17 août 2020
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#Jeff_Bezos ($189.4b), #Bill_Gates ($114b), #Mark_Zuckerberg ($95.5b), #Warren_Buffett ($80b), #Elon_Musk ($73b), #Steve_Balmer ($71b), #Larry_Ellison ($70.9b), #Larry_Page ($67.4b), #Sergey_Brin ($65.6b), #Alice_Walton ($62.5b), #Jim_Walton ($62.3b) and #Rob_Walton ($62b)
Elon Musk est la personne qui a gagné le plus d’#argent pendant la #pandémie
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Beaucoup de milliardaires se sont enrichis pendant la pandémie de #coronavirus [...] selon une nouvelle analyse du think tank de gauche, l’Institute for Policy Studies (IPS), publiée lundi 17 août.
[.,,]
La montée en flèche des revenus des milliardaires semble encore plus frappante si on la compare à l’impact économique de la pandémie sur les #États-Unis
56 millions d’Américains ont demandé des allocations de #chômage au cours des 21 dernières semaines. Un nombre sans précédent, dépassant de loin les 37 millions de demandes déposées pendant les 18 mois de la Grande #Récession qui s’est terminée en 2009. Dans le même temps, les experts prédisent que plus de 28 millions d’Américains pourraient perdre leur #logement après avoir pris du retard sur leur loyer depuis l’expiration du moratoire fédéral sur les expulsions.
Bien que les gains d’Elon Musk dépassent de loin ceux de tout autre milliardaire, le natif d’Afrique du Sud est loin d’être le seul membre du club des trois virgules à s’être enrichi au cours des cinq derniers mois.
Au 13 août, Jeff Bezos, le patron d’Amazon, avait vu sa fortune augmenter de 68% depuis la mi-mars, tandis que la fortune de Mark Zuckerberg a augmenté de 75%, atteignant un nouveau record, selon IPS. Grâce à l’augmentation récente de leur richesse, les 12 Américains les plus prospères du monde, valent à eux tous plus de 1 000 milliards de dollars, selon les calculs d’IPS.
Twelve U.S. Billionaires Have a Combined $1 Trillion - Inequality.org
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March 18th, 2020 marked the beginning of the Covid-19 lockdown and historic filings for unemployment — and also the intervention of the Federal Reserve with monetary actions to stabilize markets.
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Ce que l’on sait après l’incendie de l’usine #Lubrizol à #Rouen
De nombreuses inconnues perdurent sur la nature et les effets des substances émises depuis jeudi par l’usine chimique dans la région de Rouen.
Par Gary Dagorn , Léa Sanchez , Arthur Carpentier , Assma Maad et Séverine Maublanc Publié hier à 18h47, mis à jour hier à 20h59
Jeudi 26 septembre, un violent incendie s’est déclaré à Rouen, au sein de l’usine chimique de l’entreprise américaine Lubrizol. Le feu s’est déclaré vers 2 h 40, dans un dépôt de produits conditionnés de type additifs pour lubrifiants, selon la direction de l’usine. En tout, l’incendie a mobilisé 240 pompiers de Seine-Maritime et des départements voisins, aidés de 50 véhicules. Plus de huit heures après l’embrasement, l’incendie a été maîtrisé, puis définitivement éteint vendredi matin.
Depuis jeudi, l’incendie a dégagé un lourd et épais panache de fumée, provoquant des retombées de suie sur toute la zone nord-est de la ville et suscitant de nombreuses inquiétudes.
Que fabrique l’usine Lubrizol ?
Créé en 1954, le site de 14 hectares situé sur les bords de la Seine emploie actuellement 400 personnes, selon la préfecture de Seine-Maritime. Elle est la propriété du groupe chimique américain Lubrizol Corporation, qui appartient lui-même à Berkshire Hathaway, la holding de l’homme d’affaires américain Warren Buffett.
L’usine fabrique et commercialise des additifs pour enrichir les huiles, des carburants et des peintures industrielles. Jusqu’en 2009, elle était classée #Seveso « seuil bas », jusqu’à ce que des analyses écotoxicologiques conduisent les services de l’Etat à la reclasser dans le « seuil haut ». En 2013, une émission de #mercaptan, un gaz nauséabond toxique, venant de l’usine avait été ressentie à plusieurs centaines de kilomètres à la ronde jusqu’à Paris et en Angleterre.
Combien d’habitants vivent près de l’usine ?
A peine plus de trois kilomètres séparent l’usine Lubrizol du centre-ville historique de Rouen. Le site industriel, situé sur la rive gauche du fleuve, se situe au cœur d’un territoire très peuplé : la métropole Rouen-#Normandie compte 490 000 habitants, selon les données 2016 de l’Insee, et regroupe 71 communes. Douze d’entre elles, en plus de Rouen, ont été touchées par des mesures de confinement des maisons de retraite et de fermeture des établissements scolaires, ainsi que des crèches. Elles rassemblent environ 65 000 habitants, en plus des 110 000 de la capitale normande.
Quelle est la #toxicité des produits qui se sont dégagés ?
Le préfet a affirmé lors d’un point de situation, vendredi 27 septembre à la mi-journée, que les suies contenaient des « composants essentiellement liés à la combustion d’huile de produits finis, d’additifs chimiques pour huiles et d’#hydrocarbures, d’où d’ailleurs ces suies noires, grasses que nous constatons ».
Le préfet a écarté, à plusieurs reprises, tout risque de « toxicité aiguë » dans l’air. Des seuils légaux de toxicité aiguë sont fixés par les autorités ministérielles pour chaque composé chimique.
Le professeur André Picot, ancien directeur de l’unité prévention en risques chimiques au CNRS, explique dans Paris-Normandie que, sans connaître la « nature des produits », il est « extrêmement risqué d’avancer qu’il n’y a pas de toxicité aiguë ou, en tout cas, subaiguë, c’est-à-dire une toxicité non négligeable ». Selon lui, il ne faut, cependant, « pas systématiquement alarmer, tant qu’on ne connaît pas le degré de dangerosité des produits consumés ».
Des produits radioactifs s’y trouvaient-ils ?
Des internautes se sont inquiétés d’un tableau, réalisé par l’inspection des installations classées et datant de 2006, faisant état de la présence de substances « radioactives (utilisation, dépôt, stockage) sources scellées conformes », pour un volume de 6 882 mégabecquerels (MBq).
Le préfet de Seine-Maritime a toutefois assuré, vendredi matin, « qu’il n’y avait pas de produits radioactifs » stockés sur le site. Cette #radioactivité s’explique, en fait, « par la présence de huit machines utilisées pour évaluer le niveau et la densité dans des bacs », explique Céline Reuter, responsable de l’unité d’expertise des sources à l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Ces appareils de mesure, répandus dans le secteur industriel, fonctionnent grâce à du césium 137, un élément radioactif scellé dans une double enveloppe métallique. « Aucune des sources n’a été touchée par l’incendie. On a fait une levée de doute. Il y a eu confirmation », précise Jean-Yves Lagalle, colonel des pompiers de Seine-Maritime.
Des victimes ont-elles été recensées ?
L’incendie n’a causé aucune victime directe. Sur les réseaux sociaux, des internautes ont fait part d’irritations ou encore de maux de tête. Vendredi à la mi-journée, Benoît Jardel, médecin du SAMU, a fait savoir que 51 personnes décrites comme « fragiles », « sensibles » ou ayant des pathologies respiratoires ont été examinées dans différents établissements de santé dans la journée de jeudi et dans la nuit suivante. Cinq d’entre elles, toutes des adultes, sont restées dans des services d’hospitalisation de courte durée.
Pourquoi l’indice de qualité de l’#air a-t-il cessé d’être diffusé jeudi ?
Jeudi 26 septembre, alors que l’incendie était en cours, de nombreux internautes se sont émus de l’arrêt de la diffusion de l’indice Atmo à Rouen. Cet indicateur journalier décrit la qualité de l’air dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants en se basant sur la mesure de dioxyde de soufre, d’ozone, de particules fines et de dioxyde d’azote. Mais son mode de calcul « ne prend en compte ni les odeurs ni les polluants atypiques émis lors d’accident », précise l’association régionale Atmo Normandie. En outre, l’organisme ne dispose pas de stations de mesure dans la zone vers laquelle s’est dirigé le panache de fumée et a donc décidé de suspendre, jeudi matin, la diffusion de cet indice en considérant qu’il n’était « pas représentatif de la situation » sans cesser pour autant de réaliser des mesures. Il a été remis en ligne vendredi 27 septembre dans la matinée. Atmo Normandie précise avoir mis en place « des mesures complémentaires dont l’analyse complexe ne peut être en temps réel, car faite en laboratoire de chimie ».
Quels risques pour l’#agriculture et les milieux naturels ?
Des retombées d’hydrocarbures ont été constatées à Rouen et ses environs, dans des jardins, propriétés agricoles ou encore sur des légumes. Selon la chambre d’agriculture de la Seine-Maritime, plusieurs agriculteurs et laiteries ont déjà tiré la sonnette d’alarme. A titre de précaution, le préfet de la Seine-Maritime a émis des recommandations spécifiques :
– les éleveurs qui possèdent des animaux en plein air doivent « les rentrer et sécuriser leur abreuvement et leur alimentation en les plaçant sous abri ». Il est interdit de nourrir les bêtes avec des « aliments souillés » et il faut « faire pâturer les ruminants sur des pâtures saines ».
– les agriculteurs ne doivent rien récolter « en l’attente de précisions ultérieures » et de ne pas chercher à nettoyer les champs impactés.
– les riverains ne doivent pas consommer les produits de leurs jardins s’ils ne sont pas épluchés ou correctement lavés. « Un plan de surveillance renforcé sera mis en place, tant sur les denrées végétales que d’origine animale, pour garantir la parfaite salubrité des produits destinés à la consommation humaine. »
Des inquiétudes demeurent sur une éventuelle pollution des nappes phréatiques. Le préfet a affirmé, vendredi, qu’il n’y avait « a priori » pas de risques les concernant. Mais l’association environnementale Robin des bois s’est interrogée sur les réseaux de l’usine « saturés » et le « risque de migration des hydrocarbures et autres déchets toxiques dans les nappes phréatiques ». L’association met en garde contre le lavage des voitures ou des maisons encrassées : « Si les gens nettoient ça au Kärcher, on va se retrouver avec des eaux polluées qui vont aboutir ou bien dans la Seine, ou bien dans la station d’épuration. »
Quel a été le précédent incident dans cette usine ?
En janvier 2013, un bac de dialkyldithiophosphate de zinc s’était décomposé, émettant du mercaptan, fortement odorant – c’est lui qui donne au gaz de ville son odeur spécifique – et toxique à très forte dose. Le panache du gaz s’était étendu de la Manche à l’Ile-de-France.
La décomposition de ce produit chimique avait été causée par la température excessive et par un temps de séjour trop long dans le bac. Le traitement « trop tardif » de la décomposition opéré par les employés n’a pas permis de minimiser l’émission de mercaptan et l’a même favorisée. Toutefois, l’enquête publique avait ensuite noté que « les concentrations correspondant aux effets irréversibles n’avaient pas été atteintes dans l’environnement ». L’entreprise avait été condamnée en avril 2014 à une amende de 4 000 euros pour nuisance olfactive, mais le délit de mise en danger de la vie d’autrui avait alors été écarté.
A la suite de l’incident, l’entreprise s’est engagée sur plusieurs années dans des travaux afin de réduire la probabilité de survenue d’événements de type « mercaptan » ou « autres émanations ». Le préfet a assuré jeudi que l’usine était « aux normes telle que nous l’avons vue en 2019 », en rappelant qu’« elle ne l’a pas toujours été » et qu’en 2017, « elle a fait l’objet d’une mise en demeure » en raison de « 17 manquements », puis que « la mise à niveau a été réalisée ».
Que signifie le classement Seveso ?
C’est le nom d’une directive européenne prise en 1982, six ans après l’émotion suscitée par la catastrophe écologique et sanitaire de l’usine chimique Icmesa, située sur la commune de Seveso, à une vingtaine de kilomètres au nord de Milan, en Italie. La directive incitait les pays européens « à se doter d’une politique commune en matière de prévention des risques industriels majeurs » et demandait « aux Etats et aux entreprises d’identifier les risques associés à certaines activités industrielles dangereuses et de prendre les mesures nécessaires pour y faire face . »
Le dernier cadre de cette directive, Seveso 3 a été établi en 2012. Entrée en vigueur en 2015 en France, elle « introduit des normes plus strictes en matière d’inspection et renforce l’obligation d’information du public, du personnel et des exploitants des établissements voisins ».
La directive Seveso distingue deux type d’installations (seuil haut et seuil bas) dont les mesures de sécurité et les procédures varient. Selon la base nationale des installations classées, la France compte 1 378 sites Seveso (634 en seuil bas et 744 en seuil haut) sur lesquels des études sont menées pour évaluer les risques et des plans de prévention des risques technologiques (PPRT) qui limitent l’urbanisation, sont mis en place. Le PPRT de Lubrizol avait été approuvé en 2014.
Gary Dagorn , Léa Sanchez , Arthur Carpentier , Assma Maad et Séverine Maublanc
▻https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/09/27/ce-que-l-on-sait-au-lendemain-de-l-incendie-de-l-usine-lubrizol-a-rouen_6013
A Rouen, « les autorités n’ont pas cherché les bons #polluants… »
Après l’incendie de l’usine Lubrizol classée Seveso, des #associations s’inquiètent de la qualité de l’air et demandent des analyses plus complètes.
▻http://www.leparisien.fr/societe/a-rouen-les-autorites-n-ont-pas-cherche-les-bons-polluants-27-09-2019-816
Il faut certainement prendre des précautions avec les enfants : des précautions d’hygiène, ne pas rentrer avec ses chaussures dans la maison. Il faut mettre en place un suivi médical pour toutes les personnes exposées pour anticiper sur des maladies qui mettent des années voire des décennies à se déclencher. Une des choses dont je suis surprise c’est qu’il n’y ait pas eu, en plus des fermetures d’école, un droit de retrait pour tous les salariés de la zone sous le panache.
Annie Thébaud-Mony
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/incendie-a-rouen-comment-securiser-les-sites-industriels-classes-seves
Et si on cherchait les bons propriétaires ?
#Berkshire_Hathaway ? ? ? ? ?
Il est utile de rappeler que l’usine appartient au groupe de chimie américain #Lubrizol_Corporation, lié à la holding du milliardaire et célèbre investisseur américain #Warren_Buffett
►https://www.campuslille.com/index.php/entry/categories/eul-bce
De bien intéressantes photos.