Il est encore temps de réfréner notre chute vers l’abîme
En introduction, Cécile Asanuma-Brice décrit un tremblement de terre en mars 2011, la forte intuition que « celui-ci diffère des précédents », le retentissement des sirènes, la sortie des personnes de toutes parts, les destructions et l’arrêt d’un monde. Les images le lendemain du tsunami qui a ravagé le Tôhoku, les secousses à répétition, « répétition incessante de balancements incertains », l’information au conditionnel « Et puis la nouvelle tombe, résonnant, sempiternelle : une centrale nucléaire aurait été touchée… », le conditionnel devenu certitude.
Note sur : Cécile Asanuma-Brice : Fukushima dix ans après
Sociologie d’un désastre
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