Logiquement, le(la) prochain(e) Président(e) des États-Unis sera soit un fasciste qui veut interdire l’entrée des musulmans aux États-Unis (et autres joyeusetés islamophobes), soit une interventionniste ultra-sioniste qui proclame son admiration pour Benjamin Netanyahou.
Ce qui me frappe, c’est que tous « nos alliés » dans le monde arabe, de l’Arabie séoudite au Liban en passant par la Syrie, attendent avec impatience le départ d’Obama et l’arrivée d’un(e) dingue ultra-islamophobe ou ultra-pro-israélien(ne) pour faire avancer leur agenda dans la région (généralement baptisé : la « démocratie »). Hum…