person:ernst jünger

  • Ernst Jünger et le syndrome du Titanic
    http://www.dedefensa.org/article/ernst-juenger-et-le-syndrome-du-titanic

    Ernst Jünger et le syndrome du Titanic

    Le système US use de la peur pour se maintenir. Terrorisme, chiites, climat, racisme, fascisme, Chine, sexisme, Poutine, ce qu’on voudra, tout justifie son agenda.

    Nous autres antisystèmes sommes aussi soumis à un feu croisé d’affolements divers : troisième GM, faillite du système, acheter de l’or, fin des religions, culture Illuminati, disparition des libertés, de l’eau, de l’air, du reste… On en deviendrait drôle ! Cela n’empêche pas de continuer de cliquer et de laisser Assange à ses bourreaux.

    Un qui en a bien parlé de cette conjonction du monde automatique moderne et de la croissance corrélée de la peur c’est Ernst Jünger. Traité du rebelle, XIII…

    « La peur est l’un des symptômes de notre temps. Elle nous désarme d’autant plus qu’elle succède à une époque de (...)

  • Laibach : Liberation Day
    https://www.nova-cinema.org/prog/2019/170-a-fabrica-de-nada/liberation-day/article/liberation-day

    Ugis Olte, Morten Traavik, 2016, LV-NO-SI, dcp, VO SL ST FR EN, 100’

    A la veille du passage de Laibach en concert au Botanique, le Nova profite du passage par nos contrées nordiques des hardis slovènes pour proposer un meeting exceptionnel aux couleurs de Laibach, entre surréalisme, société du spectacle, art total et gros son ! Groupe de musique d’avant-garde dès 1980, rattaché alors à une scène musicale industrielle au beau fixe, jouant sur l’équivoque et l’esthétique de la propagande et des totalitarismes, Laibach émets depuis des décennies ses messages universels que l’on ne saurai rattacher ni à Charles Manson ni à Jésus Christ, ni à Staline ou Goebbels, ni à Gandhi ou Ernst Jünger, ou à tous combinés ? Le groupe est lié à d’autres médiums esthétiques par le collectif NSK (Neue slovenische Kunst - (...)

  • Les Chimpanzés du futur – contre le transhumanisme
    https://chimpanzesdufutur.wordpress.com

    Dès les années Trente, le national-révolutionnaire Ernst Jünger, critiquait le racisme biologique et grossier des nationaux-socialistes, pour lui opposer l’avènement d’un nouveau type d’humanité : Le Travailleur – en tchèque, le robot.

    Ces progressistes au plan technologique sont des régressistes au plan social et humain, des partisans de la pire régression sociale et humaine ; ce qu’en langage commun on nomme des réactionnaires. Le nazisme, le fascisme et le communisme n’ont succombé que face au surcroît de puissance technoscientifique des Etats-Unis. Mais l’essence du mouvement, la volonté de puissance technoscientifique, s’est réincarnée et amplifiée à travers de nouvelles enveloppes politiques. Le laboratoire est florissant d’où s’est enfuie la créature immonde. Dès 1945, Norbert Wiener mettait au point la cybernétique, la « machine à gouverner » et « l’usine automatisée », qu’IBM implante aujourd’hui sous le nom de « planète intelligente ». C’est-à-dire la fourmilière technologique ubiquitaire, avec ses rouages et ses connexions, ses insectes sociaux-mécaniques qui se nommaient eux-mêmes, jadis, des zoon politikon, des animaux politiques.
    ...
    Cependant, nous les chimpanzés du futur, nous n’avons pas perdu, et la machine n’a pas gagné.
    L’Humain reste une bataille en cours tant qu’il ne s’abandonne pas, et il ne s’abandonne pas tant qu’il pense les choses et les dit avec des mots. Nommer une chose, c’est former une idée, et les idées ont des conséquences inévitables. Nous devons garder les mots et nommer les choses du mot juste. Nous devons former des idées avec leurs conséquences inévitables.

    Les transhumanistes n’ont qu’une idée : la technologie.
    Nous, chimpanzés du futur, n’avons qu’une technologie : les idées.
    Cependant les idées sont plus actives, plus rapides, plus performantes que n’importe quelle technologie ; plus véloces et puissantes qu’Internet et l’électricité.

    Nous disons : le transhumanisme est un nazisme en milieu scientifique. C’est ce techno-totalitarisme, ce « fascisme » de notre temps que nous combattons, nous, animaux politiques : Et nous vous appelons à l’aide.

    Sauvons les mots.

    Brisons les machines.

    Reproduisez et répandez l’Appel des Chimpanzés du futur.

    Grenoble, le 5 novembre 2014

    #eugénisme #transhumanisme #fascisme

  • Suite du Roman national, épisode 24

    Bien sûr, tous ces documents sont explosifs, je ne vous dirai pas comment je me les suis procurés, on perd des choses parfois dans les déménagements, voilà tout. Un jour, on les publiera, vous verrez. Je suis sûr que Gallimard sera intéressé, encore quelques années et ils sortiront les deux volumes dans la Blanche avec un bandeau rouge : « Une amitié secrète ». Enorme scandale partout dans les médias : comment Mitterrand, ce grand humaniste, a-t-il pu être l’ami du vieux tortionnaire d’extrême droite ? Après Bousquet, Le Pen ! C’était donc sa créature ! Enfin, vous imaginez le boucan. International ! On débaptisera des rues Mitterrand, peut-être même la Très Grande Bibliothèque ! Ses descendants ne voudront plus porter son nom et partiront vivre à l’étranger ! Je m’occuperai de faire publier ces deux volumes dans mes vieux jours, ce sera mon ultime feu d’artifices après la bio de Fouché. Gallimard m’achètera ça à prix d’or vu que la maison est revenue à ses anciennes amours nazies, je ne vous apprends rien. Le passé criminel du roi des éditeurs est assez remarquable. On sait qu’il a fricoté avec les plus hautes autorités allemandes pendant l’Occupation pour obtenir du papier. D’accord, il n’était pas le seul, tous les éditeurs parisiens ont collaboré, mais c’était l’un des plus compromis. Toutes ces soirées passées avec des officiers allemands à L’Abbaye de Thélème, place Pigalle, à boire, à danser, à négocier, et même, au milieu des truands, à discuter littérature avec de fins esthètes prussiens comme Ernst Jünger, devenu bien vite un auteur Gallimard. Drieu la Rochelle à la tête de la NRF, chef de file des écrivains collaborationnistes, la belle époque de l’édition française, n’est-ce pas ?

    http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article3977

  • Où l’on découvre que Mitterrand est l’auteur d’un Journal pour Jean-Marie et d’une centaine de lettres au même Jean-Marie.

    "Le Pen admirait beaucoup l’écrivain allemand Ernst Jünger que Mitterrand avait connu pendant la guerre, ils en parlaient souvent ensemble. « Un grand résistant allemand, affirmait Mitterrand, capitaine de la Wehrmacht en poste à Paris pendant la guerre, il était proche des officiers qui ont organisé l’attentat contre Hitler ». Le Pen était fasciné par son livre Chasses subtiles dans lequel Jünger se consacrait à l’étude des insectes et plus particulièrement des scarabées. « Sais-tu qu’il habite aujourd’hui en Souabe, dans une grande maison qu’a habitée Laval quand le gouvernement de Vichy s’est replié non loin de là, à Sigmaringen ? Quel drôle de hasard, non ? Un jour, nous irons lui rendre visite ensemble, je te le promets. Jünger est un homme très sympathique, un grand guerrier qui a fini par détester la guerre, un Européen convaincu. » (lettre de Mitterrand à Le Pen, 12 juillet 1956)"

    http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article3973

  • l’histgeobox: 329. Big Brother and the Holding Company: “Ball an Chain” (1967)
    http://lhistgeobox.blogspot.com/2017/07/329-big-brother-and-holding-company.html

    * « Everybody must get stoned »
    L’essor de la contre-culture est indissociablement liée aux drogues hallucinogènes. En 1938, Albert Hofmann synthétise l’acide lysergique à partir de l’ergot de seigle. Par inadvertance, il fait tomber une goutte de diéthylamide de l’acide lysergique (LSD 25) sur sa main, « il est alors troublé par d’étonnantes sensations : angoisse, vertiges, visions surnaturelles, objets se mouvant dans l’espace, sentiment de bonheur et de gratitude. » Au milieu de ses éprouvettes, le chimistes des laboratoires Sandoz, vient de prendre un trip. Enthousiaste, Hofmann partage sa découverte auprès de ses connaissances : Aldous Huxley, Alan Watts, Ernst Jünger. A partir des années 1950, le LSD est testé dans divers laboratoires américains. Au sein du Harvard Drug Research Program, le professeur Timothy Leary, assisté par Richard Alpert, se convainc des vertus du LSD qui « peut conduire à des changements profonds de la personnalité, conduisant à une paix, une santé mentale et un bonheur jusque-là inconnus. » La tournure mystico-prophétique de ses recherches finissent par inquiéter la direction de Harvard qui lui retire sa chaire, mais Leary n’en a cure. Entourés d’amis comme le poète Alan Ginsberg, Jack Kerouac, William Burroughs ou Aldous Huxley, Leary prône un nouveau mode de vie dont la devise « Turn on, tune in, drop out » (5) résume parfaitement les attentes d’une partie de la jeunesse d’alors.
    Le LSD devient un incontournable des fêtes californiennes d’autant que Dilué dans de la mayonnaise, il produit des milliers de doses, les « loving spoonful ». La nouvelle drogue se répand dans les Acid Test organisés depuis 1965 à San Francisco par l’écrivain Ken Kesey et ses Merry Pranksters (Joyeux Farceurs). Pour faciliter l’exploration des espaces intérieurs, le dealer en chef Augustus Owsley III distribue généreusement la nouvelle drogue. Un important matériel de projection visuelle et une sono puissante sollicitent également les sens des participants. Le Grateful Dead, une nouvelle formation musicale de la baie, est de toutes les soirées. Jerry Garcia, son leader, se souvient : « Des milliers de gens complètement défoncés, tous entassés dans une pièce pleine à craquer, aucun d’entre eux n’ayant peur du voisin. C’était magique, hors de tout, d’une beauté magique. »

  • Les incontinences de François H., le rappeur de l’Élysée
    http://www.dedefensa.org/article/les-incontinences-de-francois-h-le-rappeur-de-lelysee

    Les incontinences de François H., le rappeur de l’Élysée

    12 mai 2016 – En un sens, ce type, François H., est plus “performant” en fait de déconstruction qu’un Robespierre ou qu’un Lénine. Il a l’air bonasse du notaire de province rougissant et un peu moite qui va au boxon tirer son coup en douce, mais c’est désormais un habitué. Dans tout ce qu’il fait, François H. parvient à une quasi-perfection dans l’acte maléfique, et surtout dans l’auto-dissimulation de cet agir-là qu’il réalise comme on tire la chasse, en catimini et en col-cravate. Bref, c’est pas mon genre...

    Tout cela pour dire qu’il a réussi à me faire signer une pétition, pour la première fois de ma vie. (Je suis le citoyen démocratique modèle tel que je le rêve : j’ai voté une fois dans ma vie, j’ai signé une pétition une fois dans ma vie, et cela à (...)

    • Euh ...

      Je persifle, certes, et me conduis en garnement mais c’est pour mieux dissimuler l’indignation silencieuse qui me prend et me soulève. Savent-ils ce que c’est que Verdun, ces types dans leur 4x4 aux vitres teJe persifle, certes, et me conduis en garnement mais c’est pour mieux dissimuler l’indignation silencieuse qui me prend et me soulève. Savent-ils ce que c’est que Verdun, ces types dans leur 4x4 aux vitres teintées et leurs Peugeot grand luxe ? Ont-ils consacré un instant de leur précieux temps-compté à tenter de saisir la nostalgie tragique du souvenir de l’immense et terrible bataille ? Savent-ils encore “tenter de saisir” ? Peuvent-ils encore entr’apercevoir l’immensité tragique de cet événement, cette horreur mélangée au sublime exactement, toutes ces choses que leurs petits phrases étriquées comme leurs petits costumes et mécaniques comme leurs psalmodies labellisées-“droit-de-l’homme”, ne peuvent jamais espérer effleurer seulement ?rintées et leurs Peugeot grand luxe ? Ont-ils consacré un instant de leur précieux temps-compté à tenter de saisir la nostalgie tragique du souvenir de l’immense et terrible bataille ? Savent-ils encore “tenter de saisir” ? Peuvent-ils encore entr’apercevoir l’immensité tragique de cet événement, cette horreur mélangée au sublime exactement, toutes ces choses que leurs petits phrases étriquées comme leurs petits costumes et mécaniques comme leurs psalmodies labellisées-“droit-de-l’homme”, ne peuvent jamais espérer effleurer seulement ?

      Voici quelqu’un qui a réussi à saisir toute cette tragédie, mais cela ne l’a pas empêché de participer à lancer la génération suivante dans la tempête d’acier 39-45.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_J%C3%BCnger

      Sein erster dezidiert politischer Artikel, Revolution und Idee, erschien im September 1923 im Völkischen Beobachter.

      In Stahlgewittern, aus dem Tagebuch eines Stoßtruppführers by Ernst Jünger
      http://www.gutenberg.org/ebooks/34099

      In Stahlgewittern
      Aus dem Tagebuch eines Stoßtruppführers

      Von Ernst Jünger - Kriegsfreiwilliger, dann Leutnant und Kompagnieführer im Füs. Regt. Prinz Albrecht v. Preußen (Hann. Nr. 73) Leutnant im Reichswehr-Regiment Nr. 16 (Hannover)

      Mit dem Bilde des Verfassers
      Berlin 1922 / Verlag von E. S. Mittler & Sohn

      Zur Erinnerung an meine gefallenen
      Kameraden.

      Herrn Hermann Stegemann in Verehrung gewidmet

      extrait du préface

      Das Bild des Krieges war nüchtern, grau und rot seine Farben; das Schlachtfeld eine Wüste den Irrsinns, in der sich das Leben kümmerlich unter Tage fristete. Nachts wälzten sich müde Kolonnen auf zermahlenen Straßen dem brandigen Horizont entgegen. „Licht aus!“ Ruinen und Kreuze säumten den Weg. Kein Lied erscholl, nur leise Kommandoworte und Flüche unterbrachen das Knirschen der Riemen, das Klappern von Gewehr und Schanzzeug. Verschwommene Schatten tauchten aus den Rändern zerstampfter Dörfer in endlose Laufgräben.

      Nicht wie früher umrauschte Regimentsmusik ins Gefecht ziehende Kompagnien. Das wäre Hohn gewesen. Keine Fahnen schwammen wie einst im Pulverdampf über zerhackten Karrees, das Morgenrot leuchtete keinem fröhlichen Reitertage, nicht ritterlichem Fechten und Sterben. Selten umwand der Lorbeer die Stirn des Würdigen.

      Und doch hat auch dieser Krieg seine Männer und seine Romantik gehabt! Helden, wenn das Wort nicht wohlfeil geworden wäre. Draufgänger, unbekannte, eherne Gesellen, denen es nicht vergönnt war, vor aller Augen sich an der eigenen Kühnheit zu berauschen. Einsam standen sie im Gewitter der Schlacht, wenn der Tod als roter Ritter mit
      Flammenhufen durch wallende Nebel galoppierte. Ihr Horizont war der Rand eines Trichters, ihre Stütze das Gefühl der Pflicht, der Ehre und des inneren Wertes. Sie waren Überwinder der Furcht; selten ward ihnen die Erlösung, dem Feinde in die Augen blicken zu können, nachdem alles Schreckliche sich zum letzten Gipfel getürmt und ihnen die Welt in blutrote Schleier gehüllt hatte. Dann ragten sie empor zu brutaler Größe, geschmeidige Tiger der Gräben, Meister des Sprengstoffs. Dann wüteten ihre Urtriebe mit kompliziertesten Mitteln der Vernichtung.

      #guerre #fascisme #militarisme #machisme

  • La stupidité du mal | Rumeur d’espace
    http://rumeurdespace.wordpress.com/2013/12/26/la-stupidite-du-mal

    un exemple, tiré des Journaux de guerre de Ernst Jünger. Celui-ci s’était rendu chez des paysans de Poméranie, qui avaient reçu des prisonniers russes pour les faire travailler dans leurs champs. Ils sortaient des camps. Un paysan dit à Jünger : « On voit bien que ce sont des sous-hommes – ils se comportent comme du bétail ! Il n’y a qu’à voir : ils prennent la pâtée des chiens pour la bouffer. » Jünger remarque à propos de cette histoire : « Il semble parfois que le peuple allemand soit monté par le diable ». Mais, dit Arendt, ce n’est pas qu’il attribue une sorte de caractère démoniaque à ces gens ou à ce peuple, mais simplement qu’il est révolté par la bêtise manifestée dans ces propos. « L’homme ne voit pas que ceux qui se comportent de cette manière sont affamés, et que chacun peut en faire autant. Mais cette bêtise a quelque chose de vraiment révoltant… Eichmann était tout à fait intelligent, mais il avait cette bêtise en partage. C’est cette bêtise qui était si révoltante. Et c’est précisément ce que j’ai voulu dire par le terme de banalité. Il n’y a là aucune profondeur, rien de démoniaque. Il s’agit simplement du refus de se représenter ce qu’il en est véritablement de l’autre ». Ceci est éclairant. Je suis toutefois frappé par l’insistance d’Arendt à dire que « Eichmann était tout à fait intelligent », comme si on pouvait être intelligent et stupide en même temps. Il serait certes plus simple de dire qu’Eichmann était tout simplement… bête, ce qu’il était d’ailleurs, très probablement. Pourquoi donc ce « intelligent » ? Sans doute Arendt a-t-elle voulu employer ce mot dans un sens très général, celui où, biologiquement parlant, on parle « d’êtres intelligents » pour désigner celles parmi les espèces, qui ont une certaine autonomie de comportement, voire qui possèdent le langage et la possibilité de réflexion. Elle veut sûrement dire qu’il n’était pas privé des principales capacités qui font de l’humain un être capable de penser : il savait évidemment lire, écrire, compter et comprenait les ordres qu’on lui donnait. En parlant de bêtise, elle fait donc référence, en négatif, à une autre sorte d’intelligence, dont Eichmann, et hélas beaucoup de ses contemporains et de nos contemporains semblent dépourvus. Celle qui réside dans la possibilité de se représenter « ce qu’il en est véritablement de l’autre ». Les humains naissent avec une qualité qui est très tôt repérée chez les bébés : l’empathie.

  • Le rebelle
    http://www.larevuedesressources.org/le-rebelle,2618.html

    Ernst Jünger est mort le 17 février 1998, à l’âge de 102 ans. La vie et l’oeuvre de ce rebelle ont suivi les méandres de ce siècle, sans jamais véritablement y adhérer. Rares sont ceux qui ont pu éclairer aussi puissamment que lui sur notre époque désenchantée. E. Jünger soulignera les lacunes et les contradictions mais aussi les mérites de l’anarchisme dans l’Etat universel (1930). Même s’il pensait « autrement » et avait parfois une approche différente de l’anarchisme, il n’a jamais cessé d’appartenir à (...)

    #Le_Recours_aux_forêts

  • Une chevauchée fantastique
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/02/RICHARD/48752

    D’Alfred Döblin (1878-1957), on ne connaît guère en France que le magistral Berlin Alexanderplatz (Gallimard), du moins de réputation : comme le rappelle Michel Vanoosthuyse, son remarquable traducteur et commentateur, la gloire de son contemporain Thomas Mann ou celle, surprenante, d’Ernst Jünger (...) / #Allemagne, #Europe, #Christianisme, #Conflit, #Histoire, #Littérature, #Religion, #Violence - (...)

    #2013/02