• How To Get Faster at Doing Things
    https://hackernoon.com/how-to-get-faster-at-doing-things-5561ed3857c0?source=rss----3a8144eabfe

    And Maximize Your Daily InputPhoto by Tomas Yates on UnsplashHere’s my personal and proven approach on how to get faster on doing things in a digital era.In no particular order, here we go:If something crosses your mind while you are working or studying, especially a negative bugging piece of thought, just make a quick note of that something and record it in a notebook. Just get it out of your system!Install Papier (Chrome) or Board (Firefox) — if you want your note-taking to be digital. You can also do a brain dump on Google Keep or Evernote.Experiment with the 30 + 5 method — sprint hard for 30 minutes (like writing this Medium post) and then take a 5-minute break (go to the bathroom, brush your teeth, do a stretch, drink water, read an article, do 10 push-ups, clean your desk etc.)Learn to (...)

    #self-improvement #productivity #personal-growth #productivity-hacks #lifehacks

  • How to Deal With Impostor Syndrome
    https://hackernoon.com/what-helps-me-deal-with-impostor-syndrome-e7a0577812f?source=rss----3a81

    4 Ideas for You to Stop Second-guessing Yourselfhttps://unsplash.com/photos/Qeqg7F9pfuUThis is another post about Impostor Syndrome. For the unfamiliar, Impostor Syndrome is the feeling that makes you feel like a fraud, that you do not deserve/fit the job you have and that the only way you’re keeping it is by sheer luck or blindness from your employer.Definitions found online only attribute this feeling to high achievers, but in my point of view, this is applicable to anyone, independently of their ambitions, when faced with a demanding profession of some sort.Software development is one of the usual suspects. You need to be competent in a multitude of areas, and, as expected, this competence is dependent on experience and evolves as technologies do, so one can feel he’s eternally (...)

    #personal-growth #tech #impostor-syndrome #tech-impostor-syndrome #self-improvement

  • Understanding Starsky Robotics’ Voluntary #safety Self-Assessment
    https://hackernoon.com/understanding-starsky-robotics-voluntary-safety-self-assessment-126e5df1

    Enhancing Highway Safety for the Long-HaulEight months ago, I joined Starsky Robotics as our Director of Safety Policy. I’ve previously worked on FAA certified avionics, automotive electronics systems, and most recently focused on safely integrating unmanned aerial vehicles into the U.S. national airspace. Safety is a critical concern for each of these industries and is at the core of our approach to automation at Starsky. To that end, Starsky’s first step after raising our Series A was bringing me on board to ensure our commitment to safety is an actionable part of everything we do when putting driverless trucks on America’s highways.Our safety strategy begins with an understanding of the term “safety” itself. At Starsky, we use the International Organization for Standardization’s (...)

    #transportation #trucking #autonomous-cars #self-driving-cars

  • Digitalisierung, Vernetzung, Smartphones, Soziale Medien, Smart Home & City, KI
    https://dielinke.berlin/parteitag/laszlo

    7. Landesparteitag DIE LINKE. Berlin, 15./16. Dezember 2018
    Wortmeldung von Zündi Laszlo zur Generaldebatte

    Technisch getrieben werden diese Entwicklungen hauptsächlich von einer Handvoll global agierender Konzerne. Wir sind nur noch Nutzer und erfreuen uns an vielen neuen Kommunikationsmöglichkeiten und Bequemlichkeiten.

    Aber wir geraten auch in Abhängigkeit: Diese Konzerne können bestimmen, welche Informationen wir sehen, aus denen wir uns eine Meinung bilden. Sie verfolgen unsere Aktivitäten und Gewohnheiten. Die Nutzung der Tools und der sogenannten sozialen Medien ist nicht gratis. Wir sind die Ware, die verkauft wird, in Form von Daten, die wir preisgeben. Für die Entscheidungen dieser Konzerne, die damit unser Leben bestimmen, gibt es keine gesellschaftliche Legitimation!

    Auch staatliche und gesellschaftliche Institutionen sind nicht unabhängig in dieser Situation. Lieber zahlen sie Lizenzgebühren für Software, deren Funktionen sie nicht mehr überblicken. Anstatt mit öffentlichem Geld freie Software zu schaffen, dafür Experten zu bezahlen und somit neben hiesigen Arbeitsplätzen vor allem öffentliches Fachwissen zu schaffen und so die Kontrolle über die eigenen Infrastruktur zu behalten.

    Dies zu fordern ist einfach …
    Aber wie machen wir dies in unserer eigenen Partei? Beschränken wir uns auf unseren kapitalismuskritischen bzw. antikapitalistischen Standpunkt? Oder versuchen wir uns selbst unabhängiger zu machen? Widerstehen wir den einfachen, schnellen Lösungen der Konzerne ?

    Und bauen wir unsere eigene Struktur aus:

    mit dezentralen Chat-Servern Systemen statt WhatsApp Gruppe
    selbst gehosteten Tools für kollaboratives Schreiben statt Google Docs
    freie Software für die IT in der Verwaltung statt Microsoft (Windows, Exchange, Office …)
    eigene Videostreams statt bei Facebook (das keine öffentlich zugängliche Webseite ist)
    die eigene Cloud zum Datentausch und mehr

    Dies kann anfangs unbequem sein, wird Zeit und Geld kosten, Fachwissen muss aus- und aufgebaut werden (und dies muss auch gewollt und unterstützt werden). So können wir die Kontrolle wieder erlangen und behalten. Auch wenn es anfangs etwas rumpelt, können wir viel dazu lernen.

    Die Erfahrungen und Erfolge werden uns ermutigen, dies in die Gesellschaft zu tragen. Statt uns von einer Lobby der Konzerne bequatschen zu lassen, haben wir dann Erfahrung und wissen worüber wir reden.

    Wir müssen uns von den monopolkapitalistischen, multinationalen, global agierenden Konzernen emanzipieren, oder diese werden unsere Freiheit und letztendlich unsere Lebensgrundlagen zerstören. Solange diese Konzerne die Spielregeln bestimmen und wir uns auf ihre Infrastruktur verlassen, haben wir bereits strategisch verloren.

    #Allemagne #politique #réseaux #gauche #self_hosting

  • #Violences_gynécologiques : fin de partie(s) ?

    Pensée depuis plus de vingt ans en Amérique latine, la question des violences gynécologiques commence à peine à émerger en France. Un ramdam bien mérité qui fera peut-être date dans l’histoire des luttes anti-sexistes. Voyage en #gynécologie, une discipline où soignant rime un peu trop souvent avec maltraitant.

    « Elle va patienter pour la péridurale. Elle a voulu un gosse à 16 ans, elle va comprendre » ; « Vous savez où est votre point G ? Je peux vous aider à le trouver si vous voulez » ; « La pilule ne vous convient pas ? Dans ce cas on se reverra pour une IVG ou un suivi de grossesse. » Voici un florilège de paroles de soignants, de sages-femmes et de gynécologues. Des propos heurtants, parfois suivis d’actes plus brutaux encore, preuves de l’existence d’une réalité peu reluisante : celle des violences gynécologiques.

    En France, le sujet a longtemps été éludé, jusqu’à ce qu’une poignée de femmes s’empare de la question en 2014. En 24 heures, sous l’impulsion du hashtag #Payetonuterus, pas moins de 7 000 témoignages sont recueillis. L’année suivante, la polémique enfle après la parution d’une note de la faculté de médecine de Lyon-Sud qui révèle que des touchers vaginaux ont été réalisés par des étudiants en médecine sur des patientes endormies. Il faudra attendre 2017 et des milliers de témoignages pour que l’État commence à réagir : en juillet, le gouvernement charge le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) de rédiger un rapport sur l’ampleur du phénomène. Un an plus tard [1], à la publication, le constat est sans appel : la gynécologie a tendance à faire preuve de trop de complaisance face à un modèle patriarcal pas aussi élimé qu’il n’y paraît.

    Une échelle de la #violence

    « Les violences gynécologiques, ce sont une continuité d’actes qui vont de la remarque jugeante à la blague déconsidérante, du geste intrusif ou non consenti au geste violent. Jusqu’à l’agression sexuelle. Tout ça fait partie d’une forme de domination masculine qui rend possible un contrôle social du corps de la femme », explique Nina Faure, réalisatrice du documentaire Paye (pas) ton gynéco [2]. Cette approche graduelle de la question permet de faire la lumière sur ce sujet. Pointer du doigt ces violences ne revient pas à affirmer que tous les gynécologues sont des violeurs en puissance, ni même qu’ils sont volontairement malveillants, mais c’est soutenir l’idée qu’il existe une forme de #sexisme_latent, bien ancré dans les représentations des professionnels de la gynécologie.

    Hiérarchiser ces agissements, c’est aussi permettre aux femmes de prendre conscience du fait qu’il n’y a pas que les actes qui sont violents. Les mots lâchés ou les climats instaurés font partie intégrante de ces maltraitances. C’est ce qu’explique Sophie [3], rencontrée au cours d’une projection du film de Nina Faure : « Comme beaucoup de femmes, je suis souvent sortie de chez mon gynécologue en me disant que cela ne s’était pas très bien passé, qu’il y avait quelque chose qui grinçait sans pour autant mettre la main dessus. Se dire qu’il y a eu de la violence, c’est une nouvelle étape. »
    Une affaire d’hommes

    « Pour vraiment comprendre les tenants et les aboutissants de ces violences, on ne peut pas faire l’économie de l’histoire de la médecine occidentale, explique Nina Faure. Du fait qu’elle se soit construite sur des bûchers, entre hommes, après que la plupart des femmes ayant un savoir médical sur le corps féminin et la gynécologie ont péri pendant la chasse aux sorcières entre le XIVe et le XVIIe siècle. La médecine moderne s’est construite sans elles. Et cela éclaire ce qu’il se passe aujourd’hui. »

    À partir du XVIe siècle, l’Église et l’État ont accusé les matrones d’entraver les politiques natalistes et de propager une forme d’anti cléricalisme en pratiquant des avortements et en donnant aux femmes l’accès à des techniques de contraception. D’une transmission exclusivement féminine et orale des savoirs populaires, la gynécologie a peu à peu glissé dans le domaine des sciences, essentiellement tenu par des hommes. Au XVIIe siècle, dans la droite ligne des politiques natalistes et pour faire face au taux élevé de mortalité infantile, ce ne sont pas les médecins mais « les barbiers [qui] entrèrent dans les chambres des femmes en couche. Ils étaient désignés, non pas pour leurs compétences médicales, mais parce qu’ils possédaient les outils nécessaires. [...] Les barbiers scièrent donc les bassins des mères, expulsant du corps de femmes laissées pour mortes des nouveau-nés bien vivants. » [4]
    Non, c’est non

    Depuis, la donne a changé. Les femmes demeurent sous-représentées dans les instances décisionnelles mais elles constituent tout de même la moitié des obstétriciens [5] et 94 % des praticiens en gynécologie médicale. Les violences gynécologiques seraient donc essentiellement l’œuvre de femmes. « Les violences gynécos et obstétricales sont des violences systémiques et concernent donc tout le monde dans une certaine mesure. Elles sont le fruit de la domination sexiste, mais aussi du paternalisme médical qui est indissociable de l’enseignement reçu en médecine et des pratiques de soin », explique Héloïse de Bearn, étudiante en master d’« éthique du soin et recherche » à Toulouse.

    C’est en fait une double peine qui est infligée aux femmes. À une forme de domination d’un sexe sur l’autre vient s’ajouter celle du soignant sur le soigné, l’un détenant le savoir et la technique, l’autre étant maintenu dans l’ignorance. Pour Héloïse de Bearn, « le pouvoir que les médecins se donnent repose en grande partie sur leur savoir. Ne pas expliquer aux patientes relève donc d’une stratégie de maintien de la domination. Le problème, c’est que le consentement doit être éclairé et repose donc sur une compréhension par les patientes des examens et soins proposés. »

    C’est cette question du consentement qui cristallise les tensions. Beaucoup de gynécologues maintiennent qu’obtenir l’accord d’une patiente avant tout acte n’a pas de sens, sous prétexte qu’une femme qui entre dans leur cabinet « sait ce qu’il va lui arriver ». Sauf que, dans bien des cas, les touchers vaginaux, les épisiotomies [6] et autres palpations mammaires, réalisés de façon quasi systématique, ne sont pas nécessaires. De nombreux témoignages de patientes pointent un réel défaut de prise en compte de leur avis. Comme celui de cette femme qui se souvient, avec douleur, de son accouchement : « Arrivée en salle de travail, lorsqu’on me pose une perfusion, j’accepte mais je précise que c’est le seul acte médical que je souhaite, car j’ai déjà deux accouchements par voie basse non médicalisés derrière moi et que ce troisième bébé est plus petit que les précédents. Que nenni, à peine mes jambes écartées, on me perce la poche malgré mes demandes d’attendre au moins encore quelques contractions que ça se fasse tout seul, et on me fait l’épisiotomie dans la foulée. » [7] Cette impasse sur le consentement place pourtant les médecins en faute vis-à-vis de la loi Kouchner (2002), qui insiste sur le fait qu’« aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ».
    Un imaginaire à la peau dure

    Certains professionnels et spécialistes des violences gynécologiques soulèvent aussi l’existence d’un imaginaire collectif particulièrement sexiste. Pour Marie-Hélène Lahaye, juriste, blogueuse et auteure du livre Accouchement, les femmes méritent mieux [8], l’examen gynécologique conseillé dans l’année qui suit le premier rapport sexuel se rapprocherait peu ou prou du rite initiatique. Elle explique : « L’appropriation collective du corps des femmes est un principe de base du patriarcat qui considère qu’avant d’appartenir [au] mari, le corps des femmes appartient à d’autres personnes, en particulier à une autorité supérieure. La forme la plus extrême de ce principe est le droit de cuissage que le seigneur aurait pratiqué en déflorant lui-même les jeunes épouses de ses serfs lors de leur nuit de noces. Bien que les historiens doutent de l’existence réelle de cette pratique moyenâgeuse, le fait qu’elle ait perduré dans la mémoire collective jusqu’à nos jours montre la puissance symbolique de ce rite. L’examen gynécologique imposé par l’autorité médicale à toutes les jeunes filles aux prémices de leur vie sexuelle, voire comme condition pour accéder à une contraception, donc à la sexualité, se rapproche étonnamment de ce principe. » [9]

    Selon Clara de Bort, directrice d’hôpital et auteure du blog En jupe !, les touchers vaginaux répétés, notamment lors des accouchements, véhiculeraient par ailleurs l’idée que « lorsqu’une femme a été pénétrée une fois, elle peut l’être [sans limites] ».
    Des consultations à part

    La banalisation des violences gynécologiques serait également liée au fait que le caractère singulier de cette consultation est bien souvent nié. Face à la caméra de Nina Faure, le président du Collège national des gynécologues et obstétriciens français, Israël Nisand, refuse de parler de pénétration pour un toucher vaginal. Son prédécesseur à ce poste, Bernard Hédon, estime même que ce toucher n’est pas un examen invasif.

    La réalisatrice a, quant à elle, un tout autre point de vue : « Le problème, c’est que, spontanément, on aimerait bien que le médecin puisse faire complètement abstraction du corps qu’il a en face de lui. Mais ce n’est pas parce que c’est vrai pour le médecin que c’est vrai pour nous : mon sexe ne change pas de nature quand je passe la porte d’un cabinet. Il ne devient pas un pied ou une épaule. Ce qui compte, c’est quel point de vue est reconnu comme légitime ? » Elle ajoute : « D’ailleurs, ce n’est pas vrai qu’ils l’oublient. Une étudiante en médecine me disait que face à un enseignant qui lui tenait ce discours, elle avait demandé pourquoi les étudiants ne s’exerçaient pas les uns sur les autres comme c’est le cas par exemple pour les prises de sang. Personne n’avait répondu. »
    Surveiller et punir

    Le rapport du HCE s’attarde également sur la tendance constante à réduire l’appareil génital féminin à sa fonction reproductrice. Savoir que la première représentation anatomique complète du clitoris date de 1998 et que cette même représentation a dû attendre 2017 pour être publiée dans un manuel scolaire, donne un aperçu du tabou qui règne sur la sexualité et le plaisir féminin. Pour Coline Gineste [10], la gynécologie « sert désormais à surveiller et corriger les comportements contre-productifs aux yeux de la société. Or qu’y a-t-il de plus contre-productif qu’une femme qui n’enfante pas ? Une sexualité détachée de la procréation, qui ne viserait que le plaisir, désorganiserait la société, mettrait en question la pérennité du peuple, elle doit donc être maîtrisée, normativisée, disciplinée. [...] La gynécologie, alors qu’elle devient sur le papier un champ de libération des personnes de sexe féminin, dans la pratique que l’on en fait s’avère être un organe de contrôle de la sexualité féminine. »

    Cela s’illustre assez bien lorsqu’un gynécologue refuse à une femme n’ayant pas encore d’enfant de lui poser un DIU [11] en cuivre sous prétexte qu’il exposerait la patiente à des risques infectieux pouvant mener à une stérilité, ou lorsqu’un médecin refuse de ligaturer les trompes d’une femme qui en fait pourtant la demande. « Encore une fois, il s’agit de dire : “ Ce n’est pas à vous les femmes de décider ni de ce que vous faites, ni de comment vous le faites. ” Le fait d’émettre des jugements permanents nous dépossède de notre autonomie et de notre capacité à décider par nous-mêmes. On va d’ailleurs souvent chez le gynécologue non pas pour avoir des conseils avisés mais en culpabilisant. Pourtant on n’est pas chez le médecin comme chez le curé, on n’est pas là pour confesser nos péchés », assène Nina Faure.

    Si l’injonction à la norme est souvent mal vécue, elle l’est d’autant plus pour les femmes qui se trouvent à l’intersection de plusieurs formes de stigmatisation : « Tous les rapports de domination qui traversent la société s’expriment dans un cabinet gynécologique. La violence de ces rendez-vous se décuple quand on est homo, trans, racisée, handicapée, obèse... », renchérit Nina Faure.

    D’après de multiples témoignages, quand il s’agit d’accompagner une patiente lesbienne, beaucoup de gynécologues sont encore englués dans un imaginaire complètement déconnecté des réalités et largement emprunt d’homophobie. Certains considèrent d’ailleurs que les rapports entre femmes ne constituent pas de vraies relations sexuelles. Cela se corse davantage quand la patiente est un homme trans. La plupart des gynécologues sont complètement déboussolés face à la prise en charge de cette patientèle. Les personnes handicapées ou obèses se heurtent, elles aussi, à des barrières qui rendent parfois infranchissable la porte du cabinet gynécologique. Quant aux femmes racisées et allophones, elles sont souvent démunies face à l’impossibilité de communiquer avec leur interlocuteur. D’autres sont parfois soumises à des jugements largement teintés d’ethnocentrisme.
    Une quatrième vague féministe ?

    Face à ces violences, les langues se délient peu à peu dans l’espoir d’équilibrer un peu la balance. « Cette libération de la parole, c’est une tentative collective de créer une nouvelle intégrité physique. On essaie d’exister en agrandissant l’espace de liberté autour de ce point », se réjouit #Nina_Faure. La création du site #Gyn&co (https://gynandco.wordpress.com) fait partie des initiatives qui vont dans ce sens. Cette plate-forme collaborative propose une cartographie des soignants dont la prise en charge est considérée moins paternaliste et plus inclusive. Certaines femmes font également le choix de se tourner vers l’#auto-gynécologie, aussi appelée #self-help. Elles réinvestissent leur corps en apprenant à en connaître le fonctionnement. Certaines réalisent elles-mêmes leurs frottis dont elles envoient le prélèvement à un laboratoire. D’autres deviennent expertes dans la pose de DIU. Un collectif, dont fait partie Nina Faure, s’attelle en ce moment à l’actualisation et la réédition d’un ouvrage phare des années 1970, Notre corps, nous-mêmes, dont la parution est prévue pour septembre 2019. Une quatrième vague féministe ? Force est de constater que les déferlantes se multiplient et s’abattent avec fracas sur une digue du patriarcat de plus en plus friable. Mais toujours debout.

    http://cqfd-journal.org/spip.php?page=pages_mobiles&squelette_mobile=mobile/article&id_article=2459
    #femmes #médecine #sexisme

    • Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical - Des remarques aux violences, la nécessité de reconnaître, prévenir et condamner le sexisme

      Depuis plusieurs années, les témoignages de femmes se multiplient dénonçant un suivi gynécologique porteur d’injonctions sexistes, des actes médicaux non nécessaires pendant l’accouchement voire des violences sexuelles dans le cadre du suivi gynécologique et obstétrical. Ces témoignages, partagés sur Twitter, des tumblrs, des blogs ou dans les médias ont notamment émergé, en France, après le lancement du hashtag #PayeTonUtérus, fin 2014, mentionné par plus de 7000 tweets en 24 heures. Les faits dénoncés par les femmes ont été regroupés sous l’appellation « violences gynécologiques et obstétricales », expression, apparue en Amérique latine aux débuts des années 2000, qui a permis de faire émerger une réflexion féministe sur la spécificité des maltraitances subies, par les femmes, dans le cadre de la relation de soins. Dans ce contexte, la Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes a saisi en juillet 2017 le Haut conseil à l’égalité d’un rapport sur ce sujet, avec pour objectifs de « mesurer et objectiver le phénomène en identifiant précisément la nature des problématiques soulevées » et de « mettre en exergue les différents leviers à mobiliser », autant en termes de besoins de formation des professionnel.le.s concerné.e.s, que sur l’évolution des pratiques souhaitables dans le suivi gynécologique et obstétrical.

      https://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/184000411-les-actes-sexistes-durant-le-suivi-gynecologique-

      #rapport

    • Oui @aude_v tout à fait d’accord
      J’ajoute que c’est l’expression du fait que les médecins et leurs représentant·es adoptent le point de vue du violeur et non celui de la victime.
      Dans les sondages qui questionnent les violeurs, ils répondent souvent qu’ils le font pour « remettre une personne à sa place »- le but est d’humilier et briser la victime pas de prendre du plaisir pour l’agresseur. Il y a aussi des violeurs qui violent pour que ca leur porte chance, ou qui croient que ca leur soigne le VIH, tous ces mecs n’ont pas de motivation sexuelles, tout comme les médecins.
      La question du viol n’est pas de savoir si l’agresseur a bien bandé et quelle était l’intensité du plaisir sexuel qu’il a éprouvé. La question c’est le fait qu’une personne a été pénétré sans son consentement.
      C’est ce qu’essaye de faire comprendre la personne qui parle à Nisan dans le docu « Paye (pas) ton gyneco » mais le vieux violophile n’y arrive toujours pas.

  • « Belfie », « Drelfie », « Celfie » : les tendances qui mettent KO le selfie - L’ADN
    https://www.ladn.eu/media-mutants/belfie-drelfie-celfie-les-tendances-qui-mettent-ko-le-selfie

    Vous pensez « compter dans le game » depuis que vous maîtrisez, enfin, l’art du selfie. Que nenni ! Plus de 1 000 de ces auto-portraits sont pris chaque seconde dans le monde. Et cet été, les conclusions d’une étude menée par une revue indienne, le Journal of Family Medicine and Primary Care ont dû sérieusement faire baliser les preneurs de selfie du monde entier. Car, entre octobre 2011 et novembre 2017, 259 personnes sont mortes en faisant un selfie. Un chiffre qui donne le vertige et qui a inspiré un article à Mashable. Le site a fait le parallèle entre le nombre de morts causés par les requins et ceux occasionnés par les selfies. Verdict : les requins sont vos amis, bien plus que les perches à selfies. Dans son ouvrage Culture Web, Soraya Khireddine, dresse l’inventaire des déclinaisons bien moins dangereuses que de se prendre à bout portant au bord d’une falaise. À vos portables.

    #Selfie #Images #Influenceurs

  • How To Overcome #fear & Make Better Business Decisions
    https://hackernoon.com/how-to-overcome-fear-make-better-business-decisions-f7a2848d9809?source=

    Fear has often been the cause of my worst business decisions and eventually lead me to lose control of one of my companies. I’ve paid a high price to understand this lesson.In the Power of Habit, Charles Duhigg talks about the human brain being made up of a number of layers, and that we just have a less evolved “dinosaur brain”, much of which we share with other animals, and a higher order brain, a more evolved brain, which gives humans higher level thinking and abstract thought. Unfortunately, our pesky dino brain is our survivalist brain, and whenever we are under stress, our dino brain takes over.Paul Ekman identified six basic emotions (anger, disgust, fear, happiness, sadness, and surprise), and these are the ones that our dino brain lives by. Don’t feel bad though, when we were (...)

    #self-improvement #technology #entrepreneurship #meditation

  • Rewire your brain — be efficient, organised and smart
    https://hackernoon.com/rewire-your-brain-be-efficient-organised-and-smart-e6fd7c337d79?source=r

    Rewire your brain — be efficient, organised and smartAs human beings, we all have likes, dislikes, moments, memories, fears, hopes, wishes, dreams and aspirations. They are all infinitely, formed and reformed every day, every second.We are also a slave to our subconscious patterns, habits and reflexes. It could be something as simple as wetting our feet before starting a bath or wearing a pair of socks in the right foot first — we don’t do it intentionally, do we? Our brain, in effect, becomes the ultimate recorder for all of these versions and iterations of thoughts. And we continue to wire our brain subconsciously.Let’s quantify the amount of information our brain can store — it has a storage and memory power of a super-duper-computer — it can store about 2.5 petabytes i.e. 2.5 million gigabytes (...)

    #personal-development #productivity #self-improvement #tips #thinking

  • 10 Easy Solutions to Combatting Loneliness In Telecommuting and In Life
    https://hackernoon.com/10-easy-solutions-to-combatting-loneliness-in-telecommuting-and-in-life-

    10 Easy Solutions to Combating Loneliness In Telecommuting and In LifeWhether you’re at the office from 9–5 or you’ve embraced a more unconventional work path, it’s critical to take deliberate steps to balance your digital work life with your respective social one.Data from the US Consensus Bureau shows that 3.7 million Americans work from the comfort of their home office at least 50% of the time. In the last 5 years, work from home options increased by 40%. More prevalently, employers offering flexibility through telecommuting options have saved over $44 billion a year combined.While decentralization will continue to be a more sustainable and effective option for employers and employees alike, individuals who opt to pursue the route of telecommuting must prepare for the barriers of entry (...)

    #life-lessons #startup #self-improvement #remote-working #digital-nomads

  • Selfie is everywhere : tourist sites, events, political meetings... Does it an evolution of the self-portrait or a revealer of new social issues ? | Le selfie est partout : sites touristiques, concerts, meetings politiques… Est-il une évolution de l’autoportrait ou un révélateur de nouveaux enjeux de société ?

    https://sms.hypotheses.org/16374

    #selfie, #expression, #self-portrait, #social, #politic, #cultural, #tourist, #event

  • The Last of the Human Freedoms
    https://hackernoon.com/the-last-of-the-human-freedoms-f09025b6bef2?source=rss----3a8144eabfe3--

    One day, naked and alone in a small room, he began to become aware of what he later called “the last of the human freedoms” … — Stephen Covey describing Dr. Frankl’s Eureka! MomentWith his parents, his brother, and his wife already dead — victims of the lethal Nazi Regime — Dr. Viktor Frankl didn’t know whether he was going to live or die.Two years earlier, in 1942, US President Roosevelt finally agreed to enter the World War II. The Allied Forces, lead by Great Britain’s Winston Churchill, breathed a huge sigh of relief.Roosevelt finally gave in as a last-ditch attempt to rescue Europe from devolving into a Nazi Totalitarian Mega-State. After the war, Albert Camus — The Philosopher God who once believed life was absurd — revised his thesis. Life was absurd until evil came knocking. Then it made sense to (...)

    #functional-programming #self-improvement #clojure #complexity #free-will

  • 5 Common #coding Bootcamp Myths Busted
    https://hackernoon.com/5-common-coding-bootcamp-myths-busted-5c83856126a0?source=rss----3a8144e

    Examining myths about coding bootcamps and sharing a little evidence to the contrary.Sitting on tables. Challenging the status quo one day at a time. ©CodeworksEinstein once said: ‘ The measure of intelligence is the ability to change.’Coding is partly about changing the way you think, so let’s start now. Let’s question how we think about coding bootcamps.#Myth 1: You need to be a Maths or Science expert.For lots of people, coding seems to come with a misconception that you need incredible knowledge of Maths or Science. In fact, to get a job you need high technical abilities. Those can be learned whatever your background. No higher maths required. If you’re not sure that your skills or background will fit, we’ll help you find out. Codeworks’ rigorous application process involves a tech (...)

    #javascript #programming #codingbootcamp #self-development

  • Amazon’s #fba or Self-Fulfilment: Which one’s right for your business?
    https://hackernoon.com/amazons-fba-or-self-fulfilment-which-one-s-right-for-your-business-f4f8a

    Let me tell you a story, a story of two friends Jim and Kim who challenged each other to start their own business individually of selling ‘Laptops’ online.Both Jim and Kim had done their thorough research on ways to sell, where the market reaches more, how to manage their inventory, shipping partners, suppliers etc.So after all this research, as Kim’s family members were into online business, they suggested him to create and start selling on his own’s e-commerce website. Whereas on the other hand, Jim had a little or no idea about how to sell online, so instead of getting along with own online storefront, he was suggested to sell on a marketplace like Amazon.Now, here comes into the picture Amazon’s FBA (Fulfillment by Amazon) and Self-Fulfilment. Jim decided to start his business by (...)

    #self-fulfillment #fba-vs-self-fulfillment #amazon-fba #fulfillment-by-amazon

  • Five ways to overcome negative thinking
    https://hackernoon.com/five-ways-to-overcome-negative-thinking-3c697cbe2b98?source=rss----3a814

    Have you ever felt trapped in your own mind? Did you ever feel like your self-doubt is holding you back?A study shows that an astonishing 49 percent of entrepreneurs are suffering from at least one mental illness, such as ADD, ADHD, depression, bipolar disorder, anxiety or addiction, and about one-third of them struggle with more than one mental illnesses. If everything depends on yourself, the responsibilities can overtake you. I want to introduce you to five steps that will eliminate negative thinking, while also providing a basis for the manifestation of an energetic, positive mindset.Stop looking at the pastYou messed up, things didn’t go like you planned and you feel haunted by back luck. It happened. Get over it. Being aware of your deficits is important, constantly thinking about (...)

    #positive-thinking #mindset #self-improvement #positivity #entrepreneurship

  • The Integration of Smart #parking with Automated Technologies
    https://hackernoon.com/the-integration-of-smart-parking-with-automated-technologies-a73465e43c6

    If you’re a city dweller, you know that parking can be a nightmare. As if the traffic congestion wasn’t enough of an obstacle for arriving at your appointment on time, finding a suitable place to leave your car sometimes takes as long as the commute itself. And with the population of cities continuing to expand, this problem will only get worse without a new approach to this major dilemma.But wait — before we all throw up our arms in despair and move to the countryside, there’s a solution in sight.The integration of smart parking with automated technologies holds the promise of helping to solve the transportation challenges facing today’s cities. At DataArt, I’ve worked extensively with several clients to both reduce inefficiencies and improve parking convenience through advanced technological (...)

    #automotive #internet-of-things #iot #self-driving-cars

  • 8 Uncommon Hacks To Make A Great First Impression
    https://hackernoon.com/8-uncommon-hacks-to-make-a-great-first-impression-2d332f8ad728?source=rs

    Photo by rawpixel on Unsplash​If you’ve ever wondered how to make a great first impression you’re not alone.Here are a few messages from my readers who want to master first impressions.It’s okay if you’ve made some cringe worthy first impressions.Take this gem from my wife: A few years ago she was at her boss’ house for a party. ​She was joking around with some of her coworkers, who were on the other side of the room.She playfully extends her middle finger.At that PRECISE MOMENT her boss’ father turns around and intercepts the middle finger. ​I imagine that space and time slowed down while my wife watched him go through different emotions:Confusion, disbelief, denial, shock, sadness, and finally disdain.After the fabric of reality had stabilized, he looked away while saying “How RUDE.”This story (...)

    #self-improvement #personal-development #communication #hackernoon #life-hacking

  • Is the World Ready for #self-driving cars?
    https://hackernoon.com/is-the-world-ready-for-self-driving-cars-bf41523f993a?source=rss----3a81

    The self-driving Audi R8 is a car model produced by Audi and owned by Tony Stark. It first appeared in Avengers: Age of UltronSelf-driving cars are prowling the streets of California, Paris, London, Singapore and Beijing. Intel says, that the driverless tech will add $7 trillion to the global economy and save hundreds of thousands of lives in the next few decades. Also, it will devastate the car industry and its associated gas stations, drive-thrus, taxi drivers, and truckers.Some people will benefit. Many will damage.This article takes a look at the #future of self-driving cars. But first, let’s look at exactly what a driverless car is.What is a Self-driving Car? And How Does It Work?A self-driving car, also known as a robot car, autonomous car, or driverless car, is a vehicle that is (...)

    #self-driving-cars #automotive-industry #automotive

  • WorkLife — You Need Balance
    https://hackernoon.com/worklife-balance-2771b0f9deef?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Work-Life — You Need BalanceWhy is it an essential factor in a career choice?The so-called experts would tell you to #work hard until you’re 60 so that you can chill for the rest of your life. It was not a straightforward suggestion from a specific person, but I heard the same old story from various people at various points in my life.When I was in school, my mom encouraged me to work hard and get good scores in 10th and 12th grade. I didn’t chill at all during those two years. The pressure from family and school kept me occupied. I went through it without a second thought only to find out that nothing changes in college.Now you start running for grades, again. This time not just for two years but four. Along with that, you had to learn skills that will get you a job. Guess what?! Those CPGAs (...)

    #work-life-balance #personal-development #development #self-improvement

  • How To Write Unreadable CVs
    https://hackernoon.com/how-to-write-unreadable-cvs-54cae79013a8?source=rss----3a8144eabfe3---4

    A homage to How To Write Unmaintainable Code.Or: The Worst 9 Pieces of Advice for Writing a CV.General PrinciplesTo cause the reader of your CV to despair, you need to understand how the recruiter thinks. May it be the HR personnel, or your technical future colleague, their goal is to hire smart, competent professionals, who will be successful at the job they are recruiting for.To make them think you are NOT that person, you need to make it as hard as possible for them to see your great achievements.Specific TechniquesLie in your CV. You don’t have to actively lie, just fail to mention achievements and significant milestones. For example, if in your first industry position your title was junior developer for the first two years and then you were considered the Tech Lead of your team, (...)

    #self-improvement #software-development #career-advice #job-hunting #humor

  • 6 Hobbies Programmers Can Participate in to Promote Relaxation
    https://hackernoon.com/6-hobbies-programmers-can-participate-in-to-promote-relaxation-d87a34643

    Pexels.comProgramming can be exciting and it can also be stressful. As a programmer you spend a lot of time in front of a computer. To help with stress and relaxation, here are six hobbies you can participate in that will help you relax.1. Take music lessonsLearning to play a musical instrument can be both relaxing and rewarding. It will help keep your fingers nimble and your brain agile. Not only will you have fun learning something new, you could join a band or an orchestra and enjoy time with other people who like music. Playing a musical instrument will help with stress relief. You can escape your stress by getting into the music you are playing.2. CookingTake time to learn how to cook. Cooking can be a major stress release. You are involved in creating something from scratch that (...)

    #developer #stress-relief #relax #programming #self-improvement

  • Self #testing for Solo Devs
    https://hackernoon.com/self-testing-for-solo-devs-d3f9e7ae03b4?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Nothing can substitute a great team. But a real warrior has to be able to rely on thyself if needed.A few people nowadays, work on a team of one.People that are subject matter experts and the very best on their fields (and I am the last human on earth who can give them any professional advice).People that have just founded, solo, their own company (or their company partners are not technical).Or people who work always remotely, and in a vastly different time zone compared to the headquarters, where getting help from other colleagues might be difficult.Testing your work, the broccoli of day-to-day software engineering.The first skill I can think of, that we all need to pay attention to, is to test our own dev work, more effectively. #qa guys are great, but you work together on this case, (...)

    #code-quality #self-testing #solo-devs

  • La visibilité des anonymes. L’accès des images amateur à l’espace public.

    Un symptôme flagrant du nouveau statut des productions vernaculaires est la multiplication des formes d’autocensure qui accompagnent l’exposition de soi. L’exemple le plus emblématique, en contradiction avec les principes de la manifestation publique, a été la dissimulation systématique des identités par le mouvement étudiant français du printemps 2018. La célèbre séquence de la Commune de Tolbiac, autoprésentation parodique de trois portes-parole masqués, en compagnie du chien Guevara, illustrait une attitude de défiance, justifiée par la montée des violences et la réponse repressive des forces de l’ordre.

    Le recours à une éditorialisation de la photo pour masquer certaines informations manifeste donc une compréhension au second degré de l’image, qui témoigne de la conscience de son exposition publique.

    On notera que contrairement à l’idée reçue, cette modification ne fait pas perdre à l’image sa valeur documentaire. Au contraire : la mise en retrait d’une information fonctionne comme une attestation de l’authenticité de la scène enregistrée, comme c’est le cas dans les reportages d’information en caméra cachée.

    Comme l’illustre la revendication des minorités d’accéder à la sphère publique, la visibilité est un combat. La présence dans l’espace social installe de nouvelles normes, de nouvelles façons de voir. Un grand nombre d’entre nous peut aujourd’hui contribuer à le remodeler.

    Analyse de l’image sociale par André Gunthert : http://imagesociale.fr/6657

    #image #photo #photographie #representation #sociale #autoportrait #selfie #documentaire #documentation #temoignage #controle

  • How to Build Your Personal Brand Like General George S. Patton
    https://hackernoon.com/how-to-build-your-personal-brand-like-general-george-s-patton-1556235622

    If you want to be more memorable BUILD yourself into a symbol.In business they call it a brand. BORING!In politics they may label you a caricature. INSULTING!Whereas symbols are the stuff of superheroes…“As a man, I’m flesh and blood, I can be ignored, I can be destroyed; but as a symbol… I can be incorruptible, I can be everlasting.” — BatmanAnd few men have become as much of a symbol as General George S. Patton Jr.“Though I may walk in the shadow of death, I will fear no evil, for I am the meanest motherf*cker in the valley.” — PattonBecome a symbol by marching to the beat of Patton’s steps…1) What do you want? / Who do you want to be?Since Patton was a boy he loved reading about the great heroes and battles of #history and like most boys he saw himself between the lines.“By perseverance, study, and (...)

    #become-a-symbol #george-s-patton-jr #self-improvement #psychology