Puisqu’ on a décidé d’accueillir les réfugiés, est-ce qu’on pourrait pas leur épargner l’épreuve dangereuse de la traversée de la Méditerranée sur des radeaux et aller les chercher sur de vrais navires de l’autre côté ? Parce que si on ne le fait pas il me semble que cela veut dire, souterrainement, qu’on espère quand même que la mer Méditerranée va continuer de maintenir les quotas d’arrivée dans ce que l’on croit être raisonnable et acceptable, ce qui pourrait vouloir dire qu’on en arrivera à souhaiter de grosses tempêtes dans le cas où notre accueil ne serait pas si sincère.