provinceorstate:idleb

  • http://spanish.almanar.com.lb/278874

    Le ministre de l’Intérieur turc déclare que les provinces syriennes d’Alep et d’Idleb, ainsi que des parties des provinces de Deir Ezzor et Rakka, faisaient partie de la Turquie avant l’intervention des forces coloniales françaises et anglaises...

    El analista político y escritor turco de origen sirio Adel Hamid Daud se ha referido en un artículo a una frase pronunciada por el ministro del Interior turco, Suleiman Soylu, que parece haber pasado sin importancia a pesar de su relevancia.

    En un vídeo, Soylu alabó a los refugiados sirios en Turquía e incluyó una frase que dijo que el 62% de dichos refugiados procedían de áreas sirias que Ankara considera que formaron parte de Turquía, pero que le fueron arrebatadas “por la acción de los colonizadores franceses e ingleses”.

    Entre estas áreas él citó las actuales provincias sirias de Alepo e Idleb y partes de las provincias de Raqqa y Deir Ezzor, así como la totalidad del área fronteriza entre Turquía y Siria.

    Estas ambiciones neo-otomanas turcas resultan significativas en la actualidad, cuando Turquía quiere establecer una zona segura en la frontera de 32 kms. Siria ha denunciado tales intentos como un intento turco de buscar anexionar partes de su territorio.

    Soylu añadió que el Ejército turco “está desplegado en toda la frontera con Siria y no para una operación limitada. Se trata de todo un ejército con las últimas armas y equipos militares de tierra y aire, así como logísticos”.

    En todo caso, tales ambiciones llevarán a Turquía a un choque con el Ejército y el pueblo sirios, que rechazan el colonialismo y expansionismo turcos. De hecho, Damasco y las milicias kurdas han iniciado conversaciones con vistas a hacer fracasar el plan turco de establecer una zona de seguridad en la frontera con Siria.

    #syrie

  • Idlib : un assaut menacerait la sécurité de l’Europe pour Le Drian
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/09/11/97001-20180911FILWWW00274-idlib-un-assaut-menacerait-la-securite-de-l-europ

    Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a averti aujourd’hui qu’un assaut du régime syrien sur la province d’Idleb aurait des conséquences directes pour la sécurité en Europe en raison du risque de dispersion des milliers de jihadistes concentrés dans cette zone.

    « Il y a un risque sécuritaire dans la mesure où dans cette zone se trouvent beaucoup de jihadistes, se réclamant plutôt d’Al-Qaïda, qui sont entre 10.000 et 15.000 et qui sont des risques pour demain pour notre sécurité », a-t-il dit sur la chaîne BFMTV, évaluant à « quelques dizaines » le nombre de combattants français parmi eux. « (Ils) risquent de se trouver dispersés si l’offensive syrienne et russe se mettait en oeuvre dans les conditions que l’on imagine aujourd’hui », a relevé le chef de la diplomatie française.

    Pas de mots pour commenter cette déclaration surréaliste ! En gros, il faudrait faire — ou ne pas faire — quoi ?

    #syrie

    • Effectivement c’est totalement absurde à ce niveau de responsabilité en plus ! On dirait qu’il parle d’insectes en plus avec sa menace de dispersion ou bien de virus. Il aimerait peut-être construire un grand camp, c’est à la mode et il fait un ghetto où les gens meurent rapidement, ça s’est fait en Pologne à une époque et ça a été assez efficace !
      Les responsables politiques ont créé cette situation, c’est devenu hors de contrôle et maintenant ils ont le truc entre les mains et ils ne savent plus quoi en faire. Bandes d’incapables !

  • Armes chimiques : Washington, Paris et Londres avertissent Damas - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1130804/armes-chimiques-washington-paris-et-londres-avertissent-damas.html

    « Que les choses soient claires : si le régime syrien emploie des armes chimiques, nous réagirons très fortement, et ils feraient bien de réfléchir un bon moment avant une quelconque décision », a affirmé John Bolton.

    Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont averti mardi le président syrien Bachar el-Assad qu’ils ne laisseraient pas impunie toute utilisation d’armes chimiques par le régime de Damas dans son offensive pour reprendre la province d’Idleb.

    Utile avertissement diront certains, préparation d’un énième #false_flag répondront les autres. On n’avance pas beaucoup en #syrie

  • Evacuations à la frontière syro-libanaise : le Hezbollah à la manœuvre - Moyen-Orient - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170801-evacuations-frontiere-syro-libanaise-le-hezbollah-manoeuvre?ref=fb

    C’est la première évacuation de combattants et de civils syriens organisée au Liban depuis le début de la guerre en Syrie, en 2011. Il s’agit de deux opérations distinctes.

    La première concerne quelque 500 jihadistes de l’ex-Front al-Nosra, des membres de leurs familles et d’autres civils, qui ont choisi de partir avec eux. Au nombre de 8000, ces personnes vont se diriger mardi vers la province d’Idleb, en empruntant un itinéraire passant par le territoire syrien. Les convois seront escortés par des véhicules du Croissant rouge syrien.

    Dès leur arrivée à Alep, les jihadistes relâcheront 8 combattants du Hezbollah. Trois d’entre eux ont été capturés lors des combats de la semaine dernière au Liban, et 5 autres ont été faits prisonniers dans la région d’Alep, fin 2016.

    L’autre opération concerne 500 combattants d’une brigade de l’Armée syrienne libre, Saraya Ahl al-Cham, et 2 500 membres de leurs familles. Ils ont choisi de revenir dans leurs villes et villages du Qalamoun syrien, non loin de l’endroit où ils sont réfugiés depuis des années.

    C’est le Hezbollah libanais qui a joué les intermédiaires avec le gouvernement syrien pour conclure l’accord permettant le retour de ce groupe. Ces rebelles conserveront leurs armes légères après s’être engagés à cesser le combat contre l’armée syrienne.

  • Russie, Iran et Hezbollah promettent un soutien accru à Assad - L’Orient-Le Jour
    Reuters | 09/04/2017
    https://www.lorientlejour.com/article/1045883/russie-iran-et-hezbollah-promettent-un-soutien-accru-a-assad.html

    L’alliance militaire constituée par la Russie, l’Iran et le Hezbollah libanais a promis dimanche d’apporter un soutien accru à l’armée du président syrien Bachar el-Assad après les tirs de missiles américains contre une base aérienne syrienne.

    Dans un communiqué, le centre de commandement conjoint des alliés de Damas accuse Washington d’avoir franchi une « ligne rouge » en bombardant la Syrie.

    L’alliance, dit le communiqué relayé par l’organe médiatique Ilam al-Harbi, s’engage à « répondre à partir de maintenant avec force à tout agresseur ou tout franchissement de ligne rouge par qui que ce soit ».

    « L’Amérique connaît notre capacité à répondre comme il se doit », ajoute-t-elle en qualifiant d’"illégale" la présence de soldats américains dans le nord de la Syrie, qu’elle qualifie de « forces d’occupation ».

    Le président russe Vladimir Poutine et son homologue iranien Hassan Rouhani se sont entretenus dimanche au téléphone à ce sujet et ont convenu que les « actes agressifs » des Etats-Unis contre la Syrie étaient « inacceptables », rapporte pour sa part le Kremlin.

    Moscou et Téhéran réclament une enquête « impartiale » sur l’usage présumé d’armes chimiques contre des civils dans la province d’Idleb, invoqué par Washington pour justifier ses bombardements, poursuit la présidence russe.

    Les deux pays sont prêts à renforcer leur coopération pour lutter contre le terrorisme et assurer la stabilité du Proche-Orient, ajoute le Kremlin.

    A Washington, le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson a pour sa part répété dimanche pendant l’émission « This Week » de la chaîne ABC que les Etats-Unis avaient décidé de frapper l’armée syrienne en raison de l’inaction russe et de « l’échec de Moscou à respecter ses engagements auprès de la communauté internationale » en matière de contrôle des armes chimiques.

    #Syrie

  • #Syrie : Washington menace d’une action unilatérale en cas d’échec à l’#ONU
    https://www.lorientlejour.com/article/1045006/syrie-washington-menace-dune-action-unilaterale-en-cas-dechec-a-lonu.

    « Quand les Nations unies échouent constamment dans leur mission d’action collective, il y a des moments dans la vie des Etats où nous sommes obligés d’agir nous-mêmes », a martelé Mme Haley, lors d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur l’attaque contre Khan Cheikhoun, petite ville de la province rebelle d’Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie.

    Mme Haley s’est cependant bien gardée d’expliciter ce qu’elle entendait par une action unilatérale, même s’il s’agit là d’une des déclarations les plus fortes des #Etats-Unis depuis longtemps sur le conflit syrien.

  • Syrie : le plan français d’aide aux rebelles
    Par Georges Malbrunot Mis à jour le 22/02/2017 à 21:08
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/02/22/01003-20170222ARTFIG00368-syrie-le-plan-francais-d-aide-aux-rebelles.php

    INFO LE FIGARO - Une note confidentielle du Quai d’Orsay esquisse ce que doit être la position française après la cuisante défaite des rebelles d’Alep, fin décembre.

    Comment la France compte-t-elle sauver l’opposition syrienne dans ses derniers bastions ? Le Figaro publie une note confidentielle rédigée par le ministère des Affaires étrangères qui esquisse ce que doit être la position française après la cuisante défaite des rebelles d’Alep, fin décembre.

    Paris affiche deux priorités : aider les rebelles dans les « zones libérées » de Syrie - dans la province d’Idleb au nord-ouest et dans le sud frontalier de la Jordanie. Et torpiller la reconstruction de la « Syrie unitaire », option préconisée par la Haute représentante de l’Union européenne, Federica Mogherini.

    Problème : les radicaux islamistes et les djihadistes font souvent la loi dans ces zones libérées dont Paris veut aider à la reconstruction. Le pari français est dangereux, répondent plusieurs chercheurs qui ont lu pour nous cette note du Quai d’Orsay. Même isolée sur le dossier syrien, Paris campe fermement sur sa position : entraver « le projet russo-iranien » en Syrie, affirme la note dont Le Figaro publie des extraits.

  • L’armée syrienne ouvre un nouveau front dans le nord-ouest
    http://www.lorientlejour.com/article/973384/larmee-syrienne-ouvre-un-nouveau-front-dans-le-nord-ouest.html

    Les forces syriennes ont lancé mercredi une offensive en direction de la colline de Kabani, dans la province de Lattaquié, où les combats se poursuivent malgré la trêve entrée en vigueur vendredi à minuit, rapporte l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). L’armée est soutenue par l’aviation russe, selon les rebelles qui tiennent cette position du nord-ouest du pays.

    Les deux camps s’accusent mutuellement de violer l’accord de « cessation des hostilités » conclu sous l’égide des États-Unis et de la Russie. Cette trêve ne concerne pas la lutte contre les mouvements jihadistes tels que le groupe État islamique et le Front al-Nosra, branche locale d’el-Qaëda très présente dans le Nord-Ouest.

    La colline de Kabani domine Jisr al-Choughour, ville de la province d’Idleb, voisine de celle de Lattaquié, tenue par les insurgés, ainsi que la plaine de Ghab, où leur progression l’an dernier a mis Damas en danger. « Le régime et les milices essayent de prendre (la colline) avec un appui aérien russe et des tirs d’artillerie très intenses », a déclaré Fadi Ahmad, porte-parole de la Première division côtière, qui appartient à l’Armée syrienne libre (ASL).

    « Les batailles se poursuivent dans les zones vitales auxquelles le régime tient et où il n’y a jamais eu de trêve. Il y a des bombardements et des combats. Nous sommes au cinquième jour (de la trêve) et il n’y a aucun changement dans ces secteurs », a quant à lui déploré un chef rebelle du nord de la région.

    #Syrie

  • Le Hezbollah confirme une trêve dans trois localités syriennes
    AFP / 25 septembre 2015 23h25
    http://www.romandie.com/news/Le-Hezbollah-confirme-une-treve-dans-trois-localites-syriennes/633491.rom

    Le Hezbollah confirme une trêve dans trois localités syriennes

    Beyrouth - Le chef du Hezbollah chiite libanais Hassan Nasrallah a confirmé vendredi la conclusion d’une trêve de six mois dans la ville rebelle de Zabadani, proche du Liban, et dans deux villages chiites du nord-ouest syrien, conclue sous l’égide de l’ONU et, selon lui, après médiation iranienne.

    La trêve comprend l’évacuation des combattants et des blessés de la ville de Zabadani vers la province d’Idleb (...) en échange de l’évacuation de 10.000 civils des villages de Foua et Kafraya (...) vers des zones contrôlées par le régime syrien, a indiqué Hassan Nasrallah lors d’une interview à Al-Manar, la chaîne du mouvement chiite libanais.

    Des combattants du Hezbollah se battent aux côtés de l’armée syrienne, notamment à Zabadani, le dernier bastion rebelle sur la frontière syro-libanaise que le régime tente de reconquérir depuis le mois de juillet.

    Les deux villages chiites de Foua et Kafraya, les seuls de la province d’Idleb (nord-ouest) à être encore sous le contrôle du régime, sont régulièrement bombardés par une alliance d’insurgés.

    Plusieurs courtes trêves avaient été conclues depuis août entre les belligérants à Kafraya et Foua mais aucune n’a tenu.

    Il ne restera plus aucun combattant à Zabadani, a assuré M. Nasrallah. Selon lui, l’armée syrienne pourra alors entrer dans la petite partie de la ville encore tenue par les rebelles et en prendre le contrôle.

    Le chef du Hezbollah a par ailleurs assuré que les civils de Zabadani et des alentours ne voulant pas rester sur place pourront également rejoindre Idleb en toute sécurité, comme les combattants.

    Parmi les 10.000 civils qui seront évacués des deux villages chiites de Foua et Kafraya, figureront les femmes de tous âges, les hommes de moins de 18 ans et de plus de 50 ans, ainsi que les blessés, a précisé Hassan Nasrallah.

    Par ailleurs, selon le chef du mouvement chiite libanais, l’émissaire de l’ONU pour la Syrie Staffan de Mistura a proposé à Téhéran de jouer un rôle de médiateur dans cette trêve. L’Iran a alors sollicité et obtenu l’accord du régime de Damas et une rencontre a pu avoir lieu en Turquie entre un médiateur iranien, l’ONU et des représentants de groupes armés.

    • Nasrallah:la présence militaire russe en Syrie changera le cours de la bataille
      http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=261216&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=23&s1=1

      Dans une interview exclusive sur la chaine satellitaire libanaise alManar, le SG du Hezbollah Sayyed hassan Nasrallah a évoqué diverses questions régionales et locales.. Il a révelé les coulisses des négociations de Zabadani, il a parlé de la position du Hezbollah concernant le renforcement la présence russe en Syrie, il a évoqué les évolutions au Yémen, la situation à Bahrein..mais aussi la question de la mosquée d’alAqsa et les répercussions régionales sur l’entité sioniste...

  • Nouveau cessez-le-feu à Zabadani, Foua et Kafraya - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/945243/nouveau-cessez-le-feu-a-zabadani-foua-et-kafraya.html

    Des groupes rebelles et des combattants du régime ont conclu dimanche un nouveau cessez-le-feu temporaire dans trois villes de Syrie, ont indiqué à l’AFP une ONG et un médiateur, après plusieurs jours d’intenses combats entre les deux parties.

    La trêve qui devait commencer en milieu de journée, concerne Zabadani, bastion rebelle près de Damas, et les villages chiites de Foua et Kafraya, les deux derniers îlots du régime syrien dans la province d’Idleb majoritairement contrôlée par les rebelles.

    Ces localités avaient connu un bref répit en août à la suite d’un cessez-le-feu prévoyant le retrait des rebelles de Zabadani en échange de l’évacuation des civils de Foua et Kafraya. Mais la trêve n’avait duré que 48 heures. « Les combattants ont cessé les opérations militaires tôt ce matin mais le cessez-le-feu officiel commence à midi (09h00 GMT) », a précisé dimanche Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH.

  • Cessez-le-feu de 48h à Zabadani et dans le nord-ouest de la Syrie - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/938803/cessez-le-feu-de-48h-a-zabadani-et-dans-le-nord-ouest-de-la-syrie.htm

    Des groupes islamistes et forces pro-régime en Syrie se sont entendus mardi pour un cessez-le-feu de 48 heures dans plusieurs villes disputées du nord-ouest du pays et le long de la frontière libanaise, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

    Selon cette ONG, le cessez-le-feu à Zabadani, dernier bastion des rebelles à la frontière syro-libanaise, débutera à 06h00 locales (03h00 GMT).

    « Il y a eu un accord pour un cessez-le feu de 48 heures à Zabadani et Fouaa et Kafraya », a déclaré le responsable de l’OSDH Rami Abdel Rahman. « L’accord a été conclu entre les combattants du (puissant groupe islamiste) Ahrar al-Cham et les rebelles locaux d’un côté et de l’autre le groupe chiite libanais du Hezbollah », a dit M. Abdel Rahman.

    Aux côtés des forces gouvernementales syriennes, le Hezbollah a lancé une féroce attaque le mois dernier contre Zabadani pour en déloger les rebelles. Fouaa et Kafraya, deux villages chiites de la province d’Idleb (nord-ouest), sont eux parmi les derniers encore aux mains du régime dans la région. En représailles à l’offensive loyaliste sur Zabadani, ils se trouvent assiégés par une coalition rebelle baptisée Armée de la conquête.

    Au-delà des cessez-le-feu, des négociations sont en cours pour obtenir le retrait des combattants rebelles de Zabadani, ainsi que la levée du siège de Fouaa et Kafraya, a indiqué l’OSDH.

  • El-Qaëda chasse le régime syrien de deux bases clé du nord - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/901034/el-qaeda-chasse-le-regime-syrien-de-deux-bases-cle-du-nord.html

    El-Qaëda a infligé lundi une gifle au régime syrien en s’emparant en quelques heures de deux bases militaires stratégiques dans le nord-ouest, une région frontalière désormais presque totalement contrôlée par le groupe jihadiste.

    A la faveur d’une offensive éclair lancée dimanche, le Front al-Nosra, branche syrienne d’el-Qaëda, secondé par deux groupes islamistes radicaux, a pris Wadi al-Deif et Hamidiyé, deux bases de la province d’Idleb qui étaient assiégées par les rebelles depuis deux ans.

    Mèkisonkon mèkisonkon ! Il ne s’agit pas d’embrasser sur la bouche Bachar et son armée mais, quand on est l’organe de presse majoritairement lu par les chrétiens du Liban, se réjouir de la sorte des victoires d’al-Nosra, c’est juste pathétique !

    • Mais qui peut lire ce machin ? Pas dans la banlieue sud, c’est certain. Côté Hamra, on n’en voit pas beaucoup... Alors ? Je me relis et je comprends ton intervention : ce que tu soulignes, c’est que les lecteurs de l’orient ne sont pas majoritaires, y compris dans leur « communauté » (mot que je déteste). Oui, certainement !

    • Si on va par là : les lecteurs de quotidiens ne sont plus majoritaires dans aucun pays du monde, quelle que soit la « communauté ». Il me semble que l’« influence » d’un quotidien ne se mesure plus à sa diffusion réelle depuis belle lurette, mais seulement à l’influence qu’on veut bien lui prêter (nous lecteurs, les autres médias, les politiciens, les revues de presse des ambassades…). L’OLJ a l’avantage d’être francophone, 14 Mars, réactionnaire et clairement de droite, régulièrement conciliant avec des pauvres israéliens… tout pour plaire aux médias français, donc. Après, côté lecteurs…

      Sinon, pour la « diffusion » qu’elle est bonne, l’astuce habituelle : les quotidiens libanais sont offerts sur les vols de la Middle East. En fait, c’est le seul endroit où j’ai réellement vu des gens lire l’OLJ (mais c’est aussi le seul endroit où j’ai vu des gens regarder des vidéos de caméras cachées allemandes).

    • Je voulai ajouter qu’il s’adresse aussi (et surtout) à l’étranger francophone qui désire, pour une raison ou une autre se faire une idée (fausse) de ce qui se passe dans la régions.
      Et pour l’anecdote, je sais que pas mal de mes anciens camarades du Lycée qui sont en Europe le lisent.

  • Idleb : un Syrien exécuté pour ’blasphème’
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/09/97001-20131209FILWWW00354-idleb-un-syrien-execute-pour-blaspheme.php

    Des combattants jihadistes de l’Etat islamique en Irak et au levant (EIIL), un groupe lié à Al-Qaïda, ont exécuté un Syrien accusé de blasphème dans la province d’Idleb, au nord-ouest, a rapporté aujourd’hui l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

    […]

    « Les combattants lui ont acheté du carburant et lui ont demandé pourquoi il était dilué. Il a répondu avec une expression du dialecte local en disant : ’Comment pourrais-je le savoir ? Qui suis-je, le Dieu du carburant ?’ », a rapporté l’OSDH.

    Le vendeur a été exécuté dimanche de plusieurs balles dans la tête et son corps abandonné dans une rue, a ajouté l’organisation, qui s’appuie sur un vaste réseau de militants et de sources médicales.