Villes en transition | Accueil

http://villesentransition.net

  • D’ »incroyables comestibles » et des #potagers en #partage | Une Année en France
    http://crise.blog.lemonde.fr/2012/12/17/des-incroyables-comestibles-et-des-potagers-en-partage

    Ce soir pluvieux de décembre, ils sont une dizaine à se retrouver autour d’un verre pour discuter de la mise en place du projet. Chacun se présente : on est « ami » sur Facebook mais pas encore dans la vie ! Il y a là de vieux baroudeurs de la cause écologiste et des mouvements alternatifs, mais aussi des novices, comme Sandra Bacot, 32 ans, institutrice. « J’aime l’idée de voir le jardin comme quelque chose d’utile et pas seulement pour son petit bonheur personnel » confie-t-elle. Elle écoute, attentive, les plus expérimentés lui expliquer des techniques qui vont permettre de planter des légumes pour un investissement minimum en temps et en euros, des solutions écologiques bien sûr. Elle découvre ainsi l’échange de graines (lire sur ce blog : Jardinier résistant échange graines de laitues contre plants de tomates) ou la « permaculture ».

    Doucement la conversation devient débat sur la marche du monde. « Le composte, l’échange de graines, le potager... Quand on parle de cela avec nos grands-mères, elles nous disent qu’on a rien inventé, parce qu’elles faisaient tout ça ’avant’. Mais pourquoi ont-elles arrêté ? » s’interroge Christine Brulavoine, 42 ans, assistante de direction.

    #jardinage

  • http://transitionculture.org
    http://villesentransition.net

    Le mouvement de Transition est né en Grande-Bretagne en septembre 2006 dans la petite ville de Totnes. L’enseignant en permaculture Rob Hopkins avait créé le modèle de Transition avec ses étudiants dans la ville de Kinsale en Irlande un an auparavant. Il y a aujourd’hui des centaines d’Initiatives de Transition dans une vingtaine de pays réunies dans le réseau de Transition (Transition Network).

    La Transition en question est le passage « de la dépendance au pétrole à la résilience locale ». Les populations locales sont invitées à créer un avenir meilleur et moins vulnérable devant les crises écologiques, énergétiques et économiques qui menacent en agissant dès maintenant pour :
    – réduire la consommation d’énergie fossile ;
    – reconstruire une économie locale vigoureuse et soutenable et retrouver un bon degré de résilience par la relocalisation de ce qui peut l’être ;
    – acquérir les qualifications qui deviendront nécessaires.

    [...]

    http://www.nantesentransition.net