MÉLENCHON - Le Problème C’est Ceux Qui Se Gavent (REMIX POLITIQUE)

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  • Face aux gilets jaunes, les éditorialistes entre condescendance et mépris
    https://www.acrimed.org/Face-aux-gilets-jaunes-les-editorialistes-entre

    Le mouvement des gilets jaunes a été suivi très attentivement et avec une certaine curiosité par les médias, et en particulier par les éditorialistes. Le traitement médiatique de cette mobilisation a rompu, à certains égards, avec l’habituelle hostilité médiatique vis-à-vis des mouvements sociaux. Certains éditocrates ont d’ailleurs témoigné leur sympathie à l’égard d’un mouvement auquel ils prêtaient leurs propres obsessions (notamment antifiscales).

    Mais il suffit d’examiner de plus près leurs propos pour apercevoir, à travers cette sympathie de façade, la condescendance et le mépris (qui sont allés croissants avec l’ampleur du mouvement) à l’égard du mouvement des gilets jaunes.

    • Moscou demande à Paris d’assurer la sécurité des journalistes RT 5 Décembre 2018

      Après que 12 journalistes de RT ont été blessés lors des manifestations des Gilets jaunes à Paris, la Russie demande à la France de ne pas recourir à une force excessive et d’assurer la sécurité des journalistes, a déclaré mercredi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

      L’acte 3 des manifestations des Gilets jaunes a dégénéré samedi dernier en affrontements avec la police, au cours desquels plusieurs journalistes internationaux ont été victimes de blessures. Parmi eux, 12 journalistes de la chaîne de télévision RT, ce qui n’a pas échappé l’attention du ministère russe des Affaires étrangères.

      « Nous appelons les autorités parisiennes à s’abstenir de tout recours excessif à la force et, bien sûr, à ne pas utiliser la force contre les journalistes, à ne pas oublier les normes de respect de la liberté d’expression et de sécurité des activités des médias, signées par vous, et compte tenu des principes généraux de l’humanisme, à mener des activités d’application de la loi. Nous demandons aux Français de créer les conditions nécessaires à la sécurité des journalistes », a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, lors d’un point presse.

      Elle a souligné que les journalistes ne devraient pas devenir une cible pour la police.

      https://fr.sputniknews.com/international/201812051039180907-gilets-jaunes-moscou-securite-paris-journalistes

    • « Le clergé médiatique se rendit compte alors que son manège d’experts ignares, d’editorialistes aussi mauvais qu’inamovibles , de stars idiotes et de politiques disant le contraire de la veille, se fracassait sur la vague populaire qui montait jusqu’à ses studios de propagande. »

      S’il est évident et bien normal d’inviter des gilets jaunes à s’exprimer, il est du devoir des médias de ne pas offrir du temps d’antenne à des gens aux discours incohérents et surtout irresponsables.
      Thomas Snegaroff

  • Les Gilets jaunes à la lumière de l’expérience italienne | le collectif Athéné Nyctalope
    https://paris-luttes.info/les-gilets-jaunes-a-la-lumiere-de-11185

    Pour éclairer ce qui se passe en France, il est précieux de regarder ce qui se passe ailleurs. On a jeté un œil sur la situation italienne. Des revendications et de la structuration du mouvement aux positions des camarades vis-à-vis de celui-ci, revue des divergences et convergences entre Mouvement 5 étoiles et Gilets jaunes. Source : Paris-luttes.info

  • Au bourreau ! Radio Campus Lille - C’est l’heure de l’mettre

    « Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis des siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l’amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu’à l’épuisement des forces vitales de l’individu et de sa progéniture. » (Paul Lafargue, « Le droit à la paresse » , 1880).

    Le piège où nous sommes enfermés c’est celui-là : contraints de vendre notre force de travail pour vivre, nous sacralisons notre calvaire. La crainte de tomber plus bas, ailleurs, nous lie à nos geôliers. Dire qu’ils en profitent est un euphémisme.

    Nos moeurs sont étranges. Alors qu’on nous fait crever à la tâche, on ne voit le salut que dans celle-ci. C’est que nous ne sommes qu’à la préhistoire de ce qui viendra, et pour le moment dans l’obscurité de la caverne.


    En effet, pour produire ce qu’il faut pour nos besoins, lesquels sont grands, il faut de moins en moins de travail. C’est une bonne nouvelle. Mais pour réaliser le profit, lequel est grand, de quelques parasites, il faut toujours du travail. C’est une mauvaise habitude.

    Du côté de la pitance rétrécie, nous sommes trop nombreux. Du côté de la panse rebondie, il y a toujours comme un petit creux. Nous sommes à ce moment : dans une contradiction si écrasante que l’on n’y voit plus rien.

    Sous la pression toutefois, remontent des esprits et des corps meurtris, cette souvenance des chaînes de jadis, des coups de fouets, des morts à la mine et des bras pris dans les machines. Sauf qu’en français moderne la broyeuse est managériale, et la victime en burnout. On met bas en caisse et c’est au tri du courrier qu’on se grille les fusibles. Aux heures de bourreau, la loi travaille...

    Le profit suce le travail et recrache les noyaux. Tant qu’on a de la chair sur les os, on trime sans penser. Dehors, les carcasses s’accumulent, et ceux qui tiennent s‘habituent aux ruines. Dessous, cette certitude encore mal dégrossie qui dit que ça ne pourra plus durer...

    C’est l’heure de l’mettre dit-on...

    (La semaine passée nous vous parlions de Fadila, caissière à Auchan City Tourcoing, victime d’une fausse couche sur son lieu de travail ; Radio Campus ayant été le premier media à révéler cette affaire, elle fut invitée à joindre la délégation syndicale qui accompagna Fadila auprès de Mélenchon, déboulé pour l’occasion dimanche dernier à Tourcoing. On entendra leurs échanges. Mais auparavant, nous accueillerons une autre victime du management, Emeline, qui a failli laisser sa jeune vie entre les mains avides de La Poste, il y a presque un an. Et, comme nous ne sommes pas du genre à nous voir en « victimes », nous verrons que ces « accidents » ont des raisons politiques.)

    _ « L’heure de l’mettre ! » _

    Le fil de l’émission
    – Le fabuleux générique
    
- 3mn06 L’Ephéméride : Saint Drame du Travail
    
- 10mn53 Voeux 2017, il faut que ça pète ! A propos de quelques conflits sociaux régionaux, le travail du Dimanche, Auchan City Tourcoing, le Déboulé de Mélanchon à Tourcoing . . . .

    – 23mn22 : Emeline Broequevielle sa vie à La Poste, son témoignage en direct.
    
- 65mn42 : La rencontre de Fadila la caissiére d’Auchan City, avec Jean Luc Mélenchon à Tourcoing

    – 75 mn Entretien entre Maitre Ioannis Kappopoulous, l’avocat de Fadila et Fadila

    – 81mn15 Habib Hamdoud, délégué CGT du Auchan City de Tourcoing ; Auchan City, Gérard j’ai une question à te poser . . . . . .

    Bonus : Mélenchon - Le Problème C’est Ceux Qui Se Gavent (Remix Politique)
    https://www.youtube.com/watch?v=RDTxeY7akNA


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