Décidément, au vu du temps que je passe sur ce monstre décrié qu’est facebook, et surtout au vu de ce que j’y croise, je partage de moins en moins ces hypothèses. Ou, pour être plus précise, disons que Facebook n’a pas moins d’importance que d’autres facteurs (sociaux, politiques, ...) pour accélérer ou retarder le processus de destruction d’une personne fragile. (zut, j’ai encore rippé mon retour à la ligne !)
J’ai vu plusieurs connaissances s’abîmer dans facebook et ce n’est pas faute de les avoir prévenues : « Attention, tes statuts sont trop perso, tu en demande trop à ton réseau, » etc... Pire, une prof qui « s’amuse » avec ses élèves et trouve ça super drôle d’être en ligne avec eux à minuit... Mais ces personnes ont déjà franchi un cap avant, dans la vie vraie comme le dit Vinvin, et présentent les mêmes symptômes (jalousie, dépendance...). Peut-être que sur facebook, ce qui manque, ce sont des sortes de « médecins », de « psy » vers qui se tourner quand on en sent le besoin ?