• La première yodleuse diplômée veut transmettre la tradition

    La Valaisanne #Dayana_Pfammatter Gurten est la première yodleuse ayant obtenu un master dans son art en Suisse. Selon elle, l’enseignement du #yodel dans une haute école ne l’académise pas pour autant – contrairement à ce que certains craignaient. Ce qui importe à la chanteuse, c’est de transmettre la tradition.

    #Dayana_Pfammatter_Gurten vient du village de montagne de Mund, au-dessus de Brigue, et elle incarne un nouveau chapitre de la musique folklorique suisse. Âgée de 31 ans, elle est depuis peu titulaire d’un master en musique, avec pour branche principale le yodel. Elle est la première à avoir achevé le cursus lancé en 2018 par la Haute école de Lucerne. « Nombreux sont ceux qui pensent que j’y yodlais toute la journée », dit-elle. Or, la matière des cours qu’elle a suivis pendant cinq ans et demi dans cette école spécialisée de Suisse centrale est très vaste : elle couvre le travail de la voix et du corps, mais aussi la rythmique, la théorie et l’histoire de la musique.

    La yodleuse a joué dans un groupe folklorique avec d’autres étudiants en musique ayant différentes orientations et a appris la composition et l’arrangement. « Ainsi, j’ai pu engranger un tas de connaissances », note-t-elle. Pour ce qui est du yodel, Dayana Pfammatter s’y est frottée dès l’enfance, car on yodlait au sein de sa famille. Elle a aussi appris très tôt à jouer du #schwyzerörgeli, cet accordéon typique de la musique folklorique suisse. Après l’école, la Valaisanne a fait un apprentissage d’assistante en pharmacie, mais elle est toujours restée fidèle au yodel.

    Vivre du yodel

    Elle a suivi des formations de l’Association fédérale de yodel (AFY) et a repris, à seulement 23 ans, les rênes du club de yodel Safran, dans son village de Mund. C’est lors d’une formation continue qu’elle a appris l’existence du nouveau cursus de la Haute école de Lucerne, permettant de choisir le yodel comme branche principale : une première en Suisse. Dayana Pfammatter a présenté sa candidature et a été retenue. « Pour moi, c’était l’occasion d’obtenir un diplôme en pédagogie de la musique », relate-t-elle.

    Et de fait, depuis l’obtention de son master début 2024, toute sa vie professionnelle est axée sur le yodel. Elle enseigne le chant dans une école de musique et le yodel pour son propre compte. Elle donne également des concerts. Pour l’instant, elle a mis de côté son plan de sécurité, qui consistait à garder un pied en pharmacie. Il faut dire qu’elle est submergée par les demandes de cours de yodel. « C’est beau de pouvoir transmettre ses connaissances à 100 %», souligne-telle.

    Une évolution scrutée de près

    Le yodel, qui était jadis un moyen de communiquer d’une montagne à l’autre, n’a pas été inventé en Suisse. Mais ce chant alpin sonore, qui comporte souvent plusieurs voix et se caractérise par des changements brusques entre la voix de poitrine et la voix de tête, est pratiqué en Suisse avec passion depuis le XIXe siècle. Portée par des chœurs locaux et des associations, la scène du yodel est extrêmement vivante. Tous les trois ans, des chœurs s’affrontent lors de la Fête fédérale des yodleurs, un événement dont la dernière édition a attiré 10 000 musiciens et plus de 200 000 visiteurs.

    Le yodel fait partie du patrimoine culturel suisse, et de l’identité de certaines parties de la population. Par conséquent, son évolution entre tradition, ouverture et culture populaire, est scrutée de très près. Ainsi, dans le milieu de la musique folklorique traditionnelle, certains ont émis des doutes quand, il y a six ans, le yodel est devenu une branche académique. Ce n’est pas un chant artistique, ont-ils avancé, mais une coutume qui présente des particularités régionales et se transmet en chantant.

    Conservation du #patrimoine

    Si ces doutes subsistent, du moins on ne les exprime plus devant Dayana Pfammatter. Cela est lié à sa personne. La Valaisanne est bien implantée dans le monde du yodel suisse. Avec sa sœur, elle a donné par le passé des concerts « dans les bastions du yodel », comme elle le souligne. L’AFY l’engage régulièrement pour donner des cours et comme jurée dans les fêtes de yodel. Dès l’automne, elle sera responsable de la formation des chefs de chorale dans deux associations régionales.

    « Les gens me connaissent, dit-elle. Ils savent que je ne plie pas. » Durant ses études, Dayana Pfammatter a étudié la musique folklorique expérimentale contemporaine, tout en approfondissant les mélodies traditionnelles du yodel : « Nous avons écouté de vieux enregistrements grésillants et avons transcrit ces chants afin qu’ils ne disparaissent pas. » Conserver la tradition et la transmettre dans le cadre de ses cours lui tient à cœur, et elle porte une attention particulière à la relève. Forte de ce qu’elle a appris en éducation musicale précoce à la Haute école, elle enseigne aussi le yodel aux écoliers.
    Le boom des cours de yodel en Suisse

    Dayana Pfammatter a une prédilection pour le yodel naturel, la forme la plus ancienne de cet art : des vocalises pures, sans paroles. « Le yodel naturel résonne dans mon âme », dit-elle. Il la touche profondément et lui donne souvent des frissons. Elle n’est pas la seule à éprouver cela. Tandis qu’après la Seconde Guerre mondiale, en Suisse, les populations progressistes et urbaines ont longtemps considéré le yodel comme un art trop patriotique et poussiéreux, il jouit à nouveau d’une immense popularité depuis quelques années. Les cours de yodel sont pris d’assaut, y compris dans les villes. Dayana Pfammatter ne s’en étonne guère : « À notre époque stressée et agitée, nombreux sont ceux qui aspirent à retrouver leurs racines et à se retrouver eux-mêmes. »

    Certains méditent ou font du yoga, d’autres yodlent, dit-elle : « Le yodel est quelque chose de très naturel, d’archaïque. Il aide les gens à s’ancrer. » À côté de ses cours et de sa pratique quotidienne, Dayana Pfammatter dirige toujours le club de yodel de Mund, qui aura l’honneur d’accueillir l’an prochain la rencontre cantonale de yodel. Elle doit donc préparer et organiser plein de choses. De plus, elle continue à se produire dans de petits groupes. Son récital de master, qu’elle a donné au début de l’année à Bettmeralp accompagnée par deux musiciennes de Suisse orientale, a eu tant de succès que les trois femmes envisagent un nouveau projet. Et puis, Dayana Pfammatter a encore une autre passion : le mouton au nez noir du Valais. « Grâce à mes animaux, je suis très liée à la nature et à mon pays », dit-elle.

    https://www.swisscommunity.org/fr/nouvelles-et-medias/revue-suisse/article/la-premiere-yodleuse-diplomee-veut-transmettre-la-tradition

    #Suisse #musique #chant

    • Klangwärch

      Am 24.Januar 2024 konnte Dayana ihr Musikstudium an der Hochschule Musik in Luzern erfolgreich abschliessen. Es besteht aus 3 Jahren Bachelor of Arts in Music, Profil Klassik, Schwerpunkt Volksmusik, dem Hauptfach Jodeln und einem zweijährigen Master in Musikpädagogik. Sie hat als schweizweit erste Studentin den besonderen Studiengang mit dem Major of Arts in Instrumental- Vokalpädagogik im Hauptfach Jodeln absolviert. Sie krönte ihr Rezital mit einem hervorragenden Konzertprogramm und konnte ihr Diplom mit Auszeichnung entgegennehmen. Nun arbeitet Dayana als Musikpädagogin, Jodelchorleiterin, Kursleiterin für Jodelstimmbildung oder Jodelworkshops und als Atem-Tonus-Ton Lehrperson. Sie unterrichtet an der Allgemeinen Musikschule Oberwallis und privat in ihrem «Klangrüüm» in Mund. Ebenfalls können regelmässig Unterrichtsstunden im Berner Oberland oder in der Zentralschweiz gebucht werden.

      https://www.klangwaerch.ch

  • « Non au démantèlement à bas bruit de l’aide médicale de l’Etat »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/05/11/non-au-demantelement-a-bas-bruit-de-l-aide-medicale-de-l-etat_6232625_3232.h

    « Non au démantèlement à bas bruit de l’aide médicale de l’Etat »
    Tribune
    Collectif
    Jusqu’ici, grâce à la mobilisation de la société civile et des soignants, l’aide médicale de l’Etat (AME) a échappé à sa transformation en aide médicale d’urgence (AMU), qui revenait de fait à la suppression du dispositif. Mais fin janvier, Gabriel Attal a annoncé lors de son discours de politique générale une réforme du dispositif avant l’été, par voie réglementaire.
    Nous y sommes. Dans les semaines à venir, les arbitrages ministériels devraient être rendus et le décret publié. Derrière les éléments de langage feutrés du gouvernement, employés notamment par le ministre délégué chargé de la santé et de la prévention, Frédéric Valletoux, concernant un simple « ajustement du fonctionnement de l’AME » (France Info le 8 avril), se cachent d’inquiétantes pistes de restrictions.
    Nos organisations lancent l’alerte contre tout ce qui pourrait s’apparenter à un démantèlement à bas bruit du dispositif. Au vu des conséquences sur l’accès aux soins des plus vulnérables et la santé publique, nous appelons à l’abandon du projet.L’AME permet l’accès à la prévention et aux soins pour les personnes étrangères en situation administrative irrégulière, une population particulièrement fragile sur le plan sanitaire et social. Les pistes de restrictions envisagées à ce stade par le gouvernement compromettraient considérablement l’accès et la portée de ce dispositif.
    Le conditionnement de l’accès au dispositif aux ressources du conjoint, à rebours de la réforme de l’allocation adulte handicapé (AAH) entrée en vigueur en octobre 2023, modifierait drastiquement le calcul des ressources. Aujourd’hui, les conditions pour bénéficier de l’AME sont déjà restrictives : le dispositif n’est pas accessible aux personnes en situation irrégulière qui ont des ressources supérieures à 847 euros par mois, parmi lesquelles de nombreux travailleurs qui cotisent et se voient pourtant privés de couverture maladie.
    Le nouveau calcul des ressources entraînerait une sortie sèche de toute couverture santé d’une personne sans-papiers en couple avec un conjoint français ou étranger en situation régulière, dont le cumul des ressources mensuelles dépasserait le seuil de 1 271 euros. Cela conduirait en outre à accroître les situations d’emprise et de dépendance conjugale subies par des femmes étrangères en situation irrégulière, ce qui pourrait les amener à être davantage exposées à des violences conjugales, intrafamiliales, sexistes et sexuelles.
    De plus, la limitation des pièces justificatives d’identité aux seuls documents avec photo, et à l’exclusion des attestations associatives, serait aussi un obstacle administratif insurmontable pour de nombreuses personnes. Beaucoup ont dû quitter leur pays sans pièce d’identité, notamment les plus jeunes, ont perdu leurs papiers, se les sont fait voler, ou sont victimes de confiscation de leur document ou de chantage aux papiers. Priver ces personnes d’accès à l’AME dégraderait leur état de santé, et pèserait in fine sur des services d’urgences déjà surchargés et sur les dettes hospitalières.
    Les difficultés que rencontrent les usagers de l’AME pour accéder à leurs droits et aux soins sont déjà largement documentées (« Entraves dans l’accès à la santé : les conséquences de la réforme de 2019 sur l’accès à l’aide médicale de l’Etat », Rapport d’enquête interassociatif, avril 2023 ; Institut des politiques publiques, « Les refus de soins opposés aux bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire et de l’aide médicale de l’Etat », Rapport, n° 43, mai 2023).
    Elles expliquent une grande partie du taux de 50 % de non-recours au dispositif (Institut de recherche et documentation en économie de la santé/Irdes, enquête « Premiers pas », 2019). L’extension du dépôt physique des demandes de renouvellement au guichet des administrations, comme c’est le cas pour les premières demandes depuis 2019, complexifierait encore plus les démarches, tout en alourdissant le travail du service public de l’Assurance-maladie.#
    L’introduction de nouveaux actes et de nouvelles prestations soumis à entente préalable pour l’accès à certains soins (demande de prise en charge remplie par le médecin, qui doit être validée par l’Assurance-maladie avant l’exécution de l’acte ou du traitement) conduirait à des retards voire à des renoncements aux soins des usagers. Elle augmenterait la charge de travail administratif des médecins comme des agents de l’Assurance-maladie.
    Quant à la réinstauration d’une franchise ou d’un droit de timbre pour avoir accès à l’AME, elle risquerait d’augmenter le non-recours tout en contribuant à la hausse des dépenses publiques. L’expérimentation de cette mesure entre 2011 et 2012 a rapidement été abandonnée face à l’ampleur des conséquences négatives (l’instauration d’un droit de timbre de 30 euros entre 2011 et 2012 a ainsi entraîné la baisse des effectifs des bénéficiaires de l’AME sur la période, ainsi qu’une hausse de 10 % de la dépense moyenne par bénéficiaire due à la dégradation de leur santé).
    L’intérêt de l’AME n’est plus à démontrer. Toutes les données d’études scientifiques et les évaluations institutionnelles successives (rapports de l’inspection générale des affaires sociales et de l’inspection générale des finances de 2010, 2019 et 2023) convergent vers les mêmes constats : le dispositif est nécessaire pour la protection de la santé individuelle et publique, son budget est maîtrisé – il représente moins de 0,5 % du budget de l’Assurance-maladie, une proportion stable depuis des années –, et il est indispensable au bon fonctionnement de notre système de soins.
    Le dernier rapport sur ce sujet a été publié en décembre 2023. Réalisé par Claude Evin, ex-ministre de la santé, et Patrick Stefanini, conseiller d’Etat, il confirme l’ensemble de ces résultats : il réfute aussi bien le fantasme de « la fraude » que celui de « l’appel d’air », des contre-vérités largement assénées par les détracteurs du dispositif. Les usagers de l’AME que nos organisations rencontrent au quotidien sur le terrain sont les travailleuses et travailleurs essentiels qui construisent et entretiennent nos villes, cuisinent et livrent nos repas, prennent soin de nos aînés et de nos enfants. Maillons essentiels de notre société, leur santé est aussi la nôtre.
    C’est pourquoi l’ensemble de nos organisations appelle le gouvernement à l’abandon de ce projet de réforme. La seule mesure acceptable est l’instauration d’une carte Vitale pour les usagers de l’AME, unique solution consensuelle et réaliste pour favoriser l’accès aux soins des plus précaires, alléger le travail administratif des soignants et de l’Assurance-maladie et renforcer notre santé publique.

    #Covid-19#migration#migrant#france#AME#sante#politiquemigratoire#etranger#santepublique#sanspaier#migrationirreguliere

  • Un Sénat hypersonique
    https://www.dedefensa.org/article/un-senat-hypersonique

    Un Sénat hypersonique

    10 mai 2024 (16H50) – Le journaliste russe Ilya Tsoukanov rapporte le 8 mai dans ‘Sputnik.news’ ce qu’il décrit comme « un échange verbal explosif » lors d’une audition au Sénat (le 6 mai) de personnels (militaires et civils) de la direction du Pentagone et le président de la sous-commission des forces stratégiques de la commission des forces armées dudit Sénat, le sénateur Angus King.

    Il est assez remarquable que cela se soit passé d’une manière complètement fortuite, simplement sous la pression des nouvelles extérieures, et à partir d’une question du président de la sous-commission, s’écartant complètement et brusquement, – presque brutalement, – du sujet pré-arrangé dans l’accord général de l’audition... Il n’avait pas vraiment fait exprès...

    King avait en face de lui le secrétaire (...)

    • Angus King : « Eh bien, permettez-moi de poser la question autrement : disons que ce qui s’est passé le 14 avril [l’attaque de missiles et de drones en représailles de l’Iran contre Israël] s’est produit au-dessus de l’océan Arctique – 300 missiles et drones ont traversé l’océan Arctique en direction du Canada et Amérique du Nord. Pouvons-nous faire ce qu’Israël, nous et d’autres pays avons fait – pourrions-nous abattre 99 pour cent [évaluation-Système] de ces missiles qui arrivent ? »

      Général Gregory Guillot, USAF : « Non, monsieur le président. »

      Angus King : « [...] Quel est le coût d’un GBI ? »

      John Hill : « Monsieur, le coût d’un GBI est d’environ 80 à 85 millions de dollars... »

      Angus King : « Un missile pour intercepter un missile entrant coûte 80 millions de dollars ! Eh bien, dans la mer Rouge, les Houthis envoient des drones d’une valeur de 20 000 dollars et nous les abattons avec des missiles qui coûtent 4,3 millions de dollars pièce. Ce n’est pas comme ça que fonctionne la comptabilité, messieurs... Cela ne marche pas, point final. Dites-moi, à quoi pensez-vous exactement ? »

  • Eurovision: Belgium broadcaster interrupts semi final to condemn Israel’s war on Gaza
    10 mai 2024 11:32 BST | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/trending/eurovision-belgium-broadcaster-interrupts-semi-final-condemn-israels-

    A Belgian broadcaster interrupted its coverage of the Eurovision Song Contest semi-final on Thursday night to display a protest message condemning Israel’s war on Gaza.

    In an act organised by a trade union, the screen briefly went black ahead of the semi-final coverage on VRT, Belgium’s public-service broadcaster in Flemish.

    It then aired the message: “This is a union action. We condemn the human rights violations by the state of Israel. Moreover, the state of Israel destroys press freedom. Therefore, we are interrupting the broadcast momentarily.”

    The message concluded with the hashtags “CeasefireNow” and “StopGenocide”.

    Israeli singer Eden Golan participated in the semi-final on Thursday in the Swedish city of Malmo, qualifying for Saturday’s final. (...)

    #Eurovision24

  • UAE once again made Investment offer to South Africa to drop Israeli ICJ lawsuit - News 360
    https://news360.tv/en/world/uae-once-again-made-investment-offer-to-south-africa-to-drop-israeli-icj-law

    Nos amis les “bons Arabes”...

    UAE has once again made offer to South Africa, which includes huge investments to withdraw from its plea against Israel in the International Court of Justice, reported Emirates Leak a UAE based digital media platform.

    It is to be mentioned that earlier in March too it was reported that UAE had made similar offer to African nation which it declined citing its principled position on Palestinian issue.

    In latest edition of its request from South Africa UAE wants to withdraw its case against Israel or at least reduce the severity of the genocide charge included in the file in the Court of Justice, reported Emirates Leaks.

    However according to Emirates Leaks, South Africa is insistent on proceeding with the International Court of Justice ignoring the Emirati offer, the same sources indicated extreme disappointment in Abu Dhabi at the failure of their reconciliation attempts.

  • Karim Emile Bitar et Béligh Nabli analysent l’offensive israélienne à Rafah . - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=zfvTAoVSZjg

    Les interventions sur le conflit à Gaza se succèdent sur les plateaux Tv mais ne se ressemblent pas , deux intervenants à retenir selon moi .
    Invités de France 24, Karim Emile Bitar, professeur à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth et Béligh Nabli , professeur des Universités analysent l’offensive israélienne à Rafah .

    Karim Emile Bitar « Offensive sur Rafah : » C’est un double doigt d’honneur du cabinet de guerre israélien adressé aux familles des otages et aux alliés internationaux d’Israel,lequel organise un massacre à huis clos pour faire le sale boulot loin des caméras ( ...) « Netanyahou favorise le financement du Hamas via le Qatar, s’assure auprès de l’administration Trump que cet argent ne soit pas considéré comme une aide au terrorisme et se présente ensuite en Occident comme l’opposant aux islamistes »
    (...)Il faut déradicaliser la classe politique et la société israélienne , on assiste à une dérive messianique et suprémaciste sans précédent .
    (...)Il faut déradicaliser la classe politique et la société israélienne , on assiste à une dérive messianique et suprémaciste sans précédent .
    (...) Yair Lapid aujourd’hui ,Théodore Herzl hier ( même si ouvertement athée ) lors de la fondation du mouvement sioniste mobilisait des arguments messianiques ( Israel : Terre promise ) . Il faut revenir à une lecture profane de ce conflit .
    (...) Dépeindre les étudiants qui protestent comme des sympathisants du Hamas c’est trivialiser les crimes du Hamas , dépeindre la critique du Gvt israélien comme de l’antisémitisme , c’est trivialiser l’antisémitisme(...)les mots ne veulent plus rien dire" .
    Béligh Nabli sur l’offensive israélienne à Rafah :
    « Israel a ignoré les mises en garde de ses propres alliés et continue à violer le droit international. Le déplacement forcé de civils est un crime de guerre »
    (...) Le contrôle de Rafah par l’armée d’ Israel bloque l’acheminement de l’aide humanitaire, ce qui viole l’ordonnance de la CIJ qui souligne pourtant le risque plausible de génocide à Gaza"
    (... Le Hamas & le Gvt d’Israel partagent une même forme de cynisme à l’égard de leurs propres civils. C’est néanmoins plus problématique pour un Gvt qui se prévaut de son caractère démocratique"
    (...) Une fois cette guerre terminée, on devra constater le consensus de société politique israélienne autour de la colonisation (de la Cisjordanie) de plus en plus animée par des considérations religieuses"
    (...) Le monde est traversé par la mobilisation des sociétés civiles et de la jeunesse étudiante, parce Israel n’est pas à la hauteurs des valeurs et principes démocratiques (respect des droits fondamentaux) dont il se revendique"
    (... ) La question palestinienne a refait surface avec force, alors qu’elle tendait à être marginalisée et étouffée sur la scène internationale comme sur la scène politique israélienne. Or elle continue à être appréhendée à l’aune de la sécurité et de la colonisation israéliennes"

  • La nouvelle campagne de prévention de l’OFSP – Jochen Mordasini - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=ouZqeXCAUrM

    l’Office fédéral de la santé publique a lancé ce jeudi sa nouvelle campagne de prévention contre les IST, infections sexuellement transmissibles. Le préservatif n’est plus au centre de la stratégie de l’OFSP, même s’il demeure incontournable et reste présent sur le logo de la campagne Love Life.

    Le but est désormais de lutter aussi contre d’autres types d’infections en proposant des recommandations de protection personnalisées et des tests adaptés aux risques encourus par chacune et chacun d’entre nous.

    et si vous voulez faire le test
    https://lovelife.ch/fr/safer-sex-check-survey

  • Dominique Vidal, journaliste et historien, auteur de « Antisionisme = antisémitisme ? » répond aux questions de franceinfo.
    https://www.francetvinfo.fr/societe/antisemitisme/antisemitisme-antisionisme-quelles-definitions-derriere-ces-mots-les-re

    Aujourd’hui, l’antisionisme consiste à prôner l’égalité en droits nationaux, individuels et religieux de tous les habitants de la Palestine. Je connais des gens qui éventuellement regrettent que l’État d’Israël soit advenu dans les conditions où il est advenu, c’est-à-dire où il n’y a pas eu un deuxième État comme prévu - parce qu’au fond, tous ces conflits ont pour objet les droits des Palestiniens - mais on peut être pour les droits des Palestiniens sans être contre ceux des Israéliens, évidemment.

    Interroger Dominique Vidal sur le site de France Info ? Quelqu’un va encore devoir se faire virer…

  • Pourquoi une cartographie sur le #génocide des #Tsiganes ?
    Le travail a été lancé avant tout pour répondre à la difficulté de trouver un document cartographique satisfaisant dans les manuels scolaires. Les manuels parcourus (mais je n’ai pas observé toutes les éditions) consacrent peu de temps à la singularité du génocide des Tsiganes.

    Un dépôt de ce travail sur cette plateforme me semble utile pour les enseignants et les élèves qui l’utilisent, en espérant que le document soit utile.
    https://www.cartolycee.net/spip.php?article272

    #ressources_pédagogiques

    • Quelques dévastations plus tard :

      21h42
      Toutes les parties, dont Israël, d’accord pour retourner à la table des négociations

      « L’ensemble des parties sont d’accord pour retourner à la table des négociations » pour une trêve entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, a indiqué mardi le média égyptien Al-Qahera News, proche des services de renseignements, citant un « haut responsable ». Plus tôt mardi, la même source avait indiqué que les médiateurs égyptien, qatari et américain tenaient des discussions au Caire avec le Hamas.

      #abjection

  • David Libeau - LinkedIn La RATP profite des concerts de Taylor Swift à Paris pour tester ses outils de surveillance généralisée dopée à l’IA, d’après un arrêté de la PP
    https://www.linkedin.com/posts/davidlibeau_vidaezosurveillance-tayloswift-cnil-activity-71933437082373160

    La Préfecture de Police de Paris vient de publier un nouvel arrêté pour autoriser l’usage de hashtag#vidéosurveillance algorithmique lors du concert de #TayloSwift de ce week-end.

    https://lnkd.in/e3_xbFyY

    Depuis le 30 avril, la RATPgroup avait modifié sa page Politique générale de confidentialité pour informer d’une nouvelle expérimentation qui devait être faite du 9 au 12 mai.

    Finalement le préfet autorise l’usage de la VSA du 7 au 14 mai, en publiant l’arrêté ce 6 mai, soit la veille, ne permettant pas un recours juridictionnel.

    Les stations Nanterre Préfecture et La Défense Grande Arche sont concernées.

    #CNIL #RGPD #videoprotection #Paris #JO2024 #Paris2024

    David Libeau
    Ingénieur d’études @Arcom (direction des plateformes en ligne)

    via @paniersalade

  • Clara Dealberto - X LES TENUES DU MET GALA AS GRAPHIQUES DE L’INSEE
    https://twitter.com/claradealberto/status/1787752404324126749


    C’est le jour du Met Gala, c’est donc aussi celui de mon désormais classique thread ✨ LES TENUES DU MET GALA AS GRAPHIQUES DE L’INSEE ✨
    On commence avec Zendaya as Origine et destination des étudiants en mobilité selon la taille de l’unité urbaine

  • Moselle. « L’Origine du monde » et 4 œuvres taguées au centre Pompidou-Metz : Deborah de Robertis dévoile ses motivations
    https://www.republicain-lorrain.fr/culture-loisirs/2024/05/07/l-origine-du-monde-et-quatre-oeuvres-taguees-au-centre-pompidou-

    Bête noire des musées pour ses performances, la sulfureuse Deborah de Robertis a revendiqué sur ses réseaux sociaux le scandale qui a agité lundi le Centre Pompidou-Metz. Se disant en possession de la broderie volée, elle explique que son acte et le #MeToo qui y est associé vise le commissaire de l’exposition Lacan.

    On en sait plus ce matin un peu plus sur le scandale qui a agité ce lundi, en début d’après-midi, le centre Pompidou-Metz. Cinq œuvres de l’exposition Lacan, quand l’artiste rencontre la psychanalyse , dont « L’Origine du monde », ultra-célèbre tableau de Gustave Courbet, y ont été taguées de la mention #MeToo en lettres rouges. Et une sixième, d’Annette Messager, un tissu blanc sur lequel est brodée en lettres rouges la phrase « Je pense donc je suce », a carrément été vandalisée et dérobée. Selon un communiqué du Centre, plusieurs personnes sont impliquées : « Une partie a fait diversion auprès du personnel de médiation et de sécurité, permettant aux autres membres du groupe de taguer la mention metoo sur plusieurs œuvres. » Le service interdépartemental de la police judiciaire de Metz est saisi de l’affaire. Interpellées par les agents de sécurité présents dans la galerie, deux femmes âgées de 38 et 29 ans ont été placées en garde à vue. Et une troisième serait recherchée.

    Très vite, les regards se sont tournés vers la sulfureuse artiste-performeuse Deborah de Robertis , bête noire depuis plusieurs années des musées pour les performances dénudées qu’elle y réalise. Elle avait déjà créé en 2014 un premier scandale autour de L’Origine du monde en posant nue, les jambes écartées, devant le tableau au musée d’Orsay. Elle en avait tiré une photographie intitulée « Miroir de l’origine ». Neuf ans plus tard, la Luxembourgeoise de 40 ans a mené un âpre combat que nous avions relaté dans nos colonnes auprès des commissaires de l’exposition Lacan pour qu’elle trouve sa place dans cet événement. Ce qu’elle avait fini par obtenir. L’œuvre fait d’ailleurs partie de celles qui ont été taguées.

    Un message détourné

    En début de soirée lundi, Deborah de Robertis nous a confirmé être à l’origine de ce nouveau scandale. « Oui, j’ai organisé » nous a-t-elle écrit par texto, sans préciser si elle était physiquement présente dans le Centre lors des faits. Quelques heures plus tard, sur son Instagram, elle revendiquait le vol de la broderie d’Annette Messager. « J’ai organisé une performance au @centrepompidoumetz Je me suis réapproprié la pièce d’Annette Messager dont le propriétaire est le curateur de l’exposition. Pour l’occasion, j’ai détourné son message initial […] Je considère que cette œuvre est la mienne. Il me la doit. » Une publication accompagnée de deux photos : l’une d’une main féminine posée sur l’œuvre. Et l’autre d’un tissu blanc dont on ne sait pas s’il s’agit du verso de la même œuvre, sur lequel est brodée la phrase détournant le message : « On ne sépare pas la femme de l’artiste. »

    À 23 heures, une vidéo…

    À 23 heures, elle a ensuite posté une vidéo accompagnée de ces mots : « Teaser du film que j’ai réalisé quand j’étais jeune artiste et qui explique pourquoi je me suis réapproprié cette pièce d’Annette Messager. »

    Et pourquoi la mention #MeToo a été taguée ce lundi sur les œuvres. Les images la montrent beaucoup plus jeune, dans l’intimité d’un huis clos, avec le co-commissaire de l’exposition. Les propos qu’il y échange avec Deborah de Robertis laissent peu de place au doute sur la nature de leur relation à l’époque. Une voix off qui semble être celle de la Luxembourgeoise y dit cette phrase : « Ces hommes qui ont glissé leur doigt dans mon sexe, ils imaginaient être cachés à la vue, ils imaginaient être à huis clos. » On y aperçoit aussi la broderie d’Annette Messager, accrochée à un mur. Puis à 3 h du matin, elle a publié sur X (ex-Twitter) la vidéo où l’on voit deux de ses complices taguer les oeuvres du Centre Pompidou-Metz.

    « Mon audace, ma persévérance »

    Quand sa photo avait été refusée de l’expo Lacan, Deborah de Robertis visait déjà le curateur de l’expo, disant faire les frais de sa part d’un « choix qui n’est pas impartial en tant qu’homme. »

    Sept mois plus tard, lorsqu’elle avait appris qu’elle serait finalement exposée, elle avait expliqué par ces mots ce revirement de situation : « J’ai eu avec le commissaire de l’expo un échange déterminant au sujet de son rapport à mon œuvre qu’il connaît depuis mes 26 ans. Suite à notre conversation téléphonique, il m’a été confirmé par lui que Miroir de l’Origine ferait partie de l’exposition et qu’elle y a sa place. Je ne dois cette victoire qu’à mon audace, ma persévérance et à mon désir légitime de voir mon « sexe politique » accroché au mur. » Des paroles qui résonnent désormais différemment à la lueur des nouveaux éléments qu’elle a communiqués. On se demande ce que Lacan pense de tout cela…

  • Bienvenue dans le mystère de l’objet de Hoag : des images étonnantes dévoilent cet étrange phénomène cosmique !
    https://www.tameteo.com/actualites/actualite/bienvenue-dans-le-mystere-de-l-objet-de-hoag-des-images-etonnantes-devoilen

    L’objet de Hoag est une galaxie étrange et extrêmement rare, en forme d’anneau, située à 600 millions d’années-lumière de la Terre et découverte en 1950 par l’astronome Arthur A. Hoag (1921-1999). Elle est légèrement plus grande que notre Voie lactée et a un diamètre d’environ 120 000 années-lumière. Après plusieurs décennies, cet événement cosmique capturé par le télescope spatial Hubble (NASA) continue d’intriguer les scientifiques quant à son origine. Pourquoi ?

    Sur les images capturées par le télescope Hubble de la NASA, on peut voir un anneau lumineux composé de milliards de jeunes étoiles bleues qui forment un cercle parfait autour d’une sphère plus petite et plus dense d’étoiles rouges, probablement plus anciennes. Dans l’espace sombre entre les deux cercles d’étoiles, une autre galaxie en forme d’anneau, beaucoup plus éloignée de nous, se cache également.

    À ce jour, les astronomes ne savent toujours pas ce qui a provoqué ce phénomène cosmique extrêmement rare. Après tout, les galaxies à anneaux - comme l’objet de Hoag - représentent moins de 0,1 % de toutes les galaxies existantes. Mais qu’est-ce qu’une galaxie à anneaux ?

    En fait, les galaxies à anneaux sont des galaxies normales en forme de disque qui se sont déformées après une collision avec une petite galaxie il y a des milliards d’années.
    Les différentes théories sur la formation de l’objet Hoag

    Au moment de sa découverte, il a été suggéré que l’objet de Hoag pourrait être une nébuleuse planétaire, mais cette hypothèse a été rapidement écartée et il a été confirmé plus tard qu’il s’agissait en fait d’une galaxie.

    Arthur Hoag a proposé que la formation des anneaux ne soit qu’une illusion d’optique causée par l’effet de lentille gravitationnelle, un effet qui se produit lorsque des corps de grande masse courbent et amplifient la lumière. Cependant, des études ultérieures ont réfuté cette hypothèse.

    Une autre hypothèse suggère que l’objet de Hoag était autrefois une galaxie en forme de disque, suite à une collision avec une galaxie voisine plus petite, au cours des 3 derniers milliards d’années. La collision aurait produit une vague de densité dans le disque qui aurait abouti à une forme d’anneau caractéristique (imaginez un trou dans le « ventre » du disque), déformant de façon permanente sa force gravitationnelle.

    Cependant, si la collision s’est réellement produite au cours des trois derniers milliards d’années, les astronomes devraient pouvoir en observer les conséquences, mais aucune preuve n’a été trouvée. Si une collision cosmique avait vraiment eu lieu au centre de cette galaxie, elle se serait probablement produite il y a beaucoup plus longtemps, ce qui aurait fait disparaître toute trace.

    Ce qui est certain, c’est que les astronomes n’ont pas encore élucidé l’origine de cet intrigant phénomène cosmique. À ce jour, l’objet de Hoag est l’un des grands mystères de l’Univers, car personne ne sait avec certitude comment il s’est formé.

  • Le plus haut observatoire du monde est enfin ouvert
    https://sciencepost.fr/plus-haut-observatoire-du-monde-ouvert

    Malgré ces défis, l’Observatoire Atacama est maintenant opérationnel, doté de deux instruments scientifiques de pointe : le spectrographe multi-objets infrarouge à grand champ et couleur simultanée (SWIMS) et l’imageur multi-champs à infrarouge moyen MIMIZUKU.

    Le premier imagera les galaxies de l’Univers primitif pour comprendre comment elles se sont formées à partir de poussière et de gaz vierges, un processus dont les spécificités restent obscures malgré des décennies de recherche. Le second contribuera à cet objectif scientifique en étudiant les disques primordiaux de poussière à l’intérieur desquels les étoiles et les galaxies se forment, selon le plan de mission.

    Le professeur Yuzuru Yoshii, qui a dirigé le projet TAO pendant 26 ans, exprime son enthousiasme pour les possibilités offertes par cet observatoire unique. Il souligne l’importance de repousser les limites de l’observation pour approfondir notre compréhension de l’Univers et des mystères qui le peuplent. En somme, l’Observatoire Atacama représente une avancée majeure dans le domaine de l’astronomie, offrant une plateforme d’observation sans précédent dans un environnement idéal.

  • La France et la Suisse tempèrent les ardeurs du CERN sur le futur collisionneur XXL - Le Temps
    https://www.letemps.ch/suisse/geneve/la-france-et-la-suisse-temperent-les-ardeurs-du-cern-sur-le-futur-collisionn

    Des documents obtenus par « Le Temps » indiquent que les deux pays posent un regard mitigé sur la faisabilité, en l’état, de ce projet hors norme. Ils émettent des recommandations et s’interrogent sur sa compatibilité avec la législation

    https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/ebf3c1d5-c49a-461f-964a-34cf9a86a844/large.avif

  • Israeli organ trafficking network busted in Adana [Turquie] during transplants
    by Daily Sabah with AA | ISTANBUL | May 03, 2024
    https://www.dailysabah.com/turkiye/israeli-organ-trafficking-network-busted-in-adana-during-transplants/news

    Police teams in Adana detained 11 suspects, five Israeli and two Syrian, on allegations of organ trafficking.

    The Provincial Directorate of Security’s Anti-Smuggling and Border Gates Branch began investigating after examining the passports of seven individuals who arrived in Adana from Israel about a month ago by plane. Two of these individuals, A.S. (20) and Z.M.Z. (21), both Syrian nationals, were found to have fake passports.

    Further investigation revealed that Syrian nationals A.S. and Z.M.Z. had reached an agreement with Israeli nationals S.A.S. (68) and E.A.M. (28) for kidney transplants in Adana in exchange for money.

    Following technical and physical surveillance, the police conducted an operation and apprehended the suspects, including the Syrians and Israelis.

    During searches at the suspects’ residences, $65,000, TL 10,400 ($321.77), 994 Israeli shekels ($267.26) and numerous fake passports were seized. The suspects underwent health checks at the Adana Forensic Medicine Unit before being taken into custody by the police.

    #trafic_d’organes #IsraelTurquie

    • en 2016
      Un réseau de trafic d’organes découvert ; 3 arrestations
      Les suspects ciblaient des Israéliens pauvres, qui étaient opérés dans des cliniques privées de Turquie
      Par Times of Israel Staff 26 octobre 2016, 10:32
      https://fr.timesofisrael.com/un-reseau-de-trafic-dorganes-decouvert-3-arrestations

      Une enquête longue de plusieurs mois a mis au jour un trafic d’organes. L’investigation a pris fin mardi avec l’arrestation de trois Israéliens qui auraient dirigé un réseau qui exploitait des Israéliens frappés par la pauvreté, leur proposant de vendre leur rein contre des dizaines de milliers de shekels.

      Selon la police israélienne, l’enquête a dévoilé un réseau qui a déjà mené de multiples transactions de ce genre.

      Le réseau était dirigé par un médecin du centre du pays. Après l’arrestation des trois hommes, les perquisitions à leurs domiciles ont permis de découvrir des preuves supplémentaires de leur activité, a annoncé la police.

      Les chirurgies pour retirer les reins des vendeurs auraient eu lieu dans des cliniques privées de Turquie.

      Le réseau réalisait une marge importante sur chaque organe vendu, puisque les bénéficiaires payaient des centaines de milliers de dollars par rein.

      Les trois suspects seront présentés mercredi devant la cour des magistrats de Rishon Lezion pour une audience portant sur leur détention provisoire.

  • Ce que j’ai vu à Gaza Entretien avec le médecin humanitaire Raphaël Pitti, Propos recueillis par Thomas Vescovi,
    https://www.yaani.fr/post/ce-que-j-ai-vu-%C3%A0-gaza

    (...) Quelle connaissance aviez-vous des terrains israéliens et palestiniens ? Quand êtes-vous allé pour la première fois en Israël ou dans les Territoires palestiniens occupés ?

    Mes activités m’ont amené à deux reprises à être invité par l’ONG de médecins palestiniens PalMed à tenir des conférences pour leurs équipes. De là a germé l’idée de créer un centre de formation à la médecine d’urgence à Gaza. C’était il y a cinq ans. Nous avions réalisé l’ensemble des démarches administratives. Le ministère français des Affaires étrangères m’avait obtenu l’autorisation d’entrer dans l’enclave palestinienne, via le checkpoint d’Erez en Israël. Arrivé au point de passage israélien, on m’a empêché d’entrer au motif que la situation n’était pas stable.

    Les autorités consulaires françaises m’ont expliqué combien il était difficile de faire passer du matériel médical dans Gaza : soit il est bloqué aux checkpoints, soit il est délibérément cassé avant d’entrer. À titre d’exemple, l’hôpital européen situé à Khan Younès avait besoin d’un scanner, ils n’ont pu le faire entrer qu’à la condition qu’il soit acheté en Israël. Le Consulat m’avait présenté une situation injustifiable où les autorités israéliennes maintiennent le service médical de Gaza dans une pénurie constante et de manière arbitraire. (...)

    • Dans tous les terrains de guerre où je me suis rendu, j’ai toujours fait le même constat : il y a peut-être pire que de tuer quelqu’un, c’est de lui retirer sa dignité. Tout cela constitue des crimes de guerre et contre l’humanité, sous les yeux de la communauté internationale. Tout le monde est au courant de ce qui se passe aujourd’hui dans la bande de Gaza.

    • Quelle connaissance aviez-vous des terrains israéliens et palestiniens ? Quand êtes-vous allé pour la première fois en Israël ou dans les Territoires palestiniens occupés ?

      Mes activités m’ont amené à deux reprises à être invité par l’ONG de médecins palestiniens PalMed à tenir des conférences pour leurs équipes. De là a germé l’idée de créer un centre de formation à la médecine d’urgence à Gaza. C’était il y a cinq ans. Nous avions réalisé l’ensemble des démarches administratives. Le ministère français des Affaires étrangères m’avait obtenu l’autorisation d’entrer dans l’enclave palestinienne, via le checkpoint d’Erez en Israël. Arrivé au point de passage israélien, on m’a empêché d’entrer au motif que la situation n’était pas stable.

      Les autorités consulaires françaises m’ont expliqué combien il était difficile de faire passer du matériel médical dans Gaza : soit il est bloqué aux checkpoints, soit il est délibérément cassé avant d’entrer. À titre d’exemple, l’hôpital européen situé à Khan Younès avait besoin d’un scanner, ils n’ont pu le faire entrer qu’à la condition qu’il soit acheté en Israël. Le Consulat m’avait présenté une situation injustifiable où les autorités israéliennes maintiennent le service médical de Gaza dans une pénurie constante et de manière arbitraire.

      Donc (si j’ai bien compris) bien avant le 7/10/2023, les autorités israéliennes avaient fait le choix de laisser mourir bon nombres de Gazaouis en les privant de soins.

  • Les langues peu documentées et le libre : quelques enjeux scientifiques
    https://linuxfr.org/news/les-langues-peu-documentees-et-le-libre-quelques-enjeux-scientifiques

    Comme beaucoup de domaines scientifiques, la documentation de la diversité linguistique entretient une relation forte avec les mondes du Libre. Dans cette dépêche, je vous propose de découvrir ce domaine à travers la présentation de plusieurs logiciels et ressources libres ou en accès ouvert. La documentation des langues étant un thème peu courant sur LinuxFr.org, on commencera par une présentation de cette problématique. Nous continuerons par une description des deux ressources principales existantes pour cataloguer et se repérer au sein de cette diversité linguistique. Je parlerai ensuite d’ELAN et de FLEX, deux logiciels utilisés pour annoter des enregistrements audio-visuels, une étape clef dans l’analyse linguistique, et qui permet le partage et la réutilisation de ces enregistrements. Enfin, (...)

  • Au Panama, le prochain président a promis de fermer la route des migrants dans le Darien
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/05/06/au-panama-le-prochain-president-a-promis-de-fermer-la-route-des-migrants-dan

    Au Panama, le prochain président a promis de fermer la route des migrants dans le Darien
    Par Anne Vigna (Mexico, correspondante)
    La septième élection présidentielle au Panama depuis la restauration de la démocratie en 1990 a bien été remportée par l’ancien ministre José Raul Mulino (droite), comme les sondages le prédisaient. Selon la tradition panaméenne, il a reçu un appel du Tribunal électoral, diffusé en direct sur tous les médias, le déclarant président jusqu’en 2029, avec un score de 34 % des voix, neuf points devant son plus proche concurrent. A 64 ans, cet avocat avait remplacé sur le fil la candidature de l’ancien président Ricardo Martinelli (2009-2014), alors favori de ce scrutin mais condamné par la justice.
    « Si la victoire de Mulino n’est pas une surprise et confirme la popularité de Martinelli, cette élection a été par contre très surprenante », estime Harry Brown Arauz, le directeur du Centre international d’études politiques et sociales (Cieps) au Panama. En premier lieu, à cause du rôle prépondérant joué par la justice, défaisant et faisant les candidatures en quelques mois, lors de décisions parfois controversées. (...)
    Les débats de ces élections présidentielle et législatives n’ont guère abordé les enjeux cruciaux qui agitent la société panaméenne – en novembre 2023, un mouvement social avait notamment mené à l’abandon d’une gigantesque mine de cuivre à ciel ouvert. « Les questions épineuses comme l’environnement, la sécheresse qui affecte le canal du Panama, la réforme fiscale ont été vite balayées, pour promettre une énième lutte contre la corruption et la création d’emplois. L’idéologie de tous les candidats tient dans un mouchoir de poche, du centre à la droite », juge Claire Nevache, doctorante en sciences politiques à l’Université libre de Bruxelles et associée au Cieps.

    Lors de son discours comme nouveau chef de l’Etat, José Raul Mulino a promis de « s’occuper des plus pauvres », base de son électorat, et d’« en finir avec la persécution politique ». (...) Le président élu – il prendra ses fonctions le 1er juillet –, qui n’a participé à aucun débat, a cependant promis dans les médias de fermer la frontière avec la Colombie dans la jungle du Darien, un passage particulièrement périlleux, emprunté par près d’un demi-million de personnes en 2023 en route vers les Etats-Unis. « Cette annonce est inquiétante, car sécuriser une frontière dans une jungle est très compliqué. On risque d’avoir surtout une politique punitive contre les migrants », craint la doctorante de l’Université libre de Bruxelles.
    M. Mulino est déjà tristement célèbre pour avoir dirigé, en tant que ministre de l’intérieur, une répression meurtrière (deux morts et plus de deux cents blessés) contre des travailleurs des plantations de bananiers en 2010. Ses autres promesses vont d’une généralité – relancer l’économie à travers de nouvelles infrastructures –, à l’anecdotique, comme créer un hôpital pour animaux au nom de Bruno, le chien de Ricardo Martinelli, également « prisonnier » à l’ambassade.

    #Covid-19#migration#ligrant#routemigratoire#colombie#etatsunis#frontiere#sante

  • Don’t Hype the Disinformation Threat
    https://www.foreignaffairs.com/russian-federation/dont-hype-disinformation-threat

    Often, Russian disinformation echoes talking points by the American far right, rather than the other way around.

    [...]

    This dynamic, whereby American conspiracy theorists and foreign intelligence operatives feed off one another in a vicious circle, is not new. During the Cold War, the KGB carried out active measures against Moscow’s rivals, exploiting existing social fissures by, say, picking up and amplifying rumors in a target country. Then as now, foreign operatives rarely invent political divisions or conspiracy theories: they magnify existing ones.

    [...]

    Exaggerating the effects of foreign influence campaigns serves only the foreign operatives. It fosters a conspiratorial outlook, in which shadowy enemies are supposedly creating wedge issues, dissenters are merely parroting foreign spies, and trust in open democratic debate is eroded. Most important, false claims of clandestine foreign interference absolve U.S. leaders of responsibility for the health of our political discourse.

    #désinformation

  • https://medium.com/@anastasia.bizyayeva/every-map-of-china-is-wrong-bc2bce145db2

    GPS uses the World Geodesic Standard 1984 (or WGS-84) as its reference standard. The National Geospatial Intelligence Agency (NGA) in the U.S. maintains WGS-84. This means that de facto, most of the world has subscribed to American mapping conventions. There are a few countries that have established their own geodesic data, including Russia and China. China’s datum is called GCJ-02, which translates to ‘Topographic map non-linear confidentiality algorithm’ (the name ‘GCJ’ comes from the Chinese ‘guó-cè-jú’). Here’s where it gets interesting — GCJ-02 is based on WGS-84, but with a deliberate obfuscation algorithm applied to it. The effect of this is that there are random offsets added to both latitude and longitude, ranging from as little as 50m to as much as 500m. Going back to our map examples, this explains why sometimes street view and satellite view look aligned, while at other times they completely diverge; why sometimes the offset looks like it’s applied in a northwestern direction, sometimes south, sometimes southeast, etc. Now we know what’s happening with our map — satellite images in China differ from the GPS coordinates that we have for locations within the country because of a random offset (random direction and random amount) applied by an obfuscation algorithm. This answers the question of ‘what’ is happening, but next on our agenda is answering ‘why’ this approach is taken by the Chinese government.

    cc @fil @reka

  • Campi di lavoro e lavoro nei campi

    Dall’agosto 1940 e fino alla fine del 1945 vennero internati, in numerosi campi sparsi sull’insieme del territorio ticinese, mediamente circa un migliaio di soldati stranieri, i quali rappresentarono una categoria specifica dell’insieme dei profughi accolti durante la Seconda guerra mondiale. Si trattò in gran parte di soldati polacchi, ma nei campi allestiti in Ticino risiedettero per periodi di tempo variabili pure francesi, italiani, tedeschi, austriaci, sovietici, indiani e vietnamiti, nonché un contingente di combattenti provenienti dal continente africano. Chi erano questi uomini? A quale regime furono sottoposti e perché? Dove sorsero i campi in cui furono confinati? Come trascorrevano le loro giornate? Quali furono i rapporti con la popolazione locale? Quale memoria della loro presenza si è sedimentata in Ticino? Attingendo a fonti archivistiche sinora poco sfruttate, il volume analizza e approfondisce il tema dell’internamento militare sul piano regionale, facendolo costantemente dialogare in senso verticale con quello nazionale. La pluralità degli approcci adottati e dei punti di vista considerati ha consentito di fare emergere alcune specificità ticinesi e, in altri casi, di fare luce su aspetti finora poco studiati dell’internamento militare nel suo insieme. Colmando una lacuna storiografica e fornendo un quadro esaustivo delle coordinate geografiche e temporali dell’internamento militare, il libro si presta a fungere da strumento imprescindibile per chiunque voglia affrontare la tematica della presenza di internati militari in Ticino ed eventualmente approfondirla sul piano locale.

    #livre
    #camps_de_travail #Tessin #Suisse #histoire #réfugiés_ukrainiens #réfugiés_polonais #Pologne #deuxième_guerre_mondiale #seconde_guerre_mondiale #WWII #mémoire

    • Polish Army in Insubrica region: the case study of Polish internees in Losone

      During the German campaign in the West, in June 1940, 2nd Polish Infantry Division under command of Bronisław Prugar-Ketling (1891-1948) was sent to the French region of Belfort to support 8th French army. After being cut off from supply, approximately 12,000 to 13,000 Polish soldiers of this Infantry Division, crossed the Swiss border on 19-20 June 1940, south of Ajoie, avoiding thus the German capture.

      The soldiers were interned in Switzerland according to the Hague Convention. After a failed attempt to concentrate all Pole servicemen in only one camp in Büren an der Aare, Polish soldiers were dispersed throughout Switzerland. From 1941, barrack camps were set up in all Switzerland, where these Poles soldiers were interned until December 1945. In the Insubrica region, many Polish soldiers were gathered and managed in Losone, nearby Locarno and Ascona.

      These interned Poles soldiers made mainly group-wise work assignments for the Swiss national defence works, related to the national infrastructure like constructions of roads and bridges, drainage of swamps as well as general works in the agriculture. A total of 450 kilometers in paths, bridges and canals were built alone in Ticino by these servicemen. At present, monuments and commemorative plaques commemorate the involuntary stay of these Polish soldiers people throughout the Ticino region. After the war, around 500 Poles were able to settle down in Switzerland, obtaining the Swiss citizenship.

      In addition to building and paving roads between Arcegno and Golino in the Canton Ticino, the Polish army soldiers, interned in the Losone camp during 1941-1945, worked hard to reclaim approximately 100 hectares of the land in the municipality of Losone between “Saleggi” and “Gerre”. This hard work reshaped radically the landscape of the region in the mid of the 1940s.

      Thanks to the intervention of Polish soldiers, a large amount of uncultivated agricultural areas in Ticino could be developed and, later, transformed in tourist and industrial zones.

      A hard work of Polish prisoners allowed a creation of a very important agricultural zone in Losone that persisted for many years until a construction of the famous 18 holes Golf place (shown in the centre of the map that can be seen above).

      Further in the North, in the 1980’s, an important industrial settlement called “Zandone” was created (on the left side of the above shown map). The Polish work allowed to erect a large camping in Melezza and the “Scuderia delle cavalli delle Gerre” in the area of Zandone. Between Arcegno and Golino, Polish soldiers managed to pave a road, that is named today “strada dei polacchi” (in English: Polish road).

      Polish soldiers were interned also in other parts of Switzerland and left unmistakable traces of their hard work. There are several so-called Polenweg‘s, which are roads that were built by Polish soldiers during the Second World War in Switzerland.

      https://insubricahistorica.ch/blog/2018/04/16/polish-army-in-insubrica-region-case-of-losone
      #Losone

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      Gli internati polacchi nel Locarnese e Valle Maggia

      Avevamo già scritto nell’aprile 2018 su Insubrica Historica un breve contributo sugli internati polacchi nella regione Insubrica. Durante dei lavori di ricerca per un imminente pubblicazione di Insubrica Historica sul Locarnese, abbiamo ritrovato ulteriori dettagli, che valgono la pena di essere condivisi.

      La presenza degli internati polacchi in Ticino e soprattutto nel Locarnese è legata soprattutto alla caserma di Losone posta nella località Piana di Arbigo, la quale ospitò ben oltre la fine del conflitto un ingente numero di soldati polacchi, circa un migliaio. Da questa caserma vennero impiegati per diversi lavori di bonifica. La loro presenza viene ricordata nel Locarnese per la Strada dei Polacchi da Arcegno a Golino, o ancora ad Orselina per la cappella della Madonna di “Ostra Brama”.

      Vi erano però diversi altri campi di lavoro distribuiti nella regione, i quali ospitavano anche loro soldati polacchi. In particolare grazie ad un recente articolo di Fabio Cheda Gli internati polacchi a Maggia, vi sono alcuni dettagli di questi campi nella Valle Maggia.

      I campi erano distribuiti nella maniera seguente: ai Ronchini di Aurigeno (15-30 militi), a Bignasco (10-15 militi), a Cevio (40-50 militi), a Linescio (30-35 militi), presso l’edificio “Cortao di Bonitt” a Maggia (30-35 militi), al Piano di Peccia (fino a 15 militi) e a San Carlo (100-200 militi). Nella sola Valle Maggia vi era circa il 15% (n=200) del totale dei soldati polacchi internati in Svizzera (n=12’000) durante la guerra. La maggior parte di loro erano entrati in Svizzera nella regione del Giura Francese, duranta la disfatta dell’esercito francese nell’estate del 1940.

      L’ubicazione di alcuni di questi campi e località di lavoro come a Lodano, lascia dedurre che l’impiego di questi soldati non era confinato al solo settore agricolo ma soprattutto anche nel disboscamento delle superfici forestali della Valle.

      «Questi baldi giovanotti facevano girare spesso la testa alle ragazze e alle mogli locali, tenendo in considerazione che gran parte degli uomini del paese erano impegnati nel servizio militare. È appurato che i Polacchi abbiano lasciato il segno: una donna si presentò un giorno ai capi responsabili mostrando il ventre gonfio…» (Fabio Cheda, A tu per tu, Dicembre 2020)

      Sempre secondo Fabio Cheda, il rapporto dei soldati polacchi con la popolazione era esemplare. Molto positivo, soprattutto con le signorine della Valle, tanto che vennero celebrati anche dei matrimoni.

      Non tutti i soldati polacchi ebbero la pazienza di restare fino alla fine del conflitto, oppure di ritornare in Pologna. Ve ne sono alcuni che riuscirono anche a fuggire da questi campi di lavoro prima e dopo il conflitto, i quali pur essendo controllati da soldati dell’esercito Elvetico, non sottostavano a rigida disciplina, come invece si ebbe in altri campi soprattutto della Svizzera tedesca.

      https://insubricahistorica.ch/blog/2021/09/30/gli-internati-polacchi-nel-locarnese-e-valle-maggia
      #internement #internés

    • Internati polacchi in Svizzera tra guerra, lavoro e sentimento

      Un’analisi storica sulla presenza degli internati militari polacchi in Svizzera durante la Seconda Guerra Mondiale vuole essere un momento prezioso per una riflessione su noi stessi e sulla nostra terra elvetica: terra di transito in cui i nostri orizzonti hanno potuto incontrarsi, per pochi anni, con un popolo straordinario, che nel dolore, nella perdita e nella sofferenza del conflitto ha saputo dare, oltre che il suo sudore del lavoro - fondamentale per il nostro Paese - durante l’internamento, un esempio unico di dignità, di comunanza e di fratellanza.
      Al di là della politica e delle vicissitudini belliche, gli uomini hanno saputo ritrovarsi, anche soltanto per un istante.

      https://www.editore.ch/shopvm/varia/internati-polacchi-in-svizzera-tra-guerra-lavoro-e-sentimento-detail.html

  • Le salon Watches and Wonders – Gilbert Vacheron - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=HYkdF_gn0Ss

    Le salon Watches & Wonders se tient actuellement et jusqu’à lundi à Geneva Palexpo. Plus de 50 exposants représentant les plus grandes marques, mais aussi le plus confidentiels, sont réunis pour présenter aux professionnels et au grand public leurs dernières nouveautés ou leurs modèles les plus emblématiques.

    Alors que le secteur de l’horlogerie a connu trois années de croissance record mais phase de ralentissement pourrait se faire sentir.