C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre la mort de Bruno Barbey... Bisous à la famille...
▻https://www.magnumphotos.com/newsroom/bruno-barbey-1941-2020
▻https://pro.magnumphotos.com/C.aspx?VP3=CMS3&VF=MAGO31_10_VForm&ERID=24KL53Z82A
C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre la mort de Bruno Barbey... Bisous à la famille...
▻https://www.magnumphotos.com/newsroom/bruno-barbey-1941-2020
▻https://pro.magnumphotos.com/C.aspx?VP3=CMS3&VF=MAGO31_10_VForm&ERID=24KL53Z82A
Celle-là, c’est mon fils qui l’a choisie...
Mort de Bruno Barbey, reporter coloriste
▻https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/11/10/mort-de-bruno-barbey-reporter-coloriste_6059263_3246.html
Figure de l’agence Magnum, le reporter, tôt passé à la couleur, a photographié tous les grands conflits pendant cinquante ans, même s’il préférait capter les lumières de son Maroc natal. Il est mort le 9 novembre à l’âge de 79 ans.
Bruno Barbey: Disappearance of a photographic great
▻https://www.global-geneva.com/bruno-barbey-disappearance-of-a-photographic-great
As a Moroccan-born French-Swiss photojournalist focusing on global themes that sought to document conflict and celebrate beauty ranging from May ’68 in Paris and Solidarność in Poland to China, India, Burma and Korea, Bruno Barbey ranked among the best alongside Robert Capa, Henri Cartier-Bresson, Steve McCurry, Cindy Sherman, Sebastao Salgado, David Burnett, Catherine Leroy, Don McCullin, Marc Riboud… His death on 9 November, 2020 at the age of 79 has left a poignant gap. We have asked some of his friends and former colleagues to comment on this exceptional “recorder of disappearing history and life” as Barbey, a long-time member of the renowned Magnum photo agency, once phrased it.
Bruno Barbey, Magnum Photographer of War and Peace, Dies at 79
▻https://www.nytimes.com/2020/11/16/arts/bruno-barbey-dead.html
He was “a formidable visual architect” who captured the streets of Paris during the violent demonstrations in 1968 and documented the human experience in other parts of the world.
Bruno Barbey obituary
Monday November 30 2020
▻https://www.thetimes.co.uk/article/bruno-barbey-obituary-bvf6kc35m
Magnum photojournalist who captured communities in the throes of change, most famously the 1968 student riots in Paris
David Cronenberg : « Parfois vous êtes déshabillé, parfois pas, mais émotionnellement vous êtes toujours nu » - Culture / Next
▻https://next.liberation.fr/images/2020/07/10/david-cronenberg-parfois-vous-etes-deshabille-parfois-pas-mais-emoti
A l’occasion de la sortie en salles d’une magnifique restauration numérique de « Crash », conversation avec le cinéaste, qui revient sur son chef-d’œuvre adapté du roman de J. G. Ballard, le scandale qui accompagna sa sortie, son expérience de la pandémie et sa vision du futur.
On me demande parfois si j’ai fait Crash par passion pour les voitures et je suis obligé de répondre que non, vraiment, c’est un film anti-bagnoles, pour les gens qui les détestent. Cela étant dit, il se trouve que je conduis une Tesla pour laquelle je viens d’obtenir une mise à jour de la puce informatique qui m’excite beaucoup : cela devrait me permettre de conduire en ville en pilotage automatique. Les voitures sont devenues des ordinateurs… Elles s’insèrent dans un incroyable écheveau technologique de satellites, de GPS, de wi-fi, de Bluetooth. Cela en fait une sorte d’appareil qui est branché sur un réseau neuronal international de données. C’est vraiment fascinant. Cela ressemble à une voiture, mais ce n’est pas une voiture.
▻http://www.ubu.com/film/ballard_atrocity.html
Réalisé par Harely Cokliss (il n’existe pas de page imdb), ce film met en scène Ballard qui parle de certaines des idées qui vont se retrouver dans son roman Crash, publié en 1973. Des scènes semi-dramatisées avec l’actrice Gabrielle Drake sont entrecoupées d’images d’accidents de voitures d’essai et de Ballard lui-même. Remarquablement efficace et dérangeant.
▻https://laspirale.org/texte-212-david-cronenberg-mecanique-du-desir.html
L’Ours Tulipe de Sophie Guerrive
Publié le 12 mai 2020 (lendemain du déconfinement) :
L’ours « Tulipe », à fleur de peau
Avec son héros solitaire et amoureux, #Sophie_Guerrive livre une merveilleuse fable philosophique qui renvoie le lecteur à ses propres tourments.
▻https://next.liberation.fr/images/2016/11/25/l-ours-tulipe-a-fleur-de-peau_1531035
« Tout est concentré dans les petites choses. » :
Une quarantaine de planches – reproductions et originales – présente cet aller-retour permanent entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Et que ce glissement s’exprime à travers un goût affiché pour l’humour absurde, une grande délicatesse teintée de mélancolie, ou qu’il offre un condensé de pensées philosophico-existentielles, il place à chaque fois Sophie Guerrive dans une position où tout son talent pour l’observation du détail – des choses, des êtres – peut s’exprimer.
▻https://www.lemonde.fr/blog/bandedessinee/2017/01/26/le-petit-monde-universel-de-sophie-guerrive
Récits de harcèlement et d’agressions sexuelles à Ubisoft : « Les jeux vidéo c’est fun, on peut tout faire, rien n’est grave »
▻https://next.liberation.fr/images/2020/07/01/recits-de-harcelement-et-d-agressions-sexuelles-a-ubisoft-les-jeux-v
« Libération » a recueilli une vingtaine de témoignages qui décrivent, au siège du numéro 3 mondial du secteur, un système toxique, dominé par des hommes intouchables, que protégerait « un mur des RH ». « Il y a des hommes de pouvoir qui se permettent tout et qui doivent être écartés de l’entreprise parce qu’ils font du mal aux femmes. Et il y a autour d’eux un système global qui cautionne ces comportements et les protège en empêchant tout recours. Un système qui rend impuissant parce que de toute façon, les (...)
#Ubisoft #jeu #sexisme #violence #discrimination #harcèlement #viol #travail
« BLACK MIRROR » : « AU MOMENT DE LA RÉVÉLATION, LES GENS ONT HALLUCINÉ »
Par Marius Chapuis 29 mars 2019
▻https://medias.liberation.fr/photo/1207366-black-mirror-saison4jpg.jpg?modified_at=1553881628&width=7
Alors que se profile une cinquième saison, « Libé » a rencontré en marge du festival lillois Séries Mania les créateurs de « Black Mirror ». Retour sur l’itinéraire d’une série hors normes.
▻https://next.liberation.fr/images/2019/03/29/black-mirror-au-moment-de-la-revelation-les-gens-ont-hallucine_17182
Black Mirror a débuté en 2011, à une époque où il y avait une espèce d’euphorie pour la technologie. On découvrait les tablettes, les smartphones semblaient encore neufs. Est-ce qu’il est devenu plus difficile d’écrire à mesure que la série nous a accompagnés vers une ère de méfiance ?
C.B. : Lorsqu’on a débuté, c’était complètement en réaction à cet enthousiasme crétin. J’ai toujours aimé la technologie, mais là les gens étaient dingues. Les pubs pour l’iPhone me terrifiaient, ça me rappelait Soleil vert et ce moment où un vieil homme voit un coucher de soleil sur des champs de blé, des enfants qui jouent en riant, alors qu’il est sur le point d’être euthanasié et réduit en bouillie pour nourrir la population. Rien d’aussi joyeux que les pubs Apple ne peut être sincère. Aujourd’hui, il est clair qu’il n’y a plus rien de magique à avoir un smartphone. Alors, oui, je ne peux plus écrire d’épisode qui se contenterait de crier « oh mon dieu, regardez comme c’est étrange d’être vissé à son téléphone comme un zombie ». Mais je ne peux pas non plus partir dans des trucs trop barrés, parce qu’il faut que les gens croient en ces épisodes, que la technologie qu’on montre leur paraisse crédible, utile.