Ventimiglia: migranti fuggono in Francia passando dalla scogliera e occupano spiaggia a Mentone
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=111&v=McZXJZ9YcS4
#frontière #Vintimille #Italie #France #asile #migrations #réfugiés #frontière_sud-alpine
Ventimiglia: migranti fuggono in Francia passando dalla scogliera e occupano spiaggia a Mentone
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=111&v=McZXJZ9YcS4
Riportati in Italia i migranti fuggitivi di Ventimiglia: in poco più di un’ora la Polizia Francese ha liberato la spiaggia occupata
Si tratta dei migranti che erano sfuggiti nel tardo pomeriggio alle forze dell’ordine italiane, che presidiavano l’area occupata su piazzale De Gasperi a Ventimiglia al confine con Mentone.
▻http://www.sanremonews.it/2016/08/05/leggi-notizia/argomenti/cronaca/articolo/riportati-in-italia-i-migranti-fuggitivi-di-ventimiglia-in-poco-piu-di-u
Insulti dei poliziotti ai migranti sugli scogli, il video di Ventimiglia diventa un caso
«Bastardi, venite qui»: le immagini pubblicate da Fanpage
▻http://www.lastampa.it/rf/image_lowres/Pub/p4/2016/08/06/Italia/Foto/RitagliWeb/video_fanpage_-kOYC-U1090534770930HG-1024x576@LaStampa.it.PNG
▻http://www.lastampa.it/2016/08/06/italia/cronache/insulti-dei-poliziotti-ai-migranti-sugli-scogli-il-video-di-ventimiglia-diventa-un-caso-VIKmHZEHmq43y1mHF6OazI/pagina.html
Ventimiglia, polizia sgombera i migranti insultandoli: “Bastardi, deficienti”
A Ventimiglia giovedì 4 agosto, circa 300 migranti hanno deciso di lasciare il campo gestito dalla Croce Rossa in polemica su come viene gestito, riprendendo con forza la protesta per la riapertura del confine. Da giorni, dopo lo sgombero del campo autogestito nel centro gestito dalla croce rossa la situazione era diventata insostenibile a causa del sovraffollamento: oltre 500 i migranti presenti.
▻http://www.osservatoriorepressione.info/ventimiglia-polizia-sgombera-migranti-insultandoli-bastard
#insultes #police #violences_policières #racisme #xénophobie
Ventimiglia: la polizia insulta i migranti. Civati: “Alfano ci spieghi”
«Prenderemo tutte le iniziative a nostra disposizione per sapere cosa ne pensano il ministro Alfano e il presidente Renzi di quel poliziotto a Ventimiglia che, come si vede dal servizio giornalistico di Fanpage, si riferisce ai migranti con insulti di ogni specie. Vogliamo che il ministro valuti le modalità operative utilizzate e ci dica se e come ha intenzione di intervenire»: non usa mezze parole Pippo Civati per chiedere chiarezza sulle immagini di alta tensione a Ventimiglia, confine italo francese, in cui un poliziotto in borghese apostrofa alcuni migranti con «pezzi di merda», «bastardi» e insulti vari. Il leader di Possibile si rivolge direttamente al Ministro degli Interni Angelino Alfano per avere spiegazioni.
▻http://www.fanpage.it/ventimiglia-la-polizia-insulta-i-migranti-civati-alfano-ci-spieghi
France returns hundreds of migrants to Italy
MILAN (AP) — France has returned some 200 migrants to Italy who plunged into the sea to cross into France, evading border controls.
Un maire se félicite de la chasse aux migrants
En Hongrie, Laszlo Toroczkai est fier des milices privées arrêtant les réfugiés qui traversent sa commune pour rejoindre l’ouest de l’Europe.
*Pig-head propaganda: Hungary’s war on refugees*
“What crime did we commit for 40 police officers to surround us? It’s like they think we are terrorists or criminals,” 48-year old Khatoon, a Yazidi woman from Iraq who had several family members who were murdered or taken hostage by the jihadist group Isis, told me.
▻https://euobserver.com/opinion/134762
#porc #cochon #islamophobie
En #Bulgarie, cette milice secrète à l’accent russe qui #traque les migrants
La région à cheval entre la Bulgarie et la Turquie est une pièce maîtresse dans le dispositif de sécurité européen. C’est aussi ici qu’opèrent ces milices de volontaires qui font la chasse aux migrants. Reportage au sein de la plus importante – et la plus secrète – d’entre elles.
Il a fallu montrer patte blanche, argumenter, négocier chaque détail. L’#Union_Vassil_Levski - #BNO_Shipka, organisation paramilitaire et patriotique, n’aime pas les curieux. « Nous sommes les seuls et véritables gardiens de la frontière de l’Europe face à la menace islamiste », nous avait annoncé #Vladimir_Roussev à Varna, principale ville au nord de la mer Noire, où se trouve son QG. Plus connu sous le nom de guerre de « Walter », ce petit homme râblé à la moustache fournie, dirige d’une main de fer l’organisation regroupant essentiellement d’anciens officiers des forces de sécurité du pays et qui affiche, selon lui, pas moins de 800 membres. Lui-même ex-colonel de l’armée de terre, Vladimir a du mal à se défaire du jargon militaire lorsqu’il nous expose ses activités : il y est question de « front » et de « base arrière », de « logistique » et de « chaîne de commandement ». Nous comprenons que la véritable action ne se passe pas à Varna, mais beaucoup plus au sud.
« #Patrouilleurs volontaires »
Cap donc sur Bourgas à l’autre bout de la côte, où après plusieurs jours d’attente nous allons enfin recevoir le feu vert de « Walter » pour rejoindre ses miliciens déployés à la frontière turque. Les instructions arrivent la veille, codées : il y est question d’une « randonnée dans la nature ». Le rendez-vous est fixé à Marinka, petit village à la lisière de la Strandja, cette montagne sauvage à cheval entre la Bulgarie et la Turquie. De nouveau l’attente, puis le doute.
Ces redoutables « patrouilleurs volontaires » qui inondent la Toile de leurs exploits, existent-ils vraiment ? C’est alors que deux voitures, comme sorties de nulle part, nous prennent en sandwich. Un grand gaillard aux cheveux retenus par un catogan en surgit pour nous inviter à les suivre. Nous prenons la direction de Malko Tarnovo, le principal poste-frontière de la région, avant de bifurquer vers la mer, direction le village de Iasna Poliana, nommé d’après la dernière résidence du grand classique russe Tolstoï.
Le hameau, situé à quelque 30 km de la frontière, est connu pour servir de halte, ou de point de rassemblement, des migrants – ou du moins ceux qui ont réussi à échapper aux checkpoints mis en place par la police. La toponymie du lieu, renvoyant à l’auteur de Guerre et Paix, vient s’ajouter à un autre élément troublant : l’homme qui nous a adressé la parole avait indiscutablement l’accent russe, un accent reconnaissable parmi mille dans ce pays connu pour avoir été le plus fidèle allié de l’Union soviétique.
Equipement militaire
Nous quittons la route goudronnée pour nous engager sur une piste qui nous mène encore plus à l’intérieur des terres. Devant une cabane utilisée par les chasseurs, les deux véhicules déversent une demi-douzaine de jeunes avant de repartir. En quelques minutes, ces derniers tronquent leur jean, t-shirt et baskets contre un équipement militaire complet : treillis, bottes, gourde, sac à dos, radio. A cela s’ajoutent de longs couteaux accrochés à leur ceinture, une bombe lacrymogène et un pistolet à air comprimé. Et des cagoules, noires, qu’ils vont enfiler « pour des raisons de sécurité ».
« Nous ne portons rien d’illégal », précise l’homme à l’accent russe qui est à la fois leur instructeur et leur chef de groupe. Il nous présente les membres de la patrouille par leur nom de code : « Boxeur », « Coq », « Glissière de sécurité », « Ingénieur » et « Astika » (une marque de bière locale) pour la seule femme du groupe. Lui, c’est « Chamane ». Après avoir fait une série de pompes, les membres de la patrouille sont désormais prêts. Ils sont invités à ne pas se montrer « agressifs » envers les migrants mais sont autorisés à « agir selon les circonstances ». « Nous sommes en opération. Ceci n’est pas un entraînement », rappelle « Chamane ».
« Devenir quasi invisible »
Les cinq jeunes s’enfoncent dans la forêt, guidés par leur commandant. Ils longent des sentiers, grimpent des collines, enjambent des ravins sans quitter des yeux la forêt : des canettes de Red Bull, des boîtes de cigarettes, des conserves, des bouteilles d’eau ou encore un vêtement abandonné sont des indices qu’ils sont sur la bonne piste. Au passage, « Chamane » leur enseigne comment placer un poste d’observation, traverser à découvert, ramper et se fondre dans la nature. « Le but c’est de voir l’autre avant d’être vu. Devenir quasi invisible, pour avoir l’avantage sur l’ennemi », explique-t-il.
Vu l’absence de migrants à cette heure de la journée, le groupe va se faire la main sur des bergers, avant d’approcher au plus près une étable, toujours en « mode furtif ». Régulièrement, « Chamane » immobilise le groupe avant d’envoyer l’un de ses membres inspecter les environs pendant que les autres font le guet. « Je leur enseigne les techniques de base des Spetsnaz, les forces spéciales russes, en milieu hostile : renseignement, diversion, dissimulation », reconnaît-il.
En fait, dans cette patrouille tout est russe : la terminologie, les techniques utilisées et même les cartes – issues de l’état-major soviétique – parce que « celles de l’OTAN sont nulles », s’amuse le mystérieux commandant. Et lui, qui est-il ? D’une prudence de Sioux, le Russe livre très peu de détails sur lui-même : on comprendra qu’il est un vétéran du Caucase du Nord, qu’il a fait la deuxième guerre de Tchétchénie (1999-2000) et qu’il est bien officier, diplômé d’une école militaire. Il explique sa présence ici par ses origines bessarabes, cette ancienne région aujourd’hui partagée entre l’Ukraine et la Moldavie, foyer de nombreux bulgares ethniques qui ont bénéficié d’un « droit au retour » dans leur patrie historique. « La Russie n’a rien à voir dans cette histoire, pour le meilleur comme pour le pire d’ailleurs », tient-il à préciser. « C’est à nous, ici, de faire le boulot. Pratiquement à mains nues. »
« Effet de surprise »
On l’aura compris, pour « Chamane » et ses camarades l’ennemi ce sont bien les migrants. « Il s’agit à 90% des combattants étrangers, avec une hiérarchie et de réflexes de guerriers », croient-ils savoir en soulignant qu’ils ne croisent ici, dans cette région présentée comme une bifurcation de la fameuse « route balkanique », que des groupes de jeunes Afghans. Tous des hommes, avec dans leur sillage des Pakistanais, des Irakiens et, parfois, des Iraniens. Ils affirment en appréhender plusieurs par semaine, qu’ils remettent aux gardes-frontières. « On évalue d’abord la taille, puis la dangerosité du groupe avant de surgir du bois. Le plus souvent l’effet de surprise est tel que les intrus se laissent faire », poursuit « Chamane ».
« Nous ne sommes pas des chasseurs de migrants, mais des citoyens responsables ! », met en garde depuis Varna Vladimir Roussev. A Sofia, plusieurs voix se sont élevées contre les activités de son organisation, certains demandant au contre-espionnage bulgare d’enquêter sur la présence de ces instructeurs russes qu’ils ont comparé aux « petits hommes verts » de Vladimir Poutine, les commandos sans signes distinctifs envoyés en Ukraine. En juin dernier, le Comité Helsinki pour la défense des droits de l’homme a demandé au Parquet d’interdire les activités de l’organisation paramilitaire, jugées anticonstitutionnelles et dangereuses. « Ces idiots ne savent pas qu’ils sont, eux aussi, sur la liste des hommes à abattre des combattants de Daech [Etat islamique]. Juste après les notables juifs », dit encore « Walter » en insistant lourdement sur le dernier point. Là aussi, on l’aura compris.
▻https://www.letemps.ch/monde/bulgarie-cette-milice-secrete-laccent-russe-traque-migrants
#Bulgarie #milices #asile #migrations #réfugiés #anti-réfugiés #xénophobie #racisme
"Cacciatori di migranti" in Bulgaria, stasera il reportage del TG1 insieme all’Osservatorio
Ai confini esterni dell’Unione europea, alla frontiera tra Bulgaria e Turchia, gruppi di autoproclamanti “difensori dell’Europa” pattugliano i boschi alla ricerca di migranti che tentano di entrare nel paese, per poi proseguire lungo la “rotta balcanica” verso i paesi ricchi dell’UE.
▻http://www.balcanicaucaso.org/aree/Bulgaria/Cacciatori-di-migranti-in-Bulgaria-stasera-il-reportage-del-TG1-insi
Bulgaria, ronde anti-immigranti sul confine con la Turchia
Difendere Bulgaria ed UE dall’“invasione” dei migranti: in Bulgaria vari gruppi di auto-proclamati “patrioti” pattugliano il confine con la Turchia e il governo lascia fare
▻http://www.balcanicaucaso.org/Media/Multimedia/Bulgaria-ronde-anti-immigranti-sul-confine-con-la-Turchia
Existe aussi en anglais :
▻http://www.balcanicaucaso.org/eng/Media/Multimedia/Bulgaria-anti-immigrant-patrols-at-the-border-with-Turkey
Bulgarie : #Petar_Nizamov, le « chasseur de réfugiés », a été acquitté
Petar Nizamov, l’un des chefs des « milices anti-migrants », était assigné à résidence depuis la diffusion en avril 2016 d’une vidéo où on le voyait arrêter manu militari trois Afghans. La justice bulgare vient de le blanchir de toutes les accusations qui portaient contre lui.
Bulgarian Vigilantes Patrol Turkey Border to Keep Migrants Out
Figures in camouflage and ski masks gather at a fishing lodge. Many are armed with long knives, bayonets and hatchets.
The 35 men and women are on the hunt in Strandzha Massif, a forested mountain range on Bulgaria’s border with Turkey. Migrants trying to cross into Europe are their prey.
▻http://www.nbcnews.com/storyline/europes-border-crisis/bulgarian-vigilantes-patrol-turkey-border-keep-migrants-out-n723481
Ceux qui disent « halte » aux migrants
La frontière turco-bulgare, aux marches de l’Europe, est la nouvelle route utilisée par les passeurs de migrants. En Bulgarie, pour stopper cet afflux de clandestins, une unité de volontaires, encadrée par des vétérans de l’armée, s’organise pour faire le travail de la police.
Sofia est dépassé par l’ardeur des « chasseurs de migrants »
Après avoir encouragé à demi-mot l’aide fournie par des volontaires à la frontière turque, les autorités bulgares semblent vouloir sévir contre ces initiatives qui risquent de dégénérer
▻https://www.letemps.ch/monde/2016/04/14/sofia-depasse-ardeur-chasseurs-migrants
Des migrants ligotés et arrêtés par des habitants
Des civils ont arrêté des réfugiés dans une forêt à la frontière bulgaro-turque. Une action « illégale » rappellent les autorités.
▻http://www.lematin.ch/monde/Des-migrants-ligotes-et-arretes-par-des-habitants-/story/25672749
Bulgaria tries to restrain its vigilante “migrant hunters”
Rights groups demand that Bulgaria’s government bring illegal border-policing groups under control
Dutch #Pegida leader and expelled German deputy hunt migrants on Bulgaria border
The former frontwoman of Germany’s Pegida anti-Muslim movement and a leader of its Dutch offshoot have travelled to Bulgaria to hunt down migrants attempting to cross the border from Turkey, it has emerged.
Human rights experts: Unchecked atmosphere of anti-migrant discourse results in abuses
They call them “migrant hunters” or “citizen protection” organizations. They are volunteers, whose self-appointed job is to patrol Bulgaria’s border with Turkey, seeking out people trying to cross. - See more at: ►http://www.ohchr.org/EN/NewsEvents/Pages/MigrationXenophobiaRacisminBulgaria.aspx?platform=hootsuite#sthash.8B8AouOl.d
►http://www.ohchr.org/EN/NewsEvents/Pages/MigrationXenophobiaRacisminBulgaria.aspx?platform=hootsuite
#hongrie #asile #migrations #réfugiés #xénophobie
Al confine bulgaro-turco parte la caccia al migrante: “Qui non entra nessuno”
Gruppi autorganizzati si muovono nei boschi. Le tv li seguono e li esaltano come eroi
Bulgarian Vigilantes Patrol Turkey Border to Keep Migrants Out
Figures in camouflage and ski masks gather at a fishing lodge. Many are armed with long knives, bayonets and hatchets.
The 35 men and women are on the hunt in Strandzha Massif, a forested mountain range on Bulgaria’s border with Turkey. Migrants trying to cross into Europe are their prey.
Patches on their irregular uniforms — a coat of arms bearing a snarling wolf’s head framed by Cyrillic text — proclaim them to be members of the Bulgarian National Movement Shipka, abbreviated in Bulgarian as “BNO Shipka.”
Members of the paramilitary organization form into ranks as their leader, Vladimir Rusev, speaks. A former colonel who says he fought in Chechnya as a volunteer alongside Russians, Rusev declares his support for a man they admire: President Donald Trump.
“The CIA is trying to undermine Trump,” said Rusev, a compact 58-year-old with a neat mustache and short-cropped hair. “They want to destroy him. We offer our support to him.”
Trump’s hard-line stance on immigration and vocal criticism of Islam finds an appreciative audience here.
Most BNO Shipka members are friendly, courteous and open. The organization’s website projects a different message: slick videos replete with firearms and military training, and declarations that Europe must be defended against Islam.
Rusev claims they have as many as 50,000 members, although NBC News was unable to verify this number.
“I’m not nationalistic or anything like that. I’m just a patriot,” said Nikolai Ivanov, a 34-year-old who was one of the group’s founding members in 2014.
“Many of these immigrants are not just some guys who are trying to run away from war. They are from age 17 to 35, with good physiques and training,” Ivanov added. “It’s not a problem that they are Muslims. The problem is it’s a different civilization. They don’t think like us, they have a totally different view about life, about everything.”
While the group has been criticized by human rights advocates, it isn’t hard to find people who agree with Ivanov’s views in Bulgaria. The head of the country’s border police praised a nationalist volunteer group for intercepting migrants in April.
Rust Belt of the Balkans
Bulgaria occupies a place at the seams. Looking east, this Eastern Orthodox crossroads shares a traditional alliance with Russia. To the south is Turkey, once home to a Muslim empire that for centuries dominated the region. The European Union, with liberal values and a promise of wealth, lies to the west.
Since the end of the Cold War, Bulgaria has firmly embraced the West — joining NATO in 2004 and the EU in 2007. But the rapid rise in living standards for its seven million citizens stalled during the financial crisis of 2007-2008. Now, average annual income remains the lowest in the EU, even when measured by purchasing power.
In the Soviet era, heavy industry and chemical production dominated the economy. Now, abandoned factories litter a landscape replete with decaying smokestacks and depopulated villages.
On top of this, Bulgaria has become a major overland route as Europe grapples with a migration crisis due to its borders with Turkey, Greece, Macedonia, Serbia and Romania.
According to Eurostat, 20,165 people applied for asylum in Bulgaria in 2015, the most recent year for which firm numbers were available. This was a fraction of the around 1.2 million who claimed asylum in the EU that year, more than three quarters of whom were from majority Muslim countries.
Although only a handful of Europe-bound migrants have settled in Bulgaria, concern about the newcomers resonates in a country that was dominated for centuries by the Ottoman Turks.
Ivanov believes the refugee crisis was part of a plan in which ISIS militants would slip into the country and attack. Then, neighboring Turkey would deploy troops to Bulgaria under the auspices of the NATO alliance, he said, effectively reclaiming a portion of the lost Ottoman Empire.
Conspiracy theories like this abound among BNO Shipka members, some of whom make a point of speaking Russian. Their affinity for Moscow is perhaps understandable in the context of Bulgaria’s unhappy history with its Muslim-majority neighbor. Shipka, after all, refers to a battle in which a Russo-Bulgarian force defeated the Ottoman Turks in 1877.
Bulgaria’s weak economy and status outside the borderless Schengen area means most migrants aim for Greece as a gateway to more prosperous countries further west.
So the “refugee situation here is not that serious,” said Krassimir Kanev, a founder of the human rights group Bulgarian Helsinki Committee. "Bulgaria is a transit country, the refugees want to move to [other] EU countries.”
However, Bulgaria “registered 31,281 new arrivals in 2015, which represents 89.3 percent of all land arrivals in the EU for the same year,” according to a report by Radoslav Stamenkov, the head of the Bulgaria office at the International Organization for Migration. The “migration shock” that began in 2013 created social tensions “in a country that had a very limited experience of receiving migrants,” Stamenkov wrote.
Kanev sees BNO Shipka and similar groups as xenophobic nationalists at best, or at worst, violent and racist extremists. In October 2015, an Afghan migrant was shot and killed when he tried to cross into Bulgaria. In November, protests by locals over rumors of disease forced the temporary closure of the country’s largest refugee camp and led to riots.
“There are ongoing criminal proceedings against a number of these groups,” Kanev said. Bulgarian vigilantes have detained migrants and tied them up, sometimes beating and humiliating them before forcing them back across the border, he added.
Asked for its position on vigilante groups, Bulgaria’s Interior Ministry did not respond.
Jokes and Cigarettes
Back in the forests of the Strandzha Massif, BNO Shipka is going out on patrol. In bitter cold and with snow on the ground, this isn’t the high season for refugees crossing from Turkey. Some still try.
After a series of short speeches by leaders, members gear up and head toward the border. But the presence of a large group of people in ski masks and military regalia dashing from cover to cover in view of the highway attracts the attention of local authorities.
Two border police officers, accompanied by several soldiers armed with assault rifles, drive up in four-by-fours and ask for an explanation. They seem less concerned than confused. Most BNO Shipka members wear Bulgarian military fatigues from their own service so the groups merge, trading jokes and cigarettes. Only the slung rifles indicate who is an active soldier and who is a vigilante.
The authorities seem unsure what to do, particularly with members of the media present.
A BNO Shipka squad leader informs journalists that police are letting them continue, but the training mission has been completed and the team will return to the fishing lodge. As the group marches back, police follow them having called in reinforcements.
No one is detained or questioned further, but police return the following day.
Undeterred, BNO Shipka members record a video message to Trump. They put on snow camouflage oversuits and sneak around police stationed at the road leading to the lodge.
Asked if he is afraid Bulgaria is losing its identity, founding member Ivanov nods. "If we don’t do something soon,” he said. “It’s not just Bulgaria, but all of Europe.”
BNO Shipka didn’t catch any migrants this time. Still, they intend to keep looking.
Wo andere Ferien machen, stranden nun die Flüchtlinge
Das Grenzwachtkorps hat die Südgrenze für illegale Einwanderer abgeriegelt – die Asylsuchenden stauen sich jetzt am Bahnhof von Como.
Sie versuchen es immer wieder. Wenn es eindunkle, werde er den Zug in die Schweiz nehmen, sagt einer der Eritreer, die unterhalb des Bahnhofs Como San Giovanni unter den Laubbäumen im Schatten sitzen. «Das kannst du vergessen!», meint ein anderer. Die Züge würden alle überwacht.
Tatsächlich staunen die Passagiere, wie viele Grenzwächter in Chiasso den Grenzbahnhof bevölkern – und wie viele davon akzentfrei Schweizerdeutsch sprechen. «Das Grenzwachtkorps (GWK) führt im Tessin eine Schwerpunktaktion durch», heisst es aus dem GWK. «Stellen Sie sich vor, ich bin Single und werde jetzt Knall auf Fall für fünf Tage am Stück in den Süden geschickt. Denen ist es egal, wer in dieser Zeit meinen Hund versorgt», regt sich ein Grenzwächter auf.
Offiziell verwehrt sich das GWK aber gegen die Kritik, entgegen den Schengen-Regeln im Tessin wieder systematische Grenzkontrollen durchzuführen. Ein Sprecher erklärt: «Da die Schweiz nicht Teil der Europäischen Zollunion ist, kann das GWK im Zusammenhang mit den Zollkontrollen weiterhin die dafür notwendige Identitätskontrolle durchführen.»
Und da in den vergangenen Wochen eine ausserordentlich hohe Anzahl sich rechtswidrig in der Schweiz aufhaltender Personen festgestellt worden sei, müsse man von vermehrter «grenzüberschreitender Kriminalität wie Schleppertätigkeit» ausgehen. Deshalb mache man diese Kontrollen. Und die sind rigoros: «Ich habe es per Bahn, aber auch zu Fuss über die grüne Grenze probiert. Mal vor Mitternacht, mal ganz früh am Morgen. Immer haben sie mich geschnappt», klagt einer.
Tessiner Regierungsrat Gobbi fordert noch mehr Präsenz
Während sich italienische Touristiker schon Sorgen darüber machen, dass wegen der vielen Flüchtlinge an Comos Bahnhof die Feriengäste ausbleiben, geht dem Tessiner Regierungsrat Norman Gobbi die Abriegelung der Grenze nicht weit genug. Der Lega-Mann fordert, der Bundesrat müsse nun öffentlich erklären, «dass die Schweiz kein Flüchtlingskorridor nach Norden ist, sondern es für Wirtschaftsflüchtlinge kein Durchkommen gibt». Nur so blieben die Migranten fern. Und es brauche noch zusätzlich «eine starke Präsenz von Militärpolizei an der grünen Südgrenze». Schliesslich mache das Tessin «die Drecksarbeit für die Schweiz», sagt er.
Ganz anders sehen das die Flüchtlinge, die sich in Como stauen: «Micki», wie hier den kleinen Jungen alle nennen, schüttelt nur den Kopf. Er versteht nicht, weshalb ihn die Schweizer nicht nach Deutschland lassen. Micki ist «nicht zwölf, sondern ein Jahr anders» wie er in schlechtem Englisch erklärt. Ob ein Jahr jünger oder älter, kann er nicht verständlich erklären. Zu mehr kommt er auch nicht, denn einer der Älteren ruft ihn und steckt ihm ein Stück Brot zu. Der Junge müsse unbedingt etwas essen, erklärt der Mann. Und: «Micki muss nach Deutschland, seine Mutter ist dort», sagt er.
Ein weiterer Eritreer, der bislang gedöst hat, schaltet sich ein: «Man will uns hier nicht. Man denkt nicht gut über uns», wiederholt er mehrmals. Zwar seien nicht alle schlecht zu ihnen, aber viele Leute. «Nur zwei von hundert geben uns Lebensmittel», erklärt er.
Für die meisten aber sind die Flüchtlinge Luft. Touristen fahren in den Bahnhof ein und nehmen sich ein Taxi. Andere gehen zu Fuss weiter zum nächsten Campingplatz, um sich dort zwei Wochen zu erholen. Manche Flüchtlinge sagen, sie campierten schon zwei Monate im Freien. Anders als die Feriengäste können sie aber nicht weiter nach Luzern oder Zürich oder wie die Frau, die in Lugano zusteigt, nach Genf. Sie wohne schon lange in der Schweiz, brauche aber keinen Schweizerpass, erzählt die Dänin. «Und also ganz schlimm, also wirklich ganz schlimm» seien diese Flüchtlinge, wird sie später erklären. «Wie Ratten», sagt sie dann wörtlich. «Man denkt nicht gut über uns», ist da noch milde ausgedrückt.
▻http://www.sonntagszeitung.ch/read/sz_17_07_2016/nachrichten/Wo-andere-Ferien-machen-stranden-nun-die-Fluechtlinge-69124
#Côme #Italie #Suisse #frontières #fermeture_des_frontières #asile #migrations #réfugiés #frontière_sud-alpine
Des réfugiés dans la file d’attente à la frontière sud de la Suisse
Entrer en Suisse est devenu plus difficile pour les migrants et le nombre de renvois vers l’Italie augmente. A Côme, on ressent les conséquences de cette évolution. La gare locale accueille de nombreux migrants en transit vers le Nord de l’Europe. Reportage dans la zone frontalière.
▻http://www.swissinfo.ch/fre/migration_des-r%C3%A9fugi%C3%A9s-dans-la-file-d-attente-%C3%A0-la-fronti%C3%A8re-sud-de-la-suisse/42307924
#illégal #entrée_illégale #terminologie #mots #vocabulaire
Como: «È difficile aiutare gli eritrei»
Suscita commozione la vicenda di Nair, due mesi di età, che dorme nel parco. Ma sua mamma vuole restare lì
Emergenza stazione/ Finalmente risposte concrete: dalle 19 un riparo per i più fragili
Finalmente si aprirà alle 19 del 22 luglio un riparo coperto per i profughi costretti dalla pioggia ad abbandonare i loro giacigli nel parco della stazione per trovare rifugio sotto la pensilina esposti al vento e all’acqua. L’assessore alle Politiche sociali del Comune di Como Bruno Magatti ci ha confermato che alle 19, appena lo spazio sarà liberato dalle macchine, la Cri installerà una tenda nell’area comunale di Viale Innocenzo nei pressi della stazione della polizia municipale.
▻https://ecoinformazioni.wordpress.com/2016/07/22/emergenza-stazione-finalmente-risposte-concrete-dalle-19-
Profughi, sono arrivati i tendoni. Serviranno alle donne e ai bambini
Installati ieri sera nell’area ex Stecav di viale Innocenzo per proteggere di notte donne e bambini - Il sindaco: «Questa situazione non può gravare solo sulle nostre spalle. Servono misure di supporto nazionale»
▻http://www.laprovinciadicomo.it/stories/como-citta/profughi-sono-arrivati-i-tendoni-serviranno-alle-donne-e-ai-bambin
Flüchtlinge stranden in Como
Die Schweiz schickt 2 von 3 Flüchtlingen, die illegal ins Tessin einreisen, zurück nach Italien. Die Migranten stranden in Como.
▻http://www.blick.ch/news/schweiz/wegen-strengen-schweizern-fluechtlinge-stranden-in-como-id5266562.html
«Die Schweiz schickte mich viermal zurück»
Die Schweiz überstellt illegale Migranten, die in Chiasso einreisen, an Italien. Ein Eritreer erzählt, wie er trotzdem versucht, nach Norden zu reisen.
▻http://www.20min.ch/schweiz/news/story/-Die-Schweiz-schickte-mich-viermal-zurueck--18770964
Refugees and migrants stuck in Italy open up new route to northern Europe via Switzerland and George Clooney’s chic Como
Refugees and migrants seeking to reach northern Europe have opened up a new route, crossing from northern Italy’s picturesque great lakes region, renowned as a playground for celebrities such as George Clooney, across the border into Switzerland.
▻http://www.telegraph.co.uk/news/2016/07/22/refugees-and-migrants-stuck-in-italy-open-up-new-route-to-northe
Hoffen in Como – Ein Tag bei den Flüchtlingen an der Schweizer Grenze
„Passport! Passport!“, ruft der Kleinste der drei Männer in hellblauen Hemden, die in meine Richtung rennen. Die für meinen Geschmack etwas forsch formulierte Aufforderung gilt jedoch nicht mir, sondern dem etwa gleich alten Mann neben mir. Eben noch hatte mich dieser, nach ein paar hektischen Blicken nach links und rechts, gefragt, ob er wirklich schon in der Schweiz sei. Ich wollte seine Frage gerade bejahen, doch wurde vom Ruf des rennenden Hemdträgers unterbrochen. Der Grund, warum dieser es so eilig hatte, liegt wohl zum einen darin, dass sein Beruf als Angestellter des Schweizer Grenzwachtkorps Pünktlichkeit von ihm verlangt und zum anderen darin, dass er mit noch mehr Verspätung an Gleis 4 des Bahnhofs in Chiasso ankam als der Regionalzug, aus dem ich ausgestiegen bin.
L’armée ne devrait pas intervenir face aux migrants au Tessin
L’armée n’aura sans doute finalement pas à intervenir cet été pour gérer un afflux de migrants au sud du pays, a appris la RTS. Les réfugiés ne sont finalement pas si nombreux à arriver en Suisse.
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7918907-l-armee-ne-devrait-pas-intervenir-face-aux-migrants-au-tessin.html
–-> forcément, si les gardes-frontière les arrêtent touTEs à Chiasso, pas de situation d’urgence en Suisse ! Mais les journalistes ne savent apparemment pas faire 1 + 1 !
Un camp de migrants aux conditions indignes naît aux portes de la Suisse
Des centaines de migrants africains souhaitant rejoindre le nord de l’Europe sont refoulés à la frontière suisse. Devant la gare de Côme, ils patientent dans un camp informel ressemblant à la « jungle de Calais »
▻http://www.letemps.ch/suisse/2016/08/05/un-camp-migrants-aux-conditions-indignes-nait-aux-portes-suisse
L’ONU envisage d’agir face aux 400 migrants bloqués aux portes du Tessin
L’ONU envisage de demander à la Suisse de revoir sa politique de non entrée en matière sur les demandes d’asile de cas Dublin, notamment pour les mineurs non accompagnés, alors que 400 migrants sont bloqués aux portes du Tessin.
▻http://www.rts.ch/info/monde/7924355-l-onu-envisage-d-agir-face-aux-400-migrants-bloques-aux-portes-du-tessin
Commentaire autour de cette citation :
Alors que les réfugiés sont toujours plus nombreux à la douane de Chiasso, les récentes statistiques du Secrétariat à la migration évoquent une diminution des demandes d’asile. Ces informations apparemment contradictoires confirmeraient la thèse selon laquelle la Suisse serait uniquement un pays de transit pour les migrants.
—> non, ces informations pourraient aussi confirmer que la Suisse est en train de refouler de manière illégale des réfugiés !
Profughi, in 450 bloccati in stazione: a Como è emergenza. L’Onu: «Metà sono minori soli»
Dopo che la Svizzera ha bloccato il varco di Chiasso. Il sindaco Mario Lucini: «Da soli non ce la facciamo». L’Unhcr teme che la criminalità metta gli occhi su donne e bambini
Des centaines de migrants africains entassés aux portes du Tessin
Des centaines de migrants africains sont entassés dans des campements de fortune aux portes de la Suisse, à Côme en Italie. La région est devenue une sorte de « deuxième Lampedusa », où les migrants échoués sur les côtes de Sicile sont refoulés par les gardes-frontières suisses. L’interview de Lisa Bosia Mirra, députée socialiste tessinoise, présidente de l’ONG Firdaus.
▻http://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/des-centaines-de-migrants-africains-entasses-aux-portes-du-tessin?id=7909073
In stazione a Como accampati in 450: “La Svizzera respinge anche i minori”
È arrivata anche una tromba d’aria ad abbattersi sulle centinaia di disperati che da un mese vivono alla stazione San Giovanni di Como. Almeno 450 migranti accampati sotto i portici, nella biglietteria e sulla banchina del primo binario. Il maltempo ha reso impossibile la loro permanenza nel parco di fronte allo scalo ferroviario comasco, che si è ormai trasformato in un campo profughi. Di «emergenza umanitaria e igienica» parla il direttore dell’Asst Lariana Fabio Banfi. All’ospedale Sant’Anna due persone sono ricoverate con la tubercolosi, i casi di scabbia sarebbero una quarantina. A questi si aggiungono le febbri causate dai giorni passati all’aperto sotto la pioggia. L’emergenza è confermata da un comunicato della prefettura che, nella serata di ieri, ha annunciato l’attivazione nella stazione di un presidio sanitario mobile da lunedì 8 agosto.
Centinaia di migranti bloccati a Como: la Svizzera non autorizza il transito verso la Germania
E’ salito a 400 il numero dei migranti che oramai da un mese sono accampati nei giardini della stazione ferroviaria di Como. Sono in maggior parte etiopi ed eritrei che hanno inutilmente tentato di raggiungere la Germania in treno e che sono stati respinti a Chiasso dalle autorità svizzere, che non accettano nemmeno richieste di asilo. Nonostante i tentativi falliti, gli immigrati, tra cui famiglie con bambini piccoli e minori soli, si fermano a Como e ritentano il viaggio con il medesimo esito: respinti. Molti dei migranti sono richiedenti asilo che si sono allontanati volontariamente dai centri di accoglienza nel Sud nel tentativo di ricongiungersi a parenti in Germania.
▻http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/Centinaia-di-migranti-bloccati-a-Como-la-Svizzera-non-autorizza-transito-ver
Quando la disperazione è a due passi dalla frontiera
COMO - Quattrocento profughi (destinati ad aumentare giorno dopo giorno) provenienti da Etiopia, Eritrea e altre nazioni africane vorrebbero raggiungere la Svizzera o altri paesi del nord Europa ma vengono “rispediti” in Italia e sono bloccati al parco adiacente la stazione San Giovanni di Como. L’Associazione Firdaus di Genestrerio sostiene e aiuta queste persone che necessitano di un aiuto umanitario. I volontari preparano pasti caldi che poi distribuiscono per il pranzo e forniscono loro beni di prima necessità e un punto di riferimento a cui chiedere informazioni.
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Cronaca/1099691/Quando-la-disperazione-e-a-due-passi-dalla-frontiera
Luciana, la comasca che aiuta (legalmente) i migranti ad andare in Svizzera
Luciana Carnevale è quasi tutti i giorni al parco della stazione San Giovanni di Como con un piccolo banco e una sedia. Lì, sotto l’ombra degli alberi, riceve tutti quei nuovi migranti appena arrivati a Como che desiderano andare in Svizzera. Luciana in un inglese scolastico ma sufficiente per comprendersi con i giovani migranti, prende nota dei loro nomi, della loro età e della loro meta. In appositi moduli annota tutto, scrivendo anche se intendono richiedere asilo in Svizzera. La signora Luciana, infatti, sta operando per conto dell’associazione Como senza frontiere ma in realtà collabora anche con la deputata svizzera Lisa Bosia Mirra alla quale fa pervenire sistematicamente il “censimento” dei migranti diretti in Svizzera. “La parlamentare Bosia si occupa di verificare se sul suolo svizzero sono presenti i parenti di alcuni di questi migranti – ha spiegato Luciana Carnevale – in questo modo è possibile aiutare i ricongiungimenti oltre frontiera. Ce ne sono già stati alcuni”.
Migrants in limbo on the Swiss-Italian border
More and more migrants who want to travel via Switzerland to northern Europe are becoming stranded in Como, Italy, just a few kilometres from the Swiss border. Although record numbers are trying to get into Switzerland, most are sent back.
Tessiner Freiwillige kümmern sich in Como um abgewiesene Migranten
Fast 400 Migrantinnen und Migranten sitzen seit einem Monat an der italienisch-schweizerischen Grenze fest. Die meisten stammen vom Horn von Afrika und wurden am Grenzposten von Chiasso abgewiesen. Unterstützung und Essen erhalten sie von Freiwilligen aus Italien und dem Tessin.
▻https://www.bluewin.ch/de/news/inland/2016/8/8/tessiner-freiwillige-kuemmern-sich-in-como-um-abgewiesene-migran.html
Emergenza le parole stanno a zero
La prossima volta che qualcuno si indigna, si allarma o si straccia le vesti perché i movimenti antieuropeisti continuano a guadagnare consenso alle elezioni, invitatelo alla stazione San Giovanni di Como. Perché l’Europa finisce anche e soprattutto qui. Quell’Europa occhiuta nell’imporre le misure delle zucchine ma inadeguata e indolente nella gestione della crescente emergenza migranti. Perché non basta Frontex, non è sufficiente occuparsi solo all’inizio dei flussi di disperati in fuga da guerre, carestie e regimi sanguinari. E oltretutto la normativa europea sul diritto d’asilo crea complicazioni e drammi sociali. Possiamo fare tutte le Ventotene che vogliamo, ma se l’Europa consente che le frontiere si chiudano senza muovere un dito, non ci sarà mai l’Europa. La verità è che l’emergenza migranti è gestita con la logica dello scaricabarile. La patata bollente è lasciata in larga parta ai singoli stati. Chi può, a questo punto, erige muri e chiude le frontiere a doppia mandata. Chi non può come l’Italia, dove la principale frontiera è rappresentata dal mare, si arrangi. Ma anche lo Stato italiano si adegua allo scaricabarile. Al fatto che prima 100, poi 200, quindi 300 e ora 500 essere umani siano ridotti ad accamparsi dentro una stazione ferroviaria nella speranza di poter saltare su un treno che li porti dove vogliono arrivare (in Germania) e dove non è detto che li accolgono, è stata opposta quella noncuranza con cui si affrontano i problemi spinosi nella speranza che prima poi si risolvano da soli, magari con l’arrivo di temperature meno miti che costringano queste persone a disperdersi. Forse non è così, però i fatti sono questi. Agli enti locali, al Comune di Como su tutti, si può imputare ben poco. Magari una maggiore attenzione, una cura più dettagliata nell’assistenza. Ma palazzo Cernezzi, bisogna essere onesti, non ha la possibilità di affrontare in maniera risolutiva questa emergenza. Bene ha fatto l’assessore Bruno Magatti a chiamare in causa in maniera perentoria quello Stato finora distratto o indifferente. Bene hanno fatto i parlamentari locali Chiara Braga e Mauro Guerra a sollecitare Roma. Perché, francamente, non ce ne voglia la Lega, la raccolta di firme per lo sgombero è solo propaganda. Al di là degli aspetti umanitari, come si può pensare di mandare via chi, trasportato mille e rotti chilometri più a Sud, a Taranto, ritorna nel giro di un paio di giorni? Non è questione di buonismo: siamo di fronte a un’emergenza che va affrontata con la soluzione più efficace e immediata, ben sapendo che non esiste quella perfetta. Adesso però le chiacchiere stanno a zero. Le immagini della stazione e dei giardini non sono la vergogna di Como, ma dell’Italia e dell’Europa. E le parole dell’ex assessore Patrizia Maesani, impegnata come volontaria nell’ex assistenza, sono la sintesi più efficace: “Prima aiutiamoli, poi discutiamo”. Anche dello status di queste persone che prima di essere richiedenti asilo o clandestini sono bisognosi.
La Croce Rossa di Como ha allestito un punto di accoglienza per i migranti in transito alla stazione. Operativo anche un ambulatorio mobile CRI
La Croce Rossa Italiana di Como ha allestito una tensostruttura con 30 posti letto e bagni chimici nell’area ex Stecav di viale Innocenzo per accogliere soprattutto mamme e bambini presenti tra i migranti in sosta da giorni nella stazione ferroviaria San Giovanni, dopo la decisione della Svizzera di chiudere il confine.
«Die Situation erinnert an den Platzspitz»
In der italienischen Stadt Como stranden zurzeit Hunderte von Flüchtlingen. Die SP spricht von einem «humanitären Problem», die UNO fordert Nothilfe.
Migrazione: situazione sempre più critica alla frontiera sud
Sono ormai quasi mezzo migliaio i migranti accampati nei pressi della stazione di Como. Negli ultimi giorni le guardie di confine elvetiche hanno riconsegnato alle autorità italiane oltre mille persone, un numero record.
Reportage: La giungla della stazione di Como
Sotto un cielo bianco di afa e umidità, sono l’unico a scendere a Como dal deserto treno che collega Chiasso e Milano. Mi giro sulla sinistra e il caso, o chiamatelo come volete, si incarica di definire la realtà e di presentarla. Al binario 1, sotto al cartellone “Deposito bagagli”, ci sono alcune persone sdraiate, avvolte in lenzuola e coperte. Lasciate lì, appunto, come fossero bagagli. Un deposito di anime, vite.
▻http://gas.social/2016/08/10/reportage-la-giungla-della-stazione-di-como
Côme : Les paroissiens au secours des migrants
Le nombre de migrants qui campent aux abords de la gare de Côme ne cesse de croître. En attente de pouvoir traverser la Suisse, quelque 500 personnes, en majorité des Africains, sont secourues par des bénévoles et des paroissiens de la ville du nord de l’Italie.
Crise des migrants : la Suisse refuse de devenir un lieu de transit vers le nord de l’Europe
Le Tessin réagit plus particulièrement à cette crise. Le canton refoule beaucoup de migrants qui campent à Côme.
▻http://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/crise-des-migrants-la-suisse-refuse-de-devenir-un-lieu-de-transit-vers-le-nord-d
Italie : la ville de Côme fait face à un exceptionnel afflux de migrants refoulés de Suisse
Les migrants qui sont refoulés de la frontière suisse se retrouvent dans le quartier de la gare.
▻http://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/italie-la-ville-de-come-fait-face-a-un-exceptionnel-afflux-de-migrants-refoules-
Côme, ou l’échec du dispositif Dublin
Le refoulement des migrants à la frontière tessinoise est révélateur d’une situation bloquée. Réactions.
Tessin eröffnet Zentrum für Rückführungen
Viele illegale Migranten kann die Grenzwacht in Chiasso nicht mehr am gleichen Tag nach Italien zurückbringen. Daher wird bei Mendrisio ein Zentrum für die Übernachtung eingerichtet.
▻http://www.nzz.ch/schweiz/aktuelle-themen/migranten-in-chiasso-tessin-eroeffnet-zentrum-fuer-rueckfuehrungen-ld.110271
#Rancate
Tessin stellt Schliessung der Grenze in Aussicht
Wenn der Andrang der Asylsuchenden anhalte, müsse man die Grenze schliessen. Das sagt der Tessiner Regierungspräsident Norman Gobbi.
▻http://www.nzz.ch/nzzas/nzz-am-sonntag/tessin-stellt-schliessung-der-grenze-in-aussicht-1.18566493
Solidarité sans frontière déçue par la position fédérale sur les migrants
Simonetta Sommaruga a affirmé que la Suisse ne va pas ouvrir un passage pour les migrants de Côme et va appliquer les accords de Dublin. L’interview d’Amanda Ioset, secrétaire politique de Solidarité sans frontières et membre du POP.
▻http://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/solidarite-sans-frontiere-deue-par-la-position-federale-sur-les-migrants?id=7918
La Suisse et l’Italie violeraient le droit des enfants à la frontière tessinoise
Au moins 80 migrants mineurs non accompagnés ont été refoulés à la frontière suisse et campent dans un parc en face de la gare de Côme, en Italie. Le traitement de ces mineurs par les autorités suisses est dénoncé.
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7931051-la-suisse-et-l-italie-violeraient-le-droit-des-enfants-a-la-frontiere-te
Après Calais, une jungle à Côme ?
Le canton du Tessin réagit à l’état d’urgence que connaît la frontière sud depuis environ un mois : il a annoncé mercredi l’ouverture d’un centre provisoire à Rancate. La nouvelle structure accueillera – mais pour une seule nuit seulement ! – des migrants qui seront ensuite refoulés en Italie.
▻http://www.lecourrier.ch/141432/apres_calais_une_jungle_a_come
Le parc des indésirables
Une ONG tessinoise aide des centaines d’Africains refoulés par la Suisse et massés à Côme, en Italie.
FOKUS : Sommaruga im Hoch ?
Die Asylsituation hat sich also etwas entspannt. Eine gute Nachricht für die zuständige Bundesrätin Simonetta Sommaruga, die vor einem Jahr in der Dauerkritik der Bürgerlichen stand. Sommaruga hat sich heute mit den Bundeshausmedien zum lockeren Gespräch getroffen.
▻http://tp.srgssr.ch/p/portal?urn=urn:srf:ais:video:28619111-a65b-4dd4-bd3d-067806319eb4&autoplay
Migranti bloccati a frontiera Svizzera, Amnesty avverte su minori a rischio
ZURIGO (Reuters) - Amnesty International ha lanciato oggi l’allarme sull’aumento dei migranti bloccati sul confine tra Italia e Svizzera e ha chiesto chiarimenti alle autorità elvetiche sulle notizie di respingimenti di minori che cercavano di raggiungere i loro genitori.
"A COMO RESPINTI 14ENNI. IN ETIOPIA A RISCHIO 90 MILIONI DI PERSONE"
Un’emergenza umanitaria che sta assumendo proporzioni catastrofiche. A Como da giorni sono accampate 500 persone che tentano senza successo di raggiungere chi la Germania chi i paesi del Nord. In questo drammatico contesto giungono le cifre ufficiali della Confederazione. Nel solo mese di luglio dalla Svizzera sono stati respinti verso l’Italia oltre 4’000 migranti, 3’500 dal solo Ticino. E oggi la Confederazione risponde alle accusa di Amnesty International che ai nostri microfoni aveva denunciato mancati ricongiungimenti familiari per minorenni e pratiche di respingimento illegali. «Anche i minori devono richiedere asilo formalmente, se no avviene la riammissione semplificata in Italia», spiega David Marquis, portavoce dell’Amministrazione federale sul Corriere del Ticino. «I minori tuttavia - specifica - richiedono una protezione speciale che il corpo della guardie di confine assicura».
Jean Zermatten : « La Suisse viole clairement les droits de l’enfant au Tessin »
Alors qu’au moins 80 migrants ont été refoulés à la frontière tessinoise, l’ex-président du comité des droits de l’enfant de l’ONU Jean Zermatten estime que la Suisse contrevient sans détour à la convention adoptée en 1989
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7935682-jean-zermatten-la-suisse-viole-clairement-les-droits-de-l-enfant-au-tess
As migrants pile up at Swiss-Italian border, Amnesty warns children at risk
Amnesty International warned of a buildup of migrants on Italy’s border with Switzerland and demanded clarification from Swiss authorities over reports by children that they had been sent back when trying to join their parents there.
▻http://www.reuters.com/article/us-europe-migrants-swiss-italy-idUSKCN10L1F6
Reportage del Caffè tra i migranti respinti alla frontiera
Tom e Karolina sono arrivati tre giorni fa da Zurigo. Hanno deciso che le loro vacanze le passeranno qui, nel parco della stazione di Como. Hanno piazzato una tenda, scaricato da un furgone una bombola di gas e un fornelletto da campeggio e hanno preparato cinque litri di tè. Poi hanno cominciato a distribuirlo in bicchieri di plastica. Davanti alla loro postazione in pochi minuti si è formata una lunga fila di migranti. Tom e Karolina fanno parte dell’associazione One Love e della piccola pattuglia di volontari italiani e svizzeri che da qualche tempo offre assistenza ai cinquecento profughi che stazionano a Como ormai da mesi. Senza indumenti, senza soldi, senza assistenza. Dormono sui prati, oppure dentro la stazione. Dal Ticino ogni mattina qui arrivano un gruppo di soci dell’associazione Firdaus. E offrono in media 500 pasti. Pavida, studentessa di Mendrisio, è una di loro. «Sono entrata nel gruppo spontaneamente - racconta - perché sentivo che era importante dare una mano a queste persone. Non è faticoso, e non lo ritengo un sacrificio. Né chiedo agli altri di fare questa scelta. Ognuno la pensa come vuole, io personalmente credo che sia necessario offrire un aiuto a chi è in difficoltà». I volontari di Firdaus, ta cui ci sono mamme, giovani ragazze e ragazzi e anche qualche pensionato, ogni mattina si trovano all’oratorio della parrocchia di Chiasso, in locali messi loro a disposizione. E cominciano a cucinare tutto ciò che viene loro portato dalle famiglie. Pasta, riso, frutta e verdura. «Sino ad oggi non ci è mai mancato nulla, la gente ha risposto bene», spiega Lisa Bosia, che coordina il lavoro del gruppo. Quando tutto è pronto da Chiasso parte una piccola carovana che si dirige verso la stazione di Como. Qui vengono distribuiti i pasti: un primo, un frutto e acqua. I profughi si mettono ordinatamente in fila in attesa del proprio turno, ringraziano e poi vanno a cercare uno spicchio d’ombra dove mangiare. Dal Ticino sono giunte anche coperte per la notte. E sino ad ora, a parte i problemi logistici e le condizioni in cui queste persone sono costrette a vivere, non ci sono stati particolari problemi di ordine pubblico. «Cinquecento persone - aggiunge Bosia - si gestiscono. Il problema è, appunto, come». Molti di loro spiegano di non aver capito perché sono stati respinti alla frontiera e «riammessi» in Italia. Alcuni non avevano i documenti in regola o non volevano chiedere asilo nella Confederazione ma proseguire per la Germania o il Belgio e i Paesi scandinavi. Ghirmay è uno di essi. Ha 19 anni, arriva da Asmara in Eritrea, e vuole raggiungere un luogo non lontano da Berlino, dove si trovano alcuni suoi parenti. «Ho provato a spiegarlo alle guardie - racconta - ma non c’è stato nulla da fare. Mi hanno restituito i documenti e mi hanno detto che non potevano farmi passare». A Chiasso, spiegano quasi tutti i gruppi di volontari presenti in questo che è diventato un autentico campo profughi alle porte della Svizzera, stanno applicando la legge alla lettera. Nessuna concessione, nessuno spiraglio. Chi non è in regola viene accompagnato a un pullmino della Caritas italiana che fa la spola tra la Dogana e la stazione di Como. Qui molti attendono qualche giorno e riprovano a passare. Senza successo. Oppure rientrano a Milano sperando di avere miglior fortuna. O, ancora, si convincono a chiedere asilo politico in Svizzera, vengono registrati e finiscono in uno dei centri della Confederazione.
▻http://caffe.ch/stories/cronaca/55192_da_chiasso_a_como_viaggia_la_solidariet
Migranti: «Ci vorrebbe un corridoio umanitario»
L’ex-consigliera federale Dreifuss prende posizione sull’eventualità di realizzarne uno tra Italia e Nord Europa
▻http://www.ticinonews.ch/ticino/306566/migranti-ci-vorrebbe-un-corridoio-umanitario
Migranti a Como, «Gravi violazioni della Svizzera»
Due esperte legali contestano i respingimenti alla frontiera e in particolar modo quelli collettivi e quelli dei minori non accompagnati
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Attualita/1100758/Migranti-a-Como--Gravi-violazioni-della-Svizzera-
La Svizzera chiude il varco di Chiasso ma i suoi volontari aiutano i migranti: la staffetta della solidarietà
Gli uomini e le donne di Firdaus ogni giorno attraversano la frontiera l contrario per portare riso o pasta per il pranzo dei profughi. La sera, invece, ci pensa la Caritas locale
Regime an der Südgrenze wird kritisiert
Können in Chiasso alle asylwilligen Migranten einen Antrag stellen, oder bringt man zu viele von ihnen gleich nach Italien zurück? Dies ist einer der Streitpunkte an der Schweizer Südgrenze.
▻http://www.nzz.ch/schweiz/aktuelle-themen/migranten-in-chiasso-und-como-die-frage-wie-dicht-die-suedgrenze-ist-ld.110925
Douaniers suisses et HCR partenaires pour mieux informer les migrants
L’administration fédérale des douanes et le HCR ont commencé à travailler ensemble en mai dernier afin d’améliorer l’information des migrants sur leurs droits et leur situation, a appris la RTS lundi.
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7940950-douaniers-suisses-et-hcr-partenaires-pour-mieux-informer-les-migrants.ht
Asylverschärfung: Maurer schweigt, Sommaruga schweigt
In den vergangenen Wochen hat das Grenzwachtkorps seine Kontrollen an der Grenze zu Italien verschärft. Vor allem die von Como nach Chiasso die Grenze überquerenden Züge werden häufiger kontrolliert. In der gleichen Zeit stieg die Zahl der Flüchtlinge, die in Como und im eine Stunde entfernten Mailand auf die Weiterreise warten, stark an. Die Rede ist von rund 500 Personen in Como und rund 3000 im Raum Mailand. Gleichzeitig berichten Flüchtlinge, Vertreter von Hilfswerken und Politiker von einer verschärften Praxis des Grenzwachtkorps. So würden Asylsuchende nach Italien zurückgeschickt, obwohl sie Asyl verlangten und deshalb nach den geltenden Vorschriften dem Empfangs- und Verfahrenszentrum des Staatssekretariats für Migration (SEM) übergeben werden müssten.
▻http://www.derbund.ch/schweiz/standard/wer-dies-klar-und-deutlich-verlangt-kann-ein-gesuch-stellen/story/21618107
"Vengono ammessi solo i richiedenti credibili"
Norman Gobbi fa chiarezza sui respingimenti al confine. La Germania intanto accusa: «Confine bucato come il formaggio»
▻http://www.ticinonews.ch/ticino/307296/vengono-ammessi-solo-i-richiedenti-credibili
« Entrer en Suisse ou être refoulé, c’est aujourd’hui une loterie »
Ancien membre du Comité exécutif du CICR, le Tessinois Paolo Bernasconi dénonce l’arbitraire des gardes-frontières suisses
▻http://www.24heures.ch/suisse/entrer-suisse-refoule-c-aujourdhui-loterie/story/31515859
Un camp pour les migrants refoulés de Suisse construit à Côme en septembre
Un centre d’accueil d’une capacité de 300 places va être construit à la mi-septembre à Côme, dans le nord de l’Italie, pour héberger des migrants refoulés de Suisse, ont fait savoir les autorités locales.
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7948406-un-camp-pour-les-migrants-refoules-de-suisse-construit-a-come-en-septemb
Emergenza San Giovanni, individuata l’area per gli alloggi prefabbricati
Ospiteranno circa trecento migranti che da settimane stazione a San Giovanni. L’area è adiacente al cimitero comunale
▻http://www.ilgiorno.it/como/cronaca/como-emergenza-profughi-container-1.2435847
Refoulés à la frontière entre Côme et Chiasso
Refoulés par les gardes-frontières suisses à la gare de Chiasso, plusieurs centaines de ...
▻http://www.illustre.ch/magazine/refoules-la-frontiere-entre-come-et-chiasso
–-> pdf dans mon dossier « Como-Chiasso »
«Basta foto ai nostri volti»
COMO - Il foglietto parla chiaro. «No foto ai volti». È appeso ad uno degli alberi del parco sotto la stazione di Como, dove da settimane vivono centinaia di migranti in attesa di poter continuare il loro viaggio verso i paesi del nord. Su di loro sono puntati i riflettori internazionali. Non c’è media che non abbia parlato di loro. Sono finiti in trasmissioni televisive, sui giornali, nei siti Internet. E ora dicono basta all’esposizione mediatica, basta sbattere il «mostro» in prima pagina. La tensione ieri sera è esplosa, con una troupe televisiva che, avvicinatasi per un servizio, è stata accolta con grida ostili dai profughi che, accorsi in massa, hanno allontanato malamente gli operatori. Per calmarli è stato necessario l’intervento della polizia, raccontano a tio.ch-20minuti alcuni testimoni.
Un aggiornamento sulla situazione a Como e sui respingimenti dalla Svizzera
Con la chiusura dei valichi del Brennero e di Ventimiglia molti migranti subsahariani hanno iniziato a raggiungere la città di Como con l’intenzione di passare il valico di Chiasso per raggiungere i Paesi del nord, in particolare la Germania, o di chiedere asilo alla Svizzera.
Il loro numero è andato aumentando progressivamente a partire dall’inizio di agosto.
Attualmente nel parco antistante la stazione di Como San Giovanni e nella stazione stessa si trovano circa 500 persone in aumento nel numero di circa 50 migranti al giorno.
Sono per circa il 40% etiopi, per il 45% eritrei e il restante 15% è composto per il 5% da persone provenienti dall’Africa dell’Ovest, per il 10% da sudanesi, somali e afgani.
▻http://www.meltingpot.org/Un-aggiornamento-sulla-situazione-a-Como-e-sui.html
Guerra al desiderio migrante. Deportazioni da Ventimiglia e Como verso gli hotspot
Nelle ultime settimane centinaia di migranti sono stati coattivamente trasferiti da Ventimiglia e Como verso gli hotspot del sud Italia. Una doppia motivazione ufficiale accompagna le operazioni. Da un lato, il trasferimento di massa viene presentato in ragione della necessità di alleggerire la pressione sulla frontiera, dopo le tensioni delle ultime settimane. Allo stesso tempo, vengono evocate motivazioni di identificazione: all’interno degli hotspot, infatti, i funzionari della polizia provvedono ad effettuare il fotosegnalamento e a verificare la posizione giuridica dei migranti. Evidentemente, il significato di questi trasferimenti - descritti molto spesso in termini di deportazioni - va ben oltre le necessità logistiche e di identificazione richiamate dal governo.
▻http://www.meltingpot.org/Guerra-al-desiderio-migrante-Deportazioni-da-Ventimiglia-e.html
Das Leiterspiel von Como
Mehr als 500 Flüchtlinge stecken in Como fest. Die Schweiz weist sie an der Grenze ab, selbst wenn sie ein Asylgesuch stellen. Unterwegs nach Chiasso mit Hassan und Ali.
Grenzwächter in der Kritik
Hilfsorganisationen kritisieren, die Grenzwache verweigere Asylsuchenden die Einreise, während ein deutscher Politiker mahnt, die Schweiz werde zum Transitland. Die Behörde weist beide Vorwüfe zurück.
«Ha 16 anni, è malato e continuano a respingerlo»
Ha attraversato da solo il Sudan, la Libia e il Mediterraneo. Ma a Chiasso ha trovato l’ostacolo insormontabile. Sta cercando di raggiungere i fratelli
Il dramma dei profughi a Como, di Roberto Antonini
Un reportage sui profughi che si stanno ammassando in condizioni assolutamente precarie nei pressi della stazione di Como. Grazie al lavoro di volontari, italiani e ticinesi diverse centinaia di africani riescono a sopravvivere nella speranza di poter passare la frontiera e chiedere asilo più a nord, in Svizzera e soprattutto Germania e Europa settentrionale. Ma con il passare dei giorni sale lo scoramento, il senso di frustrazione, di impotenza. Sono soprattutto ragazzi, ma vi sono anche famiglie con donne e bimbi, provenienti da Sudan, Somalia, Eritrea, Etiopia. Tutti alla ricerca di un futuro. Un’impasse quasi totale: sbarcati in Italia dopo aver attraversato il Mediterraneo sui barconi, registrati negli “hotspot” italiani dovrebbero in effetti chiedere asilo in Italia per poi essere più tardi eventualmente distribuiti in altri paesi europei. Una prospettiva però che ai loro occhi rimanda alle calende greche qualsiasi tentativo di iniziare una nuova vita fatta di lavoro e stabilità. Quasi tutti fuggono da situazione estreme, quasi tutti hanno vissuto traumi inenarrabili: violenze, stupri, torture sia nel loro paese sia nel cammino che hanno seguito per la loro fuga. Laser li ha voluti sentire, per capire il loro stato d’animo, le loro storie. Al di là di qualsiasi dibattito politico, una fotografia dalla forte componente umana.
▻http://www.rsi.ch/rete-due/programmi/cultura/laser/Proprio-fuori-dalla-porta-di-casa-nostra-7863692.html
Hier endet die Mittelmeerroute
Seit Anfang August ist Como eine Stadt mit wildem Flüchtlingslager. Kritische Helfer machen die Schweiz für das Elend verantwortlich. Haben sie recht?
Maurer gibt den Schattenasylminister – Sommaruga schweigt
Das hat es so noch nicht gegeben: Die Asylpolitik wird derzeit nicht von der zuständigen Justizministerin bestimmt, sondern vom Finanzminister. Ueli Maurer (SVP) hat Simonetta Sommaruga (SP) das Heft aus der Hand genommen und mit dem verschärften Grenzregime im Tessin Fakten geschaffen. Das neue Regime ist ein Politikwechsel mit Ansage. Dazu muss man gut ein halbes Jahr zurückblenden.
▻http://www.bernerzeitung.ch/schweiz/standard/Maurer-gibt-den-Schattenasylminister--Sommaruga-schweigt/story/16036795
Vu d’Italie. Drone, gardes-frontières : l’efficacité suisse contre les migrants
Alors que l’Italie fait face à un important afflux de migrants ces dernières semaines, L’Espresso s’est penché sur l’impressionnant dispositif déployé par la Suisse pour surveiller ses frontières.
▻http://www.courrierinternational.com/article/vu-ditalie-drone-gardes-frontieres-lefficacite-suisse-contre-
Esclusivo : dietro i controlli svizzeri al confine
Per due giorni, «l’Espresso» ha seguito le guardie di frontiera elvetiche. Fra pattugliamenti, droni, e inseguimenti nelle stazioni. Dal «Centro forte migrazione» - allestito per i primi controlli alle migliaia di richiedenti asilo, soprattutto eritrei, che stanno cercando di trovare un passaggio verso Nord dall’Italia - ai boschi dei vecchi contrabbandieri. Ecco le immagini
▻http://espresso.repubblica.it/foto/2016/08/16/galleria/esclusivo-dentro-i-controlli-svizzeri-al-confine-1.280446#3
Dans ce reportage, il y a cette image :
Il drone elvetico che sorprende la stampa italiana
Vista l’attuale pressione migratoria sul confine italo-svizzero il tema continua a far scorrere fiumi d’inchiostro
Confine svizzero blindato. C’è il drone anti migranti
Le forze aeree elvetiche pattugliano il valico di notte con un velivolo telecomandato
▻http://www.laprovinciadicomo.it/stories/como-citta/confine-svizzero-blindatoce-il-drone-anti-migranti_1193490_11
La situation des Migrants à Côme
▻https://www.mixcloud.com/LibrAdio/la-situation-des-migrants-%C3%A0-c%C3%B4me-analyse-avec-cristina
Publié par Stefania Summermatter sur twitter, le 21.08.2016.
Paru dans le Corriere di Como :
Gobbi: «Mein Ziel ist nicht, mich um die Migranten zu kümmern»
Die Situation an der Schweizer Südgrenze sorgt für Schlagzeilen: Zahlreiche Flüchtlinge sitzen in Italien fest. Sie können nicht durch- oder einreisen. Wer nicht explizit um Asyl bittet, wird zurück nach Italien geschickt. Was passiert im Südkanton? Der Tessiner Polizeidirektor Gobbi nimmt Stellung.
▻http://www.srf.ch/news/schweiz/gobbi-mein-ziel-ist-nicht-mich-um-die-migranten-zu-kuemmern
L’Italie demande un traitement « humanitaire » pour les migrants de Côme
Le ministre italien des Affaires étrangères Paolo Gentiloni, de passage à la RTS lundi, a demandé que la crise migratoire à la frontière avec son pays soit traitée de manière « humanitaire et non bureaucratique ».
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7958622-l-italie-demande-un-traitement-humanitaire-pour-les-migrants-de-come.htm
Zahl der illegalen Grenzübertritte im Tessin sinkt stark
An der Südgrenze griffen die Behörden in der letzten Woche fast 400 Flüchtlinge weniger auf als eine Woche davor. Die meisten Aufgegriffenen werden rasch nach Italien zurückgeschickt.
Au Tessin, un nouveau centre pour migrants, et pour une nuit
A Rancate, vers Mendrisio, une nouvelle structure unique et temporaire pour migrants sans papiers sur le point d’être renvoyés en Italie ouvrira ses portes d’ici au 28 août. Malgré l’opposition de la Lega et de l’UDC
▻https://o.twimg.com/2/proxy.jpg?t=HBhbaHR0cHM6Ly9hc3NldHMubGV0ZW1wcy5jaC9zaXRlcy9kZWZhdWx0L2ZpbGV
▻https://www.letemps.ch/suisse/2016/08/22/tessin-un-nouveau-centre-migrants-une-nuit
«Sie weisen alle zurück»
In einem Brief an die Behörden erheben die Flüchtlinge in Como schwere Vorwürfe gegen die Schweiz.
Didier Burkhalter : « Il y a une marge d’appréciation humanitaire » à Côme
Le ministre des Affaires étrangères Didier Burkhalter a réagi lundi pour la première fois à la situation des migrants bloqués à Côme. « Il y a une marge d’appréciation humanitaire », explique-t-il.
▻http://www.rts.ch/info/suisse/7959740-didier-burkhalter-il-y-a-une-marge-d-appreciation-humanitaire-a-come.htm
Mon commentaire :
… per la LEtr può esserci un margine di apprezzamento, come dice, farli entrare anche se la legge dice che si devono rinviare (art. 115 LEtr)...
—> ma per chi vuole chiedere asilo e le guardie non glielo lasciano fare (art. 18 LAsi) non è questione di margine di apprezzamento umanitario… ma di illegalità della pratica!
Asse Como-Chiasso; chiusura e deportazione tra il silenzio di tutti
Chiasso ore 20.58, il treno proveniente da Como S. Giovanni si ferma, vengono spente alcune luci e salgono le guardie di confine, le quali cominciano a camminare tra i sedili dicendo solo; “passport?” a tutte le persone di colore. Due giovani, si guardano con timore e rispondono che non ce l’hanno. La guardia gli intima dunque “So, out of the train”, e i due vengono fatti scendere e messi contro una parete sul binario. Le guardie cercano ancora, trovano una donna con due bambini, di circa quattro o cinque anni, stessa domanda; “passport?”, lei intimorita dice di non avere documenti, stessa scena, le guardie intimano alla donna di scendere dal treno con i suoi bambini. Un giovane passeggero che guardava la scena si alza indignato; “Ma cosa state facendo?! Sono due bambini!”. La guardia lo osserva di sfuggita e gli borbotta; ”verstehe ich nicht”, il ragazzo allora comincia a parlare in tedesco dichiarando che è una scena oltraggiosa, che non è un paese di diritto quello che respinge una famiglia con dei bimbi piccoli. La guardia replica sbrigativamente che non deve preoccuparsi, che si prenderanno cura loro delle persone bloccate. Il ragazzo abbaia ancora una risposta; “Ah si?! E come? Rispedendoli a Como e lavandosene le mani?”. La guardia scuote una mano come per scacciare una mosca fastidiosa e si allontana con la famiglia confusa e impaurita. L’ultima scena prima che il treno parta; cinque persone scure di pelle contro la parete e almeno quindici guardie di confine di fronte a loro, in semicerchio e braccia incrociate.
Como/Chiasso : Il Cerbero Suisse e il Tam Tam umanitario…l’Europa?
“Che cattivo gusto sbattere sui social e sui giornali, con tanto di fotografie, le altrui disgrazie, dolori ed affanni.” In questi mesi è stata così criticata l’iniziativa di alcuni operatori umanitari che, per disgrazia o per fortuna, si trovano a rivestire anche dei ruoli istituzionali di rilievo che danno visibilità. Molti vorrebbero i politici chiusi nei palazzi governativi a legiferare fra dati, tabelle e statistiche… se no come possono poi lamentarsi che la classe politica è deficitaria, assente, distratta, priva di una visione della realtà del paese ed attaccano gratuitamente chiunque, per qualsiasi cosa, urlando “I politici da noi pagati non fanno nulla!”?
▻https://eraorasite.wordpress.com/2016/08/22/comochiasso-il-cerbero-suisse-e-il-tam-tam-umanitario-e-leurop
Profughi bimbi respinti dalle guardie di Chiasso
«Abbiamo visto un bus con 26 minori rimandati in Italia dalle guardie di confine e sembra che ciò avvenga più volte al giorno. Berna è informata e anche la direttrice del Dipartimento di giustizia e polizia, Simonetta Sommaruga». A dirlo al Caffè è Cesla Amarelle, consigliere nazionale socialista, che la prossima settimana con altri colleghi di partito chiederà a Berna di mandare dei «rinforzi» alla frontiera di Chiasso. «Specialisti, medici e traduttori per assistere i minori non accompagnati - spiega -. Non è più possibile lasciare senza aiuto e senza protezione tutti questi ragazzini completamente soli».
▻http://caffe.ch/stories/cronaca/55269_profughi_bimbi_respinti_dalle_guardie_di_chiasso
Minori al confine: le pesanti (e taciute) responsabilità di Gobbi
Ogni giorno decine di minori vengono respinti al confine e rimandati in Italia. Lo riporta il Caffè in un articolo firmato da Patrizia Guenzi, una che sa fare giornalismo e che, quando serve, sa scrivere con la matita affilata.
▻http://gas.social/2016/08/22/minori-al-confine-le-pesanti-e-taciute-responsabilita-di-gobbi
Tutti nello stesso inferno
Vi racconto la Como che vedo io, quella che non vedrete sui giornali.
A Como, in alto sulla destra, dorme una signora che ha perso il figlio durante la traversata. È giovane, il figlio doveva essere piccolo ma non ho osato chiederglielo. Sotto la pianta centrale c’è una ragazza che invece ha perso il fratello e che non smette di singhiozzare. È molto giovane e bella, è minuta e piange anche mentre dorme. È già stata rinviata sotto la pianta due volte. Le altre ragazze la curano, le stanno vicino, la imboccano perché è quasi incapace di provvedere a sé. Poi c’è il gruppo dei torturati. All’inizio erano in dieci, tutti dello stesso gruppo, in seguito sono stati separati. Hanno trascorso dieci mesi nello stesso inferno, dieci mesi attaccati alla parete come i cani. Sono in cinque. A uno hanno spaccato il piede, l’altro è stato torturato con frustate e bruciature, il terzo è arrivato con la mascella completamente fracassata e per tenerla insieme a Lampedusa gli hanno dovuto fare un impianto che gli sigilla completamente la bocca. Ieri erano 15 giorni che non mangiava, deve tenerlo per altri 15 giorni. È alto, molto magro, non voleva andare all’ospedale per paura di essere identificato. Al ragazzo di 15 anni hanno sparato con un colpo che è entrato dalla scapola destra ed è uscito dal costato. Non paghi, i carcerieri libici gli hanno aperto un braccio con un coltello, tanto che sta perdendo l’uso della mano. Forse per un’infezione. Lui è quello che avendo un fratello a Ginevra è stato accompagnato a chiedere asilo ieri pomeriggio. A mio modestissimo avviso, avrebbe dovuto essere portato in ospedale ma ieri sera non c’era e oggi di lui non abbiamo notizie. Non sappiamo dove sia, in una CPC? Al CRP? Il fratello è preoccupato e lo sono anch’io. Non risponde al telefono, forse è in un bunker.
"Manipolata la verità sui migranti"
Norman Gobbi respinge le accuse di trattamenti umilianti da parte delle guardie di confine. «Sono umani»
▻http://www.ticinonews.ch/ticino/308606/manipolata-la-verita-sui-migranti
Temporäres Asylzentrum in Rancate soll Rückführungen erleichtern
Migranten, die an der Schweizer Grenze in Richtung Italien abgewiesen werden, sorgen seit Wochen für Kontroversen. In Rancate TI wird am Sonntagabend nun ein Rückführungszentrum für illegale Aufenthalter eröffnet, das bei der Bewältigung der Aufgabe helfen soll.
▻https://static.a-z.ch/__ip/eQOiFTfxj0ttqtwjzHwa-NhiP_U/74ab9c9b00740e57a86d26bd9079874921bb7c53/n-max-16x9
▻http://www.limmattalerzeitung.ch/schweiz/temporaeres-asylzentrum-in-rancate-soll-rueckfuehrungen-erleichte
Das Versteckspiel der Behörden
Der Verdacht erhärtet sich: Die Schweiz bricht an der Tessiner Landesgrenze geltendes Recht. Derweil besingt Ueli Maurer die Zusammenarbeit mit Italien.
▻https://www.woz.ch/1634/como/das-versteckspiel-der-behoerden
Schweizer Grenze ist, wo Kinder auf dem Boden schlafen – weh dir, Helvetia!
Ich war in Flüchtlingscamps im Libanon, in Idomeni, in Athen, in der Schweiz – doch erst in Como wurde ich richtig wütend. Ich habe es satt.
"Umiliato dalle Guardie di confine svizzere"
Un 17enne eritreo racconta il suo traumatico tentativo di entrare in Svizzera dal valico di Chiasso
▻http://www.ticinonews.ch/ticino/308365/umiliato-dalle-guardie-di-confine-svizzere
*Migranti bloccati a Como: cosa sta accadendo alla frontiera di Chiasso?*
Le testimonianze raccolte da Amnesty International parlano di gravi violazioni dei diritti umani da parte delle guardie di confine elvetiche: domande d’asilo ignorate, minorenni respinti, migranti denudati e poi rinchiusi. Accuse respinte in blocco dal comandante Mauro Antonini che dopo settimane di silenzio ha preso la parola per difendere l’operato dei suoi agenti.
▻http://www.swissinfo.ch/ita/asilo_migranti-bloccati-a-como--cosa-sta-accadendo-alla-frontiera-di-chiasso-/42400540
Profughi a Como. Scene di caccia in alto Ticino
L’ultima frontiera è il confine con la Svizzera. Chiusa la rotta balcanica, presidiata Ventimiglia, bloccato il Brennero, i profughi tentano di raggiungere il nord Europa passando da Como a Chiasso, entrando nel Canton Ticino, per poi raggiungere la Germania o altri Paesi europei. Sono violentemente respinti dai gendarmi elvetici con la collaborazione della polizia italiana: violando i diritti umani, la legge svizzera e i trattati internazionali, denuncia l’avvocato Paolo Bernasconi, già membro del comitato internazionale della Croce rossa, che ha appena inoltrato un rapporto alle Nazioni Unite.
▻http://www.giannibarbacetto.it/2016/08/26/profughi-a-como-scene-di-caccia-in-alto-ticino
Journal télé 20h du 25.08.2016
▻http://www.rsi.ch/la1/programmi/informazione/telegiornale
Interview à Antonini, chef des gardes-frontière zone IV :
▻http://www.rsi.ch/news/mondo/Al-confine-dialogo-a-distanza-7925459.html
A partir de la minute 13’34
Ueli Maurer verteidigt Rückweisungen
Erstmals äussert sich SVP-Bundesrat Ueli Maurer zur Kritik am Verhalten des Grenzwachtkorps an der Südgrenze - und weist alle Vorwürfe zurück. Die Situation in Como sei allein das Problem Italiens.
▻http://www.nzz.ch/schweiz/fluechtlinge-an-der-schweizer-suedgrenze-ueli-maurer-verteidigt-rueckweisungen-l
Como, ecco il nuovo limbo dei migranti: la Svizzera non li vuole e l’Ue li costringe a restare in It
Hanno raggiunto la Libia dal Corno d’Africa, attraversando poi il mediterraneo fino all’Italia nella speranza di arrivare in nord Europa, dove molti di loro hanno amici e parenti pronti ad accoglierli. E invece, quando ormai sembrava fatta, davanti a loro hanno trovato una porta chiusa. Sono i circa 500 profughi che da giorni sono accampati alla stazione di Como S. Giovanni, a pochi minuti di treno da quel sogno chiamato Svizzera che, tuttavia, in mancanza di documenti che provino la presenza di parenti o amici, li ha respinti senza appello. I profughi, provenienti soprattutto dal Darfur, dal Sudan e dall’Etiopia sono ora condannati a vivere in una specie di limbo dantesco: il governo elvetico ne accoglie solo un numero esiguo, mentre l’Europa non consente loro di lasciare l’Italia perché il regolamento “Dublino II” (il trattato Ue per i richiedenti asilo politico e umanitario) prevede che la richiesta di accoglienza possa essere accettata solamente nel primo paese dell’Unione in cui i migranti mettono fisicamente piede, in questo caso l’Italia. E così i profughi diventano inconsapevoli protagonisti di una grottesca versione contemporanea del film “Casablanca”, e come nel prologo della celebre pellicola interpretata da Humphrey Bogart, “Aspettano… aspettano… aspettano”.
« Aider les migrants, c’est une affaire personnelle »
AsileLa Tessinoise Lisa Bosia Mirra mène une véritable bataille pour conseiller les migrants bloqués à Côme. Portrait.
Migranti, in campo la SUPSI
Da settembre le guardie di confine ticinesi collaboreranno con la SUPSI per comunicare meglio con i profughi che raggiungono la frontiera sud. Lo ha dichiarato lunedì mattina, durante la trasmissione di approfondimento Modem, il comandante delle guardie di confine Mauro Antonini.
“Prossimamente ci sarà un incontro con i professionisti della comunicazione della SUPSI direttamente al fronte, per analizzare le procedure di comunicazione in atto e identificare con loro un modo per poter comunicare con queste persone in maniera puntale”, ha precisato Antonini.
La necessità di comunicare meglio con chi arriva a Chiasso è stata sottolineata anche dalla responsabile per la Svizzera e il Liechtenstein dell’Alto Commissariato per i rifugiati delle Nazioni Unite Anja Klug. “Ci sono alcuni punti deboli sui quali lavorare”, ha dichiarato Anja Klug, “uno di questi riguarda la possibilità di trasmettere le informazioni utili anche a chi non parla italiano, tedesco o inglese”.
▻http://www.rsi.ch/news/ticino-e-grigioni-e-insubria/Migranti-in-campo-la-SUPSI-7942451.html
Camp de réfugiés aux portes de la Suisse
Ils sont des centaines de réfugiés, principalement des Erythréens et des Ethiopiens, bloqués à la gare de Côme, à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Les autorités suisses se montrent fermes et refusent de les laisser entrer sur sol helvétique. Reportage
►http://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/camp-de-refugies-aux-portes-de-la-suisse?id=7956387
Immigrazione, le Guardie di confine spiegano i fatti
Dopo il silenzio stampa imposto da Berna, le Guardie di confine rispondono alle critiche sul loro operato con i migranti
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Attualita/1103202/Immigrazione-le-Guardie-di-confine-spiegano-i-fatti
Denunciato un volontario e Bosia Mirra chiusa fuori
Alla granconsigliera Lisa Bosia Mirra è stato impedito l’accesso alla conferenza stampa delle Guardie di confine. Un volontario indagato come passatore
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Attualita/1103460/Denunciato-un-volontario-e-Bosia-Mirra-chiusa-fuori
Migranti respinti Amnesty International denuncia: «La Svizzera non rispetta i diritti dei profughi minorenni. E alle Guardie di confine in Ticino è stato affidato un compito che esula dalle loro competenze»
Denise Graf, esperta di asilo di Amnesty International Svizzera, ha partecipato oggi in Ticino a una conferenza stampa. Ha chiesto alle autorità di proteggere i diritti dei minorenni che si trovano a Como
▻http://www.liberatv.ch/it/article/33275/migranti-respinti-amnesty-international-denuncia-la-svizzera-non-rispetta-i
Migranti : diritti violati al confine italo-svizzero
In una conferenza stampa svoltasi oggi, 31 agosto 2016, a Chiasso (Svizzera), l’Associazione Studi Giuridici sull’Immigrazione (ASGI) e l’Associazione svizzera FIRDAUS hanno denunciato le numerose violazioni della normativa vigente riscontrabili nell’ambito dei respingimenti di cittadini stranieri effettuati negli ultimi mesi alla frontiera di Chiasso.
▻http://www.asgi.it/asilo-e-protezione-internazionale/migranti-diritti-violati-al-confine-italo-svizzero
Como hofft auf das «Container-Dorf»
Bald soll die norditalienische Grenzstadt Como die ersten Wohncontainer für Migranten erhalten. Das entschärft die Situation am Bahnhof – doch so schnell werden die Flüchtlinge Como nicht verlassen.
▻http://www.nzz.ch/schweiz/migranten-camp-como-hofft-auf-die-container-stadt-ld.113596
“La Svizzera viola le leggi sul diritto d’asilo”
Le associazioni per i diritti umani che seguono i migranti hanno denunciato, ancora una volta, la situazione al confine di Chiasso. Le guardie di frontiera non hanno gli strumenti per valutare i singoli casi di persone che cercano di entrare in Svizzera. Per esempio non hanno un interprete. E dunque violano le leggi sul diritto di asilo e di protezione.
▻http://www.radiopopolare.it/2016/08/la-svizzera-viola-le-leggi-sul-diritto-dasilo
Dai bunker alla dignità
Al di la della frontiera, a Chiasso, tutto pare tranquillo. Solo attorno alla stazione ci si accorge di numeri importanti di poliziotti. Tanti.
«Una commissione indaghi su ciò che è successo a Chiasso»
Secondo l’associazione di avvocati Asgi, sarebbero violati almeno 20 articoli di convenzioni internazionali nel trattamento dei migranti al confine
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Attualita/1103528/-Una-commissione-indaghi-su-cio-che-e-successo-a-Chiasso-
Lisa Bosia Mirra fermata
È sospettata di aver aiutato alcuni migranti minorenni a valicare il confine tra l’Italia e la Svizzera
▻http://www.rsi.ch/news/ticino-e-grigioni-e-insubria/Lisa-Bosia-Mirra-fermata-7956707.html
Une élue PS tessinoise accusée d’avoir aidé des migrants à entrer en Suisse
La parlementaire tessinoise socialiste Lisa Bosia Mirra, 43 ans, a été arrêtée jeudi à Stabio (TI). Il lui est reproché d’avoir voulu faciliter l’entrée irrégulière en Suisse de quatre migrants.
▻http://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/7984698-une-elue-ps-tessinoise-accusee-d-avoir-aide-des-migrants-a-entrer-en-sui
La Svizzera respinge i minori stranieri alla frontiera con l’Italia
“Caro viaggiatore, le persone che vedi qui sono in fuga da fame e da guerre. Noi, semplici cittadini, cerchiamo di accoglierli con rispetto e umanità. Della tua sosta a Como serba anche questo ricordo”, il volantino, in italiano e in inglese, con scritte bianche su sfondo azzurro accoglie il turista che arriva alla stazione di Como San Giovanni in un weekend di fine estate. Sulle colonne della piccola stazione ferroviaria nell’Italia settentrionale, i volontari hanno appeso una lettera indirizzata ai viaggiatori per spiegare cosa sta succedendo in questo luogo di passaggio, diventato un rifugio per centinaia di persone, respinte dalla Svizzera in Italia al valico di Chiasso dall’inizio dell’estate.
▻https://o.twimg.com/2/proxy.jpg?t=HBg-aHR0cDovL21lZGlhLmludGVybmF6aW9uYWxlLml0L2ltYWdlcy8yMDE2LzA
▻http://www.internazionale.it/reportage/annalisa-camilli/2016/09/01/svizzera-respingimenti-como-migranti
Passatori del cuore: «Intento onorevole alla luce delle tradizioni svizzere»
Padre Guido Rivoir fu giudicato e assolto nel 1974 per aver aiutato l’entrata illegale in Svizzera di profughi cileni
Migranti, la faccia cattiva della Svizzera con i minori
Kiflom, sedicenne eritreo, guarda contrariato lo schermo del cellulare. Aspetta, deluso, notizie: sperava, dopo un viaggio durato nove mesi, di riabbracciare il fratello in Svizzera, che è titolare di asilo politico e lavora facendo le pulizie in un centro congressi vicino a Losanna. Avevano appuntamento per lo scorso sabato. E invece no, le guardie svizzere di frontiera hanno fatto scendere dal treno il ragazzino, scappato dalla dittatura per evitare il servizio militare a vita. In Eritrea diventa obbligatorio a 16 anni: si entra nell’ esercito da adolescenti, si finisce a lavorare gratis nelle miniere di Stato e se ne esce vecchi. «Controllavano – dice il ragazzino – solo le persone con la pelle nera». «Non potevo dipingermi di bianco», trova la forza di scherzare. «Ho subito detto – torna serio – che volevo chiedere asilo politico in Svizzera, per poter vivere con mio fratello. Ho provato anche in inglese, ma non mi hanno fatto parlare».
▻http://m.famigliacristiana.it/articolo/migranti-la-faccia-cattiva-della-svizzera-con-i-minori.htm
L’aide à la fuite n’est pas un crime
Hier, jeudi 1er septembre, la députée socialiste tessinoise Lisa Bosia Mirra a été arrêtée. Elle est accusée d’avoir aidé des demandeurs d’asile mineurs à franchir la frontière depuis l’Italie. Lisa Bosia Mirra s’engage depuis plusieurs semaines auprès des demandeurs d’asile refoulés par la Suisse vers la ville italienne de Côme.
Lisa, hai fatto una cazzata
Certo che ha fatto una cazzata. Non è possibile che una persona che ha un ruolo istituzionale, nello Stato, una persona a cui i cittadini danno la loro fiducia la tradisca così. Non è possibile che pensieri etici, o di pietismo, o sentimentali prevalgano sulle leggi dello stato che sono le leggi che tutti dobbiamo rispettare.
Una vita. Il mondo. Non so gli altri, ma io sono con te.
Caso Bosia Mirra, da Basilea chiesto procedimento penale contro Gobbi
Per le due deputate basilesi gli agenti ticinesi, con le loro perquisizioni e il fermo, avrebbero commesso «atti di criminalizzazione», adottando un comportamento «riprovevole e illegale». Attraverso un comunicato stampa diramato in mattinata Tonja Zürcher e Beat Leuthardt auspicano la completa riabilitazione della granconsigliera ticinese, l’apertura di un’inchiesta neutrale di quanto accaduto, e l’avvio di un procedimento penale nei confronti del consigliere di Stato Norman Gobbi.
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Politica/1103811/Caso-Bosia-Mirra-da-Basilea-chiesto-procedimento-penale-contro-Gobbi
Dans la « jungle de Côme », où les réfugiés butent sur la Suisse
Depuis deux mois, des centaines de migrants originaires d’Afrique sont bloqués à la gare de Côme, en Italie, dernier arrêt avant Chiasso, au Tessin. Parmi eux, des dizaines de mineurs. Reportage au coeur de la crise, entre solidarité citoyenne et déplacements forcés.
Respingimenti a Chiasso: Possibile interroga Alfano
Abbiamo presentato un’interrogazione urgente al Ministro dell’Interno Alfano su quanto sta avvenendo alla frontiera di Chiasso e sul trattamento inumano che Italia e Svizzera stanno riservando a centinaia di migranti.
▻http://www.possibile.com/respingimenti-chiasso-possibile-interroga-alfano
L’errance des réfugiés à la frontière italo-suisse
A la frontière entre la Suisse et l’Italie les jeunes réfugiés, dont certains ont moins de 12 ans, ne sont absolument pas pris en charge. Ils font partie des centaines de demandeurs d’asile qui depuis le début de l’été dorment à la belle étoile dans un parc devant la gare italienne de Côme. Des réfugiés qui sont régulièrement refoulés à la douane suisse de Chiasso. Plusieurs associations accusent la Suisse de violer la convention de Genève des droits de l’enfant. Katia Mischel.
▻http://www.rfi.fr/emission/20160908-errance-refugies-frontiere-italo-suisse
Como-Taranto, andata e ritorno: il bus dei migranti è un #business
C’è un «gioco dell’oca» dei disperati che costa alle casse dello Stato oltre 20 mila euro ogni settimana. Dalla metà di luglio va in scena da Como a Taranto, e ritorno.
▻http://www.lastampa.it/2016/09/10/italia/cronache/comotaranto-andata-e-ritorno-il-bus-dei-migranti-un-business-N1gR7lU6eVRgDBpZRWwT9M/pagina.html
Emergenza Como: Msf cerca mediatori culturali
Medici senza frontiere – Missione Italia è alla ricerca di mediatori linguistico culturali di lingua araba, tigrina e amarica. Il luogo di lavoro è Como, nel pieno dell’emergenza nata nel corso dell’estate e non ancora risolta.
▻http://viedifuga.org/emergenza-como-msf-cerca-mediatori-culturali
Article et éditorial paru dans Le Matin du 14.09.2016
▻http://www.lematin.ch/suisse/etrange-diagnostic-dueli-maurer/story/25844930
Migranti, l’odissea dei piccoli. Minori come pacchi tra Italia e Svizzera: “Respinti in barba agli accordi”
L’Alto commissariato delle Nazioni Unite per i rifugiati (UNHCR) ha denunciato la situazione già a inizio agosto: “Su 450 persone in transito presenti a Como, la metà è rappresentata da minori non accompagnati. Si tratta di persone in pericolo, fragili e esposte a rischi enormi”. Carlotta Sami, portavoce dell’UNHCR in Italia, aveva espresso la propria preoccupazione in quanto “le donne sole con figli piccoli e i minori senza adulti di riferimento possono essere esposti a abusi e sfruttamento da parte di trafficanti”. Diversamente dagli adulti, per i quali (in base al regolamento di Dublino) la procedura di richiesta di asilo può essere effettuata solo nel primo paese di arrivo, ai minori è garantita la possibilità di richiedere la protezione in qualsiasi paese facciano richiesta. Eppure, come ha denunciato qualche settimana fa la parlamentare elvetica Lisa Bosia Mirra, presidente dell’associazione Firdaus, “ci sono testimonianze di decine di minori che pur avendo dichiarato di voler presentare domanda di asilo in Svizzera, sono stati ricacciati indietro”. Confermano la dinamica i volontari della parrocchia di Rebbio, a pochi chilometri dal confine, dove don Giusto della Valle tiene sempre la porta aperta ed ha accolto nell’ultimo mese nei suoi locali la maggior parte dei 600 minori non accompagnati che la Caritas Diocesana di Como ha preso in carico dalla Prefettura. Come spiega a ilfattoquotidiano.it don Giusto, da cinque anni dopo una vita in Camerun:“Fino a giugno passavano facilmente in Svizzera, ma ora è quasi impossibile. Per fortuna Como si è mossa, moltissime persone solidali hanno reso possibile l’accoglienza in città e supportato i migranti in transito. È importante che ci siano luoghi di dialogo e di incontro con i migranti. In queste settimane abbiamo stretto rapporti importanti con diverse associazioni elvetiche per cercare insieme alcune soluzioni per la riapertura della frontiera.” Tra le iniziative messe in campo, ieri si è incontrato a Rebbio un team legale di avvocati svizzeri, disposti ad accompagnare volontariamente i minori a fare la richiesta di asilo a Chiasso, per tutelarli e assicurare il rispetto dei loro diritti. “È un’iniziativa importante, perché molti ragazzi non conoscono i loro diritti”, evidenzia Federica Giannotta di Terres des Hommes, che aggiunge: “Continuiamo a registrare minori soli rimandati in Italia, ci raccontano che vengono spogliati e perquisiti, trattenuti in alcuni casi più a lungo dei maggiorenni ma poi ugualmente respinti, anche se richiedono asilo in Svizzera”. Conferma questa situazione anche l’assessore alle Politiche sociali di Como Bruno Magatti: “A Chiasso la polizia italiana riceve oltre 100 persone respinte ogni giorno, i minori li prendiamo in carico tutti”. E domanda: “Perché oltre confine non accade?” Dalla parrocchia di Rebbio transitano quotidianamente dalle 80 alle 100 persone, tra minori non accompagnati, donne e nuclei familiari con figli anche di pochi mesi: “Ma nessuno vuole rimanere qui, solo in 15 da luglio ad oggi hanno richiesto asilo e iniziato il percorso in comunità per minori”. “È una situazione molto difficile da gestire – denuncia da tempo il direttore della Caritas di Como Roberto Bernasconi – Ci vorrebbero mediatori culturali, interpreti e strutture adatte”. Invece, ancora una volta, l’emergenza umanitaria è in mano ai volontari. “Li ospitiamo nella parrocchia di Rebbio e in altre strutture in città – aggiunge il direttore della Caritas – Offriamo loro cibo, vestiti puliti, la possibilità di lavarsi e dormire.” Lunedì 19 settembre è prevista l’apertura del Centro di Accoglienza gestito dalla Croce Rossa Italiana per conto della Prefettura, ma come sottolineano alcuni volontari della Rete “Como Senza Frontiere” – che incontriamo al campo spontaneo di transito dove in 500 trovano riparo vicino alla stazione – “non sarà facile” convincere le persone in viaggio accampate nei pressi della stazione “ad accettare forme di aiuto che implicano anche luoghi in cui dormire, perché il loro obiettivo è uno solo: oltrepassare il confine con la Svizzera”
▻http://tv.ilfattoquotidiano.it/2016/09/15/migranti-lodissea-dei-piccoli-minori-come-pacchi-tra-italia-e-svizzera-respinti-in-barba-agli-accordi/560281
Les migrants de la gare de Côme transférés vers un site aménagé
Les migrants qui bivouaquaient à la gare de Côme ont été transférés mercredi vers un site spécialement aménagé par la Croix-Rouge et les autorités locales. L’opération s’est déroulée sans recours à la force.
▻http://www.rts.ch/info/monde/8036171-les-migrants-de-la-gare-de-come-transferes-vers-un-site-amenage.html
Como, la nuova frontiera calda d’Italia
Lo scalo ferroviario di Como San Giovanni è la nuova frontiera calda d’Italia. Andrea Quadroni e Emanuele Amighetti ci raccontano - in parole e fotografie - la situazione all’ultimo avamposto prima del confine con la Svizzera, tra l’apertura del nuovo centro di accoglienza temporaneo e lo sgombero imminente dell’accampamento informale, l’impietoso proseguire dei respingimenti secondo «il metodo svizzero», le gravi preoccupazioni per il trattamento dei minori non accompagnati e le proteste continue per l’apertura del confine.
▻http://openmigration.org/analisi/como-la-nuova-frontiera-dimenticata
Sur la situation à la frontière entre l’Italie et la Suisse
Quelques infos sur le campement de Côme et le blocage de la frontière à Chiasso en Suisse, et les récentes manifestations de septembre...
▻http://mars-infos.org/home/chroot_ml/ml-marseille/ml-marseille/public_html/local/cache-vignettes/L614xH350/a_3f5512755b228dc605a846160e8201e2-9e857-e4e04.jpg?1474962045
▻http://mars-infos.org/sur-la-situation-a-la-frontiere-1618
Réponse du Conseil fédéral à la question urgente de Balthasar Glättli sur la situation à Côme/Chiasso
Question posée au Conseil fédéral par Monsieur Balthasar Glättli du Groupe des Verts (question n°16.1045) le 14 septembre 2016 : « Monsieur le conseiller fédéral Maurer, Madame la conseillère fédérale Sommaruga, que se passe-t-il à Chiasso ? »
►http://asile.ch/2016/10/14/reponse-conseil-federal-a-question-urgente-de-balthasar-glattli-situation-a-co
Lettera aperta dal confino
A Como si allontanano i solidali, si rompono legami di solidarietà, amicizia, si interrompe la lotta per i diritti. Lo schema è lo stesso di Roma e Ventimiglia. Fuori i volontari, affamati i migranti, accettazione del campo-lager, respingimenti e deportazioni continuano senza che più nessuno li denunci e le combatta.
Questa è la denuncia di Fabio.
▻https://lookaside.fbsbx.com/file/Lettera%20aperta%20dal%20confino.pdf?token=AWzkAwAF6J-ylwKMxGWTL4ym
Edizione speciale dedicata al fenomeno dei migranti
Cosa sta avvenendo? Qual è il comportamento delle nostre autorità di frontiera nei confronti di chi chiede asilo e di chi invece entra in Svizzera col solo scopo di transitare verso nord, pur non avendo documenti? Ed infine, cosa ne è dei minori? Dopo le polemiche e le accuse di questa estate sui presunti respingimenti abusivi, siamo entrati negli uffici della Guardie di Confine alla stazione di Chiasso e abbiamo documentato dal vivo il lavoro che viene svolto.
▻http://www.rsi.ch/la1/programmi/informazione/falo/Edizione-speciale-dedicata-al-fenomeno-dei-migranti-8155930.html
Une unité spéciale pour lutter contre les #passeurs basée à Lugano
1342 passeurs ont été arrêtés en Suisse l’an dernier, dont 139 au Tessin. Selon Fedpol, il s’agit en grande partie de Suisses
▻https://www.letemps.ch/suisse/2015/08/31/une-unite-speciale-lutter-contre-passeurs-basee-lugano
« #Groupe_interforce_pour_la_répression_des_passeurs » (#GIRP)
Mineurs au pied du mur
Près de 40% des migrants et réfugiés jetés sur les routes de l’exil sont des mineurs non accompagnés. Une population particulièrement vulnérable qui, depuis l’été dernier, butte sur la frontière sud de la Suisse, objet d’une surveillance zélée. Aujourd’hui, ces jeunes migrants tentent par tous les moyens de franchir la frontière verrouillée à double tour, malgré le droit international qui exige un asile politique sans restriction pour les mineurs non accompagnés.
▻http://www.rts.ch/play/tv/temps-present/video/mineurs-au-pied-du-mur?id=8191140
Back out of sight on the Italian border
The sign just behind the border at Chiasso, “Welcome to Switzerland,” was not intended for them.
In late July, Swiss authorities closed the border with Italy. Migrants were hauled off trains, trucks and cars. They were tracked by infrared drones sweeping the woods that straddle the border. In July and August alone, more than 7,000 people were picked up and sent back to Italy.
Petizione a Berna sull’asilo negato
Una petizione per rispettare il diritto svizzero sull’asilo e contro le ingiustizie. Un appello, indirizzato all’assemblea federale e, per la parte di sua competenza, al Gran Consiglio ticinese. L’iniziativa (informazioni: petizione.dirittoasilo@gmail.com) è stata presentata ieri, sabato, nell’ambito della manifestazione «Storie di migrazione di ieri e di oggi», organizzata dal Gruppo Harraga al Lux art house di Massagno. La petizione è accompagnata dalla segnalazione di otto casi in cui guardie di confine e poliziotti avrebbero «violato il diritto svizzero sull’asilo e le regole contemplate nei trattati internazionali», nonché quelle «sulla protezione dei minorenni non accompagnati e sul ricongiungimento familiare». I casi sono stati denunciati da Amnesty International, dall’Organizzazionee svizzera di aiuto ai rifugiati, dall’Associazione per gli studi giuridici sull’immigrazioni e da Medici senza frontiere. Nella lista, ad esempio, c’è la vicenda di due fratelli che presentano domanda d’asilo al valico di Chiasso: uno viene respinto, l’altro,invece, è accompagnato al Centro di registrazione. Non meno inquietanti altri due casi: marito e moglie che presentano domanda di asilo, sempre a Chiasso: l’uomo viene respinto, la moglie no, stessa sorte per tre sorelle, due sono respinte, la terza no. Contro trattamenti così differenti, frutto a, quanto sembra, dell’esercizio di un potere discrezionale, nella petizione si chiede che per tutti i profughi che domandano asilo siano messi a disposizione un consulente legale, un interprete e un mediatore culturale sin dal primo colloquio. Inoltre, si domanda che chi chiede asilo sia accompagnato al Centro di registrazione e che nessun respingimento possa essere adottato da polizia o guardie di confine, che devono essere coordinati da un ufficiale. Un’altra richiesta è quella di una campagna di sensibilizzazione per accogliere in famiglie svizzere i profughi minorenni non accompagnati. Inoltre, viene sollecitata l’applicazione di un paragrafo, il 17, del preambolo della Regolamento di Dublino III: «Uno Stato può derogare i suoi criteri di competenza, in particolare per motivi umanitari e caritatevoli» se si tratta di casi di ricongiungimento familiare.
▻http://www.caffe.ch/stories/cronaca/56432_petizione_a_berna_sullasilo_negato
Migranti, diritti violati a Ventimiglia e Como
L’ong dopo un periodo di presenza sul campo, pubblica un rapporto dettagliato sulle privazioni a cui sono sottoposte le persone che vogliono uscire dal confine italiano verso Francia, Svizzera e Nord Europa. Eccolo in allegato
▻http://www.vita.it/it/article/2016/12/15/migranti-diritti-violati-a-ventimiglia-e-como/141947
La frontiera di Como, 100 giorni dopo
Como, città di frontiera. A 150 giorni dai primi accampamenti di migranti in stazione San Giovanni, e a 100 dall’apertura del centro di accoglienza temporanea di via Regina Teodolinda, il capoluogo lombardo si riscopre, ancora una volta, crocevia e luogo di passaggio. E sono i minori a subire le conseguenze più gravi.
▻http://openmigration.org/analisi/la-frontiera-di-como-100-giorni-dopo/?platform=hootsuite
Assalto alla frontiera ticinese: «La Svizzera ora alzi la voce»
Circa 800 disperati a settimana varcano il confine sud della Confederazione. Etienne Piguet, esperto di flussi migratori, analizza la situazione: «Tutti colti di sorpresa, nel 2017 si soffrirà ancora»
▻http://www.tio.ch/News/Ticino/Attualita/1123596/Assalto-alla-frontiera-ticinese--La-Svizzera-ora-alzi-la-voce-
Migranti respinti a Chiasso, interrogazione a Roma
La pressione migratoria alla frontiera sud tra Ticino e Lombardia è stata elevata nell’anno appena trascorso e con la fine dell’inverno potrebbero ripetersi scene già viste non molti mesi fa. Interrogazione alla Camera italiana.
▻http://www.tvsvizzera.it/tvs/berna--rispettiamo-le-norme_migranti-respinti-a-chiasso--interrogazione-a-roma/42948092
A la frontière sud, une ONG suisse à la rescousse des migrants
A Côme, une fondation tessinoise aide des mineurs non accompagnés à rejoindre des parents en Suisse
▻https://www.letemps.ch/suisse/2017/02/19/frontiere-sud-une-ong-suisse-rescousse-migrants
Quatre passeurs arrêtés à la frontière entre l’Italie et le Tessin
Quatre passeurs ghanéens ont été arrêtés pour avoir fait franchir illégalement la frontière entre Côme, en Italie, et le Tessin à plus de 200 migrants, ont annoncé samedi les agences de presse italiennes.
▻http://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/8398806-quatre-passeurs-arretes-a-la-frontiere-entre-l-italie-et-le-tessin.html
Como, continua il gioco dell’oca sulla pelle dei migranti
Controlli a tappeto e fermi nella cittadina comasca, poi i trasferimenti forzati all’hotspot di Taranto. Ecco come continua il gioco dell’oca sulla pelle dei migranti.
▻http://openmigration.org/analisi/como-continua-il-gioco-delloca-sulla-pelle-dei-migranti
[Chiasso] Un mort à la frontière, rassemblement !
Le lundi 27 février sur le toit d’un train région TILO à la hauteur de Balerna (TI) un homme est mort foudroyé par les lignes à haute tension. L’homme était sorti d’Italie pour réussir à passer la frontière sans être contrôlé, car il ne possédait pas les documents nécessaires.
►https://renverse.co/Chiasso-Un-mort-a-la-frontiere-rassemblement-998
#décès #mourir_aux_frontières
«In der Nacht ist die Not am grössten»
Como ist längst aus den Schlagzeilen verschwunden, geändert hat sich aber nichts an der Flüchtlingssituation. Hunderte Menschen versuchen jede Woche, durch die Schweiz in den Norden zu gelangen. Die freiwillige Helferin Lara Robbini Tognina lebt mittendrin.
▻http://www.srf.ch/play/tv/srf-2016/video/in-der-nacht-ist-die-not-am-groessten?id=1b4f9f18-ac33-41cd-bb37-879a40c41ec7
Muore folgorato sul tetto del treno. Tragedia alla stazione di Balerna
Il dramma lunedì sera a bordo di un convoglio Tilo partito da Como San Giovanni. La vittima era un migrante di origine africana
▻http://www.laprovinciadicomo.it/stories/como-citta/uomo-muore-folgorato-sul-tetto-del-treno-alla-stazione-di-balerna_
Der Tod eines Flüchtlings und die Angst vor mehr Flüchtlingen
Ein 20-jähriger Flüchtling aus Mali versteckte sich vergangene Woche auf dem Dach eines Zugs von Como in die Schweiz. Durch einen Stromschlag kam er dabei ums Leben. Zur Fassungslosigkeit über das Geschehene gesellt sich die Furcht, dass die Zahl der illegalen Grenzübertritte im Tessin zunehmen könnte.
▻http://www.srf.ch/play/radio/echo-der-zeit/audio/der-tod-eines-fluechtlings-und-die-angst-vor-mehr-fluechtlingen?id=edea5808-725b
Minori non Accompagnati invisibili alla Città. Il Caso di Como.
Nell’estate del 2016, la chiusura della frontiera con la Svizzera ha bloccato a Como centinaia di migranti. Con la speranza di riuscire a proseguire comunque il viaggio verso la loro meta - la Svizzera, la Germania o altri Stati del nord Europa - uomini, donne, famiglie, bambini e ragazzi, provenienti per la maggior parte da Eritrea, Somalia ed Etiopia hanno vissuto nel parco antistante la stazione ferroviaria, aiutati da una rete di volontari che hanno collaborato con le istituzioni nel realizzare servizi come la mensa o le docce e supplito alle carenze del sistema, laddove le risposte istituzionali si dimostravano inadeguate. Con l’apertura del “campo governativo”, affidato alla gestione di Croce Rossa, verso la metà di settembre, l’emergenza è rientrata e il flusso di migranti – che in realtà è proseguito – è diventato invisibile alla città. E altrettanto invisibili sono diventati i problemi ad esso collegati. Primo fra tutti la gestione dei minori stranieri non accompagnati.
▻http://minoristranierinonaccompagnati.blogspot.ch/2017/03/minori-non-accompagnati-invisibili-alla.html
Migranti in fuga sul tetto dei treni. Giovane muore al confine con la Svizzera folgorato dall’alta tensione
La nuova via della morte per i migranti che vogliono raggiungere il Nord Europa sui treni della linea che collega Italia e Svizzera. Un uomo africano è morto folgorato da una scarica elettrica sul tetto del vagone di un treno «Tilo», che viaggia tra Lombardia e Ticino, dove era salito per evitare i controlli alla frontiera. L’incidente è avvenuto l’altra sera alla stazione di Balerna, pochi chilometri dopo il confine. L’uomo si è arrampicato di nascosto sul tetto del convoglio, probabilmente durante la fermata del treno alla stazione di Como, anche se al momento non è possibile escludere che fosse salito già a Milano, prima della partenza del mezzo. «L’unica certezza è che l’uomo è salito sul tetto del vagone in Italia — fa sapere il portavoce della polizia cantonale ticinese —. Alcuni passeggeri del treno infatti hanno avvertito con sicurezza la presenza di una persona nelle gallerie di Monte Olimpino, nel tratto che precede l’ingresso in Svizzera». Le fiamme sono divampate all’improvviso, in territorio elvetico, pochi istanti dopo la partenza del Tilo dalla stazione di Chiasso. L’uomo era sulle carrozze di coda quando, stando ai primi accertamenti della polizia ticinese «è stato folgorato da una scarica sprigionatasi dalla linea di contatto delle ferrovie».
Como - Chiasso retour
Die Situation in Como ist für Migranten nach wie vor schwierig. Im Regionalzug versuchen sie, in die Schweiz einzureisen.
▻http://webspecial.bernerzeitung.ch/longform/como-chiasso-retour
Retour sur la funeste épopée de #Youssouf_Diakite
Il voulait traverser illégalement la Suisse pour rejoindre sa famille à Paris, mais le jeune Malien est mort brûlé le 27 février sur le toit d’un train au Tessin.
www.lematin.ch/suisse/retour-funeste-epopee-youssouf-diakite/story/15837218
Migranti Como, troppi malumori: chiude l’oratorio degli ultimi. Il prete: «Decisione interna»
L’accoglienza di don Giusto prevedeva anche assistenza legale e un kit di mutande, calze, jeans e maglietta. Ma alcuni cittadini: «Accoglienza selvaggia». E la Lega ha cavalcato il malcontento
▻http://milano.repubblica.it/cronaca/2017/05/05/news/como_migranti_oratorio_di_san_giusto_chiude-164706212
L’odissea dei bambini
Un servizio di Laura Bonasera con Gabriele Bianchini e Michele Castelli. Laura Bonasera ha seguito il viaggio di alcuni ragazzini migranti che cercano di arrivare in Germania attraverso la Svizzera ma vengono bloccati alla frontiera, rimanendo fermi a Como.
▻http://www.raiplay.it/video/2016/12/Lodissea-dei-bambini-36e3e6bd-75d3-4d93-8fde-200aaba191b2.html
J’ai assisté hier à une conférence avec Lisa Bosia :
▻http://www.stopexclusion.ch/2017/05/24/rencontre-discussion-accueil-a-nos-frontieres
Lisa a dit que la situation à Côme s’est détériorée, l’année passée, à partir du 14 juillet, quelques jours après la rencontre de #Ueli_Maurer à Rome avec #Alfano.
Voici la nouvelle de l’époque. La rencontre a eu lieu le 6 juillet 2016.
Ueli Maurer a Roma per discutere di fisco e migrazione
Il ministro delle finanze Ueli Maurer si è recato martedì a Roma per una visita di lavoro durante la quale ha incontrato il suo omologo Pier Carlo Padoan e il ministro dell’interno Angelino Alfano.
Con Angelino Alfano, Ueli Maurer ha parlato soprattutto di flussi migratori. I due ministri si sono messi d’accordo su tre punti concernenti la protezione delle frontiere: rafforzamento della presenza italiana al confine con il Ticino, formazione di pattuglie miste di sorveglianza sui treni a lunga percorrenza e creazione di un comitato di emergenza congiunto incaricato di proporre soluzioni in caso di escalation della situazione.
▻http://www.swissinfo.ch/ita/relazioni-italo-svizzere_ueli-maurer-a-roma-per-discutere-di-fisco-e-migrazione/42276062
Côme ou la fin de la route
Un an après l’apparition d’un camp sauvage de réfugiés dans la ville lombarde, comment la situation a-t-elle évolué ? Reportage dans une cité qui vit au rythme de la crise migratoire.
▻https://www.lecourrier.ch/150997/come_ou_la_fin_de_la_route
Schweizer Drohnen im Einsatz gegen Flüchtlinge
Was Infosperber schon im Januar 2017 beschrieben hat, wird jetzt von SRF bestätigt: der regelmässige Einsatz von Militär-Drohnen.
▻https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Schweiz-Grenzuberwachung-Armeeeinsatz-Drohnen/&g=ad
#drones
Grenzwächter der Lüfte
Die Schweizer Armee setzt Drohnen zur Grenzwache ein. Offiziell für den Kampf gegen Kriminaltourismus. Doch jetzt zeigen Daten: Im Visier sind auch Flüchtlinge.
Stuck on the Swiss border: photo book ’#Confine' documents migrants’ reality
The crowdfunded photo-book project ’Confine’ tells the story of the migrant emergency in Como in 2016, and serves as a reminder of how the situation of migrants between the Italian and Swiss borders is both tangible and current.
L’impegno di chi non cede alla paura
Sono stato nei giorni scorsi a Como, invitato dal gruppo locale di Refugees Welcome Italia a presentare il mio ultimo libro. L’incontro si è caricato di un significato particolare, perché cadeva giusto alla vigilia del Giorno della Memoria: il collegamento tra le persecuzioni di un tempo e le chiusure di oggi non poteva passare inosservato.
La città lariana inoltre è diventata negli ultimi mesi un luogo di scontri politici emblematici sui temi dell’accoglienza e della solidarietà con i richiedenti asilo. L’intolleranza si è manifestata dall’alto, con le misure varate dall’amministrazione locale, e dal basso, con l’irruzione di un gruppo di estremisti di destra e l’imposizione della lettura di un proclama a un incontro della rete di associazioni Como senza frontiere.
Come in casi analoghi, ma questa volta in una cornice così densa di significati, ho incontrato persone impegnate con dedizione e generosità nella causa dell’asilo: fino a ospitare i rifugiati a casa propria in alcuni casi, o mettendo a disposizione tempo, energie e risorse in tanti altri modi. Se la chiusura è oggi con ogni probabilità la scelta della maggioranza degli italiani, non mancano esperienze e gruppi locali che tengono viva la fiamma della difesa dei diritti umani.
Le politiche migratorie sono oggi un luogo particolarmente sensibile del dibattito pubblico, come testimonia anche la produzione incontrollata di notizie drammatizzanti e dati semplicemente falsi sull’argomento. Sono forse il principale cavallo di battaglia dei movimenti populisti e sovranisti. È allora un segno di speranza vedere all’opera minoranze tenaci e impegnate, che mostrano il volto migliore di una società civile che non si arrende alla paura, all’indifferenza, a forme di razzismo neppure troppo nascoste.
La sera stessa al figlio di Liliana Segre ho mandato questo messaggio: «Un pensiero per la tua mamma e per tutti i perseguitati. Che nessuno abbia più a soffrire per motivi di razza, religione, origine o altre discriminazioni!». E un pensiero anche ai volontari e agli attivisti che operano affinché la storia non si ripeta.
▻http://www.aggiornamentisociali.it/articoli/l-impegno-di-chi-non-cede-alla-paura
Camp de réfugiés aux portes de la Suisse
Ils sont des centaines de réfugiés, principalement des Erythréens et des Ethiopiens, bloqués à la gare de Côme, à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Les autorités suisses se montrent fermes et refusent de les laisser entrer sur sol helvétique. Reportage
►http://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/camp-de-refugies-aux-portes-de-la-suisse?id=7956387
Campo governativo/ Osservatorio giuridico: «Tutte le questioni aperte sono rimaste irrisolte»
L’Osservatorio giuridico per i diritti dei migranti di Como, impegnato con molteplici attività per assicurare ai migranti i diritti che la legge dovrebbe garantire e che spesso “consuetudini” e regolamenti sacrificano colpevolmente con gravissimo danno per le persone (minori e adulti), interviene sulle violenze a un bambino nel Campo governativo di Como di via Regina Teodolinda. Come è noto si tratta di un campo dalla natura “ibrida” e oscurato al controllo della politica e dei media tanto che le poche notizie che su esso sono disponibili derivano da visite di parlamentari italiani/e o europee che per qualche ora diradano la copertura della segretezza su ciò che in esso accade.
v. aussi, sur la création d’une patrouille mixte de gardes-frontière suisses et policiers italiens :
►https://seenthis.net/messages/759524
Il ministro Gobbi sul calo dei pernottamenti a Rancate. «Il centro per migranti? Lo chiudiamo nel 2020»
Vuoto. Talmente vuoto da sembrare una cattedrale nel deserto. «Sì, ma l’anno prossimo il centro per migranti di Rancate dovrebbe chiudere». Norman Gobbi, direttore del Dipartimento delle istituzioni, usa il condizionale. Ma la chiusura della struttura aperta nel 2016 per ospitare temporaneamente i profughi in attesa di essere riportati in Italia pare ormai certa.
A fare lo scaramantico, perché manca ancora l’ufficialità, è lo stesso ministro. Tre anni possono bastare, dunque.
Anche perché il flusso di migranti si è sgonfiato, passando da poco meno di 11mila persone nel 2016-2017 a 2mila nel 2018. Giusto?
«Abbiamo visto anche noi che il numero di pernottamenti si è ridotto drasticamente - aggiunge Gobbi - per questo stiamo trattando con la Segreteria di stato della migrazione per arrivare in tempi celeri a una soluzione nel 2020».
Quale?
«L’ipotesi più probabile è l’occupazione di alcuni spazi nel Mendrisiotto che oggi sono in affitto alla Segreteria di stato della migrazione in prossimità del confine. Questa soluzione permetterebbe di adattare la struttura alle differenti necessità».
I migranti non saranno dunque ospitati nei rifugi delle Protezioni civili del Mendrisiotto?
«No, non vogliamo ritornare alla situazione del passato che non si erano dimostrate ottimali dal punto di vista della convivenza con la popolazione e con le autorità comunali. Inoltre anche nei rifugi la sicurezza deve essere garantita e per farlo non si risparmia sicuramente sulle spese».
In che senso?
«Rancate non è più costoso delle alternative che potrebbero essere individuate con le Protezioni civili».
Si andrà dunque verso una soluzione meno cara?
«Da quando il centro per migranti di Rancate è stato aperto abbiamo ridotto i costi, trattando con la Segreteria di stato per la migrazione. Ci siamo concentrati soprattutto sulle spese operative raggiungendo gli obiettivi che ci eravamo prefissati. In questo senso il rapporto costo per migrante è diminuito».
►http://www.caffe.ch/stories/Attualit%C3%A0/63303_il_centro_per_migranti_lo_chiudiamo_nel_2020/#GoToTop
Commentaire de Paolo Bernasconi sur twitter:
Invece di chiuderlo chiudere il #bunker sotterraneo con rinchiusi da mesi 50 asilanti. Oppure usarlo invece della carcerazione amministrativa.
►https://twitter.com/bernascon8paolo/status/1142917750261780481
Droni, controlli, pattuglie: così la Svizzera dà la caccia ai migranti al confine
“L’Espresso” ha seguito e fotografato per la prima volta il lavoro delle guardie elvetiche di confine. Sulle strade. Nelle stazioni. Ai valichi remoti. E nelle sale operative. Ecco come i vicini respingono i profughi verso l’Italia
L’ufficiale indica una pietra erosa dal vento: «Segna il confine», mostra: «Sono passati anche da qui. Da questa vecchia pista del contrabbando». Sta tramontando il sole sulle colline sopra Chiasso e sui 782 chilometri di frontiera che separano l’Italia dalla Svizzera neutrale, diventata ora Stato ponte per decine di migliaia di profughi. Persone che dopo essere sbarcate in Italia cercano un futuro attraverso queste strade.
(#paywall)
▻https://espresso.repubblica.it/inchieste/2016/08/16/news/droni-controlli-pattuglie-cosi-la-svizzera-da-la-caccia-ai-migra
Perché si parla tanto di «droni anti-migranti» sul confine fra Italia e Svizzera
Nelle ultime ore, sulle testate locali tra il Canton Ticino e Italia, è circolata la notizia secondo la quale la Svizzera starebbe controllando il confine con dei droni militari per evitare l’ingresso di migranti sul suolo elvetico.
Nelle ultime ore, sulle testate locali tra il Canton Ticino e Italia, è circolata la notizia secondo la quale la Svizzera starebbe controllando il confine con dei droni militari per evitare l’ingresso di migranti sul suolo elvetico.
Su testate come La Provincia di Como si leggono titoli come «Confine svizzero blindato: c’è il drone anti migranti.» Ma è su La Prealpina, per esempio, che la faccenda si allarga, arrivando a toccare il territorio italiano, quanto meno acusticamente.
«Droni svizzeri nelle notti italiane,» si legge: «Stando alle lamentele di diversi residenti, è in atto un’attività aerea particolarmente intensa» a ridosso «del limite geografico italiano,» con il rumore che valicherebbe «il Canton Ticino per arrivare in Italia, bussando alle porte e alle finestre tricolore.»
Stando ai report locali, arricchito dalle testimonianze dei cittadini del luogo e dal sito flightradar, si tratterebbe di droni Aerospace ADS-95 Ranger delle forze aeree svizzere.
Dotati di potenti telecamere, i velivoli starebbero sorvolando la zona di Maslianico, Bisbino, e in generale l’area di Mendrisio «tra le 23 e le 3 di notte,» come ha spiegato ai giornali locali un abitante del versante italiano - «fra Clivio, Saltrio e Viggiù» - che si è autodichiarato «appassionato di aerei.»
«Ho scaricato anche un app» per «seguire il tracciato dei droni,» ha continuato, specificando che i mezzi volerebbero anche «a soli 200 metri di altezza,» diventando particolarmente fastidiosi.
Ma è così? Davvero è stata lanciata un’operazione «anti-migranti» sui cieli del Cantone?
Il giornale Il Corriere del Ticino, stamattina, ospita un articolo dal titolo «Il drone elvetico che sorprende la stampa italiana,» un tema che «continua a far scorrere fiumi d’inchiostro» soprattutto in questo periodo, in cui - riporta il giornale sul suo sito - «l’emergenza profughi è infatti riesplosa, mettendo in crisi anche numerosi centri.»
In queste settimane, infatti, la situazione alla stazione di Como San Giovanni starebbe diventando abbastanza complicata: diversi migranti da giorni si stanno accampando dentro lo scalo in attesa di poter passare il confine e proseguire verso la Germania.
La direttrice Como-Brogeda-Chiasso è infatti uno dei canali più battuti di recente, a causa dell’inasprimento dei controlli alle frontiere negli altri paesi per bloccare rotte come quella balcanica.
Nei giorni scorsi, i partiti di destra dell’arco parlamentare svizzero hanno chiesto l’intervento dell’esercito per arginare il fenomeno. Una fonte del luogo ha dichiarato a VICE News che i migranti accampati nella stazione di Como al momento sarebbero circa 200.
In realtà, non sembra essere stata questa specifica «emergenza» a motivare il varo di un progetto del genere. Gli Aerospace ADS-95 Ranger Drone infatti sorvolano da anni il confine tra Svizzera e Italia, come certificano sia i giornali locali - versante elvetico -, sia il sito delle forze aeree svizzere.
Su questo, si legge come il «sistema di drone ricognitori telecomandati» sia in uso sin dal 2001: 28 i droni acquistati, 15 quelli in uso al novembre 2014 «per la ricerca di informazioni.»
Non a caso, di «droni e pattuglia italo-svizzere a caccia di clandestini al confine» si legge da tempo — come si evince, anche, da questo articolo della Provincia di Varese.
«Si sentono da anni,» conferma a VICE News Antonio, uno studente dell’accademia di Mendrisio. «Soprattutto di notte» e per le attività più diverse, che comprenderebbero anche la lotta al bracconaggio.
Contattato da VICE News, l’ufficio delle Forze Aeree Svizzere ha dichiarato di non poter commentare la vicenda. L’Amministrazione Federela delle Dogane, invece, ad ora non ha ancora risposto alle nostre sollecitazioni.
▻https://www.vice.com/it/article/wj9jbz/droni-migranti-confine-svizzera-italia
Migranti, una passerella per unire Libia e Sicilia. L’utopia artistica di due studenti bergamaschi
I due liceali si sono ispirati all’opera di Christo, inaugurata oggi sul lago d’Iseo. «Basta morti nelle acque del Mediterraneo»
Gli americani chiedono spiegazioni sul #Muos, non capiscono i troppi ostacoli locali
Gli esperti: opera fondamentale per la lotta al terrorismo in Libia
Vu sur twitter
Norway issues asylum rejection letters 2 Syrians, rejected bc came from ’safe’ Russia, deportations ongoing.
Norvège. Est-ce bien raisonnable de renvoyer les migrants en Russie ?
Depuis quelques jours, Oslo renvoie des migrants vers la Russie. Mais est-ce un pays sûr ? Aftenposten, le plus grand quotidien du pays, s’interroge.
▻http://www.courrierinternational.com/article/norvege-est-ce-bien-raisonnable-de-renvoyer-les-migrants-en-r
La Norvegia “deporta” i profughi in Russia
Il Finnmark è una regione dalla bellezza disarmante. La contea norvegese 400 chilometri a nord dal circolo polare artico risplende di ghiacci, fiordi e aurore boreali. Difficile però che i migranti infagottati in giacche troppo leggere e scarpe inadatte possano apprezzare la natura, a 31 gradi sotto zero. Sono quelli che hanno raggiunto la Scandinavia a piedi lungo la rotta balcanica. Molti di loro, per lo più siriani hanno attraversato il confine russo in bicicletta. Tanto che le autorità norvegesi ormai basano il conteggio degli ingressi irregolari sul numero di biciclette abbandonate al confine.
Norway halts return of asylum seekers who entered via Russia
Norwegian foreign affairs minister says Russia requested suspension of returns via Storskog border crossing, citing ‘security reasons’
Migranti, adesso è emergenza anche in Lapponia
Sono bloccati a -40 gradi tra la Russia e la Norvegia. Che non vogliono ospitarli. L’ondata non si arresta: 5 mila arrivi in pochi mesi. E si registrano i primi morti.
Norway sends Syrian refugees back to Russia
The Norwegian authorities have begun sending the first of around 5,500 mainly Syrian refugees who’ve been housed in a transit camp in the north of the country, back to the Russian border they crossed last autumn.
▻http://www.euronews.com/2016/01/20/norway-sends-syrian-refugees-back-to-russia
Norway’s asylum policy in chaos amid Russian intransigence
Human rights groups and church hit out at Norwegian government clampdown as Russian security concerns halt expulsions
▻http://www.theguardian.com/world/2016/jan/24/norway-halts-return-of-asylum-seekers-who-entered-via-russia?CMP=Share_
Clima, dal 2008 157 milioni di persone sono fuggite da alluvioni, tempeste e siccità
Un rapporto di Cespi, Focsiv e Wwf mostra il triste legame tra cambiamento climatico e migrazioni forzate. Colpite le persone più povere, nei paesi più poveri
#climat #réfugiés_climatiques
@reka: tu connais ce rapport?
Venti profughi ospitati nel borgo alpino di 40 abitanti
Il caso di #Bosco_Gurin, paese del Canton Ticino al confine con la Val d’Ossola
Comment expliquer cela ?!!
▻http://www.asile.ch/vivre-ensemble/2015/09/03/comment-expliquer-cela
La honte de l’Europe. Il s’appelait Aylan. Son frère aussi est mort noyé.
#photographie #asile #migrations #mourir_en_mer #Forteresse_Europe #réfugiés #Méditerranée #enfant
en lien avec cela : ▻http://seen.li/8o45
L’#image insoutenable de la crise migratoire
La publication des photos d’Aylan Kurdi, 3 ans, mort noyé dans le naufrage de deux embarcations transportant des Syriens choque l’Europe
▻http://www.letemps.ch/Page/Uuid/150b357e-5202-11e5-b0e6-4d604bb88ae2
Refugee crisis: Aylan’s life was full of fear - in death, he is part of ’humanity washed ashore’
There are no beaches in Kobani, just bombs. From the Syrian town besieged by Isis, Aylan Kurdi and his brother fled. For the three short years of his life, Aylan had apparently only known fear.
▻http://www.independent.co.uk/news/world/middle-east/refugee-crisis-aylans-life-was-full-of-fear--in-death-he-is-part-of-h
La foto del bambino siriano divide la stampa internazionale
Il quotidiano britannico ha deciso di pubblicare le immagini del corpo senza vita di Aylan Kurdi, un bambino siriano di tre anni, su una spiaggia turca vicino a Bodrum perché “è troppo facile dimenticare la realtà della situazione disperata che molti migranti devono affrontare”. L’Independent ha lanciato una petizione affinché il Regno Unito accolga una giusta quota di migranti dal Medio Oriente e dall’Africa. Il giornale ha anche pubblicato su i100 (la sezione del suo sito dove le notizie sono ordinate in base all’interesse dei lettori) una lettera aperta a “chiunque abbia parlato con sufficienza della crisi dei migranti”, tra cui il premier britannico David Cameron, la ministra dell’interno Theresa May, Nigel Farage, leader dell’Ukip, e il Daily Express. Cameron ha risposto al giornale dicendo che il Regno Unito fa già abbastanza per i migranti.
Il bimbo annegato e le colpe storiche dell’occidente
Chi ha ucciso quel bambino, ennesima vittima del mare il cui corpo senza vita ha forse risvegliato le nostre coscienze? Chi ha ucciso quel bambino che ci copre di vergogna? Chi è il responsabile di questa fuga disperata che ha fatto tante vittime, fa tremare l’Europa e suscita stupore e compassione?
▻http://www.internazionale.it/opinione/bernard-guetta/2015/09/04/bimbo-annegato-colpe-occidente
The Guardian front page, Thursday 3 September 2015: The shocking, cruel reality of Europe’s refugee crisis
Revue de presse. Pour l’Europe, que vaut la mort d’un enfant migrant ?
Un enfant de 3 ans mort, face contre terre, sur une plage de Turquie… Cette image insoutenable va-t-elle réveiller les consciences en Europe ?
Niente asilo. Sulla spiaggia di #Bodrum è morta l’Europ
Mentre la polizia ceca “marchia” i migranti, Italia, Francia e Germania chiedono all’Ue di rivedere le norme sull’asilo. Una foto scuote il mondo (come scrivevo qui, cliccate).
▻https://infondosinistra.wordpress.com/2015/09/03/niente-asilo-sulla-spiaggia-di-bodrum-e-morta-leuropa
Tribune. “Je n’ai jamais voulu publier une photo d’enfant mort. Jusqu’à hier”
Fallait-il publier la photo d’un enfant syrien, retrouvé noyé sur une plage turque, qui a fait le tour du monde et déclenché une vive émotion ? Le directeur du journal italien La Stampa a répondu non, avant de revenir sur sa décision. Qu’il explique à ses lecteurs.
▻http://www.courrierinternational.com/article/tribune-je-nai-jamais-voulu-publier-une-photo-denfant-mort-ju
Diaporama. La mort d’Aylan vue par les dessinateurs de presse
L’image est à la une de nombreux journaux européens ce jeudi 3 septembre : Aylan Kurdi, un enfant syrien de 3 ans, face contre terre, mort noyé alors que sa famille tentait de se rendre sur l’île de Kos, en Grèce. Son corps a été retrouvé sur la plage de Bodrum, en Turquie, le 2 septembre. La photo de ce cadavre échoué a fait le tour du monde, et les dessinateurs de presse se sont emparés du sujet.
Enfant syrien noyé : « quand je l’ai vu, je suis restée figée », témoigne la photographe turque
La journaliste à l’origine des photos d’un enfant syrien de trois ans qui ont horrifié le monde entier a confié jeudi avoir été « glacée » lorsqu’elle a aperçu le corps sans vie de la victime échoué sur une plage de la station balnéaire de Bodrum (sud-ouest).
▻http://www.courrierinternational.com/depeche/enfant-syrien-noye-quand-je-lai-vu-je-suis-restee-figee-temoi
Réfugiés: ces images d’enfants qui font vaciller les opinions publiques
Partout en Europe, les photos d’Aylan Kurdi, âgé de trois ans, retrouvé mort sur une plage turque suscitent un électrochoc. Vont-elles faire basculer les opinions publiques en faveur des réfugiés ? Pourquoi ces images ont-elles fait la Une de nombreux journaux et pas d’autres ?
▻http://www.mediapart.fr/journal/international/030915/refugies-ces-images-denfants-qui-font-vaciller-les-opinions-publiques?ongl
Réfugiés : une photo pour ouvrir les yeux
EditoriaI du « Monde ». Il s’appelle Aylan Kurdi, il est âgé de 3 ou 4 ans. Un petit corps sans vie échoué sur une plage turque. C’est un enfant syrien qui fuyait la guerre, avec sa famille. Ils voulaient gagner l’Europe, en l’espèce la Grèce, par la Turquie. Leur embarcation comptait au moins onze personnes à bord. Elle a sombré quelque part au large de l’île de Kos. La mer a rejeté certains des corps sur une plage turque. Et, un peu à part, tout seul, celui de ce petit bonhomme en tee-shirt rouge et pantalon bleu, qui restera comme l’emblème de cet afflux migratoire sans précédent que nous ne voulons pas voir. Ou pas assez.
▻http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/09/03/ouvrir-les-yeux_4744650_3214.html
« Mes enfants m’ont glissé des mains », raconte le père du garçon noyé
« Nous avions des gilets de sauvetage, mais le bateau a subitement chaviré parce que des gens se sont levés. Je tenais la main de ma femme. Mais mes enfants m’ont glissé des mains. » Les déclarations d’Abdullah Kurdi à l’agence de presse privée Dogan sont aussi terribles que le drame qu’il a vécu.
▻http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/09/03/la-photographe-de-l-enfant-syrien-noye-temoigne_4745032_3214.html
Alors cela...
L’image choc du garçon syrien conforte la politique migratoire de l’Australie (gouvernement)
Les images insoutenables d’un enfant syrien mort noyé rappellent la nécessité de mettre fin aux activités des bateaux des passeurs et confortent la politique d’immigration extrêmement restrictive de Canberra, a déclaré vendredi le Premier ministre australien.
▻http://www.lorientlejour.com/article/942521/limage-choc-du-garcon-syrien-conforte-la-politique-migratoire-de-laus
Réfugiés. S’indigner de la mort d’Aylan ne sert qu’à soulager nos consciences
En regardant comme tout le monde cette image qui a abondamment circulé sur Internet et dans la presse, “je me suis senti partagé entre deux sentiments contradictoires”, explique Max Fischer sur le site Vox. La tristesse et l’indignation d’une part. Mais aussi “une sensation de malaise, en voyant comment ces images étaient transformées en un énième objet viral”, tweeté, partagé et commenté à l’infini.
Il padre di Aylan rifiuta l’asilo in Canada: “Riporterò i corpi dei miei figli a Kobane”
Abdullah Kurdi ha perso anche la moglie nel naufragio: «Mi sono scivolati dalle mani»
▻http://www.lastampa.it/2015/09/03/esteri/il-pap-di-aylan-rifiuta-lasilo-in-canada-vado-a-kobane-KVRKDAj0fDxC285uacxDTM/pagina.html
Réfugiés. S’indigner de la mort d’Aylan ne sert qu’à soulager nos consciences
En regardant comme tout le monde cette image qui a abondamment circulé sur Internet et dans la presse, “je me suis senti partagé entre deux sentiments contradictoires”, explique Max Fischer sur le site Vox. La tristesse et l’indignation d’une part. Mais aussi “une sensation de malaise, en voyant comment ces images étaient transformées en un énième objet viral”, tweeté, partagé et commenté à l’infini.
►http://www.courrierinternational.com/dessin/refugies-sindigner-de-la-mort-daylan-ne-sert-qua-soulager-nos
Our colleague Yante was so touched by Aylan’s story she created this beautiful image. #HumanityWashedAshore
The Boy on the Beach
It feels like an obscene question to ask of the photographs of Aylan Kurdi, the 3-year-old Syrian Kurdish child whose body washed up on a beach in Turkey yesterday morning, images that have since appeared on the front pages of the major American and European newspapers and flooded Twitter with video montages and sorrowful memes, the social-media equivalents of the stuffed animals and bouquets that pile up at the sites where children have died in car accidents or shootings.
Colpevole di essere viva
La foto del bambino morto sulla spiaggia di Bodrum sta commuovendo il mondo. Ma i profughi sopravvissuti continuiamo a non volerli
▻http://www.linkiesta.it/profughi-mediterraneo-bambini-morti
Des milliers de fois la mort du petit Aylan
Nausée. Horreur. Emotion. La semaine qui vient de s’écouler a marqué un tournant sur le front de l’asile. Elle a débuté avec les vives réactions engendrées par la découverte, épouvantable, le 27 août, du « camion de la honte », en Autriche, et de ses 71 cadavres de migrants asphyxiés. Puis, il y a eu les photos du petit Kurde de Syrie, Aylan, à Bodrum, le corps raide et la tête dans le sable, qui ont fait le tour du monde. Enfin, des déclarations fortes, notamment de la chancelière allemande, et des balbutiements de politique d’asile européenne commune. Vendredi, c’est le premier ministre britannique, David Cameron, qui a évoqué l’accueil de « milliers de réfugiés syriens supplémentaires ».
▻http://www.letemps.ch/rw/Le_Temps/Quotidien/2015/09/04/Conversation/ImagesWeb/CaptureEnfants--672x359.JPG
▻http://www.letemps.ch/Page/Uuid/d49c38aa-533f-11e5-a62b-2400f7582c03/Des_milliers_de_fois_la_mort_du_petit_Aylan
Migrants : la guerre des images
Dès l’apparition de la photo, de très nombreux comptes et sites ont agité le spectre de la « propagande ». Tout y passe : le fait que le nom de l’enfant soit rapidement connu (son père, qui a survécu au naufrage, a pu l’identifier), le fait que sur un cliché, on voit un sauveteur turc muni de ce qui pourrait être un appareil photo… Et même une erreur de légende du site franceinfo.fr.
▻http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/09/04/sur-le-web-images-manipulees-et-rumeurs-pour-casser-l-elan-de-solidarite-env
Aylan : l’émotion ne suffit plus, il faut des actes
Le corps d’un enfant de trois ans a été retrouvé sur une plage. Il a un visage. Il a un nom.
▻http://npa2009.org/communique/aylan-lemotion-ne-suffit-plus-il-faut-des-actes
Il #business degli immigrati: milioni di euro in affido diretto
Lo scandalo ha ormai raggiunto proporzioni incontenibili. Politici, imprenditori ma anche la mafia. Business is business direbbero gli americani e i soldi, si sa, non puzzano. Senza ovviamente voler generalizzare – visto che non tutti coloro che si occupano dell’accoglienza dei migranti vanno colpevolizzati a causa di chi agisce in maniera illegale, anche nell’interesse di questi – non v’è dubbio che un fiume di denaro pubblico è stato gestito all’insegna del malaffare ed è necessario che l’indagine si allarghi per comprendere cosa stia accadendo nel nostro paese.
▻http://www.lavalledeitempli.net/2015/06/06/il-business-degli-immigrati-milioni-di-euro-in-affido-diretto
#mafia #Mafia_capitale #réfugiés #migration #asile #Italie #corruption #Mineo #CARA
v. aussi:
Immigrazione – Lo scandalo taciuto
Finalmente un’inchiesta condotta da Repubblica.it porta alla ribalta gli illeciti e le irregolarità nella gestione dell’accoglienza dei migranti che dopo aver rischiato la vita per abbandonare il proprio paese alla ricerca di un futuro migliore, passano dalle mani dei mercanti di uomini a quelle di chi sulla loro pelle lucra offrendo “accoglienza”.
▻http://www.lavalledeitempli.net/2014/05/16/immigrazione-scandalo-taciuto
#Palazzotto (SEL) “Su cara di Mineo troppe opacità. Presentata mozione di sfiducia
Mafia capitale. Palazzotto (SEL) “Su cara di Mineo troppe opacità. Castiglione e Alfano si assumano loro responsabilità” SEL presenta mozione sfiducia
▻http://www.lavalledeitempli.net/2015/06/06/palazzotto-sel-su-cara-di-mineo-troppe-opacita-presentata-mozione-
Mafia Capitale occupava i palazzi del Comune per poter lucrare sull’accoglienza ai minori
Sembra surreale, non lo è. La banda di Carminati, attraverso Buzzi, occupò abusivamente una palazzina di proprietà del Campidoglio su suggerimento di un dipendente pubblico. E ci trasferì adolescenti stranieri. «Meglio se lo prendiamo noi che non quelli di Action». Con la regolarizzazione pronta
▻http://espresso.repubblica.it/attualita/2015/06/05/news/mafia-capitale-lo-squat-diventa-un-centro-per-minori-grazie-agli
Anche il sindaco anti immigrati voleva 50 centesimi a rifugiato
E Odevaine aveva inventato un Consorzio tra Comuni per aprire il centro di Mineo e avere fondi
dal programma tv di «L’aria d’estate» (La7), 23 luglio 2015:
Cara di Mineo come ufficio di collocamento
Uno stipendificio, pagato con un fiume di soldi destinati all’accoglienza dei migranti. Nel Cara di Mineo, centro rifugiati più grande d’Europa che costa ogni anno trenta milioni di euro.
Dopo Mafia Capitale, è scoppiato lo scandalo “#Parentopoli”. La magistratura indaga su settecento assunzioni effettuate dalle aziende che si sono aggiudicate il bando d’appalto ritenuto truccato dall’Anticorruzione.
In cima alla lista degli indagati c’è Paolo Ragusa, ex presidente del consorzio che si è aggiudicato l’appalto: «Nelle sedi opportune credo che finalmente riusciremo a dimostrare che soprattutto la storia dell’accoglienza non è una storia criminale». Il giornalista chiede: «Lei ha mai ricevuto segnalazioni da parte della politica?» Risponde Ragusa: «Guardi, in questi anni chiunque mi ha incontrato mi ha chiesto aiuto. Politici, uomini di chiesa, il fruttivendolo...».
A Mineo i cittadini conoscono bene queste regole per trovare lavoro nel settore dell’accoglienza dei migranti. Dice un cittadino: «Non è che c’è un concorso... in base ai santi in paradiso che hai si entra». Secondo le ipotesi della Magistratura, i posti di lavoro nel centro d’accoglienza sarebbero stati promessi a alcuni consiglieri comunali per sostenere il sindaco Anna Aloisi, del Nuovo Centro Destra, indagata per istigazione alla corruzione. Dice la Aloisi: «Se è reato e interesse personale avere la maggioranza in Consiglio, allora chiedo a tutti coloro che fanno politica: chi è senza peccato scagli la prima pietra».
Un posto di lavoro sarebbe stato offerto alla fidanzata del consigliere comunale di opposizione Mario Noto, che dichiara: «L’offerta era di passare in maggioranza in cambio di un posto di lavoro per la mia ragazza. Successivamente è stata contattata anche la mia ragazza per essere chiamata presso la struttura delle cooperative, ma noi abbiamo rifiutato».
Altro posto è stato offerto alla consigliera Luana Mandrà, che ha rifiutato ma poi è diventata assessore. Chiede il giornalista: «A lei è stato offerto un posto da dirigente a tempo indeterminato in una delle cooperative che lavorano al centro rifugiati?» Risponde la Mandrà: «Sì, esatto».
Insomma, il Cara di Mineo più che un centro d’accoglienza sembra un ufficio di collocamento, pagato dai cittadini.
▻http://www.la7.it/lariadestate/video/cara-di-mineo-come-ufficio-di-collocamento-23-07-2015-159598
#travail
CIE, CARA, CPSA: un mercato sui migranti
Da Trapani a Gorizia, il sistema dei centri costa alle istituzioni quasi un miliardo di euro all’anno. In tutto, sono 65mila i posti attualmente dedicati a richiedenti asilo, rifugiati e cittadini immigrati considerati irregolari. I vertici delle maggiori cooperative che gestiscono queste strutture sarebbero coinvolti in numerose inchieste: i «bachi» nel sistema erano evidenti ben prima della deflagrazione di «Mafia Capitale»
▻http://www.altreconomia.it/site/fr_contenuto_stampa.php?intId=5059
Hundreds evicted from Italy refugee home
More than 500 migrants have been forcibly removed from Italy’s second-largest refugee center. Italy’s populist government claims it is “helping Italians,” but the town complains that years of hard work are being ruined.
The Italian government evicted over 500 people from the country’s second-largest refugee center on Tuesday and Wednesday, taking people away in buses to undisclosed locations. The mayor of Castelnuovo di Porto, a small suburb north of Rome, said the migrants were removed from his town with little warning or further information.
Thousands of migrants have passed through Castelnuovo di Porto in the past decade, and it was famously the site of Pope Francis’s traditional Easter foot washing in 2016. The move comes a little more than month after a new immigration law, dubbed “Salvini’s decree,” after hard-line anti-immigrant Interior Minister Matteo Salvini, came into force.
Mayor: Years of work, integration and jobs will be lost
“In one fell swoop, not only will years of commitment and goodwill be swept away, but also educational projects, schooling, recreational courses, enrollment in local sports associations, voluntary and social work carried out by the town together with Rome, and 107 jobs dependent on the center will also be lost,” a statement from Mayor Riccardo Travaglini said, stressing that many of the refugee children had already spent years in local schools.
The refugees were taken away after staging a mass sit-in against the move on Tuesday. Interior Minister Salvini, leader of the far-right Lega (League) party, claimed that the center had become a haven for drug-dealing and crime. He has promised that the removed migrants will be sent to other “beautiful places.”
According to Italian daily Corriere della Sera, some of the 535 migrants have been shipped off to other detention centers, but hundreds are expected to be deported.
’The problems of Italy are not migrants’
Travaglini scoffed at Salvini’s suggestion that he was “helping Italians” by shuttering major refugee homes.
“The problems of Italy are not migrants but the widespread and endemic issues we face every day: unemployment, corruption, the Mafia, tax evasion, a broken justice system…a lack of resources for security,” the mayor said.
A few refugees in Castelnuovo di Porto have taken refuge in people’s homes, including 24-year-old Mouna Ali, originally from Somalia, who has been living with Travaglini’s family as she tries to find a permanent housing solution.
“I do not want to leave Italy,” she was quoted by the Corriere della Sera as saying. “I want to realize my dream of studying to be an intercultural mediator.”
▻https://www.dw.com/en/hundreds-evicted-from-italy-refugee-home/a-47205632
Liberland : le « pays le plus libre du monde » à la recherche de citoyens
Sputnik France
▻http://fr.sputniknews.com/international/20150424/1015811053.html
Le Tchèque Vit Jedlicka a proclamé un nouvel Etat européen, le Liberland, un territoire de sept kilomètres carrés entre la Serbie et la Croatie.
La République libre de Liberland, qui a pour devise « Vivre et laissez vivre » a pour objectif de créer « une société où les honnêtes citoyens peuvent prospérer sans lois, règlements ni impôts d’Etat »
Bienvenue au Liberland, un nouveau pays européen
Selon le fondateur et président autoproclamé de la République, l’idée de base est que « les impôts soient facultatifs », ce qui devrait d’après lui permettre de « réduire le rôle de l’Etat au minimum ». Certains médias ont ainsi déjà qualifié le Liberland de nouveau « paradis fiscal ».
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Liberland
Vít Jedlička est membre du Parti des citoyens libres, inspiré par le libéralisme. La devise du Liberland est « Vivre et laisser vivre » (en tchèque, « Žít a nechat žít »). Son objectif est de créer une société où l’on peut prospérer sans lois et impôts contraignants. Il prend exemple de pays comme Monaco ou le Liechtenstein.
selon le site officiel, seuls les communistes, les néo-nazis, et les extrémistes ne sont pas admissibles à la citoyenneté du Liberland
Liberland, lo Stato virtuale a cavallo del Danubio riceve 50 mila domande di immigrazione
Nessun altro Stato lo riconosce ma su Internet Liberland.org ha bandiera, confini, statuto, leggi e regolamenti. Il motto nazionale? “Vivi e lascia vivere”
▻http://www.lastampa.it/2015/04/30/esteri/liberland-lo-stato-di-kmq-a-cavallo-del-danubio-vI3eETTsoakepnou9ey19K/pagina.html
cc @albertocampiphoto
Survivors, corpses from latest migrant disaster arrive
Palermo, June 15 - The survivors of the latest migrant-boat disaster south of Italy were among 767 rescued people aboard a Navy ship that docked in Palermo on Sunday. The ship was also carrying 10 dead bodies, including the corpses of seven women, recovered after a boat carrying 90 migrants ran into trouble on Saturday. The Navy rescued 39 people which means another 41 are missing. On Saturday Interior Minister Angelino Alfano threatened to close the Mare Nostrum sea rescue operation unless the European Union takes charge of it, as Italy struggles to cope with a massive increase this year in the already big flow of migrants who attempt the hazardous crossing from North Africa to Italy. Rome launched Mare Nostrum after around 400 people were killed in two migrant-boat disasters in October. Alfano has said almost 40,000 migrants landed on Italy’s shores in the first five months of this year - almost as many as the total for all of last year. Many thousands more have arrived so far in June. The Navy said on Sunday that 1,812 migrants were rescued on Saturday alone. Premier Matteo Renzi accused the European Union of looking the other way and not doing enough to help Italy after dozens of people were killed in two other migrant disasters in May. “Europe explains everything about how to catch swordfish, but it turns its head when we go to rescue people in trouble,” he said. The government has come under fire over the Mare Nostrum Operation, which some opposition parties say is encouraging people traffickers to increase illegal crossings.
▻http://www.gazzettadelsud.it/resizer.jsp?img=N25Qi5fhXWg6uV9G2eidr%2BjKL%2FSlsHS%2B6n26r7nrUS%2Bwa
#décès #mourir_en_mer #Méditerranée #migration #asile #réfugiés #cadavres
A Palermo la nave di sopravvissuti. Letti in chiesa per gli immigrati
Arrivata la nave con a bordo 653 migranti recuperati nel Canale di Sicilia. Tra loro 15 feriti gravi. Ieri dieci morti e 40 dispersi al largo delle coste libiche
▻http://www.lastampa.it/2014/06/15/italia/cronache/arrivata-a-palermo-la-nave-coi-sopravvissuti-al-naufragio-5kmlFSzsYnxqa62RYIAjDO/pagina.html
#Lampedusa, liberate #Khalid_Chaouki e tutti i migranti
–-> Lampedusa : libérez Khalid Chaouki et tous les migrants
E adesso liberateli tutti! Liberate i sopravvissuti eritrei del naufragio del 3 ottobre, i profughi siriani e tutti gli altri, centinaia di migranti trattenuti ben oltre le previsioni di legge in quello che dovrebbe essere il Centro di soccorso e prima accoglienza di Lampedusa. Liberate Khalid Chaouki, l’onorevole Chaouki, che si è barricato all’interno del Cspa e ne uscirà soltanto quando verrà ripristinata la legalità e i migranti trasferiti.
–-> Et maintenant, libérez-les tous ! Libérez les #survivants erythréens du #naufrage du 3 octobre, les réfugiés syriens et tous les autres. Une centaine de migrants détenus bien au-delà de ce que prévoit la loi et de ce qui devrait être le Centre de secours et de premier accueil de Lampedusa (Cspa). Libérez Khalid Chaouki, le député Khalid Chaouki, qui s’est barricadé à l’intérieur du Cspa et ne sortira que quand la légalité des migrants transférés sera restaurée.
▻http://www.ilfattoquotidiano.it/2013/12/23/lampedusa-liberate-khalid-chaouki/823726
#mourir_en_mer #détention #libération #protestation #Cspa #Érythréens #Syriens #réfugiés #asile
Chaouki si rinchiude a Lampedusa: «Qui finchè non trasferiscono i profughi»
Clamorosa protesta del parlamentare del Pd nel centro d’accoglienza dell’isola. «Passiamo dalle parole ai fatti perchè l’Italia torni ad essere un Paese che rispetta i diritti»
Roma - 22 dicembre 2013 - Khalid Chaouki, deputato del Partito Democratico e coordinatore dell’integruppo parlamentare sull’immigrazione, si è autorecluso nel Cento di Accoglienza di Lampedusa.
Chaouki è entrato stamattina nella struttura, grazie al suo status di parlamentare. L’aveva visitata più volte in passato, denunciando le condizioni disumane dell’accoglienza. Dopo l’episodio della «disinfestazione» degli ospiti ha deciso però di tornarci e di rimanerci in una forma estrema di protesta.
▻http://www.stranieriinitalia.it/attualita-chaouki_si_rinchiude_a_lampedusa_qui_finche_non_cambia_1
Chaouki si rinchiude nel centro di Lampedusa. “C’è un’illegalità di Stato”
Il deputato del Pd spiega le motivazioni del suo gesto: “Il primo responsabile è il governo, deve agire subito per evacuare tutti”. Trattenuti da mesi i sopravvissuti ai naufragi di ottobre, in sciopero della fame e della sete
▻http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/451774/Chaouki-si-rinchiude-nel-centro-di-Lampedusa-C-e-un-illegalita-di-S
Chaouki a Kyenge: «Essere un simbolo non basta, ora i fatti»
«La ministra deve fare pressioni sul governo e dare risposte concrete agli immigrati e agli italiani. Alzi la voce su accoglienza, superamento di Cie, abrogazione della Bossi-Fini e riforma della cittadinanza»
▻http://www.italianipiu.it/index.php/news/731-chaouki-a-kyenge-essere-un-simbolo-non-basta-ora-i-fatti
IL DEPUTATO KHALID CHAOUKI RECLUSO VOLONTARIO NEL CIE DI LAMPEDUSA
Recluso volontariamente nel Cie di Lampedusa. In segno di protesta contro l’ignominia a cui i rifugiati sono stati costretti, e venuta alla luce per il servizio shock diffuso dal Tg2. Il deputato del Partito Democratico Khalid Chaouki si è rinchiuso nel centro di prima accoglienza per denunciare la tragica situazione. Lo ha fatto con una forma di protesta esemplare e con un diario che quotidianamente racconta come e perché l’Italia non può tacere.
▻http://www.tazebaonews.it/il-deputato-khalid-chaouki-recluso-volontario-nel-cie-di-lampedusa-23994
“Dormo su questa brandina
perché l’Italia non può tacere”
Il deputato del Pd che protesta nel Cie di Lampedusa
▻http://www.lastampa.it/2013/12/23/italia/cronache/dormo-su-questa-brandina-perch-litalia-non-pu-tacere-BLFzwj937T8oEhzA6UV9nI/pagina.html
Italy clearing Lampedusa migrant centre
Italy has begun clearing a notorious migrant reception centre on Lampedusa following a series of protests against unsanitary conditions and mistreatment.
Diario di Lampedusa
Témoignages de Chaoki, en direct du centre de Lampedusa
▻http://www.youtube.com/watch?v=HA9X1z7dUTI
Trasferiti i migranti dal centro di Lampedusa
La decisione dopo l’iniziativa del deputato Pd Khalid Chauoki.
▻http://www.radiocittafujiko.it/news/trasferiti-i-migranti-dal-centro-di-lampedusa
Io recluso tra i migranti, smacco all’indifferenza
Lampedusa. Dopo la protesta eclatante del parlamentare del Pd, liberi 200 migranti detenuti illegalmente nel Centro di Contrada Imbriacola. Lo stesso Khalid Chaouki racconta per «il manifesto» come è riuscito a sbloccare lo stallo e a mettere il governo Letta alle strette. «I miei giorni con loro sono stati un dono»
▻http://ilmanifesto.it/io-recluso-tra-i-migranti-smacco-allindifferenza
Khalid Chaouki: “Da Lampedusa a Ponte Galeria: basta CIE in Italia”
Si è rinchiuso dal 23 dicembre nel Cie di Lampedusa, ha dormito insieme ai migranti stipati nelle stanze di un centro decadente. Ha contribuito al trasferimento di 200 di loro, la mattina del 24, e all’arrivo della Croce Rossa, il 25, per i 17 siriani rimasti. Khalid Chaouki, classe 1983, è deputato del Pd e membro della Commissione Esteri della Camera dei Deputati. Nato in Marocco e cresciuto in Italia, non poteva restare indifferente alla tragedia che si sta consumando dentro i Centri di identificazione ed espulsione di tutto il Paese. “L’urgenza di oggi è quella di chiuderli e garantire ai profughi un’accoglienza dignitosa”.
▻http://www.romaitalialab.it/wp-content/themes/romaitalialab/timthumb.php?src=http://www.romaitalialab.it/wp-content/uploads/2013/12/khalid.jpg&w=640
▻http://www.romaitalialab.it/khalid-chaouki-da-lampedusa-ponte-galeria-basta-cie-italia
Il diario dei miei giorni da “profugo” a Lampedusa
La mattina del 24 dicembre, nel Centro Accoglienza di Lampedusa, c’era un certo fermento. Erano appena iniziate le tanto attese operazioni di trasferimento dei 200 migranti verso centri più dignitosi e accoglienti, molti si preparavano a lasciare Lampedusa, finalmente.
▻http://lacittanuova.milano.corriere.it/2014/01/03/il-diario-dei-miei-giorni-da-profugo-a-lampedusa
Nouvelle reçue via facebook:
sono 8 i migranti, che per chiedere la libertà si sono cuciti le labbra al CIE di Ponte Galiera di Roma ....
–-> 8 #migrants se sont cousus les #lèvres pour demander la liberté. Cela s’est passé au CIE de #Ponte_Galiera, à #Rome
▻https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10202703413734520&set=a.2343329670716.138390.1474204536&typ
#Italie #protestation #CIE #centre_d'identification_et_d'expulsion #migration
Dans le film L’Escale, il y a aussi une personne qui se cout les lèvres, cette fois-ci devant les bureaux du HCR à Athènes, en Grèce...
Même chose en Australie il y a quelques années, je n’ai pas les références là tout de suite, mais sans doute facile à trouver
Manière de voir, un article d’un certain Rivière en 2002, à propos du centre #nucléaire de Woomera
▻http://www.monde-diplomatique.fr/mav/62/RIVIERE/woomera
Qu’est-ce que je disais, avec seenthis, le mot « facile » devient presque une métaphore inutile
"Qui ci trattano come animali"
Visita al Cie di Ponte Galeria
Abbiamo visitato il centro di identificazione ed espulsione di Roma. Dove per protesta sulle condizioni di detenzione nelle ultime ore una decina di persone si è cucita la bocca. «Sono mesi che siamo qui e non sappiamo nulla del nostro futuro»
▻http://espresso.repubblica.it/attualita/2013/12/23/news/qui-ci-trattano-come-animali-il-cie-peggio-del-carcere-1.147074
Manconi : espulsi 2 migranti che si sono cuciti bocca nel Cie a Roma
–-> 2 migrants qui se sont cousus la bouche ont été expulsés et renvoyés dans leurs pays
Il presidente della commissione diritti umani: «E’ un gravissimo errore»
▻http://www.tmnews.it/web/sezioni/top10/manconi-espulsi-2-migranti-che-si-sono-cuciti-bocca-nel-cie-a-roma-20131223_1
J’en ai trouvé un autre, par hasard, alors que je cherchais quelque chose d’autres... cette fois-ci en Grèce...
Cie, i reclusi che si erano cuciti la bocca: «Per noi non c’è pietà»
I ragazzi marocchini ancora bloccati a Ponte Galeria raccontano di avere subito di tutto dopo lo sbarco, anche le docce antiscabbia nel Cspa di Lampedusa
▻http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/452178/Cie-i-reclusi-che-si-erano-cuciti-la-bocca-Per-noi-non-c-e-pieta
Cie di Roma, nuova protesta choc
13 immigrati si cuciono ancora la bocca
Come avvenne pochi giorni prima di Natale, sale di nuovo la tensione nel Centro di accoglienza di Ponte Galeria. Il gesto estremo di alcuni marocchini per dire basta alle condizioni e ai tempi di permanenza nel Cie
▻http://roma.repubblica.it/cronaca/2014/01/26/news/cie_nuova_protesta_choc_in_13_si_cuciono_la_bocca-76953106/?rss
Immigrati, nuova protesta choc nel Cie di Roma: 13 persone si cuciono la bocca
I marocchini hanno compiuto il gesto per esprimere il disagio per i tempi di permanenza nella struttura. Il 21 dicembre scorso, altri 11 magrebini avevano fatto la stessa cosa. Il garante dei detenuti del Lazio: «Il tempo della politica scorre più lentamente rispetto a quello di questi uomini»
▻http://www.ilfattoquotidiano.it/2014/01/26/immigrati-nuova-protesta-choc-nel-cie-di-roma-13-persone-si-cuciono-la-bocca/857849
Des immigrés clandestins marocains se cousent les lèvres pour protester contre leur détention
A l’aide d’un fil extrait d’une couverture et d’une petite aiguille, 13 immigrés marocains, se sont cousus les lèvres. La raison : protester contre leur détention prolongée dans un centre d’accueil pour migrants sans-papiers à Porta Galaria, une banlieue de Rome en Italie.
Ce geste spectaculaire n’est malheureusement pas le premier dans le genre. Un acte similaire s’était déjà produit en décembre 2013 dans ce même centre. Cette nouvelle illustration du sort des migrants illégaux, montre que rien n’a été fait par les autorités italiennes pour améliorer la situation de ces immigrés clandestins qui réclament une révision des lois et une facilitation du droit d’asile.
Selon nos confères de RFI, le maire adjoint de Rome aurait déclaré, après cette nouvelle protestation, qu’il est urgent de mettre fin « à cette situation honteuse » en changeant les lois sur l’immigration. L’Italie avait déjà fait parler d’elle après une vidéo sur le scandale de Lampedusa, dans laquelle on voit les traitements épouvantables qu’elle inflige aux migrants.
▻http://www.telquel-online.com/sites/default/files/imagecache/article_du_jour_680_382/reuters.jpg
▻http://www.telquel-online.com/content/des-immigr%C3%A9s-clandestins-marocains-se-cousent-les-l%C3%A8vres-p
je reviens sur woomera — si tu cherches un peu tu vois que certain·e·s s’étaient aussi cousu les paupières ; je ne mets pas l’image, mais celle-ci :
En Italie, les immigrés se cousent les lèvres pour protester
Les centres de détention italiens n’en finissent plus de scandaliser. Treize migrants marocains ont décidé de protester contre les mauvais traitements subis dans ces « prisons » en se cousant les lèvres.
►http://fr.myeurop.info/2014/01/27/en-italie-migrants-se-cousent-bouche-pour-protester-13006
“Mi sono cucito le labbra, ma solo mia madre ha pianto”
Viaggio nel Cie: «Qui dentro ci dimentichiamo persino chi siamo»
▻http://www.lastampa.it/2014/02/06/italia/cronache/mi-sono-cucito-le-labbra-ma-solo-mia-madre-ha-pianto-PP85xD4jNPAxFkiSRDqWWI/pagina.html
Im Käfig gefangen
Im Auffanglager am Stadtrand von Rom warten Flüchtlinge auf ihre Abschiebung. Aus Protest gegen ihre ausweglose Lage nähen sich 13 Marokkaner die Münder zu.
▻http://www.fr-online.de/panorama/fluechtlinge-in-italien-im-kaefig-gefangen,1472782,26133202.html
v. cette BD et surtout cette vignette :
Tiré de cela : ▻http://serco-story.theglobalmail.org
#vidéo On Location: Why refugees to Greece are sewing their mouths shut
Greek authorities call them migrant pre-removal facilities, but they look more like prisons. Many of the residents are locked up not for committing a crime, but rather simply for trying to get asylum in Europe. For this, they say they’re held months, packed scores to a room, and often beaten.
“We didn’t have any choice so we started a hunger strike, we sewed up our mouth and we stopped eating and drinking,” said Farhad, who has asked not to be identified, fearing retribution for speaking out. “Anyone will do whatever it takes to get his freedom. Some people have tried to commit suicide to get free, others went crazy in there.”
Farhad was just 17 when he made it to Greece from Afghanistan. He says he was held at a detention center in Corinth Greece for 14 months before finally getting political asylum in December.
“In general you are afraid there, terrified,” he said. “When the police would attack us in there they didn’t care who is who, anyone in front of them could become a victim. We were frightened and everyone was hiding under the beds.”
Some 6,500 migrants are currently held in Greek immigration detention centers, co-funded by the European Union as part of an effort to limit immigration. The European Court of Human Rights, the EU’s Committee for the Prevention of Torture and NGOs have repeatedly called conditions in these centers inhuman and degrading.
▻http://www.globalpost.com/video/6071134/location-why-refugees-greece-are-sewing-their-mouths-shut