Barbara Galinska - (baga.kaligrafia) - January 3 · 2024
▻https://www.facebook.com/baga.kaligrafia/posts/pfbid02XTu2sm8sj2mWAfvDc6zuydxwhkG6R8TCAmSsUJqGupVSZuLCA5uNwxxGPLhFcseHl
Barbara Galinska - (baga.kaligrafia) - January 3 · 2024
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▻https://www.instagram.com/barbara_calligraphy/p/CzLtWCDCECq (November 3 - 2023)
#Barbara_Galińska
▻http://calligraphy-expo.com/en/participants/barbara_galinska
Biography
She was born in 1957 in Warsaw in Poland. She has been working as an architect, cartoon animator, digital graphic designer, illustrator. Her adventure with calligraphy began in XI 2014.She works on parchment, bristol, handmade papers, walls, glass displays, textiles… using a pen with various nibs, brushes, felt-tip pens, acrylics and ink, including handmade walnut ink. The artist intends to reveal the different face of calligraphy which is wild and chaotic. In her works semantics appears to be an important as the aesthetic and visual value of a word. She aims to prove that a letter is perfect to have artistic fun with. She is a member of the Polish Calligraphy Society. She runs calligraphy workshops in Jozefow, Warsaw and in Scriptorium Villa Nova at the Museum of King John III’s Palace at Wilanow.
Snuff movie hamasso-israélien à l’Assemblée [and all over the west world]
« Les images produites par les criminels posent un sérieux problème et mettent les spectateurs dans une position insoutenable »
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/11/14/projection-a-l-assemblee-de-l-attaque-du-hamas-les-images-produites-par-les-
Pour Astrid Panosyan-Bouvet, une autre députée Renaissance citée dans Libération, ces images « doivent servir de pièces à conviction lors d’un procès, s’il y en a un et je l’espère, pour crimes de guerre ou crime contre l’humanité ». Cette procédure a été expérimentée pour la première fois lorsque des images des camps nazis ont été projetées devant le Tribunal militaire international de Nuremberg, le 29 novembre 1945. A l’époque, le correspondant de France Soir, Joseph Kessel, avait rapidement compris que « la résurrection de l’horreur n’était plus, en cet instant, le fait essentiel ». « Il s’agissait, écrit-il, de mettre tout à coup les criminels face à face avec leur forfait immense, de jeter pour ainsi dire les assassins, les bouchers de l’Europe, au milieu des charniers qu’ils avaient organisés, et de surprendre les mouvements auxquels les forcerait ce spectacle, ce choc. »
L’objectif n’était donc pas d’imposer à la cour et aux personnes assistant au procès des images insoutenables, mais d’en faire un élément à charge contre les prévenus présents dans le box, en lien avec les autres documents présentés par l’accusation, pour leur faire reconnaître leurs crimes.
Ne pas « ajouter l’horreur à l’horreur »
Certains des membres du Hamas qui ont participé aux massacres du 7 octobre ont été arrêtés par l’armée israélienne et leurs interrogatoires par le Shin Bet [le service de renseignement intérieur israélien] et la police sont actuellement filmés, ouvrant ainsi la tenue prochaine de procès en Israël où il sera possible de confronter leurs déclarations avec ce que les images montrent des crimes commis. D’autre part, la France, dont plusieurs ressortissants ont péri dans les massacres du 7 octobre ou sont actuellement détenus en otage, et qui s’est dotée depuis le 9 septembre 1986 d’une loi « relative à la lutte contre le terrorisme et les atteintes à la sûreté de l’Etat », a diligenté dès le 12 octobre sa propre enquête préliminaire, qui pourrait aboutir à une action judiciaire.
Or, depuis le procès Merah jusqu’à ceux des attentats de janvier et de novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis [Seine-Saint-Denis], la question de la projection des images des tueries a fait l’objet de débats contradictoires entre les parties civiles, les juges affichant le plus souvent une position de prudence. Ainsi, lors du procès d’Abdelkader Merah, en 2017, le président de la cour d’assises spéciale de Paris a choisi de ne diffuser aucune des images provenant de la caméra GoPro de Mohammed Merah, indiquant qu’il ne fallait pas « ajouter l’horreur à l’horreur ».
Documents d’actualité, pièces à conviction ou archives historiques, les images de violences extrêmes nécessitent un encadrement analytique et une forme de protection de leurs spectateurs pour transformer leur vision en un travail de connaissance et de mémoire. Sans quoi, seul l’effet de sidération l’emportera.
#Israël #film #sidération
« Les images produites par les criminels »…
et présentées par de plus grands criminels encore
…. « posent un sérieux problème et mettent les spectateurs dans une position insoutenable »
Sans quoi, seul l’effet de sidération l’emportera.
C’est le but il me semble. Sidéré l’assemblée pour stopper celles et ceux qui oseraient vouloir encore réfléchir au lieu de faire ce qu’on leur dit de faire.
Mais sinon, quelle est la date prévue pour visionner à l’assemblée les vidéos tournées par les journalistes (et autres) présent·es à Gaza, lesquelles montrent la situation catastrophique des civils pris sous les bombardements de l’armée israélienne ?
Ah, mais où ai-je la tête ? C’est une « guerre de civilisations » ...
#leurs_guerres_nos_morts (leurs guerres no more)
C’est des gosses qui soutiennent le RHamas @sombre il y a ceux qui ne sont rien n’oublie pas ta leçon de raie publik1 sinon tu va avoir panpan dans les fefesses
Attention, c’est un concours. Xavier Bertrand est fier de te présenter sa bonne idée qu’elle est bonne :
▻https://twitter.com/xavierbertrand/status/1724699606720598406
Et si les juges, en peine complémentaire, obligeaient les coupables d’actes antisémites à visionner le film des massacres du 7 octobre perpétrés par le Hamas en Israël ? #Les4V
« Et c’est encore un militaire qui gagne la magnifique photo dédicacée de Gal Gadot ! »
Quant aux plaisantins mayennais qui empêchent leurs braves-profs de leur inculquer quelques rudiments de laïcité, ils seront assigné à résidence à l’hôpital al-Shifa : ▻https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/dix-nouvelles-alertes-a-la-bombe-dans-des-etablissements-scolaires-de-lav