• Der Gegensatz zwischen nationalsozialistischen und kapitalistischen Erfolgskriterien | Telepolis
    https://www.telepolis.de/features/Der-Gegensatz-zwischen-nationalsozialistischen-und-kapitalistischen-Erfolg

    Kriegswirtschaft ist „’Bankerotteurswirtschaft’ ihrem innersten Wesen nach: der überragende Zweck lässt fast jede Rücksicht auf die kommende Friedenswirtschaft schwinden. Die Rechnungen haben daher vorwiegend … gar nicht den Sinn, dauernde Rationalität der gewählten Aufteilung von Arbeit und Beschaffungsmitteln zu garantieren“ (Weber 1976, 57).

    Im Kapitalismus geht es zu Friedenszeiten hauptsächlich um die Produktion von Konsumgütern und Produktionsmitteln. Produktionsmittel werden in der Produktion gebraucht. Konsumgüter stellen die Arbeitskraft wieder her für neue Leistung. Beide Produktsorten ermöglichen die Fortsetzung der kapitalistischen Ökonomie auf erweiterter Stufenleiter. Dies tut die Kriegswirtschaft nicht. Ihre Produkte - Waffen - werden im Krieg verbraucht und vernichtet. Sie gehen nicht wieder ein in die kapitalistische Produktion, sondern fallen aus ihr heraus.

    Die Kriegswirtschaft unterstellt als Bedingung eine Wirtschaft, die sich die Staatsausgaben für die Rüstung und die damit u. U. einhergehende Schulden auf Dauer leisten kann.

    #guerre #économie #banqueroute

  • Perte et dette records : EDF dans un gouffre financier malgré le retour des clients
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/perte-et-dette-records-edf-dans-un-gouffre-financier-malgre

    AFP parue le 17 févr. 2023 - 09h30

    (...)

    Avec la flambée générale des prix de l’électricité, EDF a vu revenir de nombreux clients français, mais n’a pas pu assez produire avec ses centrales : le groupe a dû acheter à prix d’or de l’électricité sur les marchés.

    (...)

    (...)

    Car pour contenir la facture des Français grâce au bouclier tarifaire, l’Etat, actionnaire majoritaire et bientôt unique, a obligé le groupe à vendre en 2022 davantage d’électricité à bas prix à ses concurrents, fournisseurs d’électricité alternatifs. Une mesure au coût exorbitant pour l’opérateur historique : 8,34 milliards d’euros.

    (...)

    (...)

    (...)

    On t’explique au beau milieu de toutes les causes qu’on aimerait te faire reconnaître comme les causes importantes, que bon, EDF a été contrainte à vendre à perte de l’électricité à des concurrents qui ne devaient pas perdre d’argent, eux.

    On oublie à chaque fois de te dire qu’EDF a été contrainte à verser des dividendes dans les 13 dernières années, et à décaler les phases de maintenance, et à réduire les coûts de sous-traitance, etc.

    • #ARENH : avoir obligé EDF à brader sa production d’électricité aux "opérateurs alternatifs et la contraindre à racheter des kWh aux prix du marché ... Et maintenant, on te dit que l’état va se renflouer avec l’épargne des particuliers (CNE-livret A) pour remettre à flot la production des centrales nucléaires.

      Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social.
      « Je suis convaincu que l’épargne populaire, du Livret A, du Livret de développement durable et solidaire, du Livret d’épargne populaire qui, au total, atteint 500 milliards d’euros aujourd’hui, peut davantage encore financer la transformation de notre appareil de production énergétique », a récemment affirmé devant le Parlement le patron de la CDC Eric Lombard.

      Contactée mercredi soir par l’AFP, la Caisse des dépôts a indiqué que « les choix sur le modèle économique et la structure de portage sont prévus pour 2023 et à la main des pouvoirs publics ».

      https://www.bfmtv.com/economie/le-gouvernement-lorgne-l-epargne-du-livret-a-pour-financer-son-projet-nucleai

      C’est moi qui psychote ou ça sent la #banqueroute ?

    • Les comptes d’EDF sont dans le rouge depuis plus de 20 ans et sévèrement depuis 15 ans il me semble.
      Tous les ans il y a un ou plusieurs d’articles qui s’en alarment...puis tout le monde oublie.

      L’État ne laissera jamais la gestion des centrales à une autre entreprise, on est typiquement là dedans :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Too_big_to_fail
      Clairement la nationalisation serait moins hypocrite mais ça ferait pas sérieux auprès de Bruxelles donc ils feront pas non plus.

      Il y a souvent des raisons agitées pour expliquer ça. En vrai il suffit de voir ce que les PDG d’EDF réclament depuis plusieurs dizaines d’années pour voir le problème : le prix de l’électricité vendue par EDF ne compense pas le prix de production. Et comme personne ne veut prendre le risque d’augmenter ce prix...EDF ne peut pas avoir les comptes au vert.
      Gadonneix a été viré (en 2009) pour l’avoir dis un peu trop fort...

    • J’avais employé le terme "banqueroute" dans le sens où il traduit la gestion frauduleuse d’une entreprise et que cette gestion constitue un délit.

      Le terme banqueroute nous vient de l’expression italienne banca rotta (« banc cassé ») : en Italie durant l’époque médiévale, les financiers officiaient dans les marchés où ils s’installaient derrière une table de comptoir qu’on appelait à cette époque la banca (à l’origine du mot « banque ») qui leur permettait d’accueillir leurs clients et d’y négocier leurs affaires1. Lorsqu’un banquier n’était plus en mesure de régler ses dettes, il était alors déclaré fallito (insolvable, en faillite) et ne pouvait plus exercer son métier. Le banquier déchu devait alors casser publiquement sa banca pour montrer aux habitants son interdiction d’exercer toute activité financière : l’expression banca rotta finit par se répandre dans le langage courant comme celle traduisant la situation d’insolvabilité d’un banquier.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Banqueroute_(France)

      Contrairement à la faillite d’une entreprise qui résulte des aléas économique, la banqueroute désigne des agissements volontaires frauduleux qui ont pour conséquence d’aggraver la situation de l’entreprise. Ainsi, le délit de banqueroute, ou de banqueroute frauduleuse, sera retenu contre la personne qui a volontairement commis une ou plusieurs infractions dont il résulte une instabilité financière.
      https://www.legalstart.fr/fiches-pratiques/entreprises-en-difficulte/banqueroute

  • Le capitalisme et ses salopards… ou la prédation comme vocation.

    D’ex-traders sur les cryptomonnaies se lancent… dans le business des faillites dans le secteur des cryptos, et misent sur la « cryptodétresse »

    Les anciens traders de Three Arrows Capital, auteurs avant FTX de la plus grande faillite d’une firme de trading sur les cryptos, tentent une reconversion inattendue. Elle fait polémique dans un secteur qui se remet à peine du séisme de FTX.

    Après avoir perdu des milliards de dollars, les #traders fautifs peuvent-ils avoir une seconde chance ? Avant #FTX et Alameda Research, Kyle Davies et Su Zhu détenaient le titre de la plus grande faillite d’une firme de trading sur les cryptos.

    Les anciens fondateurs de #Three_Arrows_Capital (#3AC) tentent de nouveau leur chance en tablant sur la mansuétude des investisseurs. Ils ne changent pas d’environnement et se lancent… dans le business des faillites dans le secteur des #cryptos . De victimes, ils passent au statut de prédateurs. Ils ne veulent pas lancer un fonds ou une firme de #trading mais une plateforme d’échange baptisée provisoirement « #GTX ». Une allusion à « FTX » afin de montrer que, le « G » venant après le « F » dans l’alphabet, leur société inaugure une nouvelle ère. Ils espèrent lever 25 millions de dollars pour leur projet selon « The Block ».

    Le risque passe du trader au client
    Ce ne sont plus les traders de 3AC qui prendront des risques sur les marchés, mais les clients de leur plateforme. Ces derniers spéculeront sur les #banqueroutes des sociétés de cryptos et la probabilité de récupérer l’argent des clients. Ils pourront acheter ou vendre des créances plus ou moins douteuses de sociétés en #faillite, assorties de probabilités variables d’être remboursées.

    Comme dans le cas des faillites de FTX, Voyager, BlockFi et Celsius, des créanciers désireux de récupérer tout de suite leur argent doivent abandonner leurs droits à de futurs remboursements. En échange de cette rentrée d’argent immédiate, ils doivent accepter aussi de perdre l’écrasante part de leur investissement - près de 90 % pour les clients de FTX. Si ces derniers abandonnent leurs créances sur la plateforme GTX, ils recevront non pas de l’argent mais une crypto stable (ou #stablecoin) « USDG », censée être équivalente au dollar. Un risque supplémentaire.

    Ce business de la « #cryptodétresse » est florissant après 12 mois de chaos sur les marchés. Les faillites ont fait des millions de victimes. Autant de clients potentiels. […]

    (Les Échos)

  • Millionen-Prämien : Gericht unterstützt Middelhoff - Wirtschaft - Süddeutsche.de
    http://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/ex-arcandor-chef-richter-stellen-sich-erneut-hinter-middelhoff-1.314442
    Il vaut mieux être riche et corrompu que pauvre et ...

    Wegen der Millionenzahlungen will die Staatsanwaltschaft Bochum Middelhoff und vierzehn weitere ehemalige Aufsichtsräte und Vorstände des Pleite-Konzerns Arcandor auf die Anklagebank bringen. Nur das zuständige Landgericht Essen zieht nicht mit: Der Prozess könnte deshalb platzen, bevor er begonnen hat.Sollte das Gericht in Essen die bereits vergangenes Jahr eingereichte Anklage gegen die einstigen Manager abweisen, würden sie wohl beim Oberlandesgericht (OLG) Hamm Beschwerde einlegen, um einen Prozess zu erzwingen. Es wäre das größte Verfahren über Managerhaftung in Deutschland seit dem Mannesmann-Verfahren vor gut zehn Jahren.

    In dem Prozess, den die Bochumer Strafverfolger nun wohl unbedingt durchsetzen wollen, kämen sie fast alle noch einmal zusammen, auf der Anklagebank. Die einstigen Wirtschaftskapitäne Middelhoff und Reischl; dazu der frühere Oppenheim-Bankier Janssen und Schickedanz-Ehemann Leo Herl; plus weitere Manager und Gewerkschafter.

    Eine illustre Runde säße da also beisammen, die sich für vieles rechtfertigen müsste. Auch dafür, warum sie noch im Dezember 2008 zu solch optimistischen Einschätzungen kam wie bei Middelhoff. Sein knapp 2,3 Millionen Euro schwerer Bonus wurde ihm nämlich als Dank für „seinen strategischen Weitblick und die mutigen Entscheidungen in den Jahren 2005 bis 2008“ gewährt. Diese hätten „entscheidend zum Überleben des Unternehmens, zur Sicherung der Arbeitsplätze und zur Neuausrichtung des Konzerns beigetragen“. 2009 war Arcandor pleite.

    #Allemagne #banqueroute #faillite #économie #Karstadt #Schickedanz #Arcandor

  • New York City Opera announces bankruptcy - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2013/10/02/nyco-o02.html

    Au lendemain de l’annonce de la fermeture de tous les services publics « non utiles », et de la vente des oeuvres d’art du musée de Detroit pour rembourser les créancier de la ville

    New York City Opera announces bankruptcy
    By Fred Mazelis

    2 October 2013

    The New York City Opera, in a long-expected announcement, confirmed on October 1 that it was filing for Chapter 11 bankruptcy protection. The 70-year-old company is canceling its 2013-2014 season and plans to wind up its operations.

    #états-unis #banqueroute

  • CADTM - Detroit met-elle en position d’échec l’Allemagne ?
    http://cadtm.org/Detroit-met-elle-en-position-d

    Detroit met-elle en position d’échec l’Allemagne ?

    13 septembre par Oscar Ugarteche , Ariel Noyola Rodríguez
    Les banqueroutes municipales aux États-Unis ont en mémoire l’expérience si traumatisante de la crise fiscale de New York dans les années soixante-dix. Walter Wriston à la tête de la Citibank, la « Grande Banque » a géré la faillite de « Big Apple » (NY) et a démontré que les intérêts des institutions financières priment sur le bien-être des citoyens. |1| Le coût de la faillite a été comblé par la suppression du mécanisme municipal d’aide sociale mis en place dans les années trente.

    Maintenant en plein XXIème siècle, une nouvelle faillite municipale apparaît à Detroit. Ville fondée en 1701, située dans l’état de Michigan et couvrant 370 kilomètres carrés, la ville s’est déclarée techniquement en banqueroute le 18 juillet avec une dette de 18 500 millions de dollars. La plus grande faillite enregistrée aux États-Unis après la cessation de paiement du Jefferson County dans l’état d’Alabama en 2011 avec 4 200 millions de dollars. |2| « L’implosion financière » de Detroit a plus à voir avec le déclin de la position US sur le marché mondial d’automobiles et moins avec la crise de 2007-2008. Ce qui est arrivé est un processus de délocalisation industrielle croissant vers le Mexique et le Canada et une concurrence croissante de ses homologues allemands (VW, Mercedes et BMW), des japonais (Honda, Nissan et Toyota), du groupe Tata de l’Inde et de la vigoureuse industrie automobile chinoise (FAW, Geely Holdings Group Co. Ltd., le Shanghai Automotive Industry Corporation, etc.).

    #Detroit
    #Allemagne
    #Banqueroutes-municipales aux États-Unis

  • Global finance: Where’s the next Lehman? | The Economist
    http://www.economist.com/news/leaders/21584975-five-years-after-maelstrom-september-2008-global-finance-safer-s

    Where’s the next Lehman?

    Five years after the maelstrom of September 2008, global finance is safer. But still not safe enough
    Sep 7th 2013 |From the print edition

    THE bankruptcy of Lehman Brothers, an American investment bank, in 2008 turned a nasty credit crunch into the worst financial crisis in 80 years. Massive bail-outs from governments and central banks staved off a second Depression, but failed to prevent a deep recession from which many rich economies have yet fully to recover. Five years after that calamity, two big questions need to be answered. Is global finance safer? And are more crises on the horizon?

    The quick answers are yes, and yes. Global finance looks less vulnerable because reforms to the financial industry have made it more resilient, and because America, the country at the heart of the Lehman mess, has got rid of much of the excess debt and righted many of the imbalances in its economy. Today’s danger zones are elsewhere. They are unlikely to spawn a collapse on the scale of 2008. But they could produce enough turmoil to hit growth hard.

    In this section
    Fight this war, not the last one
    Where’s the next Lehman?
    Hunting tigers
    The man who showed why firms exist
    From dental braces to astronauts’ seats
    Reprints
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    The three harbingers of the apocalypse
    The disaster of September 2008 had many causes, as the first of our series of “schools briefs” (see article). But, put crudely, Lehman’s demise spawned catastrophe because it combined three separate vulnerabilities. The underlying one was a surge in debt, particularly in the financial sector, brought on by a housing bubble. The ensuing bust was made more dangerous because of the second weakness: the complex interconnections of securitised finance meant that no one understood what assets were worth or who owed what. Lehman’s failure added a third devastating dimension: confusion about whether governments could, or would, step in as finance failed. A rule of thumb for spotting future disaster is how far those weaknesses—a debt surge, ill-understood interconnections and uncertainty about a safety net—are repeated.

    The overhaul of financial regulation since 2008 has made most progress on the first two. Under the new Basel capital standards banks are being compelled to hold more, and better, capital relative to their assets; the biggest “systemic” banks even more than others. Another strand of reforms, such as pushing derivatives trading onto clearing-houses, has tried to improve transparency. Least progress has been made on what to do when big banks fail—though new efforts to write global rules that would force banks to issue bonds that can be “bailed in” in the event of failure is a promising step.

    American finance has become safer. The country’s big banks have raised more capital and written off more dud assets than most others. At around 13%, their risk-weighted capital ratio is far above the new global norms and some 60% higher than before the crisis. American property prices have adjusted and households have cut their debts. Government debt has risen, but most of that rise is the sensible mirror-image of efforts by households to reduce theirs. Now that the economy is recovering, the budget deficit is tumbling. You can find bubbliness in bits of American finance, including the corporate-bond market, and some nasty off-balance-sheet liabilities like student loans and public-sector pensions, but America does not look like a source of imminent trouble.

    #Lehman
    #Crise
    #bankruptcy
    #Banqueroute
    #Faillite
    #Finance
    #Economie
    #Dette

  • Big Dreams, but Little Consensus, for a New Detroit - NYTimes.com

    http://www.nytimes.com/2013/09/03/us/dreams-but-little-consensus-for-a-new-detroit.html?nl=todaysheadlines&emc=e

    DETROIT — There are 78,000 abandoned buildings in this city standing in various levels of decay. Services have fallen into dysfunction, and debts are piling ever higher. Yet for all the misery, Detroit’s bankruptcy gives an American city a rare chance to reshape itself from top to bottom.

    #détroit #banqueroute

  • Une réponse politique au #chômage des #jeunes en #Europe
    http://www.wsws.org/fr/articles/2013/jui2013/chom-j25.shtml

    L’état réel de toute société trouve son expression la plus nette dans la perspective qu’elle propose à sa jeunesse. La hausse continue du chômage des jeunes en Europe démontre une fois de plus la #banqueroute du #système #capitaliste
    Un jeune sur quatre est sans emploi dans l’Union européenne (UE). Dans certains pays, comme la Grèce et l’Espagne, le taux de chômage est même supérieur à 50 pour cent. Ces chiffres contrastent avec l’enrichissement grotesque d’une mince couche au sommet de la société. Le un pour cent le plus riche de la population allemande possède aujourd’hui plus d’un tiers de tous les actifs financiers nets, soit plus que les 90 pour cent les plus pauvres.
    En dépit des grands progrès technologiques réalisés, le système capitaliste n’a rien d’autre à proposer aux jeunes que le chômage, la pauvreté et la guerre. Les jeunes qui ont encore un emploi sont pour la plupart payés des sommes dérisoires. Des centaines de milliers sont forcés d’accepter des stages et des contrats intérimaires, en travaillant pour des salaires de misère. Les établissements scolaires, les universités et les centres de formation vont être privatisés, fermés ou détruits du fait des mesures d’austérité. Les chiffres les plus récents montrent qu’en Grèce le travail des enfants est, encore une fois, devenu un phénomène de masse.

  • Antoinette, 93 ans : #Fortis m’a ruinée !
    http://fr.myeurop.info/2013/05/16/antoinette-93-ans-fortis-m-a-ruinee-8675

    Marco Bertolini

    Antoinette a 93 ans. Cette pétillante vieille dame a été ruinée par le krash de la #Banque Fortis en 2008. Elle nous raconte comment sa confiance dans les conseillers de la banque belge l’a menée au désastre. Et (...)

    #Portraits #Économie #Belgique #banqueroute #faillite #portrait

  • Belarus central bank sells off its office furniture | World news | The Guardian
    http://www.guardian.co.uk/world/2011/oct/19/belarus-central-bank-sells-office-furniture

    As an exercise in monetary policy, it’s probably not the sort of thing that would be advocated by John Maynard Keynes or Milton Friedman. Amid a disastrous economic crisis, the Belarus central bank has attempted to raise capital by selling off used office equipment and furniture.

    Five hundred items, including 30 paper bags, 10 safes, two suitcases, a sugar bowl and a used Japanese Dictaphone, were put up for sale in an auction that it was hoped would raise around £10,000.

    nan mais attends

    This has no relation to the economic situation in Belarus," said Aleksander Timoshenko, the bank’s spokesman. “These are not sums that can affect anything. This is about the effective use of property. If property isn’t used, we’re not going to throw it in a rubbish dump,” he said.

    #Bielorussie #Banqueroute