Très intéressant projet du Washington Post sur le « N-Word » (traduisible par « Nègre » ou « Négro ») à la fois si tabou et si courant aux USA. ►http://www.washingtonpost.com/wp-dre/features/the-n-word
Très intéressant projet du Washington Post sur le « N-Word » (traduisible par « Nègre » ou « Négro ») à la fois si tabou et si courant aux USA. ►http://www.washingtonpost.com/wp-dre/features/the-n-word
Super et merci jean
En complément, j’en profite pour (re)signaler ce billet co-écrit avec @supergeante
Nègres, Noirs... Du bon usage des mots en cartographie - Les blogs du Diplo
▻http://blog.mondediplo.net/2007-05-17-Negres-Noirs-Du-bon-usage-des-mots-en
Il faut, par exemple, ouvrir et comparer trois éditions (1959, 1970 et 1994) de l’atlas autrichien « Hölzel », publié en France depuis le début des années 1950 par les éditions Bordas (connu sous le nom d’Atlas général Bordas dont les auteurs étaient Pierre Serryn, René Blasselle, Marc Bonnet et Henri Bordas, tous agrégés d’histoire et de géographie). La première chose qui frappe est la grande similarité des cartes thématiques de géographie physique et humaine du début de l’ouvrage : langues, religions, densité de population, mais aussi températures et précipitations. Elles sont identiques à quelques exceptions près, comme si le monde était figé : mêmes contours, mêmes couleurs, même aspect, mêmes légendes. Ou presque.
Negro? Prieto? Moreno? A Question of Identity for Black Mexicans
JOSÉ MARÍA MORELOS, Mexico — Hernán Reyes calls himself “negro” — black — plain and simple.
After some thought, Elda Mayren decides she is “Afromexicana,” or African-Mexican.
Candido Escuen, a 58-year-old papaya farmer, is not quite sure what word to use, but he knows he is not mestizo, or mixed white and native Indian, which is how most Mexicans describe themselves.