Cahiers de Narratologie, no31 bis, Espace du récit, récit de l’espace en contexte germanique
▻http://www.fabula.org/actualites/numero-special-31-bis-2017-des-cahiers-de-narratologieespace-du-recit-recit-
#récit #espace #territoire_allemand
Cahiers de Narratologie, no31 bis, Espace du récit, récit de l’espace en contexte germanique
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#récit #espace #territoire_allemand
Neuvième Art 2.0 : dossier Dominique Goblet
▻http://www.fabula.org/actualites/neuvieme-art-20-dossier-dominique-goblet_80237.php
Auteure de livres et artiste de galerie, la dessinatrice belge Dominique Goblet est rare dans tous les sens du terme. Trois études sondent la profondeur d’une œuvre souvent bouleversante, à nulle autre pareille dans le paysage de la bande dessinée contemporaine
Guy Debord, satiété du spectacle
►http://next.liberation.fr/livres/2015/12/23/guy-debord-satiete-du-spectacle_1422654
« Guy Debord n’a pas été capable d’appliquer dans sa vie les principes qu’il revendiquait en théorie »
Pour la sortie de ce livre j’ai vu des phrases fort peu élogieuses sur cet Apostolides, mais je n’arrive plus à retrouver où c’était. Sur un site ou blog anar-situ ou un truc comme ça je crois.
Vu l’entreprise échaffaudée par le monsieur, et ses sources, ce n’est pas très étonnant que quelques idolâtres de Debord ne soient pas ravis. Perso, je classe le livre dans les #to_read et on verra plus tard.
L’autre partie du jeu, prolongation du découpage, consiste à s’approprier des personnages « qu’il intègre à son noyau psychique intime afin de créer ce qu’il appellera plus tard un moi mythologique ». Ainsi s’est-il bâti, avance Apostolidès, un « moi mythologique », fait d’absorptions, de récupération, d’emprunts à des personnalités comme Lautréamont, Fu Manchu, Saint-Just… Leur origine ne compte pas. « Debord ne lit jamais un livre pour lui-même, il ne voit jamais un film pour comprendre l’univers fictif d’un artiste. Chaque œuvre est appréciée en fonction de sa capacité d’enrichir le moi mythologique. » Ce qui compte, c’est ce qui est produit, à travers les détournements, les sédimentations et qui édifie une image pour les autres et une œuvre originale. C’est aussi une façon de ne pas prendre la société au sérieux et d’avoir prise sur elle.
Cette façon de faire présentée comme une tare, m’apparaît au contraire comme une façon très saine de faire et de vivre. Mais j’ai bine compris que ce n’était pas le seul reproche qu’Apostolidès faisait à Debord, mais j’y vois quand même beaucoup une histoire de point de vue, le bien d el’un pouvant devenir le mal de l’autre.
Entre le propos radicalement non-comprenant d’un auteur charognard comme Apostolidès, et celui d’un authentique révolutionnaire défendant son passé et son héritage, (qui, au détour d’un jubilatoire démontage du premier, ne manque pas de donner à voir, comme tant d’autres, combien un vrai révolutionnaire de ce temps là se doit aujourd’hui de trébucher lourdement sur la « gender theory » et de ne pas comprendre que les mœurs de son temps, y compris les siens, ou d’autres plus anciens soient critiquables et critiqués :
C’est bien anti historique que de juger à la lumière sinistre du « #politically_correct » ou de la « #gender_theory » le siècle précédent, ou la position radicalement conflictuelle qui nous animait. Si Apostolidès lisait la riche correspondance de Machiavel, où il est lourdement question de femmes et de pédérastes, de pédophiles et de prostituées, etc., de la vie telle quelle en fait, il serait bien scandalisé, et il écrirait un gros tome pour nous avertir que Machiavel n’était pas « un grand homme ». On le laisse volontiers à ses opinions adipeuses et poisseuses, mais elles ne nous instruisent que sur lui-même.
)... il me semble heureusement y avoir largement la place pour une critique actuelle .
Ne serait-ce que parce que la vie du temps de Machiavel, comme lui-même la raconte (pour ma part, avoir lu la correspondance de Machiavel ne m’a pas fait mépriser l’homme, quoi que j’ai pu penser de ce qu’il relatait), pas plus que la vie de quelque autre temps n’a jamais été cette étonnante fiction idéale d’une « vie telle quelle » à propos de quoi il n’y aurait rien à dire : sinon regretter sa disparition et conspuer, en son nom, quiconque y ose porter le fer.
Il faut donner à César ce qui est à César, et à Brutus ce qui est à Brutus : il faut reconnaître que sans la théorie du spectacle élaborée par Debord ce monde resterait parfaitement incompréhensible et incertain, comme ceux qui le dominent voudraient qu’il soit, et comme il le reste effectivement pour Apostolidès.
Le passage qui suit immédiatement la pauvre sortie de Sanguinetti contre la « théorie du gender » et le « politiquement correct » (sans s’apercevoir de combien il s’abaisse ainsi) peut aussi bien se détourner : il faut reconnaître que sans le mouvement féministe et la théorie du genre qui en est issue, le monde de Machiavel, avec ses pédérastes, ses pédophiles et ses prostituées, comme celui des situationnistes resterait parfaitement incompréhensible et incertain : comme les hommes qui le dominaient et le dominent encore voudraient qu’il le soit, et comme il le reste effectivement pour Sanguinetti. A qui, dans l’affaire, la balourdise d’un Apostolidès s’avère ici bien opportun.
Ajoutons à cela que, dans le discours de ces dominants, l’existence du genre et l’espèce d’ incertitude (en quel terme ces choses-là sont elles dites !) qui en résulte pour la part non-masculine de l’humanité se nomme benoîtement « la vie telle qu’elle est ».
Avoir été de leur temps particulier n’enlève pourtant rien ni à Machiavel, ni à Debord, ni à Sanguinetti, ni à Bernstein ni aucun révolutionnaire vieillissant.
Mais personne ne peut être meilleur que le sien, ni même se croire à l’abri d’une critique postérieure, qu’ellil ne saura comprendre.
Kafkaweb (11)_Séverine Danflous lit Le Souci du père de famille
▻http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article3225
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Kafkaweb 2010-2015 et au-delà
#Kafkaweb_2010-2015_et_au-delà
« ▻http://www.fabula.org/actualites/s-danflous-ecrire-la-faim-franz-kafka-primo-levi-paul-auster_66487.php »
#livre
M. Dambre (dir.), #Mémoires occupées. #Fictions françaises et #Seconde_guerre_mondiale
Soixante-dix ans après la fin des hostilités, les tragédies et les questions liées à la Seconde Guerre mondiale continuent d’occuper les esprits et la culture, la création et le commentaire. Certaines de ces productions contestent des vérités admises, et jusqu’à la possibilité d’un accord. Des spécialistes d’origine et d’institutions très diverses sont réunis ici pour étudier un corpus qui va de l’après-guerre à nos jours, de Maurice Bardèche à Armand Gatti, couvrant tous les genres littéraires ainsi que les arts du spectacle. Se sont joints à ces chercheurs l’historien Henry Rousso, les écrivains Laurent Binet, Pascal Bruckner et Yannick Haenel.
Loin de l’unanimité souvent trompeuse, les points de vue peuvent différer, ou diverger radicalement. Trois axes successifs relancent le débat et l’ordonnent : les hantises et recompositions imposées par le traumatisme, les écritures de l’Histoire aux prises avec la fiction, les implications et engagements suscités par l’événement.
▻http://www.fabula.org/actualites/m-dambre-dir-memoires-occupees-fictions-francaises-et-seconde-guerre-mondial
#WWII #France #Deuxième_guerre_mondiale #littérature
Call for paper: Consuming the Actress / L’Actrice, le corps en spectacle (circ. 1850 – 1927)
▻http://www.fabula.org/actualites/call-for-paper-consuming-the-actress-l-actrice-le-corps-en-spectacle-circ-18
Call for papers for a special issue of European Drama and Performance Studies, to be published by Classiques Garnier, second semester 2015.
In the second part of the nineteenth century new shows developed across Europe such as the “Pièces à femmes” in France (Piana[2], Yon[3]) and the Victorian Burlesques in Great Britain (Stedman[4], Davis[5], Marshall[6]). In the 1860s they achieved wide popularity by being adapted on the US stage through the Variety show (Allen[7]) and lasted as a model of comic and sensual entertainment beyond the first part of the twentieth century (Shteir[8], Zeidman[9], Briggeman[10]). Music Halls and Cabarets went against common decency to attract new consumers, inspiring the actress stereotype in novels (Jouanny[11], Gengembre[12]) and creating a link between disorder, hysteria and female gender (Nesci[13],). Provocative gestures, sensual appeal on stage, teasing and obscene dances, particular ways of dressing and subversive staging impacted upon and interacted with consumption of goods, material culture, national trends and ideological changes during a period of time which was characterized by the rise of the Newspapers Era (Therenty[14], Vaillant[15]) and Media culture (Pinson[16]); cultural transfers within Europe (Charle[17], Yon[18]) and between Europe and the United States; and which ended up with the culmination of Modernism and the women emancipation movement.
This special issue examines the theatrical and cinematographic responses given by the artists and the Industry to audiences aiming to socialize by slumming it in popular districts or places, from the mid-nineteenth century (first music-halls, cabarets and later Variety theatres in Europe) to the end of the silent film era in 1927 (when The Jazz singer, the first talkie was released), especially with the use of the female body as a spectacular form of entertainment. However, the research will not study the performer as reduced to her sole body but will also explore her in a broader context, in particular the way in which she became a leading figure by fashioning society’s tastes, marketing herself and controlling her image in the media, and finally by playing a new role in society at a time when feminism was gaining an audience.
De quel sceau infâme sont frappées nos « démocraties représentatives » ? Quelles sont les « vertus » du mensonge en politique ?
Christian Salmon, Storytelling. La Machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits
►http://www.fabula.org/actualites/christian-salmon-storytelling-la-machine-a-fabriquer-des-histoires-et-a-form
Storytelling. La Machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits
►http://www.lekti-ecriture.com/contrefeux/Le-nouvel-ordre-narratif.html
Des grands mythes du passé au roman moderne, la fonction des récits a toujours été d’explorer les conditions d’une expérience possible – les nouveaux rapports au corps, au temps et à l’espace –, d’inventer comme le disait Deleuze un « peuple qui manque ».
►http://www.fabula.org/revue/document3931.php
« Hold-up sur l’imaginaire ». C’est par ces mots que s’achève l’introduction du livre de Christian Salmon, qui dénonce l’arrivée en France du storytelling, cet art de raconter des histoires. Celui-ci prend acte de l’importance structurante du récit pour l’expérience humaine en s’inspirant, d’une façon qu’ils n’auraient pu prévoir, de Ricœur ou de Barthes ...
• André Chabot : la mort et les cimetières
►http://andrechabot.com
Specialiste des cimetières et de l’art funéraire.
• Un rituel sans images
►http://culturevisuelle.org/viesociale/3882
La participation à un enterrement vient de me donner l’occasion de réaliser qu’il s’agissait d’un rituel sans images, et en particulier sans photographies. Contrairement à la plupart des rituels qui scandent la vie depuis la naissance, tous copieusement photographiés, les obsèques se déroulent sans que personne ne sorte d’appareil photo. Du moins les obsèques des gens ordinaires.
• La mort et le corps dans les arts aujourd’hui
►http://www.fabula.org/actualites/la-mort-et-le-corps-dans-les-arts-aujourd-hui_17004.php
La mort, tant charnelle que spirituelle, représente un thème central de la littérature et des arts depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Aujourd’hui les artistes contemporains l’abordent soit au travers de métaphores, de métonymies, par la représentation de rites liés à ce phénomène, soit, frontalement, par la mise en scène de cadavres ; à travers leurs oeuvres, ils interrogent nos pratiques et représentations - notre rapport social à la mort, que la société actuelle tente de réduire à un simple fait individuel -. Il apparaît que le traitement de la mort est indissociable du traitement du corps martyrisé, transformé, violenté ou sublimé.
F. Pessoa, Commerce et civilisation
►http://www.fabula.org/actualites/fernando-pessoa-commerce-et-civilisation_53813.php
« L’homme croit qu’il est un animal rationnel. Il l’est peut-être, peut-être pas : la psychologie scientifique conteste l’importance et la prépondérance de la raison dans la vie de l’individu. Ce sont, dit-elle, les instincts, les habitudes, les sentiments et les émotions qui mènent vraiment l’homme ; la raison ne sert qu’à traduire à la volonté ces impulsions subrationnelles. Mais, du fait même que l’homme se considère comme un être essentiellement rationnel, il se trouve que la raison revêt dans sa vie une réelle importance, bien qu’indirectement. Or une des tâches abstraites de la raison est de formuler des préceptes, des maximes ou des normes intellectuelles pour la conduite de la vie, en général ou en particulier. Les préceptes sont de trois ordres : nous les appellerons 1) préceptes moraux, 2) préceptes rationnels, 3) préceptes pratiques. Les préceptes moraux nous disent ce que nous devons faire pour être en paix avec notre conscience. Les préceptes rationnels nous disent ce que nous devons faire pour être en règle avec notre vie. Les préceptes pratiques nous disent ce que nous devons faire pour satisfaire nos ambitions. »
C. Castoriadis, Ecrits politiques, 1945-1997
►http://www.fabula.org/actualites/c-castoriadis-ecrits-politiques-1945-1997_52626.php
Cornelius Castoriadis, La Question du mouvement ouvrier. Écrits politiques 1945-1997
Éd. Enrique Escobar, Myrto Gondicas, Pascal Vernay
Paris, Éditions du Sandre, 2012
2 tomes, respectivement 416 et 574 p., 32 € le volume.
Economiste, philosophe, psychanalyste, Castoriadis fut tout cela, certes, mais les textes rassemblés ici n’ont de rapport que très indirect avec la production ordinaire des praticiens de ces trois disciplines. Ils n’entretiennent, soulignons-le, aucun rapport avec la « politologie », la « sociologie » ou la « soviétologie ». A vrai dire, il semblerait que nous ne disposions plus de mot immédiatement intelligible pour désigner ceux qui réfléchissent sur la société et veulent, en dehors de tel ou tel cadre établi, l’influencer de façon plus ou moins directe. C’est pourtant ce que faisaient très exactement, parmi tant d’autres, les auteurs du Prince, du Deuxième traité du gouvernement civil ou du Manifeste communiste. Dans ces oeuvres, nous ne voyons plus désormais que des « classiques » de certaines disciplines, de leur préhistoire plutôt, puisque celles-ci seraient parvenues de nos jours à une mystérieuse maturité. Mais on oublie en général que si ces ouvrages ont valu à leurs auteurs d’entrer dans des traités universitaires et savants, c’est, pour ainsi dire, faute de mieux : ils auraient préféré de beaucoup gagner d’autres batailles. Celles, justement, qui les poussèrent à prendre la plume. Ecrivain politique est sans doute le terme le plus juste pour ce genre d’auteurs, du moins pour une partie de leur oeuvre, et c’est également celui qui convient le mieux à Castoriadis.
L. Collet et la prime des présidents | Histoires d’universités
►http://blog.educpros.fr/pierredubois/2012/05/18/l-collet-et-la-prime-des-presidents
Il n’empêche que la nomination de Lionel Collet comme directeur de cabinet me laisse songeur. Dans son université en tant que président puis en tant que président de la CPU, il a appliqué la LRU, le passage aux responsabilités et compétences élargies, les investissements d’avenir, et ce sans sourciller. Il doit donc répondre à une autre question : “Lionel Collet, êtes-vous partisan de l’abrogation de la LRU, de son titre qui concerne la gouvernance des universités, ou ne comptez-vous que la modifier à la marge ?”
Lionel Collet a été nommé directeur de cabinet de Geneviève Fioraso, au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Voir aussi sur le même sujet, l’article de fabula
►http://www.fabula.org/actualites/lionel-collet-directeur-de-cabinet-de-genevieve-fioraso-slr-19-05-12_51178.p
et celui de SLR (Sauvons la recherche) :
►http://sauvonslarecherche.fr/spip.php?article3688
Hermès typographe : Les dispositifs typographiques et iconographiques comme instruments herméneutiques (XVIe-XVIIIe s.)
►http://www.fabula.org/actualites/hermes-typographe-les-dispositifs-typographiques-et-iconographiques-comme-in
Le recours à des dispositifs typographiques particuliers est une habitude très ancienne de l’exégèse, surtout dans les manuscrits – puis les éditions – qui juxtaposaient des commentaires différents. Cette prégnance de la forme est particulièrement frappante dans la tradition islamique qui, sacralisant l’écriture, prête une attention particulière aux effets graphiques et donne parfois au texte forme de dessin.
#typographie via @vjeanneperrier
Coca-Cola accused of propping up notorious Swaziland dictator | World news | guardian.co.uk
►http://www.guardian.co.uk/world/2012/jan/02/coca-cola-accused-swaziland-dictator
With a fortune of about $100m (£64m), he presides over one of the worst-off countries in the world, with most people living in absolute poverty. Political parties are banned and activists are regularly arrested, imprisoned and tortured.
#Coca-Cola says that Mswati III does not receive any profits or dividends from its #Swaziland operation, its biggest in Africa. But some activists estimate that Coca-Cola, the world’s biggest beverage company, contributes as much as 40% of the country’s GDP. The company admits it cannot account for how the money it pays in taxes is used by the Swazi government.
Pour allez dans le sens de ton article voici une image que j’ai trouvé et qui pourrait faire tendre à croire que Coca-Cola ne recule devant rien pour faire la promotion de ses produits.
Je l’ai trouvé ici :
►http://thesignsdocument.over-blog.com/pages/cocacola_finance_larmee_disrael-2826818.html
Je ne garanti pas que cette image ne soit pas un montage, tellement c’est gros. Étant donné qu’il s’agit d’un très ancien logo de Coca-Cola, c’est peut-être vrai après tout.
Coca-Cola sur le dôme de la mosquée entouré de soldats Israélien.
Elle dit « Nous nous déplaçons à un nouvel endroit », « Bois Coca-Cola et supporte Israël », « En supportant les produit américains, tu supportes Israël ».
Pendant ce temps... :)
►http://www.fabula.org/actualites/appel-a-candidatures-pour-un-prix-en-sciences-humaines-et-sociales_48639.php
L’Observatoire du Bonheur lance un appel à candidatures pour un prix en Sciences Humaines et Sociales dont le thème est : le bonheur comme enjeu de culture et de société.
Les postulants doivent être inscrits en doctorat en Sciences Humaines et Sociales au moment du dépôt du dossier*
Dotation : 1 prix de 15 000 Euros
Informations et règlement sur : www.coca-cola-france.fr
►http://www.coca-cola-france.fr/notre-activite/l-observatoire-du-bonheur/l-observatoire.html
Avec cette initiative, Coca-Cola renouvelle son engagement en faveur du bonheur. L’objectif à terme : mieux comprendre le bonheur… pour toujours mieux l’apprécier.
« Alliot-Marie fait taire les chercheurs français en Egypte », Médiapart, 04/02/2011
►http://www.fabula.org/actualites/alliot-marie-fait-taire-les-chercheurs-francais-en-egypte-mediapart-04-02-20
#egypte #mam #censure #revolution