• Pour un regroupement des groupies
    http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=5215

    Jean-Luc #Mélenchon a déclaré, dans une de ses dernières interventions publiques, sa volonté d’« élargir » le Front de #gauche aux frondeurs du PS et aux écologistes. Je ne vois aucune objection […]

    #La_chronique_d'Alain_Accardo #classes_populaires #Classes-moyennes #Front-de-gauche #gauche_radicale #Parti-socialiste #rassemblement_de_la_gauche

  • Dirigeants communistes : quelle culture syndicale ?
    http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=4472

    Le #PCF et la #CGT sont deux organisations couramment associées. Or le lien entre les responsables communistes et le mouvement syndical s’est délité depuis les années 1980, en même temps que les stratégies patronales ont réduit les contre-pouvoirs dans les entreprises et que le PCF a perdu une bonne part …

    #Nos_enquêtes #S'organiser #communisme_municipal #Front-de-gauche #gauche #gauche_de_gauche #Mischi #ouvrier

  • Blog gaulliste libre : L’étrange bienveillance de certains médias pour le FN
    http://www.gaullistelibre.com/2014/04/letrange-bienveillance-de-certains.html

    .............

    Mais alors, pourquoi a-t-on autant parlé du FN, comparativement au FG ou pas ? Pourquoi une partie des médias, le Monde notamment, qui a parlé de triomphe, a autant servi la soupe à Marine Le Pen ? Elle n’avait souvent rien à redire sur la manière dont son parti était traité puisque cela correspondait peu ou prou à l’histoire qu’elle et ses communiquants veulent raconter aux Français. Que n’aurait-elle pas dit si certains journalistes avaient pris plus de recul et dit que le FN revenait seulement aux scores de 1995 et ne faisait pas mieux que le FG de Jean-Luc Mélenchon ? Pourquoi des médias a priori opposés au FN se transforment-ils, consciemment ou pas, en ses attachés de presse ?.....

    #municipales
    #presse
    #Le-Monde
    #médias
    #Front-de-Gauche
    #Jean-Luc-Mélenchon
    #Front-National
    #Marine-Le-Pen
    #Jean-Marie-Le-Pen

  • Si le Front de gauche voulait vraiment lutter contre le FN…

    http://www.marianne.net/Si-le-Front-de-gauche-voulait-vraiment-lutter-contre-le-FN_a234798.html?co

    http://www.marianne.net/photo/art/default/977422-1158426.jpg?v=1388751372

    « Le traumatisme que provoque l’émergence du Front national est si terrible qu’on assiste à un abandon de toute solution nationale dans les discours des partis ou des intellectuels de la gauche radicale. (…) Tout ce qui vient du Front national provoque une telle répulsion chez [ses militants] que le tri n’est plus fait entre “les idées du Front national” et les idées qui n’appartiennent à personne, mais sont reprises par le Front national ». Sévère ? Nécessaire, plutôt. Salutaire même à l’approche des élections européennes.

    Avec son dernier ouvrage, bref mais néanmoins charpenté, La gauche radicale et ses tabous *, Aurélien Bernier donne à comprendre « pourquoi le Front de gauche échoue face au Front national ». Cet ancien dirigeant d’Attac et collaborateur du Monde diplomatique, qui se définit lui-même comme un « proche du Front de gauche », n’épargne pas ses camarades altermondialistes, communistes et trotskystes et cible trois interdits qui règnent en maître au pays de la gauche de la gauche. Trois « tabous » qui ne manqueront pas de faire polémique. (...)

    #gauche #changement #Front-De-Gauche #alternative #politique #euro #Europe #protectionnisme #sécurité #laïcité

    • Le truc, à mon sens, ce n’est pas tellement de « lutter » contre le FN... mais plutôt de parvenir à le contourner pour tâcher de devenir audible dans le brouhaha. Le président en exercice pour se faire élire a usé exactement de la même stratégie au discours du Bourget en 2012... « Mon ennemi c’est la Finance ». Et ça a fonctionné. Comme cela fonctionne avec le FN.

      Ces discours de reproches au FdG sont ... lourds à la longue... en ce qu’ils ressemblent beaucoup à des « y-a-qu’à »... et en ce qu’ils occultent d’une certaine façon toutes les embuches présentes pour qu’une vraie opposition de gauche parvienne à exister.

    • Si contourner le FN permet de lutter contre, alors pourquoi pas. Il est essentiel de lutter contre le FN qui ne propose que des solutions simplistes et fausses à certains problèmes (à l’exclusion d’autres) et existe essentiellement par sa démagogie « spectaculaire » dont sont friands la plupart des médias, sans scrupules, pour faire de l’audience et glaner par conséquent le fric des annonceurs.

      Je ne crois pas que Hollande ait été élu sur sa petite phrase sur la finance. Peu de gens étaient dupes de qui il était et de ses idées (ou plutôt leur absence). Il s’agissait d’abord de virer Sarkozy.

      Le FDG ne peut pas se permettre le luxe de se regarder le nombril. Il doit faire sans tarder son auto-critique et ne pas « contourner » les vrais problèmes et les vraies questions, uniquement par le talent, la culture, et la subtilité de son leader, qui séduisent mais ne résolvent rien.

      Le FDG doit lutter pied à pied, par réponses argumentées et crédibles, contre le FN sur les sujets réellement importants pour les Français(es) et la France. Et de même démontrer qu’une bonne partie des sujets de base du FN sont secondaires et/ou factices, montés en épingle.

      Il appartient ensuite à chaque citoyen sensible et motivé de relayer ces informations, puisque la plupart des médias ne le font généralement pas, mais que quand Mélenchon leur permet de faire de l’audience.

  • A mes camarades du Front de gauche : cachez cet #islam que je ne saurais voir…
    http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=2063

    Le licenciement pour faute grave de Fatima Afif, salariée de la crèche privée Baby Loup dans les Yvelines a été confirmé par la cour d’appel de Paris, le 27 novembre dernier. Sa faute : elle portait le #voile. Ce licenciement avait dans un premier temps été annulé par la cour de …

    #Polémique #Front-de-gauche #PCF

  • Jacques Généreux : la priorité, c’est de sauver l’Europe, pas l’euro | Rue89
    http://www.rue89.com/2013/11/16/jacques-genereux-priorite-cest-sauver-leurope-leuro-247475

    « Hollande va à la catastrophe », dit l’économiste du Parti de Gauche qui raconte à Rue89 ce qui se passerait « si Mélenchon était Président », et lui Premier ministre.

    Si le gouvernement français est dans une telle nasse, pensent de nombreuses personnes à gauche, c’est parce qu’il est prisonnier des règles de la zone euro, qui le privent de toute marge de manœuvre.

    C’est la conviction d’Arnaud Montebourg, de Jean-Pierre Chevènement, ou encore de Jean-Luc Mélenchon. Pourtant, sur la scène politique, seule Marine Le Pen apparaît comme celle qui pointe ouvertement le rôle de la monnaie unique dans cette crise qui se prolonge. Une situation qui n’est pas forcément très saine, car le débat sur les responsabilités de l’euro n’est pas illégitime. Il aurait pu être porté par le Parti de Gauche, mais Jean-Luc Mélenchon n’a pas osé franchir le pas, considérant que ce serait politiquement irresponsable.

    Faut-il sauver coûte que coûte l’euro ? J’ai voulu aller au fond du sujet avec l’économiste du Parti de Gauche, Jacques Généreux, professeur à Sciences-Po Paris. L’interview est longue, mais qu’on partage ou non les idées de Jacques Généreux, sa lecture intégrale est éclairante....

    #économie
    #Europe
    #Euro
    #monnaies
    #Grèce
    #Italie
    #Espagne
    #Gauche
    #PS
    #Front-de-Gauche
    #Banque-Centrale-Européenne
    #Compétitive
    #Allemagne

  • Du Front de Gauche à l’Ump, l’appel des élus contre la privatisation des autoroutes
    http://www.marianne.net/Du-Front-de-Gauche-a-l-Ump-l-appel-des-elus-contre-la-privatisation-des-au

    Alors que le gouvernement s’apprête à prolonger de trois ans la rente des autoroutes, Marianne publie un texte signé par la droite comme par la gauche appelant le gouvernement à y renoncer. François Hollande ne le signera pas, lui qui alors candidat, avait pourtant qualifié cette privatisation « d’opération à courte vue » (voir le document). Cet appel est ouvert à vos signatures…

    http://www.marianne.net/photo/art/default/975792-1156438.jpg?v=1382961566
    Premiers signataires :

    Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard (députés européens, coprésidents du Front de gauche), Nicolas Dupont-Aignan (député-maire de Yerres, président de Debout la République), François de Rugy (député de Loire-Atlantique, vice-président d’Europe Ecologie-Les Verts) Emmanuel Maurel (vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, PS), Marie-Noëlle Lienemann (sénatrice de Paris, PS), Jacques Myard (député-maire de Maisons-Laffitte, UMP).

    Après la vente à vil prix par l’Etat du réseau autoroutier français, qui a débuté en 2002 et s’est achevée en 2006, après la prorogation d’un an des concessions en 2011 sous un prétexte environnemental, le gouvernement Ayrault entend finaliser son plan de relance autoroutier en prolongeant une nouvelle fois, de trois ans, la durée d’exploitation de nos autoroutes par leurs actuels concessionnaires. Il reporte ainsi à 2033 en moyenne la fin des concessions dont disposent les groupes Vinci, Eiffage et Albertis.

    En contrepartie, ceux-là devraient prendre à leur charge une vingtaine de projets d’aménagement de sections autoroutières autour de grandes villes, de liaisons entre des autoroutes existantes, ou encore la mise aux normes de sections existantes. L’ensemble devrait représenter un montant de 3,7 milliards d’euros.

    Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation du patrimoine national, ne pouvons accepter une nouvelle démission de la puissance publique alors que les groupes concessionnaires n’ont pas respecté leurs obligations. Un rapport, pour l’heure « officieux », commandé à deux hauts fonctionnaires, a alerté les pouvoirs publics sur cette situation ; pourtant, les bases de l’actuelle négociation restent inchangées, ne prenant pas en compte ces manquements des concessionnaires. De son côté, la Cour des comptes a dénoncé à de nombreuses reprises l’incapacité de l’Etat à imposer aux concessionnaires le respect de leurs obligations, constatant notamment des tarifs manipulés et une qualité des chaussées dégradée.

    Pourtant, les recettes générées par l’exploitation des concessions autoroutières donnent lieu chaque année à de très substantiels profits : plus de 2 milliards d’euros de bénéfices net pour un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros en 2012.

    C’est cet incroyable cadeau que s’apprête à renouveler l’Etat, au profit de ces grands groupes du secteur peu respectueux de leurs engagements. La quasi-totalité de leurs investissements passés sera intégralement remboursée dans les dix prochaines années. A l’horizon 2030, au rythme de l’évolution actuelle des tarifs et de la progression du trafic, chaque année d’exploitation devrait donc leur rapporter 10 milliards d’euros, et presque autant de bénéfices.

    Ce sont donc entre 5 et 7 milliards d’euros net d’impôt chaque année pour une période de trois années supplémentaires que l’Etat s’apprête à offrir, soit 18 milliards d’euros d’ici à vingt ans. Soit l’équivalent d’un enrichissement immédiat de 6 à 9 milliards d’euros pour les groupes propriétaires des concessions, et un appauvrissement du même ordre de l’Etat.

    Quel est donc cet Etat stratège qui organise son propre dépouillement : faire financer par d’autres 3,5 milliards d’euros d’investissements quand cela lui en coûte entre le double et le triple ? Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation de l’indépendance nationale, sommes alarmés par l’ampleur de la dette dont souffre aujourd’hui la nation. Le poids de l’endettement de l’Etat lui interdit désormais d’affecter à l’investissement les économies budgétaires qu’il peut dégager.

    Beaucoup de pays dans le monde découvrent aujourd’hui que la privatisation partielle du service public de la route a souvent octroyé des rentes extravagantes aux grands groupes. Au prétexte que l’Etat doit se désendetter, il se prive de recettes précieuses !

    La France peut et doit récupérer le contrôle et le bénéfice de ses infrastructures de transport.

    Cela sera bénéfique aux finances publiques et au pouvoir d’achat des automobilistes ; la seule conséquence négative se lira dans les résultats boursiers des grands groupes actuels...."

    Du #Front-de-Gauche à l’ #Ump, l’ #appel des élus contre la #privatisation des #autoroutes

    • Faites le calcul. Avec 83,8 milliards de kilomètres facturés, une manne de plus de 2 milliards tombe chaque année dans leurs poches, près de 43 % de plus qu’en 2005. A ce rythme-là, les 15 milliards payés en 2006 lors de la privatisation seront remboursés dans trois ans ! Et la poule aux œufs d’or est dans leur poulailler pour encore vingt longues années (au moins). Jusqu’en 2033.

      Martingale ? Au moment où les autoroutiers font pression sur l’Etat pour proroger (une fois de plus) leur concession, le récent rapport de la Cour des comptes en décrypte les méthodes. Insensible à la baisse du trafic, le chiffre d’affaires des autoroutiers poursuit inlassablement sa progression. Bizarre. Donc, quand le trafic croît, c’est le Pérou. Côté coûts, les économies, elles, sont au rendez-vous. De la réduction des moyens affectés à l’entretien des chaussées jusqu’à l’automatisation à marche forcée des bornes de paiement qui permet de réduire les charges de personnel, tout est bon pour tirer un maximum des péages.

      Sans compter que le temps joue pour eux : l’amortissement de nombreux tronçons allège chaque année le coût de leur endettement. Résultat mécanique : le chiffre d’affaires progresse trois fois plus vite que l’inflation, quand le bénéfice net, lui, met le turbo, avec une vitesse quatre fois supérieure à celle des prix.
      http://www.marianne.net/photo/art/default/973306-1156468.jpg?v=1382962770
      http://www.marianne.net/Le-scandale-des-peages-privatises_a231095.html

  • RAGEMAG
    http://ragemag.fr/vers-lecosocialisme-et-au-dela-entretien-avec-clement-senechal

    Pour reprendre des termes génériques, c’est la différence entre les sociaux-libéraux/sociaux-démocrates et la gauche antilibérale. Nous nous considérons comme la gauche éco-socialiste.

    On n’entend pas souvent ce terme !

    Disons que c’est notre prochaine grande bataille idéologique. Le socialisme, c’est quoi fondamentalement ? C’est se rendre compte que nous vivons dans une société marquée par une interdépendance fondamentale entre les gens, et entre les gens et les choses. Quoi qu’on en dise, nous ne sommes pas des atomes autonomes. L’oligarchie, qui prétend le contraire, à besoin d’une institution collective qui s’appelle l’argent pour assurer sa domination. Or, cette interdépendance essentielle est aujourd’hui remise en relief par l’écologie et la finitude alarmante de notre environnement terrestre. Avant, on avait un pensée politique centrée surtout la finitude humaine : maintenant on a une pensée préoccupée par la finitude de l’écosystème. On voit que cet environnement n’est pas illimité : (…) par la force des choses on est donc tous interdépendants les uns des autres. Il va falloir partager ce qui est en train de s’épuiser. La cause écologique donne donc une assise empirique supplémentaire au projet socialiste, elle lui confère un surplus rigoureux de matérialisme. Nous ne devons plus proposer une simple critique des rapports de production, comme le suggérait Marx, mais une véritable critique des conditions de production. Bien entendu, ces deux critiques sont consubstantielles dans l’#éco-socialisme.

    #Front-de-Gauche