company:enbridge

  • Canada introduces law to ban tankers off north British Columbia | Reuters
    http://uk.reuters.com/article/canada-politics-tankers-idUKL1N1IE1M3

    Canada’s Liberal government has introduced legislation for a moratorium on oil tanker traffic along the northern coast of the #British_Columbia province, the country’s transport department said on Friday, delivering on an election promise.

    Canadian Prime Minister Justin Trudeau ordered the ban soon after the election in 2015, in which he took power on a pledge to balance resource development with protecting the environment.

    Friday’s bill will likely pass because Trudeau’s Liberals hold a majority in Parliament.

    Trudeau’s orders for the ban effectively slammed the door on Enbridge Inc’s #Northern_Gateway_pipeline, a project facing massive development hurdles that was to deliver oil to the north coast for export via tankers.

    The move is part of a Liberal plan to toughen response to oil spills at sea. The plan was announced last year days before Trudeau formally rejected Northern Gateway, but approved another pipeline project through British Columbia, Kinder Morgan Inc’s #Trans_Mountain expansion.

    According to Transport Canada, vessels carrying less than 12,500 metric tonnes of crude or other oils will be exempt from the tanker ban, so as to ensure northern communities can receive shipments of heating oils and other products.
    […]
    The ban does not apply to the south coast, which will likely see increased tanker traffic if Trans Mountain goes online.

    Whether that happens according to schedule, however, has become uncertain after British Columbia’s pro-energy Liberals, unaffiliated with Trudeau’s federal party, lost their majority in a provincial election on Tuesday.

    While absentee ballots still need to be counted in the close race, if the current seat count in the provincial legislature holds, the future of key energy projects in British Columbia will be pitted against the ability of the Liberals to work with the third-party Greens.

    • Kinder Commits to Pipeline Linking Oil-Sands Crude to Asian Markets - Bloomberg
      https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-05-25/kinder-commits-to-pipe-linking-oil-sands-crude-to-asian-markets

      The Houston-based company announced its final investment decision for the Trans Mountain expansion project Thursday, saying it expects to secure enough financing from an initial public offering of its Canadian subsidiary to proceed with the project. It expects to raise C$1.75 billion from the IPO by May 31, according to a statement.

      The project will nearly triple Trans Mountain’s capacity, giving producers from Alberta’s oil sands access to Pacific shipping routes from the coast of British Columbia. Currently, almost all of Canada’s oil is exported to the U.S. With the expanded line, Canada can export to Asian refineries capable of processing its heavy crude and pay higher margins than those in the U.S.
      […]
      Environmental Opposition
      Those plans are likely to face a galvanized opposition in British Columbia, where the pipeline terminates near Vancouver. Two political parties — the New Democratic Party and Green Party — expanded their support in an election there earlier this month. Both are staunchly opposed to the project, which they say would increase tanker traffic and the risk of a catastrophic oil spill. Together they could muster a majority of lawmakers to overwhelm the more energy-friendly Liberal Party.

  • Canada to implement northern B.C. oil tanker ban this year -CBC | Reuters
    http://uk.reuters.com/article/canada-transport-idUKL1N1D602G

    Canada’s Liberal government will this year deliver on its pledge for a moratorium on oil tanker traffic along the northern coast of British Columbia, CBC News reported on Friday.

    Transport Minister Marc Garneau confirmed the plan in an interview with CBC Radio’s “The House,” the broadcaster said on its website.

    Canadian Prime Minister Justin Trudeau last year instructed Garneau to formalize the ban on oil tanker traffic, effectively slamming the door on a pipeline project that was already facing massive development hurdles.

    The ban is one of several obstacles to the building of Enbridge Inc’s Northern Gateway pipeline, which would carry oil sands crude from near Edmonton, Alberta, to a deepwater port at Kitimat, British Columbia, for export to Asian markets.

  • Les Sioux et leurs terres ancestrales de nouveau menacés par l’industrie pétrolière - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/10/les-sioux-et-leurs-terres-ancestrales-de-nouveau-menaces-par-l-ind

    Depuis plusieurs semaines, les Sioux de la réserve de Standing Rock, dans le Dakota du Nord, résistent à un projet d’oléoduc géant. Le « Dakota Access Pipeline » menace leurs terres, leurs sources d’eau et fait peser un risque de pollution supplémentaire sur le Missouri. L’affaire est en train de prendre une envergure nationale aux États-Unis. Une décision de justice provisoire vient de faire cesser temporairement les travaux sur une partie du territoire. Voici le récit de Winona LaDuke, militante et femme politique amérindienne. « Qu’aurait fait Sitting Bull ? », s’interroge-t-elle, en référence au leader historique de la résistance à la colonisation.

    J’ai la tête plus claire à mesure que je m’approche en voiture. Ma destination est la patrie des Oceti (Sioux) Hunkpapa, la réserve de Standing Rock, dans le Dakota du Nord. C’est le début de la soirée, la lune est pleine. La route qui va vers ces contrées est peu fréquentée. La plupart des Américains ne font que passer en avion au-dessus du Dakota du Nord, sans le voir. Laissez moi vous y emmener. En fermant les yeux, 50 millions de bisons – jadis le plus important troupeau itinérant de la planète – vous reviennent à l’esprit. Le battement de leurs sabots faisait vibrer la Terre, et pousser l’herbe.

    Il y avait alors 250 espèces d’herbe. Aujourd’hui, les bisons ont disparu, remplacés par 28 millions de têtes de bétail, qui ont besoin de grain, d’eau, et de foin. Une grande partie des champs sont cultivés avec une seule variété OGM, tellement imbibée de pesticides que les papillons monarques meurent. Mais dans ma mémoire, l’ancien monde est toujours là.

    En continuant votre route, vous arrivez à la rivière Missouri. Appelée Mnisose, la grande rivière tourbillonnante, par les Lakota, c’est une puissance de la nature. Elle vous coupe le souffle. « La rivière Missouri a une place inébranlable dans l’histoire et la mythologie » des Lakota et des autres nations indigènes des Plaines du Nord, explique l’écrivain Dakota Goodhouse.

    À l’époque d’avant Sitting Bull, la rivière Missouri était l’épicentre de l’agriculture du Nord, en raison de la fertilité de son lit. La région était le Croissant fertile de l’Amérique du Nord. C’était avant que les traités ne réduisent le territoire des Lakota. Mais le Missouri continuait à figurer dans les traités : le dernier, signé en 1868, désignait la rivière comme frontière.

    C’est ainsi que l’on appauvrit un peuple

    Survinrent ensuite les vol de terres par le gouvernement des États-Unis et l’appropriation des Black Hills en 1877, en partie en guise de représailles suite à la victoire de Sitting Bull à la bataille de Little Big Horn. Bien avant le mouvement Black Lives Matter et son homologue indigène Native Lives Matter, de grands leaders comme Sitting Bull et Crazy Horse ont été assassinés par la police.

    Contraints de mener une existence confinée dans leur réserve, les Lakota s’efforcèrent de stabiliser leur société, jusqu’à ce qu’arrivent les barrages. En 1944, le projet Pick Sloan entraîna la submersion de territoires appartenant aux tribus de la rivière Missouri, prenant aux Mandan, aux Hidatsa, aux Arikara, aux Lakota et aux Dakota leurs meilleurs terres basses. Plus de 800 kilomètres carrés des réserves de Standing Rock et de Cheyenne River furent à leur tour submergées par le barrage Oahe lui-même, entraînant non seulement des déplacements de population, mais la perte d’une partie du monde Lakota. La retenue d’eau créée par les barrages Garrison, Oahe et Fort Randall contribua à la destruction de 90% du bois et 75% de la vie sauvage dans les réserves. C’est ainsi que l’on appauvrit un peuple.

    Aujourd’hui, bien plus de deux tiers de la population de Standing Rock vit au-dessous du seuil de pauvreté – la terre et la « Rivière Mère » (le Missouri) sont tout ce qui reste, la seule constante, pour ce peuple. Ce sont précisément elles qui sont aujourd’hui menacées.

    Un projet parachevant la combustion de la planète

    Cette fois, au lieu du 7e régiment de cavalerie, ou de la police indienne envoyée pour assassiner Sitting Bull, ce sont Enbridge [entreprise canadienne impliqué dans de nombreux projets d’oléoducs controversés, NdT] et le Dakota Access Pipeline, un projet d’oléoduc long de 1800 km [1] qui font monter la pression sur ces terres indiennes.

    À la mi-août, le président tribal de Standing Rock, Dave Archambault II, a été arrêté par la police de l’État, avec 27 autres personnes, pour son opposition à l’oléoduc Dakota Access. Dans le même temps, le gouverneur du Dakota du Nord Jack Dalrymple demandait des renforts de police.

    Enbridge et ses partenaires se préparent à forer sous le lit de la rivière. L’oléoduc Dakota Access a reçu les autorisations officielles du côté est comme du côté ouest. Sa portion nord a été déplacée, pour ne pas affecter l’approvisionnement en eau de la ville de Bismarck, vers les sources d’eau de Standing Rock. Pas de chance pour les Lakota.

    Malgré les recours juridiques et réglementaires de ces derniers, la construction du Dakota Access Pipeline a commencé en mai 2016. S’il est achevé, cet oléoduc sinuera à travers le Dakota du Sud et du Nord, l’Iowa et l’Illinois, où il fera sa jonction avec un autre oléoduc, long de 1200 kilomètres, jusqu’à Nederland, au Texas.

    Plus de 570 000 barils de pétrole brut en provenance du gisement de Bakken (à cheval entre les Etats-Unis et le Canada) y seraient quotidiennement acheminés, soit plus de 245 000 tonnes métriques de carbone – suffisamment pour parachever la combustion de notre planète.

    L’oléoduc doit franchir 200 cours d’eau. Dans le seul Dakota du Nord, il traverserait 33 sites historiques et archéologiques. Enbridge vient de faire l’acquisition de ce projet d’oléoduc, constatant que son autre projet – l’oléoduc Sandpiper, qui acheminerait 640 000 barils de pétrole par jour vers le Minnesota – est désormais en retard de trois ans sur les prévisions.

    Procédure d’autorisation accélérée

    Fin juillet, la tribu Sioux de Standing Rock, représentée par l’organisation Earthjustice, a déposé plainte devant un tribunal de Washington contre l’US Army Corps of Engineers [l’administration fédérale en charge de nombreux grands projets d’infrastructures, NdT]. Standing Rock a également déposé un recours auprès de l’Organisation des Nations-Unies, en coordination avec l’International Indian Treaty Council [une organisation internationale de peuples indigènes, NdT].

    Comme l’explique le président Archambault dans les colonnes du New York Times :« Aussi bien l’Agence fédérale de protection de l’environnement, le Département de l’Intérieur que le Conseil consultatif national sur le patrimoine historique ont soutenu le renforcement de la protection du patrimoine culturel de notre tribu, mais le Corps of Engineers et Energy Transfer Partners [le consortium qui porte le projet Dakota Access Pipeline, NdT] ont ignoré nos droits. La première version de l’évaluation du tracé proposé à travers nos terres ancestrales et protégées par traités, réalisée par l’entreprise, ne mentionnait même pas notre tribu. »

    « Le Dakota Access Pipeline a bénéficié d’une procédure d’autorisation accélérée dès le premier jour, appelée Nationwide Permit nº12, qui exempte l’oléoduc de toutes les évaluations environnementales requises requises par le Clean Water Act et le National Environmental Policy Act [importantes lois sur l’eau et l’environnement, NdT] en le traitant comme une série de petits chantiers. »

    « Le projet a été approuvé en un éclair, sans plus d’examen, par les quatre États concernés. »

    Dans l’Iowa, où la construction de l’oléoduc a démarré, trois incendies se sont déclarés, endommageant sérieusement les équipements, pour un coût estimé d’un million de dollars. Selon le shérif du comté, les enquêteurs soupçonnent un incendie volontaire. En octobre 2015, trois agriculteurs de l’Iowa ont déposé plainte contre l’entreprise Dakota Access LLC et l’administration de l’Iowa pour essayer d’empêcher le recours au droit d’expropriation pour utilité publique de leurs terres pour la construction de l’oléoduc.

    Menace pour la rivière Missouri

    Il n’est tenu aucun compte de la santé de la rivière Missouri. Depuis que celle-ci a été couverte de barrages, de nouveaux projets sont venus affecter davantage son état écologique. Aujourd’hui, le Missouri est la septième rivière la plus polluée des États-Unis. Les rejets agricoles et, désormais, la fracturation hydraulique ont contaminé la rivière. Ma sœur a pêché un brochet crocodile, une espèce préhistorique de poisson géant, dans cette rivière ; il était couvert de tumeurs.

    Un seul exemple : suite à un accident survenu sur un oléoduc en janvier 2015, une fuite massive d’eau saline a atteint le Missouri. Avec l’aplomb coutumier aux agences fédérales ou d’État, le directeur de la Santé du Dakota du Nord, David Glatt, a déclaré qu’il ne s’attendait pas à des effets dommageables pour la vie sauvage ou l’approvisionnement en eau potable, car cette eau serait diluée. Comme dit le dicton,« la solution à la pollution est la dilution ». Pratique. Sauf que ce n’était pas vrai. Deux rivières, Black Creek et Little Muddy River, se sont retrouvées contaminées par presque 11 millions de litres d’eau saline, présentant des taux élevés de chlorures. Tout était dilué. Mais on a tout de même trouvé ce brochet avec ses tumeurs.

    Il y a des oléoducs partout, et moins de 150 inspecteurs dans l’administration chargée de la surveillance de ces ouvrages, la Pipeline Hazardous Materials Safety Administration ou PHMSA, dans tout le pays. S’y ajoutent désormais les risques du pétrole.

    Les entreprises qui gèrent les oléoducs se vantent généralement de leur taux de sûreté de 99 %. Une ancienne éditrice du magazine Scientific American, Trudy Bell, rapporte que les données de la PHMSA de 2001 à 2011 suggère qu’en réalité, l’oléoduc moyen « présente, sur une période de dix ans, une probabilité de 57% de subir une fuite majeure, avec des conséquences se chiffrant à plus d’un million de dollars ». Les probabilités sont contre nous.

    Conseiller de campagne de Donald Trump

    À Standing Rock, alors que le nombre de manifestants passait de 200 à 2000, les forces de police de l’État décidèrent de mettre en place un checkpoint pour filtrer les arrivées et de détourner du trafic vers l’autoroute 1806 allant de Bismarck à Standing Rock, afin de dissuader les venues et mettre sous pression le Prairie Knights Casino (un casino géré par des membres de la communauté indienne, NdT), situé dans la réserve, et desservie par cette même route.

    Nous venons de dépasser celui-ci en voiture ; la route est somptueuse. Et à mesure que les soutiens arrivent en masse, l’hôtel et les restaurants du casino sont pleins à craquer.

    Tandis que les autorités du Dakota du Nord cherchent ainsi à punir les Lakota, le président Archambault, lui, exprime sa préoccupation : « Je suis ici pour informer quiconque voudra m’écouter que le projet Dakota Access Pipeline est dommageable. Il ne sera pas seulement dommageable pour mon peuple, mais son objectif et sa construction nuiront également à la qualité de l’eau dans la rivière Missouri, qui figure parmi les rivières les plus propres et les plus sûres de tous les États-Unis. Contaminer l’eau, c’est contaminer la substance de la vie. Tout ce qui bouge a besoin d’eau. Comment peut-on parler de délibérément empoisonner l’eau ? »

    Dans le même temps, le gouverneur du Dakota du Nord Jack, Dalrymple, a déclaré l’état d’urgence et mobilisé de nouvelles ressources « pour gérer les risques pour la sécurité publique liés aux manifestations actuelles contre le Dakota Access Pipeline ». Il pourrait bien avoir outrepassé ses prérogatives en violant les droits humains et civils, dont le droit à l’eau.

    Selon les termes du président Archambault, « il n’y a peut-être que dans le Dakota du Nord, où les élus bénéficient des largesses des magnats du pétrole, et dont le gouverneur, Jack Dalrymple, est un conseiller de campagne de Donald Trump, que les autorités d’un État et d’un comté peuvent jouer ainsi le rôle d’agents armés des intérêts des multinationales ».

    « Les gens se souviennent de leur histoire »

    De nombreuses personnes présentes aujourd’hui à Standing Rock se souviennent de leur histoire et notamment de la longue confrontation de Wounded Knee en 1973 (site du massacre de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants Sioux en 1890, Wounded Knee fut occupée en 1973 pendant plus de deux mois par des militants indigènes encerclés par la police et l’armée. La confrontation a fait deux morts). De fait, il y a parmi les militants de Standing Rock des gens qui étaient déjà en 1973 à Wounded Knee, une lutte similaire pour la dignité et l’avenir d’une nation.

    Je ne sais pas à quel point le Dakota du Nord souhaite la construction de cet oléoduc. S’il doit y avoir une bataille à propos de ce projet, c’est ici qu’elle aura lieu. Face à un peuple qui n’a plus rien que sa terre et sa rivière, je ne parierai pas forcément sur ses chances.

    Le grand leader Lakota Mathew King a dit naguère que « la seule chose plus triste qu’un Indien qui n’est pas libre, c’est un Indien qui ne se souvient pas ce que c’est d’être libre ».

    Le campement de Standing Rock représente cette même lutte pour la liberté et pour l’avenir d’un peuple. De nous tous. Si je me posais la question « Que ferait Sitting Bull ? », la réponse est claire. Il nous rappellerait ce qu’il disait il y a 150 ans :« Réunissons nos esprits pour voir quel avenir nous pouvons construire pour nos enfants. » Le moment est venu.

    Winona La Duke

    Témoignage initialement paru sur le site Yes Magazine ! sous licence Creative Commons. Traduit de l’anglais par Susanna Gendall.

    Photos : Joe Brusky CC                                   

    http://www.bastamag.net

  • « Que ferait Sitting Bull ? » Les Sioux de Standing Rock mènent le combat contre un nouveau projet d’oléoduc géant
    http://multinationales.org/Que-ferait-Sitting-Bull-Les-Sioux-de-Standing-Rock-menent-le-combat

    Depuis plusieurs semaines, les Sioux de la réserve de Standing Rock, dans le Dakota du Nord, organisent la résistance contre un projet d’oléoduc géant, le Dakota Access Pipeline, qui menace leurs terres et leurs sources d’eau. L’affaire est en train de prendre une envergure nationale aux #États-Unis. Les grandes banques françaises - #BNP_Paribas, #Crédit_agricole, #Natixis, #Société_générale - sont toutes impliquées dans le financement de l’oléoduc. La mobilisation des Sioux (Lakota) de la réserve de Standing (...)

    #Contre-pouvoirs

    / A la une, #Énergie, #Finances_et_banques, États-Unis, BNP Paribas, Crédit agricole, #BPCE, Natixis, Société générale, #Énergies_fossiles, #énergie, #changement_climatique, #eau, #communautés_locales, #mouvement_social, (...)

    #Enbridge
    "http://www.foodandwaterwatch.org/news/who%27s-banking-dakota-access-pipeline"
    "http://www.yesmagazine.org/planet/an-oil-pipeline-and-a-river-what-would-sitting-bull-do-20160829"
    "http://www.nytimes.com/2016/08/25/opinion/taking-a-stand-at-standing-rock.html"
    "https://www.flickr.com/photos/40969298@N05

    Flickr
    "

  • Nouveau sabotage d’un oléoduc en Ontario
    https://xconfrontationx.wordpress.com/2016/02/05/nouveau-sabotage-dun-oleoduc-en-ontario

    Nos coeurs étaient pleins d’amour et de joie suite aux nombreux moments où nos courageux.ses ami.e.s ont réussi à arrêter des oléoducs ces derniers mois. Alors, le matin du 25 janvier, 2016, nous avons pris notre propre courage à deux mains et nous sommes passé.e.s à l’action contre Enbridge et leur Ligne 9. Nous nous […]

    https://1.gravatar.com/avatar/af5bf7a8a9ec87a4405279c3f854f031?s=96&d=identicon&r=G

  • Sabotage d’un oléoduc en Ontario
    https://xconfrontationx.wordpress.com/2016/01/06/sabotage-dun-oleoduc-en-ontario-3

    Quelle meilleure façon de commencer une nouvelle année qu’en fermant quelques foutus oléoducs ? Dans le courant de la nuit du 3 Janvier 2016, des individu.e.s se sont aventuré.e.s dans l’obscurité non loin d’un lieu nommé Cambridge et ont fermé une vanne manuelle d’oléoduc afin de limiter le flux de la Ligne 7 d’Enbridge. Nous […]

    https://1.gravatar.com/avatar/af5bf7a8a9ec87a4405279c3f854f031?s=96&d=identicon&r=G

  • Native Americans Launch ‘Love Water Not Oil’ Ride To Protest Fracking Pipeline | EcoWatch
    http://ecowatch.com/2014/08/19/winona-laduke-protest-fracking-pipeline

    Winona LaDuke, executive director of Native environmental group Honor the Earth, launched the “#Love_Water_Not_Oil” horse ride this week to draw attention to the group’s continued opposition to the Enbridge Sandpiper pipeline. It would carry fracked oil from North Dakota’s Bakken shale oil fields through the Sandy Lake and Rice Lake watersheds in northern Minnesota. The area is not only rich in recreational fishing facilities but it is also home to vast fields of wild rice or manoomim, a Native American staple.

    This is the only land that the Anishinaabe know, and we know that this land is good land, and this water is our lifeblood. One-fifth of the world’s fresh surface water supply lies here, and it is worth protecting. Our wild rice beds, lakes and rivers are precious—and our regional fisheries generate $7.2 billion annually and support 49,000 jobs. The tourism economy of northern Minnesota represents $11.9 billion in gross sales (or 240,000 jobs).

    #eau #pétrole #vie #écologie #contestation

  • La fronde des #Amérindiens contre « l’enfer sur terre » | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2013/12/18/la-fronde-des-amerindiens-contre-l-enfer-sur-terre

    Le chef du clan des Saikuz auquel appartient Geraldine balaie d’un revers de main la participation de 10 % aux revenus que leur fait miroiter le projet Enbridge : « Si l’argent s’accumule et qu’il n’y a plus rien à manger dans la nature, cela ne vaut rien. » Et le groupe d’annoncer pour 2014 des blocages de route et des actes de désobéissance civile.

    La résistance des Amérindiens au secteur pétrolier canadien ne se manifeste pas seulement en Colombie-Britannique. Elle se répand dans toutes les provinces touchées par les projets d’exploitation des #sables_bitumineux. Les #peuples_indigènes, qui comptent quelque 630 groupes au Canada, craignent la contamination de leurs rivières par des #déchets_toxiques, qui fait peser un risque sur leur santé et sur la pêche. Ils craignent aussi la disparition de la faune, comme le caribou ou le bison.

    Le combat de Geraldine contre le pipeline
    http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2013/12/04/002-arnould-geraldine-pipeline.shtml

    Dans l’attente du rapport de la commission dans les prochaines semaines, les Thomas ne se font pas d’illusions. Ils pensent que le projet sera accepté dans le rapport, moyennant peut-être toute une ribambelle de recommandations de la commission, pour s’assurer de la sécurité environnementale du projet.

    Ils rappellent toutefois que, peu importe ce que recommandera ou pas le rapport, c’est le gouvernement fédéral qui aura le dernier mot pour l’approbation du Northern Gateway. Et comme celui-ci veut exporter le pétrole canadien vers l’Asie, un client gourmant à ne pas négliger, les Premières Nations signataires de la Déclaration du Fraser ne sont pas d’illusions.

    Geraldine et son clan sont prêts à aller jusqu’au bout pour s’opposer au projet. Elle et sa cousine Jackie nous ont juré plusieurs fois qu’elles étaient prêtes à donner leur vie pour « sauver les générations futures ». Blocages de routes, actes de désobéissance civile, ces Premières Nations n’excluent rien dès le printemps 2014.

    #eau #pollutions

  • Canada : les « réunions secrètes » entre le gouvernement et les entreprises de l’énergie
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/10/10/canada-les-reunions-secretes-entre-le-gouvernement-et-les-entreprises-de-l-e

    Deux fois par an, les réunions entre le gouvernement, les entreprises invitées, mais aussi les agences de renseignements, visent à traiter des « menaces » contre les infrastructures énergétiques, les « défis posés aux projets énergétiques par les groupes environnementaux », « la cyber sécurité » et « l’espionnage économique », écrit le Guardian, qui cite des documents obtenus grâce à la loi sur l’accès à l’information.

    La dernière réunion, tenue en mai 2013, portait sur « la sécurité du développement énergétique ». Les repas étaient payés par l’opérateur d’oléoducs Enbridge, dont un projet d’inversion de cours de pipeline connaît actuellement une vive opposition au Québec. Selon un responsable du ministère des ressources naturelles, cité par le document, ces rencontres permettent de développer « la confiance mutuelle » entre les différentes parties, aidant l’échange d’informations « confidentielles ».

    #sables_bitumineux #pétrole

  • More BCers oppose Gateway pipeline after map controversy, ad blitz : poll | The Hook

    http://thetyee.ca/Blogs/TheHook/Labour-Industry/2012/12/11/Gateway-Poll
    By Jimmy Thomson December 11, 2012

    A new poll suggests that 60 per cent of British Columbians now oppose the proposed Northern Gateway bitumen pipeline. And according to the results, controversy over Enbridge’s tanker route map — which omitted 1,000 square kilometres of islands in the Douglas Channel — didn’t help: 58 per cent of respondents who saw the map said that it worsened their opinion of the project.

    Commissioned by the Gitga’at First Nation and carried out by Forum Research, the poll (hosted on this website) is the most recent survey of public opinion surrounding the pipeline project. Forum Research contacted 1,051 British Columbians, asking the same central question as in two other polls they have conducted on the issue: “Are you in favour or opposed to the Northern Gateway pipeline which would carry crude oil from the Alberta oil sands across the Rocky Mountains to the BC coast at Kitimat to be shipped by tanker to refineries in Asia?”

    Voir aussi http://seenthis.net/messages/68795 from @fil

    ainsi que cela

    http://sumofus.org/campaigns/enbridge/?sub=fb--JOHNPAULCATUNGALPhDCandidateDepartmentofGeographyUniversityofToron

    #cartographie #manipulation #canada #british-colombia

  • Police spied on B.C. natives protesting pipeline plan, documents show - thestar
    http://www.thestar.com/news/canada/politics/article/1175824--rcmp-spied-on-b-c-natives-protesting-pipeline-plan-documents-show

    The documents show that a provincial RCMP unit has been closely tracking the potential for “acts of protest and civil disobedience” by the Yinka Dene Alliance, a coalition of northern B.C. First Nations who have been at the centre of resistance to Enbridge’s $5.5 billion pipeline proposal.

    Their territory covers a quarter of the route of the pipeline, which would carry more than 500,000 barrels of oilsands crude from Alberta through pristine territory to Kitimat, B.C., for export by supertanker to Asia and other markets.

    The revelations add ammunition to critics who have charged that the Harper government is waging a campaign to demonize legitimate opponents of resource developments like the Northern Gateway, by labelling them as radicals or including them in Canada’s “counter-terrorism” strategy.

    #police #surveillance #environnement #canada #cdp