Nous vouloir le pouvoir, Nous pouvoir le vouloir - Les fugitifs
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6617
Tract beau de 1995.
Nous vouloir le pouvoir, Nous pouvoir le vouloir - Les fugitifs
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6617
Le « modèle allemand » ou comment s’obstiner dans l’erreur
►http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2013-05-05-allemagne
Rapport après rapport, les données économiques viennent contredire les politiques d’austérité imposées aux pays européens par l’#Allemagne, la BCE et la Commission européenne. Et pourtant, rien ne change. / Allemagne, #Europe, #France, #Grèce, #Banque, Économie, #Finance, #Crise_économique, Crise (...) / Allemagne, Europe, France, Grèce, Banque, Économie, Finance, Crise économique, #Crise_financière - La valise (...)
A comparer avec l’édito du jour du Monde , pour mesurer l’ampleur du décalage... (combien de @seenthis faudrait-il pour ne serait-ce que fissurer l’#hégémonie ?!) cc @pguilli
« Le courage, la ténacité et la pédagogie, c’est maintenant ! »
▻http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/05/06/editorial-le-courage-la-tenacite-et-la-pedagogie-c-est-maintenant_3171456_32
Ce #socialiste a fait des choix difficiles, inédits pour un président de gauche : le « sérieux » budgétaire et financier, le tour de vis fiscal plutôt que les largesses de la dépense publique, le compromis avec les marchés, la discipline européenne, l’adaptation de la compétitivité nationale aux contraintes mondiales, bref l’effort avant le réconfort.
Et hier, sur TF1, Ayrault a quand même déclaré :
Il n’y a pas d’#austérité, ça c’est une invention de #propagande.
(Source : La 12:15 du QVM toujours)
En 1995...
▻http://seenthis.net/messages/136972
voir aussi : Les éditocrates au secours d’Angela Merkel
▻http://www.acrimed.org/article4066.html
CIP-IDF > Occupation du 260 rue des Pyrénées : décider collectivement et de manière égalitaire ce qui est bon pour nous.
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6237
►http://paris20.noblogs.org
C’est la crise, partout on nous le dit et tous les jours on la ressent. Mais pour certains ça fait longtemps que c’est la crise, la crise du quotidien : s’entasser dans un logement trop petit et insalubre, se faire expulser parce qu’on a perdu son taf, prendre un crédit revolving parce qu’on est sans sous dès le début du mois, courir dans les transports en communs pour aller faire 2 heures de boulots par-ci par-là pour un quart de SMIC, se faire enlever ses enfants parce qu’on a nulle part où habiter, se faire refuser une demande de HLM parce qu’on est sans-papiers, se faire radier du Pôle emploi et perdre ses allocations, ne plus pouvoir faire les courses dans son quartier parce que les commerces deviennent toujours plus chers et plus chics, se faire contrôler chez soi par un agent de la CAF [2] et devoir se justifier d’arriver à survivre .
Face à cela des collectifs de mal logés, de chômeurs, de précaires, des collectifs contre la restructuration urbaine et contre les expulsions agissent, pour certains depuis plusieurs années, pour arracher des droits, arracher des logements, empêcher des expulsions. Depuis quelques mois ces collectifs ont décidés de se coordonner au sein d’une assemblée [3]. Cette assemblée est ouverte à tous et toutes, à tous les mal logés enragés, expulsés d’ici et d’ailleurs, squatteur-euses, à tous ceux qui se sont déjà fait couper l’électricité ou les allocations, ceux qui en ont marre de claquer leurs salaires pour un petit appart’ humide, aux étudiants en mal de bourse et aux jeunes interdite RSA [4]
Il s’agit de se réunir pour trouver les moyens collectifs de résoudre directement nos problèmes, de s’auto-organiser c’est à dire décider collectivement et de manière égalitaire ce qui est bon pour nous. Pour l’instant les actions coordonnées se sont centrées sur le logement : occupations de bailleurs sociaux, de mairies et autres lieux de pouvoir, dépôts de liste de demandeurs HLM, obtention d’avis de passage de demandes HLM pour les sans-papiers... mais nous comptons bien ne pas en rester-là et dans le temps arracher collectivement les moyens de se loger, de s’organiser, de vivre et de lutter.
Nous ne sommes pas seuls, à Toulouse depuis des mois des mal logés, squatteurs et travailleurs sociaux s’organisent pour occuper des bâtiments vides. Les habitants du CREA (collectif pour la réquisition, l’entraide et l’autogestion) [5] menacés d’expulsion ont engagé une grande bataille pour défendre ce lieu. Là-bas, en Grèce ou en Espagne les plans d’austérité réduisent à la misère des milliers de personnes qui du jour au lendemain ne parviennent plus à subvenir à leurs besoins immédiats, mais la résistance s’organise à travers l’occupation de bâtiments vides, des assemblées de quartier, des cantines populaires, le refus collectif de payer des factures... organisons-nous, défendons nous Ne restons pas seuls !
Assemblée tous les dimanches à 17 heures au 260, rue des Pyrénées, métro Gambetta
Rendez-vous action jeudi à 12h30 devant le go sport à République
Contact mel : mallogesacharnes [at] riseup.net
Salaud d’argent - Film à venir de Boris Faulkner (CIP-IDF)
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=5809
Au sein de la coordination des intermittents et précaires d’île de France, s’est constitué en 2004, un groupe, le groupe Boris Barnet. Il s’agissait, notamment, de questionner le cinéma depuis un espace de lutte et de fabriquer du commun. Ce qui était ainsi en jeu n’était pas la découverte d’un cinéma engagé, ni l’analyse de son histoire, mais la question : à quoi engage le cinéma ? Avec, comme postulat, qu’il engage autant celui qui regarde que celui qui fabrique, et que regarder des films ensemble, c’est comme en faire. De fait, ce groupe a pendant plusieurs années « fait » du cinéma en montrant et en regardant ensemble des films. Un jour, quelques membres du groupe Boris Barnet rencontrent un texte et décident à partir de cette lecture de faire du cinéma en réalisant collectivement un film. Le texte est un extrait du roman « Les Palmiers Sauvages » de William Faulkner. Le film se fera dans le cadre d’une recherche sur les enjeux de la précarisation et les droits sociaux. Le film sera en 16 mm noir et blanc. Source : CIP-IDF
Salaud d’argent - Que ma langue s’attache à mon palais
▻http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=8545
Salaud d’argent (Que ma langue s’attache à mon palais) est une fiction en 16mm noir et blanc tournée entre 2008 et 2014 dans le bâtiment occupé par la coordination des Intermittents & précaires d’Île-de-France et ses entours. Ce #film a été conçu et interprété par des protagonistes de cette coordination, qui fut expulsée.
La fable de ce film-essai, extraite de la littérature américaine, se déroule en 1938, dans un café à proximité de la gare de Chicago. Il y est question du récit d’un départ soudain et définitif qui doit s’effectuer dans les 22 minutes, temps nécessaire à une explication.
Nous sommes en 2008 dans le XIXe arrondissement de Paris, lorsque commence le tournage. C’est la crise dite des « subprimes » et nous savons que le lieu qui nous abrite est voué à une proche démolition.