Paulo

a principalement passé entre les gouttes

  • Toujours à propos de ces mecs, de leurs organisations et de leurs tactiques et stratégies de merde . Je pense plus précisément au texte ignoble de ce gus des Indigènes de la république dans lequel il s’agissait de

    déconstruire la Shoa

    afin d’expliquer en quoi elle était devenue la religion du capitalisme, ou quelque chose comme ça. Cet gus démontrait clairement qu’il plaçait sa haine comme outil stratégique. Et les "Indigènes " déraillent dur s’ils ont lu cette saloperie sans ciller. Bref, voici un texte de T.Todorov concernant Mandela. (Ceux qui après lecture ne voient pas le rapport devront sortir leur tête de leur cul)
    excusez la grossièreté, elle est quasi inévitable devant des dégueulasses pareils.

    Tzvetan Todorov

    L’EXEMPLE DE MANDELA

    Les travaux de la Commission pour la vérité et la réconciliation, en Afrique du Sud, avaient provoqué un chœur d’opinions favorables, voire admiratives, dans les pays occidentaux. Pourtant, aucun de leurs gouvernements n’a cherché à infléchir son propre système judiciaire, en mêlant une dose de « justice réparatrice », principe dont se réclamait la Commission, à la « justice punitive », qu’on trouve à la base de leur système légal. A son tour, la mort de Mandela a suscité une avalanche d’hommages de la part des chefs d’Etat du monde entier. On peut douter cependant qu’ils mettent en œuvre les préceptes légués par l’homme politique sud-africain.
    Ce qui distingue Mandela des autres opposants au régime de l’apartheid n’est pas son intransigeance à l’égard de ce système politique fondé sur l’inégalité des habitants du pays, ni la durée ou la détermination de son engagement. Ce qui met son parcours à part et, on peut le dire rétrospectivement, en assure le succès, est une combinaison rare de sens politique et de vertu morale. Plusieurs faits de sa biographie en témoignent.
    Mandela et ses camarades de combat ont été condamnés en 1964 à la réclusion à perpétuité, peine qu’ils purgent dans la prison de Robben Island. Dans le pays continue la répression violente de toute forme de protestation. Au milieu des années soixante-dix, une nouvelle loi provoque des manifestations dans les rues de Soweto : elle impose d’étudier à l’école en afrikaans, la langue des maîtres. Ces manifestations sont écrasées dans le sang, on compte des centaines de morts, des milliers de blessés, des dizaines de milliers de condamnés. De sa prison, Mandela envoie un message de solidarité avec les victimes. En même temps, dans les rares heures libres que lui laisse le régime pénitentiaire de travaux forcés, il se consacre à une activité surprenante : il commence à apprendre l’afrikaans et lit des ouvrages sur l’histoire et la culture de la population blanche qui parle cette langue. Il adopte aussi un comportement envers ses geôliers qui tranche avec celui des autres détenus : plutôt que de leur manifester son hostilité, de s’enfermer dans le refus de tout contact avec ces représentants du régime honni, il cherche à communiquer avec eux. Ces gestes consistent donc à reconnaître non l’humanité des victimes, sur laquelle il n’a jamais eu le moindre doute, mais celle de l’ennemi, qu’il cherche à comprendre, à le voir aussi de la manière dont cet ennemi se voit lui-même. Mandela découvre alors que les comportements arrogants des gardiens et de leurs maîtres sont motivés, non tant par leur sentiment de supériorité, que par la peur – peur non seulement de perdre leurs privilèges mais de subir la vengeance des anciens opprimés. Il déclare donc : l’Afrikaner est un Africain, tout autant que ses prisonniers noirs.
    Un second moment décisif se situe une dizaine d’années plus tard. Entre temps, la situation internationale a changé, la fin de la guerre froide est proche, le danger communiste n’est plus un épouvantail crédible et l’Afrique du Sud s’est attirée l’opprobre des pays occidentaux. Les gouvernants sud-africains ont compris que l’évolution du régime est inévitable et ils ont besoin d’un interlocuteur représentant la population noire. Les prisonniers ont été envoyés dans un autre pénitencier, sur le continent ; à la suite d’une intervention médicale, en 1986, Mandela est séparé des autres détenus et encore déplacé. Ses camarades protestent, croyant qu’il s’agit d’une brimade. Mandela lui-même non seulement accepte sa nouvelle condition mais en est satisfait : elle lui permet d’agir individuellement, sans avoir à subir la pression du groupe. Il a compris à la fois que l’individu isolé est toujours moins radical que le groupe, car il n’a plus à tenir compte du regard des autres sur lui et n’a plus à se livrer à une surenchère ; et que dans le jeu serré qui se prépare, les rapports de personne à personne vont compter. Il ne prend pas ses distances avec son parti l’ANC, mais s’affranchit de sa surveillance.
    Au débit de 1989, le Premier ministre sud-africain Pieter Botha, partisan rigide de l’apartheid, souffre d’une congestion cérébrale, il sent que le temps lui est compté. Il a déjà été en contact écrit avec Mandela : en 1985, il a proposé à son prisonnier de le libérer, à condition que l’ANC renonce à la violence ; Mandela a refusé. Il n’exclut pas la violence par principe, à la manière de Gandhi, il ne la sacralise pas non plus : il y renonce quand il pense pouvoir atteindre le même but par d’autres moyens. En juillet 1989, Botha invite Mandela à prendre le thé dans sa maison. Son visiteur raconte plus tard qu’il a été frappé, non par les paroles échangées, mais par deux menus gestes. Botha lui a tendu la main aussitôt qu’il l’a vu ; ensuite, c’est lui-même qui a servi le thé. Mandela découvre en face de lui, non l’incarnation de l’apartheid, mais un individu. Le travail commun, la conversation sont des actes politiques. Mandela choisit alors, plutôt que de s’imposer en force, de chercher une situation acceptable pour les deux partis. Il résume sa position en deux points complémentaires : donner des droits égaux à tous (donc abolir l’apartheid), ne pas punir collectivement la minorité blanche.
    Un dernier épisode mérite d’être rappelé : en octobre 1992, un groupe d’anciens prisonniers de l’ANC, soupçonnés d’avoir collaboré avec le pouvoir blanc, dénoncent les conditions dans lesquelles ils ont été détenus. Mandela coupe court aux dénégations des responsables et déclare : « Pendant la plus grande partie des années 1980, la torture, les mauvais traitements et les humiliations étaient monnaie courante dans les camps de l’ANC. » Il a compris que la cause même noble ne légitime pas les actes ignobles, que la guerre a sa propre logique où l’on rend le coup pour le coup et où les combattants commencent à se ressembler. C’est cette compréhension qui fait que, après son triomphe électoral, Mandela encourage la voie de la justice réparatrice au détriment de la justice punitive.
    Dans le beau discours qu’il a prononcé aux funérailles de Mandela, Barack Obama dit que tout homme d’Etat devrait se poser la question : ai-je bien appliqué ses leçons à ma propre vie ? Il constate que le combat contre le racisme a remporté quelques victoires aux Etats-Unis aussi, que celui contre la pauvreté et l’inégalité, pour la justice sociale, rencontre toujours des obstacles solides. Mais Obama ne dit mot des combats que son pays poursuit toujours les armes à la main et qui n’évoquent pas moins les engagements de Mandela. Peut-on affirmer qu’on s’inspire de son exemple et de son refus d’exclure les ennemis d’une commune humanité quand les gouvernements américains successifs choisissent d’enfermer leurs ennemis réels ou supposés dans des camps-prisons comme celui de Guantanamo ; de frapper par des drones dans des pays lointains suspects et coupables, indifféremment, ainsi que les personnes qui se trouvent par hasard autour d’eux ; de mettre sur écoutes la population de leur propre pays et les responsables politiques ou économique des pays alliés ? La vertu morale de Mandela ne permet pas un tel abîme entre paroles et actes.

  • arrivé dans ma boite ? Paulo

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    > Objet : RE : En prison pour avoir refuse de polluer
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    Personne ne doit ignorer que des personnes en France risquent :
    La prison pour avoir refusé de polluer !
    Chère amie, cher ami,

    Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d’Or, exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

    Le 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

    Par solidarité avec lui, je vous demande de signer la déclaration de soutien située en bas de ce message.
    Un insecticide qui détruit les abeilles
    En juin dernier, pour contrer un risque hypothétique d’épidémie de flavescence dorée, une maladie de la vigne, le préfet de Côte-d’Or a pris un arrêté radical : tous les vignerons devront traiter leur vigne contre la cicadelle, l’insecte qui répand la maladie.

    Le problème est que même l’insecticide le moins polluant contre la cicadelle tue les abeilles et la faune auxiliaire.

    Il détruit toutes sortes d’insectes nécessaires à la régulation de la vigne pour éviter les parasites. Or, Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne.

    Il décide donc, fort logiquement, de lutter contre la cicadelle en choisissant parmi les nombreux traitements naturels bien connus des agriculteurs bio.

    Il était tranquillement au travail l’été dernier quand arrive chez lui un inspecteur de la direction régionale de l’Agriculture. L’inspecteur s’aperçoit qu’il n’a pas déversé de pesticide.

    Il décide aussitôt de le signaler au procureur. Emmanuel Giboulot est mis en examen, comme un délinquant.
    Traîné en correctionnelle !!
    Emmanuel Giboulot est convoqué le 24 décembre pour un arrangement amiable avec le procureur, mais celui-ci annule au dernier moment.

    Au lieu de classer l’affaire, le procureur décide de le renvoyer devant le tribunal correctionnel, avec un procès le 24 février prochain !

    Emmanuel Giboulot sera donc jugé aux côtés de délinquants sexuels et de cambrioleurs endurcis, qui forment la population habituelle des audiences correctionnelles.

    Le problème est que, en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s’est exprimé publiquement pour défendre Emmanuel Giboulot.

    Aucune réaction massive n’a eu lieu dans la population, jusqu’à présent.

    L’IPSN avait créé une page de soutien sur Facebook pour Emmanuel Giboulot, qui a récolté plus de 35 000 soutiens. Mais, vu le contexte, la mobilisation doit aujourd’hui être infiniment plus forte et plus officielle.
    Les alternatives naturelles sont efficaces !
    En effet, contrairement à ce qu’affirment les autorités, il existe plusieurs moyens de protéger les vignes contre la cicadelle tout en respectant l’environnement :
    les vignes peuvent être protégées avec des fougères et de l’argile calciné ;
     
    des pièges à cicadelle existent, et ils sont efficaces (la cicadelle est attirée par la couleur orange) ;
     
    on peut également poser entre les pieds de vigne de la paille d’avoine ou du papier d’aluminium, dont la forte intensité lumineuse empêche l’insecte de se poser. Des expériences ont montré que cette simple mesure est tout aussi efficace que l’insecticide ;
     
    mais surtout, surtout, c’est en préservant la biodiversité qu’on lutte le mieux contre la cicadelle, car c’est un insecte apprécié par de nombreux prédateurs dans la nature. Le problème est que ces prédateurs, les araignées, la mante religieuse et certains types de punaises, ont aujourd’hui été éradiqués dans les vignes non biologiques, où la faune est ravagée par les insecticides.
     
    Ces solutions ne devraient pas être combattues mais au contraire encouragées par les autorités.

    Les agriculteurs qui les utilisent devraient être félicités et donnés en exemple, non pas soumis à la terreur d’une répression judiciaire.

    C’est pourquoi je vous demande de signer la déclaration de soutien à Emmanuel Giboulot.
    Signez la déclaration de soutien
    Emmanuel Giboulot ne doit pas se rendre au tribunal abandonné de tous. Il doit savoir qu’il est soutenu par des centaines de milliers de personnes.

    Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d’adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

    Nous pouvons aussi changer l’issue de ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures de soutien.

    Car sans réaction massive de la population, ce viticulteur risque très probablement d’être condamné, pour l’exemple.

    La plupart des agriculteurs bios qui verront cela se le tiendront pour dit. Ils comprendront qu’ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d’empoisonner leur propre terre et de décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs !!

    Ne laissez pas se commettre une telle injustice, avec des conséquences aussi lourdes et contraires à l’intérêt de tous. Manifestons publiquement notre réprobation la plus totale contre les réglementations qui marchent à l’envers et qui nuisent autant à l’environnement qu’au bon sens.

    L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot et à la faire signer par tout votre entourage.

    Cela ne vous demandera qu’un instant, mais c’est un moyen concret d’empêcher qu’une grave injustice ne soit commise, doublée d’une grave atteinte à notre planète.

    S’il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l’envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu’ici, faites un geste simple et signez la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot.

    Puis transmettez ce message à toutes vos connaissances.

    Un grand merci,

    Avec tout mon dévouement,

    Augustin de Livois

    Président de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
     
     
     
     
     
    Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
    Association sans but lucratif
    Rue du Vieux Marché au Grain, 48
    1000 BRUXELLES
    www.ipsn.eu
     

  • Histoire vraie,
    petits français :
    A Saint-Céré , Lot, les habitants se plaignaient. Ils manquaient de médecins généralistes.
    La municipalité fit venir deux médecins. Deux femmes, une Espagnole et une Polonaise ( ou Roumaine). Interviewées sur la télé régionale, elles expliquaient qu’elles n’avaient ( presque) pas de patients. Les autochtones se refusant à les consulter...

  • Libé et sa mutation en drugstore du pognon : projet des actionnaires, petites mains du projet des financiers : Ph. Starck-Demorand &Co. Libé enfin une marque qui va rapporter !
    cf Libé-papier, week-end 8-9/2:2014

  • Le voici maintenant Président-voyageur, il va un peu partout, visiblement pour s’aérer, soulagé après avoir annoncé son plan B pour sauver la France ( « faisons ce que Sarko faisait, on sait jamais ») , heureux d’avoir quitté sa copine et content de causer moralité au chef Turc avant d’aller avec plaisir chez Obama, autre foireux.
    Question : le président est-il fainéant ?

  • Dans la rubrique Putasseries en tous genres Le Monde-papier du 24/01/14
    Dans le Monde des Livres, petit éditorial mi ironique-mi déférent ( si-si) à destination d’un Avocat général, retraité des prétoires en manque de reconnaissance.

  • MOI NON PLUS – La déclaration d’amour du « New York Time » au « malaise » français | Big Browser
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/07/30/moi-non-plus-la-declaration-damour-du-new-york-times-au-mala

    Toujours à-propos du racisme et de la xénophobie inexpugnables des nations : les chroniqueurs des feuilles américaines et anglaises s’en donnent à coeur joie : de tout temps ils ont haï ce que la France et les français représentent. Jalousie et stupidité à l’égard du vieux continent, exactement comme l’anti américanisme petit-français.

  • Par exemple(s), Conrad & Degas, deux grands auteurs, en tous cas deux parmi mes admirations pour leurs oeuvres, furent des connards antisémites sans rémission. L’un parce qu’il avait baigné enfant dans la bêtise religieuse d’un monde polonais aussi stupide que catho et l’autre parce qu’il était d’une famille de banquiers cosmopolites et magouilleurs...
    Et toute cette merde cohabitait avec le talent. Et chez Degas avec un esprit critique et une extraordinaire perspicacité... A n’y rien comprendre.

    Il n’y a pas de solution à l’antisémitisme, ni au racisme. Ca colle définitivement à la peau des hommes ( même de ceux à gauche) comme la merde à leurs(nos) semelles.

    ( Degas, Mille-et-une-Nuits, propos choisis)

  • Une évidence utile pour tout seenthis à son clavier, évidence analysée avec le sérieux qu’on lui connaît :

    « Le temps n’est pas le même selon qu’on en dispose parce qu’on n’a rien à faire que de penser et que penser n’est rien d’autre, selon le physiologiste du XIX° siècle Alexander Bain , qu’un » acte retenu, une parole ravalée", ou qu’on est engagé dans un travail, un conflit d’intérêt, un combat. Dans ce cas, le flux temporel est une séquence orientée, évolutive, irréversible qui engendre et escamote des faits" sur la valeur desquels il importe de se prononcer sans délai, à partir de ce qu’on en perçoit dans la succession plus ou moins inattendue et rapide où ils se présentent, pour retenir ceux qui peuvent servir la fin souhaitée et repousser, s’il se peut, le restant. Le tout coloré, troublé par les puissants affects que suscitent les intérêts vitaux et l’incertitude."
    Pierre Bergougnioux , Le style comme expérience , Paris, 2013.

  • Home | The New York Review of Books
    http://www.nybooks.com

    1 article sur le net :

    Sue Halpern
    Are We Puppets in a Wired World?

    To Save Everything, Click Here: The Folly of Technological Solutionism by Evgeny Morozov

    Hacking the Future: Privacy, Identity and Anonymity on the Web by Cole Stryker

    From Gutenberg to Zuckerberg: What You Really Need to Know About the Internet by John Naughton

    Predictive Analytics: The Power to Predict Who Will Click, Buy, Lie, or Die by Eric Siegel

    Big Data: A Revolution That Will Transform How We Live, Work, and Think by Viktor Mayer-Schönberger and Kenneth Cukier

    Status Update: Celebrity, Publicity, and Branding in the Social Media Age by Alice E. Marwick

    Privacy and Big Data: The Players, Regulators and Stakeholders by Terence Craig and Mary E. Ludloff

  • 11-Novembre : Marine Le Pen dénonce des « méthodes totalitaires »
    http://www.lemonde.fr/politique/video/2013/11/12/11-novembre-marine-le-pen-denonce-des-methodes-totalitaires_3512223_823448.h

    Il pourrait être utile de dresser un palmarès de l’imbécillité en politique et plus largement des manifestations de la sottise dans tous les domaines de la vie collective ?
    Il me semble que ça manque face aux nombreux malfaisants de l’expression publique.

  • Face à la crise bretonne, M. Valls se fait discret
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/11/09/face-a-la-crise-bretonne-m-valls-se-fait-discret_3511062_823448.html

    « Où est donc passé le ministre ? En cavale, constatent beaucoup. » Planqué" estime un conseiller ministériel (...) Il a intérêt à se préserver" ajoute-t-il.

    En fait, Valls célébrait le centenaire de la création de la police judiciaire en compagnie d’un choix d’invités dont Belmondo et Broussard, apparemment deux références dans le panthéon perso de ce type (c’est fou comme il cristallise mon hostilité, - autant qu’un Besson à l’époque Sarko-, je me raisonne mais j’ai du mal devant cette sorte d’opportunistes.) D’ailleurs, Valls a annoncé devant l’Assemblée nationale qu’il y aura « 10 000 régularisations de sans papiers supplémentaires en 2013 par rapport à 2012. »
    « Contre-emploi », dit la feuille du soir.

  • « La nature ? Les idées ? On fait ce qu’on peut. Il faut bien, étant donné que les plus grandes idées sont courtes, aller souvent à la campagne, regarder l’eau couler sous les ponts et coucher de belles femmes sur son canapé. »
    feLIX vALLONTON
    LE FEU SOUS LA GLACE . EXPO AU GRAND pALAIS
    La vie à distance , docu sur Arte, cf. Arte+7
    Les Allusions perdues , Philippe Lançon, Libé 7/10/13
    La vie est une fumée , F.V. ed 1001 nuits
    Justice rendue au peinture suisse, anar et dépressif.