• Génocide à Gaza : le spectre de l’antisémitisme comme arme de diversion
    https://www.les-crises.fr/genocide-a-gaza-le-spectre-de-l-antisemitisme-comme-arme-de-diversion

    La droite américaine brandit le spectre d’un antisémitisme exacerbé pour faire oublier le nombre astronomique de victimes à Gaza – plus de 34 000 morts à l’heure où j’écris ces lignes, dont plus de 14 500 enfants. Source : LA Progressive, Helen BenedictTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Cela fait des jours que les […]

  • Bernie Sanders : « Gaza pourrait devenir le Vietnam de Joe Biden »
    https://www.les-crises.fr/bernie-sanders-gaza-pourrait-devenir-le-vietnam-de-joe-biden

    « Biden se met dans une situation où il s’est aliéné non seulement les jeunes, mais aussi une grande partie de la base Démocrate. » Source : Truthout, Sharon ZhangTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Le président Joe Biden a prononcé jeudi un discours glacial demandant aux étudiants manifestants en faveur de la Palestine […]

  • Aux États-Unis, la critique d’Israël devient de l’antisémitisme après l’adoption d’un projet de loi au Congrès
    https://www.les-crises.fr/aux-etats-unis-la-critique-d-israel-devient-de-l-antisemitisme-apres-l-ad

    Des groupes juifs ont dénoncé la législation comme un outil permettant de réduire au silence le mouvement en faveur des droits des Palestiniens. Source : Brett Wilkins, Truthout Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Les législateurs de la Chambre des représentants ont voté à une écrasante majorité mercredi pour approuver une loi ordonnant au […]

  • Les États-Unis demandent à leurs alliés de réduire les exportations de puces vers la #Chine
    https://www.les-crises.fr/les-etats-unis-demandent-a-leurs-allies-de-reduire-les-exportations-de-pu

    Washington demande au #Japon, à la Corée du Sud et aux Pays-Bas de réduire la fourniture d’outils et de technologies. Source : Financial Times, Demetri SevastopuloTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Les États-Unis poussent leurs alliés européens et asiatiques à renforcer les restrictions sur les exportations de technologies et d’outils liés aux puces vers […]

    #Géopolitique #USA #Géopolitique,_Chine,_Japon,_USA

  • ICC prosecutor seeks arrest warrants for Israeli, Hamas
    20 May 2024 12:18 BST | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/icc-prosecutor-seeks-arrest-warrants-israeli-hamas

    The International Criminal Court (ICC) on Monday announced that it has applied for arrest warrant against Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu and Israeli Defence Minister Yoav Gallant for alleged war crimes.

    In addition to them the ICC has applied for arrest warrants for three Hamas leaders they include Yahya Sinwar, as well as two other top Hamas leaders - Mohammed Diab Ibrahim al-Masri, the leader of the Al Qassem Brigades and better known as Mohammed Deif, and Ismail Haniyeh, Hamas’ political leader.

    What are the ICC charges against Israel and Hamas?
    20 May 2024 12:26 BST
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/what-are-icc-charges-against-israel-and-hamas?nid=363631&topic=Israel

    The court’s chief prosecutor Karim Khan laid out the charges to CNN’s Christiane Amanpour in an exclusive interview on Monday.
    20 May 2024 12:26 BST
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/what-are-icc-charges-against-israel-and-hamas?nid=363631&topic=Israel

    A panel of ICC judges will now consider Khan’s application for the arrest warrants.

    Khan said the charges against Sinwar, Haniyeh and al-Masri include “extermination, murder, taking of hostages, rape and sexual assault in detention.”

    The charges against Netanyahu and Gallant include “causing extermination, causing starvation as a method of war, including the denial of humanitarian relief supplies, deliberately targeting civilians in conflict,” Khan told Amanpour.

    CPI

    • Déclaration du Procureur de la CPI, Karim A.A. Khan KC : dépôt de requêtes aux fins de délivrance de mandats d’arrêt concernant la situation dans l’État de Palestine
      https://www.icc-cpi.int/fr/news/declaration-du-procureur-de-la-cpi-karim-aa-khan-kc-depot-de-requetes-aux-f

      Aujourd’hui, je vais déposer des requêtes auprès de la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale aux fins de délivrance de mandats d’arrêt concernant la situation dans l’État de Palestine.
      Yahya Sinwar, Mohammed Diab Ibrahim Al-Masri (Deif), Ismail Haniyeh

      Compte tenu des éléments de preuve recueillis et examinés par mon Bureau, j’ai de bonnes raisons de penser que la responsabilité pénale de Yahya SINWAR (chef du Mouvement de résistance islamique [« Hamas] dans la bande de Gaza), Mohammed Diab Ibrahim AL-MASRI, plus connu sous le nom DEIF (commandant en chef de la branche armée du Hamas, communément appelée « les brigades Al-Qassam ») et Ismail HANIYEH (chef de la branche politique du Hamas) est engagée pour les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité ci-après commis sur le territoire d’Israël et dans l’État de Palestine (dans la bande de Gaza) depuis le 7 octobre 2023 au moins :

      L’extermination en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑1‑b du Statut ;
      Le meurtre en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑1‑a et en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑i ;
      La prise d’otages en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑iii ;
      Le viol et autres formes de violence sexuelle en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑1‑g et également en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑e‑vi dans le contexte de la captivité ;
      La torture en tant que crime contre l’humanité, visé à l’article 7‑1‑f et en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑i, dans le contexte de la captivité ;
      D’autres actes inhumains en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑l‑k, dans le contexte de la captivité ;
      Les traitements cruels en tant que crime de guerre en violation de l’article 8‑2‑c‑i, dans le contexte de la captivité ; et
      Atteintes à la dignité de la personne en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑ii, dans le contexte de la captivité.
      2023 :

      (...)

      Je tiens à remercier les victimes ayant survécu aux attaques du 7 octobre ainsi que leurs familles pour le courage qu’elles ont affiché en acceptant de faire le récit de leur expérience aux membres de mon Bureau.

      Nous nous efforçons d’approfondir notre enquête concernant tous les crimes commis lors de ces attaques et continueront de travailler avec l’ensemble de nos partenaires afin que justice puisse être rendue.

      Je réitère mon appel en faveur de la libération immédiate de tous les otages enlevés en Israël et de leur retour, sains et saufs, auprès de leurs familles. C’est une exigence fondamentale du droit international humanitaire qui doit être respectée.

      Benjamin Netanyahu, Yoav Gallant

      Compte tenu des preuves recueillies et examinées par mon Bureau, j’ai de bonnes raisons de penser que la responsabilité pénale de Benjamin NETANYAHU, le Premier Ministre d’Israël, et de Yoav GALLANT, Ministre de la défense d’Israël, est engagée pour les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité ci-après commis sur le territoire de l’État de Palestine (dans la bande de Gaza) à compter du 8 octobre 2023 au moins :

      Le fait d’affamer délibérément des civils comme méthode de guerre en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑b‑xxv du Statut ;
      Le fait de causer intentionnellement de grandes souffrances ou de porter gravement atteinte à l’intégrité physique ou à la santé, en violation de l’article 8‑2‑a‑iii ou les traitements cruels en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑i ;
      L’homicide intentionnel, en violation de l’article 8‑2‑a‑i ou le meurtre en tant que crime de guerre, en violation de l’article 8‑2‑c‑i ;
      Le fait de diriger intentionnellement des attaques contre la population civile en tant que crime de guerre en violation des articles 8‑2‑b‑i ou 8‑2‑e‑i ;
      L’extermination et/ou le meurtre en tant que crime contre l’humanité, en violation des articles 7‑1‑b et 7‑1‑a, y compris en lien avec le fait d’affamer des civils ayant entraîné la mort, en tant que crime contre l’humanité ;
      La persécution en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑1‑h ;
      D’autres actes inhumains en tant que crime contre l’humanité, en violation de l’article 7‑l‑k.

      (...)

      Aujourd’hui, nous réaffirmons qu’aucun État ne peut se soustraire aux normes prévues par le droit international et le droit des conflits armés. Aucun soldat, aucun commandant, aucun dirigeant civil, nul ne peut agir en toute impunité. Rien ne peut justifier de priver délibérément des êtres humains, dont tant de femmes et d’enfants, de biens indispensables à leur survie. Rien ne peut justifier des prises d’otages ni de prendre délibérément pour cibles des civils.

      Les juges indépendants de la Cour pénale internationale sont les seuls à pouvoir déterminer si les conditions sont réunies pour délivrer des mandats d’arrêt. S’ils font droit à mes requêtes et délivrent les mandats d’arrêt, je travaillerai en étroite collaboration avec le Greffier pour appréhender les individus concernés. Je demande à tous les États, notamment les États parties au Statut de Rome, de considérer ces requêtes ainsi que la décision judiciaire ultérieure qui s’ensuivra avec autant de sérieux qu’ils l’ont fait à l’égard des autres situations, conformément aux obligations qui leur sont faites dans le Statut. Je suis également prêt à travailler avec des États non parties afin d’atteindre notre objectif commun visant à établir les responsabilités des auteurs de crimes internationaux.

      Il est crucial, à l’heure qu’il est, que mon Bureau et tous les organes de la Cour y compris ses juges indépendants, puissent accomplir leur travail en toute indépendance et en toute impartialité. Je demande instamment que cessent immédiatement les tentatives d’obstruction, d’intimidation ou d’influence indue des fonctionnaires de la Cour. Mon Bureau n’hésitera pas à prendre les mesures qui s’imposent en vertu de l’article 70 du Statut de Rome si de tels comportements persistent.(...)

    • Les médias français dans leur professionnalisme : les articles qui reprennent l’AFP indiquent que :
      https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-entre-israel-et-le-hamas-la-cour-penale-internationale-emet-un-m

      la Cour pénale internationale émet un mandat d’arrêt contre Benyamin Nétanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité dans la bande de Gaza

      alors qu’on n’en est qu’à l’étape :
      https://www.lemonde.fr/international/article/2024/05/20/le-procureur-de-la-cour-penale-internationale-requiert-l-emission-d-un-manda

      Le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a déclaré lundi 20 mai avoir soumis une requête pour la délivrance d’un mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et son ministre de la défense pour des crimes de guerre et crimes contre l’humanité présumés commis dans la bande de Gaza.

      […]

      Il appartient désormais aux juges de la Cour pénale internationale de déterminer si les conditions sont réunies pour délivrer ces mandats d’arrêt réclamés par le procureur général.

      Ça ne fait jamais que deux ou trois semaines qu’on annonce ces possibles mandats d’arrêt, mais là évidemment nos médias ne sont pas prêts et se mélangent les pinceaux, et personne ne semble savoir pour l’instant combien de temps il faut pour que les juges se prononcent, ni si les demandes du procureur sont habituellement suivies, ou s’il y a des risques que sa demande soit retoquée.

      –----

      Alors hop : « rectificatif »

      Contrairement à ce que nous avions écrit par erreur dans un premier temps, la Cour pénale internationale n’a pas émis de mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, son ministre de la Défense Yoav Gallant et trois hauts dirigeants du Hamas. Il s’agit de réquisitions du procureur général de la CPI, dont les juges doivent désormais se prononcer sur la question. Nous présentons nos excuses à nos lecteurs.

    • ICC prosecutor ‘equates the victim with the executioner’: Hamas
      20 May 2024 13:02 BST
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/icc-prosecutor-equates-victim-executioner-hamas?nid=363631&topic=Isra

      Hamas reacting to the the decision by the ICC prosecutor to seek arrest warrants for three of its leaders said that it effecitvely “equates the victim with the executioner”, reported the Reuters news agency.

      ’Moral blindness’: Israeli reactions to ICC arrest warrants
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/moral-blindness-israeli-reactions-icc-arrest-warrants?nid=363631&topi

      Sharp words Benny Gantz.

      “Placing the leaders of a country that went into battle to protect its citizens, in the same line with bloodthirsty terrorists - is moral blindness,” wrote the former Israeli Defence Minister Benny Gantz in a post on X. “Accepting the position of the prosecutor would be a historical crime,” he added.

      The Israeli opposition leader, Yair Lapid, condemned the nnouncement of the ICC a as a “disaster”, Reuters reported.

      Lapid voiced hope that the US Congress would intervent and condemn the ICC measures.

    • Craig Mokhiber
      @CraigMokhiber
      3:18 PM · 20 mai 2024
      https://twitter.com/CraigMokhiber/status/1792545465663095101

      ICC action against Israeli perpetrators Netanyahu & Gallant for war crimes & crimes against humanity (starvation, imposing suffering, killing, murder, civilian attacks, extermination, persecution & “other inhumane acts as crimes against humanity”) is a good start. THREAD:

      But it is incomplete under the Rome Statute. The prosecutor says that further investigations and additional charges may follow.
      As it progresses, it should be supplemented to include additional charges against Netanyahu, Gallant and other Israeli Perpetrators for the Rome Statute crimes of:

      genocide, forcible transfer, unlawful imprisonment, torture as a crime against humanity, sexual violence, disappearance, apartheid,
      genocide, forcible transfer, unlawful imprisonment, torture as a crime against humanity, sexual violence, extensive destruction & appropriation, hostage taking, attacks on civilian objects & humanitarians,
      population transfer, deportation, attacking protected buildings, mutilation, denial of quarter, pillaging, poisoning, gassing, prohibited weapons, outrages on dignity, and human shielding, inter alia.

      Nevertheless, this is another historic crack in the 76-year wall of impunity that the west has built for Israel’s crimes. This time, the world will not accept impunity. International institutions will do their job, or they will fade away into an irrelevant footnote in history.

    • Le procureur de la CPI demande des mandats d’arrêt contre Netanyahou et des dirigeants du Hamas
      Par MEE et agences | Lundi 20 mai 2024
      https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/le-procureur-de-la-cpi-demande-des-mandats-darret-contre-netanyahou-e

      Cette annonce représente le revers diplomatique le plus significatif pour Israël depuis des décennies et survient alors qu’il tente désespérément de protéger sa réputation internationale au milieu de sa guerre dévastatrice à Gaza

  • Le financement de la guerre en Ukraine et l’échec des sanctions contre la Russie
    https://www.les-crises.fr/le-financement-de-la-guerre-en-ukraine-et-l-echec-des-sanctions-contre-la

    Il est très peu probable que la Russie accepte de se soumettre à une nouvelle demande de Biden et de l’OTAN de « geler » les opérations militaires et de relancer des négociations. Source : LA Progressive, Jack Rasmus Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Le week-end dernier, 20 avril 2024, la Chambre des […]

  • Principal donateur du Parti républicain, le milliardaire Jeff Yass finance des groupes extrémistes pro-israéliens
    https://www.les-crises.fr/principal-donateur-du-parti-republicain-le-milliardaire-jeff-yass-finance

    L’investisseur et milliardaire de TikTok, Jeff Yass, a envoyé des millions à des organisations antimusulmanes et à des groupes pro-israéliens extrémistes. Source : Responsible Statecraft, Eli CliftonTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Selon une enquête du Guardian et de Responsible Statecraft, le principal donateur républicain et investisseur de TikTok, Jeff Yass, est lié à […]

  • Révélations : l’accord de paix que l’Ukraine et la #Russie auraient pu signer en avril 2022
    https://www.les-crises.fr/ukraine-accord-paix-die-welt-russie-auraient-pu-signer-devoile

    Die Welt, un média allemand, a déclaré qu’un accord de paix aurait pu être signé quelques semaines après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les conditions de la fin de la guerre ont été énoncées dans un projet d’accord de 17 pages sur lequel les parties se sont mises d’accord le 15 […]

    #Géopolitique #Ukraine #Géopolitique,_Russie,_Ukraine

  • Industrie de l’armement : un pantouflage financé sur fonds publics
    https://www.les-crises.fr/industrie-de-l-armement-un-pantouflage-finance-sur-fonds-publics

    Un programme du #Pentagone envoie des officiers militaires travailler pendant un an pour les plus grandes sociétés de défense, de technologie et de finance. Ces personnes font ensuite leur rapport au ministère de la Défense, ce qui contribue à placer les intérêts des entreprises au cœur même de la stratégie militaire américaine. Source : Jacobin, […]

    #Géopolitique #Complex_militaro-industriel #USA #Géopolitique,_Complex_militaro-industriel,_Pentagone,_USA

  • Les dépenses mondiales en armement atteignent le record de 2 500 milliards de dollars
    https://www.les-crises.fr/les-depenses-mondiales-en-armement-atteignent-le-record-de-2-500-milliard

    Entre les guerres et les tensions accrues, toutes les régions ont connu des augmentations. Source : Responsible Statecraft, Jim LobeTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Selon un nouveau rapport publié lundi par l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), les dépenses militaires totales des nations ont atteint un niveau record de […]

    #Économie #Armement_militaire #budget_militaire #Complex_militaro-industriel #Économie,_Armement_militaire,_budget_militaire,_Complex_militaro-industriel

  • Israël – Palestine : la France complice d’une abomination ! – Lex Imperii
    https://www.les-crises.fr/israel-palestine-la-france-complice-d-une-abomination-lex-imperii

     La Cour Internationale de Justice a reconnu le 26 janvier un risque de génocide à Gaza, au regard des horreurs que l’État d’Israël fait subir aux Palestiniens. Et ces horreurs, elles ne se font pas toutes seules, elles sont perpétrées et restent impunies grâce à la complicité des grandes puissances de l’Occident, et la […]

  • Gaza : Oui, il s’agit bien d’un génocide, selon un spécialiste de l’Holocauste à Jérusalem
    https://www.les-crises.fr/gaza-oui-il-s-agit-bien-d-un-genocide-selon-un-specialiste-de-l-holocaust

    Dans la plupart des cas de génocide, de la Bosnie à la Namibie, du Rwanda à l’Arménie, les auteurs de meurtres ont déclaré qu’ils agissaient en état de légitime défense. Pour Amos Goldberg, spécialiste de l’Holocauste, si ce qui se passe à Gaza ne ressemble pas à l’Holocauste, cela ne veut pas dire qu’il ne […]

  •  » Les pourparlers qui auraient pu mettre fin à la guerre en Ukraine
    https://www.les-crises.fr/les-pourparlers-qui-auraient-pu-mettre-fin-a-la-guerre-en-ukraine

    On sait relativement bien ce qui s’est passé sur le champ de bataille. Ce qu’on sait moins, c’est l’intense diplomatie simultanée impliquant Moscou, Kiev et une foule d’autres acteurs, qui aurait pu aboutir à un règlement quelques semaines seulement après le début de la guerre.

    A la fin du mois de mars 2022, une série de réunions physiques au Belarus et en Turquie, ainsi que des engagements virtuels par visioconférence, avaient débouché sur le communiqué d’Istanbul, qui décrivait le cadre pour un règlement. Les négociateurs ukrainiens et russes ont alors commencé à travailler sur le texte d’un traité, réalisant des progrès substantiels vers un accord. Mais en mai, les pourparlers ont été interrompus. La guerre a continué à faire rage et a depuis fait des dizaines de milliers de morts dans les deux camps.

    Que s’est-il passé ? Les belligérants étaient-ils sur le point de mettre fin à la guerre ? Et pourquoi n’ont-ils jamais conclu d’accord ?

  • The Talks That Could Have Ended the War in #Ukraine
    https://www.foreignaffairs.com/ukraine/talks-could-have-ended-war-ukraine
    Texte essentiel pour comprendre les négociations dans les premières semaines de la guerre, par #Samuel_Charap et l’historien Serguey Radchenko

    The talks began on February 28 at one of Lukashenko’s spacious countryside residences near the village of Liaskavichy, about 30 miles from the Belarusian-Ukrainian border. The Ukrainian delegation was headed by Davyd Arakhamia, the parliamentary leader of Zelensky’s political party, and included Defense Minister Oleksii Reznikov, presidential adviser Mykhailo Podolyak, and other senior officials. The Russian delegation was led by Vladimir Medinsky, a senior adviser to the Russian president who had earlier served as culture minister. It also included deputy ministers of defense and foreign affairs, among others.

    At the first meeting, the Russians presented a set of harsh conditions, effectively demanding Ukraine’s capitulation. This was a nonstarter. But as Moscow’s position on the battlefield continued to deteriorate, its positions at the negotiating table became less demanding. So on March 3 and March 7, the parties held a second and third round of talks, this time in Kamyanyuki, Belarus, just across the border from Poland. The Ukrainian delegation presented demands of their own: an immediate cease-fire and the establishment of humanitarian corridors that would allow civilians to safely leave the war zone. It was during the third round of talks that the Russians and the Ukrainians appear to have examined drafts for the first time. According to Medinsky, these were Russian drafts, which Medinsky’s delegation brought from Moscow and which probably reflected Moscow’s insistence on Ukraine’s neutral status.

    At this point, in-person meetings broke up for nearly three weeks, although the delegations continued to meet via Zoom. In those exchanges, the Ukrainians began to focus on the issue that would become central to their vision of the endgame for the war: security guarantees that would oblige other states to come to Ukraine’s defense if Russia attacked again in the future. It is not entirely clear when Kyiv first raised this issue in conversations with the Russians or Western countries. But on March 10, Ukrainian Foreign Minister Dmytro Kuleba, then in Antalya, Turkey, for a meeting with his Russian counterpart, Sergey Lavrov, spoke of a “systematic, sustainable solution” for Ukraine, adding that the Ukrainians were “ready to discuss” guarantees it hoped to receive from NATO member states and Russia.

    What Kuleba seemed to have in mind was a multilateral security guarantee, an arrangement whereby competing powers commit to the security of a third state, usually on the condition that it will remain unaligned with any of the guarantors. Such agreements had mostly fallen out of favor after the Cold War. Whereas alliances such as NATO intend to maintain collective defense against a common enemy, multilateral security guarantees are designed to prevent conflict among the guarantors over the alignment of the guaranteed state, and by extension to ensure that state’s security.

    Ukraine had a bitter experience with a less ironclad version of this sort of agreement: a multilateral security assurance, as opposed to a guarantee. In 1994, it signed on to the so-called Budapest Memorandum, joining the Nuclear Nonproliferation Treaty as a nonnuclear weapons state and agreeing to give up what was then the world’s third-largest arsenal. In return, Russia, the United Kingdom, and the United States promised that they would not attack Ukraine. Yet contrary to a widespread misconception, in the event of aggression against Ukraine, the agreement required the signatories only to call a UN Security Council meeting, not to come to the country’s defense.

    Russia’s full-scale invasion—and the cold reality that Ukraine was fighting an existential war on its own—drove Kyiv to find a way to both end the aggression and ensure it never happened again. On March 14, just as the two delegations were meeting via Zoom, Zelensky posted a message on his Telegram channel calling for “normal, effective security guarantees” that would not be “like the Budapest ones.” In an interview with Ukrainian journalists two days later, his adviser Podolyak explained that what Kyiv sought were “absolute security guarantees” that would require that “the signatories . . . do not stand aside in the event of an attack on Ukraine, as is the case now. Instead, they [would] take an active part in defending Ukraine in a conflict.”

    Ukraine’s demand not to be left to fend for itself again is completely understandable. Kyiv wanted (and still wants) to have a more reliable mechanism than Russia’s goodwill for its future security. But getting a guarantee would be difficult. Naftali Bennett was the Israeli prime minister at the time the talks were happening and was actively mediating between the two sides. In an interview with journalist Hanoch Daum posted online in February 2023, he recalled that he attempted to dissuade Zelensky from getting stuck on the question of security guarantees. “There is this joke about a guy trying to sell the Brooklyn Bridge to a passerby,” Bennett explained. “I said: ‘America will give you guarantees? It will commit that in several years if Russia violates something, it will send soldiers? After leaving Afghanistan and all that?’ I said: ‘Volodymyr, it won’t happen.’”

    To put a finer point on it: if the United States and its allies were unwilling to provide Ukraine such guarantees (for example, in the form of NATO membership) before the war, why would they do so after Russia had so vividly demonstrated its willingness to attack Ukraine? The Ukrainian negotiators developed an answer to this question, but in the end, it didn’t persuade their risk-averse Western colleagues. Kyiv’s position was that, as the emerging guarantees concept implied, Russia would be a guarantor, too, which would mean Moscow essentially agreed that the other guarantors would be obliged to intervene if it attacked again. In other words, if Moscow accepted that any future aggression against Ukraine would mean a war between Russia and the United States, it would be no more inclined to attack Ukraine again than it would be to attack a NATO ally.

    Throughout March, heavy fighting continued on all fronts. The Russians attempted to take Chernihiv, Kharkiv, and Sumy but failed spectacularly, although all three cities sustained heavy damage. By mid-March, the Russian army’s thrust toward Kyiv had stalled, and it was taking heavy casualties. The two delegations kept up talks over videoconference but returned to meeting in person on March 29, this time in Istanbul, Turkey.

    There, they appeared to have achieved a breakthrough. After the meeting, the sides announced they had agreed to a joint communiqué. The terms were broadly described during the two sides’ press statements in Istanbul. But we have obtained a copy of the full text of the draft communiqué, titled “Key Provisions of the Treaty on Ukraine’s Security Guarantees.” According to participants we interviewed, the Ukrainians had largely drafted the communiqué and the Russians provisionally accepted the idea of using it as the framework for a treaty.

    The treaty envisioned in the communiqué would proclaim Ukraine as a permanently neutral, nonnuclear state. Ukraine would renounce any intention to join military alliances or allow foreign military bases or troops on its soil. The communiqué listed as possible guarantors the permanent members of the UN Security Council (including Russia) along with Canada, Germany, Israel, Italy, Poland, and Turkey.

    The communiqué also said that if Ukraine came under attack and requested assistance, all guarantor states would be obliged, following consultations with Ukraine and among themselves, to provide assistance to Ukraine to restore its security. Remarkably, these obligations were spelled out with much greater precision than NATO’s Article 5: imposing a no-fly zone, supplying weapons, or directly intervening with the guarantor state’s own military force.

    Although Ukraine would be permanently neutral under the proposed framework, Kyiv’s path to EU membership would be left open, and the guarantor states (including Russia) would explicitly “confirm their intention to facilitate Ukraine’s membership in the European Union.” This was nothing short of extraordinary: in 2013, Putin had put intense pressure on Ukrainian President Viktor Yanukovych to back out of a mere association agreement with the EU. Now, Russia was agreeing to “facilitate” Ukraine’s full accession to the EU.

    Although Ukraine’s interest in obtaining these security guarantees is clear, it is not obvious why Russia would agree to any of this. Just weeks earlier, Putin had attempted to seize Ukraine’s capital, oust its government, and impose a puppet regime. It seems far-fetched that he suddenly decided to accept that Ukraine—which was now more hostile to Russia than ever, thanks to Putin’s own actions—would become a member of the EU and have its independence and security guaranteed by the United States (among others). And yet the communiqué suggests that was precisely what Putin was willing to accept.

    We can only conjecture as to why. Putin’s blitzkrieg had failed; that was clear by early March. Perhaps he was now willing to cut his losses if he got his longest-standing demand: that Ukraine renounce its NATO aspirations and never host NATO forces on its territory. If he could not control the entire country, at least he could ensure his most basic security interests, stem the hemorrhaging of Russia’s economy, and restore the country’s international reputation.

    [...]

    So why did the talks break off? Putin has claimed that Western powers intervened and spiked the deal because they were more interested in weakening Russia than in ending the war. He alleged that Boris Johnson, who was then the British prime minister, had delivered the message to the Ukrainians, on behalf of “the Anglo-Saxon world,” that they must “fight Russia until victory is achieved and Russia suffers a strategic defeat.”

    The Western response to these negotiations, while a far cry from Putin’s caricature, was certainly lukewarm. Washington and its allies were deeply skeptical about the prospects for the diplomatic track emerging from Istanbul; after all, the communiqué sidestepped the question of territory and borders, and the parties remained far apart on other crucial issues. It did not seem to them like a negotiation that was going to succeed.

    Moreover, a former U.S. official who worked on Ukraine policy at the time told us that the Ukrainians did not consult with Washington until after the communiqué had been issued, even though the treaty it described would have created new legal commitments for the United States—including an obligation to go to war with Russia if it invaded Ukraine again. That stipulation alone would have made the treaty a nonstarter for Washington. So instead of embracing the Istanbul communiqué and the subsequent diplomatic process, the West ramped up military aid to Kyiv and increased the pressure on Russia, including through an ever-tightening sanctions regime.

    The United Kingdom took the lead. Already on March 30, Johnson seemed disinclined toward diplomacy, stating that instead “we should continue to intensify sanctions with a rolling program until every single one of [Putin’s] troops is out of Ukraine.” On April 9, Johnson turned up in Kyiv —the first foreign leader to visit after the Russian withdrawal from the capital. He reportedly told Zelensky that he thought that “any deal with Putin was going to be pretty sordid.” Any deal, he recalled saying, “would be some victory for him: if you give him anything, he’ll just keep it, bank it, and then prepare for his next assault.” In the 2023 interview, Arakhamia ruffled some feathers by seeming to hold Johnson responsible for the outcome. “When we returned from Istanbul,” he said, “Boris Johnson came to Kyiv and said that we won’t sign anything at all with [the Russians]—and let’s just keep fighting.”

    Since then, Putin has repeatedly used Arakhamia’s remarks to blame the West for the collapse of the talks and demonstrate Ukraine’s subordination to its supporters. Notwithstanding Putin’s manipulative spin, Arakhamia was pointing to a real problem: the communiqué described a multilateral framework that would require Western willingness to engage diplomatically with Russia and consider a genuine security guarantee for Ukraine. Neither was a priority for the United States and its allies at the time.

    In their public remarks, the Americans were never quite so dismissive of diplomacy as Johnson had been. But they did not appear to consider it central to their response to Russia’s invasion. Secretary of State Antony Blinken and Secretary of Defense Lloyd Austin visited Kyiv two weeks after Johnson, mostly to coordinate greater military support. As Blinken put it at a press conference afterward, “The strategy that we’ve put in place—massive support for Ukraine, massive pressure against Russia, solidarity with more than 30 countries engaged in these efforts—is having real results.”

    [...]

    Even if Russia and Ukraine had overcome their disagreements, the framework they negotiated in Istanbul would have required buy-in from the United States and its allies. And those Western powers would have needed to take a political risk by engaging in negotiations with Russia and Ukraine and to put their credibility on the line by guaranteeing Ukraine’s security. At the time, and in the intervening two years, the willingness either to undertake high-stakes diplomacy or to truly commit to come to Ukraine’s defense in the future has been notably absent in Washington and European capitals.

    A final reason the talks failed is that the negotiators put the cart of a postwar security order before the horse of ending the war. The two sides skipped over essential matters of conflict management and mitigation (the creation of humanitarian corridors, a cease-fire, troop withdrawals) and instead tried to craft something like a long-term peace treaty that would resolve security disputes that had been the source of geopolitical tensions for decades. It was an admirably ambitious effort—but it proved too ambitious.

    [...]

    This history suggests that future talks should move forward on parallel tracks, with the practicalities of ending the war being addressed on one track while broader issues are covered in another.

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