Sortir de Noir Désir en beauté, #Serge_Teyssot-Gay
1/20 (feat. Cazey, Zone Libre) · Hamé
Sortir de Noir Désir en beauté, #Serge_Teyssot-Gay
1/20 (feat. Cazey, Zone Libre) · Hamé
je suis fière d’avoir les mêmes que celles de mes ainés
Les mains noires
▻https://www.youtube.com/watch?v=nEDhEp8jB1Y
J’ai du mal à aimer, à trouver mes mots
Et le sommeil sans prendre de comprimés
Je suis inanimé, énormément abîmé
Probablement mort-né et déjà embaumé
Je n’ai le goût de rien, mais je sais le mimer
Et mon entrain n’est qu’un écran de fumée
J’ai toujours su très bien jouer à l’humain
Manier les banalités et les lieux communs
Mon prénom a été gommé du roman
J’ignore tout simplement où, quand et comment
Et pourquoi je me suis sur moi-même renfermé
Endormi apparemment pour un moment
Je ne suis ni exigeant, ni borné
Ni sournois, ni attachant, ni acharné
Ni content, ni méchant, ni charmant
Seulement peu concerné et désincarné
Comme à pas grand chose d’être interné
Ou l’invité d’honneur de mon propre enterrement
Détourné du monde, seul et épargné
Par ces petits bonheurs ou ces grands tourments
J’ai beau prendre le problème et le retourner
J’ai effectué un très gros travail sur moi
J’ai occupé la longueur de mes journées
Je ne ressens ni l’envie, ni l’émoi
Ni la peur, ni l’ennui, ni l’effroi
Ni la lenteur des heures, ni le compteur des mois
Pas une seule fois le poids des années
Même une bonne déprime m’aurait bien dépanné
Mais il n’y a que mon crane noyé dans le néant
Et mon corps broyé par un trou béant
Alors dites-moi comment être foudroyé
Sortir souriant, hilare et puis débraillé
Bâtir un foyer, y être choyé
Pouvoir bavarder sans bafouiller
Être le bon voisin ou le bon employé
Le bon mari, le bon ami à côtoyer
Ou ébloui par la nuit et ses néons
Le vent, la pluie, le soleil et ses rayons
Et j’ai essayé de crier mon tourbillon
Mais ma voix n’a pas pu ôter son bâillon
J’ai un bataillon d’histoires à vous détailler
De petits soirs sans festins ni cotillons
De gosses que je ne verrai jamais brailler
En se réclamant être de mon sillon
Donc si vous me voyez qui que vous soyez
Pitié, ne tentez pas de me réveiller
D’être bienveillant, de vous apitoyer
Car les morts-vivants ne savent pas s’émerveiller
"Si tu es en colère, c’est que tu n’es pas capable de raisonner logiquement puisque, en tout cas en Occident, la colère c’est l’ennemi de la #réflexion. Ça, c’est un truc paternaliste. C’est une façon de dire, en gros tu es #primitif, tu ne sais pas organiser ta pensée. Ça, c’est une façon de te disqualifier, une façon de disqualifier le #discours et c’est une façon aussi de s’assurer d’un certain #confort, c’est-à-dire : ’Je veux bien t’entendre, mais dis-le moi gentiment, que ça ne soit pas inconfortable’. Non, des fois c’est un crachat dans ta gueule que j’ai envie d’envoyer pour que tu comprennes. Ça, c’est réel, c’est aussi une envie de confort, c’est-à-dire que ton interlocuteur, dans sa toute puissance, dans sa grande #impunité, ce qu’il demande à l’oppressé c’est lui raconter son #oppression et sa #souffrance, mais vraiment en des termes qu’il puisse entendre, à savoir avec la douceur, l’amour et la gentillesse et la tendresse nécessaires.
▻https://www.facebook.com/chloe.fraissebonnaud/posts/pfbid0bgHLuUR9PpFcx3wWVDkQUV35qoPYWt3YHAx3eB8MCXzuyuHDaUu6bwTQ74WG5Wmul
(je ne trouve pas cette vidéo ailleurs que sur FB)
#logique #paternalisme #disqualification #gentillesse #décolonial
Je me disais bien que je me rappelais cette vidéo :)
▻https://seenthis.net/messages/827185#message829535
Le sucre : histoire d’un asservissement mondial.
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2023/01/le-sucre-histoire-dun-asservissement.html
« La demande en sucre ne cesse d’augmenter en Occident. Or en l’absence d’innovations techniques significatives, la seule solution trouvée consiste à étendre toujours plus les plantations, ce qui implique toujours plus de main d’œuvre. C’est donc sur l’exploitation de la canne à sucre que se fonde l’esclavage en Amérique latine et aux Caraïbes. La plante y façonne les paysages, incarnant plus qu’aucune autre la colonisation. L’introduction de cette plante importée - lors de son second voyage, Christophe Colomb transporte déjà de la canne à sucre dans ses caravelles – a également de très graves conséquences environnementales. Les forêts tropicales qui couvraient la Barbade, la Jamaïque, la Guadeloupe disparaissent sous l’effet du défrichage et du brûlis. Elles sont remplacées par des champs géométriques, reliés par des routes à l’usine et au port. »
Bethina Gohio - Pas là pour plaire ! [Partie 1]
Émission du 21 janvier 2021, nous avons invité Bethina Gohio. Voici la deuxième partie ; On parlera encore de #Diam’s, mais aussi de #Casey et de #Keny_Arkana, « qui représentent chacune une facette différente de la rappeuse, et des héritières pour lesquelles l’urgence est dans la libération des femmes et se ressent aussi bien dans leurs textes que dans leur attitude. »
#rap #radio #offensivesonore #hiphop #féminisme
▻https://offensivesonore.blogspot.com/2022/01/pas-la-pour-plaire-partie-2.html
Bethina Gohio - Pas là pour plaire ! [Partie 1]
Émission du 7 janvier 2021, nous avons invité Bethina Gohio. On parlera des « pionnières, des figures incontournables que sont #Diams, #Casey et #Keny_Arkana, qui représentent chacune une facette différente de la #rappeuse, et des héritières pour lesquelles l’urgence est dans la libération des femmes et se ressent aussi bien dans leurs textes que dans leur attitude. »
#rap #radio #offensivesonore #hiphop #féminisme
▻https://offensivesonore.blogspot.com/2022/01/pas-la-pour-plaire-partie-1.html
Activision Blizzard’s (ATVI) Board is Full of CEO Bobby Kotick’s Friends - Bloomberg
▻https://www.bloomberg.com/news/newsletters/2021-11-19/activision-blizzard-s-atvi-board-is-full-of-ceo-bobby-kotick-s-friends
More than 1,500 Activision Blizzard Inc. employees have signed a petition calling for Chief Executive Officer Bobby Kotick’s removal, but it’s a group of just 10 people who will ultimately decide the embattled leader’s fate.
#jeu_vidéo #jeux_vidéo #activision_blizzard #bobby_kotick #démission #ressources_humaines #actionnariat #gouvernance #scandale #harcèlement #harcèlement_sexuel #bro_culture #succès #brian_kelly #peter_nolan #dawn_ostroff #casey_wasserman #barry_meyer #reveta_bowers #hendrik_hartong_iii
Meet The Activision Board Members Supporting Bobby Kotick
▻https://kotaku.com/lets-meet-the-board-members-supporting-besieged-activis-1848079283
Kotick’s name appears in Jeffrey Epstein’s “Little Black Book”.
#jeu_vidéo #jeux_vidéo #scandale #activision_blizzard #bobby_kotick #little_black_book #jeffrey_epstein #ressources_humaines #casey_wasserman #peter_nolan #barry_meyer #brian_kelly #dawn_ostroff #robert_morgado #sec #securities_and_exchange_commission #robert_corti #hendrik_hartong_iii
I Called Everyone in Jeffrey Epstein’s Little Black Book (2020)
►https://www.motherjones.com/politics/2020/10/i-called-everyone-in-jeffrey-epsteins-little-black-book
Remember: An appearance in the address book is not evidence of any crime, or of complicity in any crime, or of knowledge of any crime.
AUSGANG Live « Bonne conduite / Comme une Ombre / Crapule »
►https://www.youtube.com/watch?v=Zj5t6i-CnEY
Casey est l’invitée d’Affaires Culturelles
▻https://www.franceculture.fr/emissions/affaires-culturelles/casey-est-l-invitee-d-affaires-culturelles
Célébrée pour sa liberté de ton, sa plume noire et acérée, ses torsions syntaxiques, et son flow anguleux, la #rappeuse Casey occupe une place singulière sur la scène musicale. Depuis 2019, celle qui aime se présenter comme "cette anomalie du 93 avec une gueule caribéenne" s’illustre au sein du groupe Ausgang, une fusion rock-rap qui réunit avec elle Marc Sens à la guitare, ManuSound à la basse et Sonny Troupé à la batterie. Le groupe est en tournée à travers la France pour porter son premier album Gangrène sorti en mars 2020 et fait une étape au Centre Pompidou pour une carte blanche le 25 novembre dans le cadre du Festival “Les Femmes s’en mêlent”.
Ah et c’est un nouveau podcast de la documentariste franco-algérienne #Keira_Maameri
Black sounds matter
▻https://laviedesidees.fr/Black-sounds-matter.html
La #musique occupe une place de choix dans la tradition intellectuelle noire américaine. Mais qu’en est-il du rap, genre parfois controversé ? Pour Ta-Nehisi Coates, le hip-hop éclaire de manière originale le sens de la vie noire, à l’heure du Black Lives Matter.
#Arts #États-Unis #racisme #négritude #culture_populaire
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20200609rap2.pdf
▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20200609rap2.docx
#Kendrick_Lamar - Alright (2015)
#Police harassment leads to crowd singing Kendrick Lamar’s « Alright » (2015)
Déjà présente sur ma compil consacrée à la #violence_policière : ►https://seenthis.net/messages/576637
C’est le moment de placer #Casey
Casey VS Zone Libre - Purger ma Peine
Ausgang - Chuck Berry
►https://www.youtube.com/watch?v=2VRjOQQUg6g
Sur les violences policières, c’est plutôt :
Casey - Des Tetes Vont Tomber
►https://www.youtube.com/watch?v=9Ubg8vCnhL4
Dans son nouveau projet, la rappeuse martiniquaise #Casey réhabilite les racines du #rock « dans la #culture_noire »
« Je l’ai dans la chair, je l’ai dans les veines/Qu’est-ce que tu crois cette histoire est la mienne », lâche-t-elle en faisant référence au rock dans « #Chuck_Berry », un des titres phares de « Gangrène », album à paraître vendredi (label A Parté). « Le rock a ses racines dans la culture noire. Ce n’est même pas une demande de légitimité, elle est là de fait », expose à l’AFP celle qui se décrit dans ce morceau comme une « anomalie du 93 avec une gueule caribéenne » - elle a grandi au Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis et a des origines martiniquaises.
▻https://la1ere.francetvinfo.fr/son-nouveau-projet-rappeuse-martiniquaise-casey-rehabilite-racin
►https://www.youtube.com/watch?v=2VRjOQQUg6g
#Ausgang #rap #Musique #Musique_et_politique #France #Jimi_Hendrix
Casey est de retour ! Nouveau groupe, Ausgang, nouveau clip (ci-dessous), nouvel album le 6 mars prochain, concerts le 17 mars à La Maroquinerie, le 10 avril à Ivry, et à suivre...
Chuck Berry
Ausgang (Casey, Marc Sens, Manusound, Sonny Troupé)
▻https://www.youtube.com/watch?v=ijPK6pLKy1E
Me demande pas si je suis à ma place, j’ai déjà brûlé la scène
Te voiler la face, c’est te faire croire que l’inventeur du rock n’a pas du tout mes gènes
Et dans les champs au bas de l’échelle, oui c’est mon peuple qui portait les chaînes
Plutôt qu’faire ça dans la rock, attitude de toute la bourgeoisie parisienne
Moi, j’aime le cuir, le blanc de mes pompes, le bleu de mon jean, c’est de l’hygiène
Paraître pauvre, c’est un caprice, un privilège que les riches aiment
Ma race a mis dans la musique sa dignité de peur qu’on lui prenne
A fait du blues, du jazz, du reggae, du rap pour lutter et garder forme humaine
Et l’Occident qui avait honte a inventé le punk s’est haï lui-même
Tu as le cuir, la coupe, les clopes, les bottes et la Fender
Les anecdotes, Les Enfants du Rock, la collection de vinyles de ton père
Je l’ai dans la chair, je l’ai dans les veines, qu’est-c’que tu crois ? Cette histoire est la mienne
J’ai dit Jimi Hendrix et puis Chuck Berry
Jimi Hendrix et puis Chuck Berry
Jimi Hendrix et puis Chuck Berry
Jimi Hendrix et puis Chuck Berry
Je fais du rap, je fais du rock où je vais, je suis moi-même
Ces deux milieux sont jamais prêts pour le show que je produis chaque fois qu’je m’amène
Anomalie du 93 avec une gueule caribéenne
J’ai un penchant, j’l’ai jamais caché pour les textes qui autopsient ma haine
Ma bouche a tout, toujours des cartouches à cracher et du coup cela créé le malaise
Et je suis noire dans un monde blanc, c’est impossible que je le taise
Sur la guitare, la batterie et la basse, je viens casser l’ambiance et rapporter la crasse
Le rock est sans défense, je bouge dans tous les sens, l’ai arrosé d’essence, lui ai donné la chasse
Oui, j’ai l’aisance, je l’ai dans le sang, dans mon élément, ça me va comme un gant
On m’a pas invité, c’est pas moi qu’on attend, je viens représenter le clan des combattants
Dispo pour ma diaspora pillée par des types mourants
J’l’ai dans la chair, j’l’ai dans les veines car cette histoire est la mienne
#Casey #Ausgang #rap #rock #Musique #Musique_et_politique #France #Chuck_Berry
Aidez-moi
Ausgang (Casey, Marc Sens, Manusound, Sonny Troupé)
▻https://www.youtube.com/watch?v=kW0xV3J4fdw
Pour la petite histoire, le clip de Casey, Chuck Berry, a été tourné à la Parole errante à Montreuil ►http://laparoleerrantedemain.org
La Poudre - Épisode 66 - Casey, le 20 février 2020
▻https://soundcloud.com/nouvelles-ecoutes/la-poudre-episode-66-casey?in=nouvelles-ecoutes/sets/la-poudre
▻https://jack.canal.fr/articles/lire/casey-ma-carriere-c-est-tout-sauf-un-calcul-marketing
J’ai tendance à me méfier des termes comme « rage » et « colère », avec lesquels on me résume souvent. Selon moi, m’enfermer là-dedans, c’est m’enfermer dans des sentiments infantiles. C’est une forme de condescendance, une façon de dire que, si tu es en colère, c’est que tu n’es pas assez raisonnée, réfléchie, que tu ne peux pas tenir une conversation logique, que tu n’as pas encore accès à la pensée ou à l’organisation de ta pensée. Après, bien évidemment que j’ai de la colère et de la rage, ce sont des sentiments salvateurs, mais me résumer à ceux-là contribue à éluder tout ce que mes textes disent, à résumer mon discours à une sorte de cri primitif. Et puis je ne me sens pas spécialement plus en colère que d’autres personnes. C’est peut-être juste que j’arrive à en faire quelque chose d’un tant soit peu créatif.
tout de suite sur france cul Par les temps qui courent par Marie Richeux.
▻https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/casey
C’est le #rap qui m’a fait m’intéresser à l’histoire des Amériques, c’est-à-dire au nouveau monde, cette partie du monde qui a été prise d’assaut il y a cinq siècles et qui a créé un melting pot culturel incroyable. En cinq cents ans, tout ce qui s’est passé de novateur s’est passé de ce côté du monde. C’est en écoutant des #rappeurs américains et en traduisant leurs textes, que j’ai appris des choses. Et c’est en faisant des recherches sur les références des uns et des autres, notamment les Black Panthers, que je suis tombée sur Franz Fanon, qui est martiniquais. Dans les Amériques, il y a une culture de la survie, c’est ce qui a créé une nouvelle nation, ce sont les nouvelles racines, ce qui a été fait à partir de la rencontre et de la survie. Les caraïbéens, les afro-américains, ou les sud-américains ont su créer quelque chose de nouveau à partir d’un effacement : quelque chose de nouveau s’est inventé à partir du rien, et c’est très puissant.
Dans son nouveau projet, la rappeuse martiniquaise Casey réhabilite les racines du rock « dans la culture noire »
Ce que fait Casey, c’est de l’instruction civique dans une époque qui cultive une indifférence au passé
▻https://pan-african-music.com/casey-ausgang-interview
Ce que je perçois autour de moi et plus généralement dans la société, ce sont des névroses mal ou pas traitées, de la solitude, de l’autodépréciation, toutes ces choses où t’as pas besoin d’un flic pour te menotter. T’es tellement sur tes propres douleurs, tes propres impasses que tu te tiens tranquille toi-même en fait. La société te dévitalise, te déshumanise, ça c’est réel. Quand tu vas en quartier, tu vois que la rue est mortifère. Effectivement, l’argent manque alors les gens se tirent dessus, s’envient. Mais c’est surtout la tête qui est atteinte alors que c’est le centre névralgique de la lutte. Les gens n’ont plus les moyens de penser, de réfléchir à leur condition.
“Hub City” by Photographer Casey Bennett
▻https://www.booooooom.com/2019/10/31/hub-city-by-photographer-casey-bennett
Photographer Casey Bennett explores the intersection where landscape, architecture and human presence meet. Originally from Grand Forks, British Columbia, Bennett now resides in the small town of Williams Lake, which is the backdrop of his newest series, “Hub City”.
“Located in the Central Cariboo Interior, where individuals’ collective livelihoods and lifestyles have been, and are currently heavily dependent upon certain industries— particularly the logging and mining industries, which have experienced some unstable periods over the last few years, leading to shut downs and increased unemployment. Generations of families have committed their lives and passed on an identity of working these jobs, becoming culturally bound to these careers.”
#health Hacks with Casey Fenton of UpStock and CouchSurfing
▻https://hackernoon.com/health-hacks-with-casey-fenton-of-upstock-and-couchsurfing-3f4624b972e4?
Episode 10: Part 2 of an interview with Casey Fenton, CEO and Founder of UpStock, and Co-Founder of CouchSurfing.Listen to the interview on iTunes, or Google #podcast, or watch on YouTube.In this episode Trent and Casey discuss health hacks, how to live longer, and how to improve your overall health with simple tips and tricks.“If you can get someone in your life who loves you, to help you hack yourself… to get you to think ‘I care about my health, I care about my health, I want to live a healthy way for a long time.’ Get someone to help you get that kernel, that little nugget that is health #hacking, and that will grow.”“You will start to see all little things in your environment, all over the place, that corroborate and bolster of this identity that ‘I care about my health, and I love myself,’ (...)
#hacking The #ego with Casey Fenton of UpStock and CouchSurfing
▻https://hackernoon.com/hacking-the-ego-with-casey-fenton-of-upstock-and-couchsurfing-98b63138b1
Episode 9: Part 1 of an interview with Casey Fenton, CEO and Founder of UpStock, and Co-Founder of CouchSurfing.Listen to the interview on iTunes, or Google #podcast, or watch on YouTube.In this episode Trent Lapinski interviews Casey Fenton, who is working on a new book on ego hacking. In this episode Trent and Casey discuss some of the techniques Casey has been researching and presenting that are going to be included in his new book which he’s still working on.“It is so important to think about how we become our identity. We have to be very careful with how we are programmed. What is in our identity? What does that cause? We automatically find more of it, whatever it is. A lot of the time the authentic self is intuitively what I feel in my heart and soul, but maybe that authentic self (...)
« Black Panther » : une représentation sans précédent dans un film grand public | Joelle Monique
▻http://www.etatdexception.net/black-panther-une-representation-sans-precedent-dans-un-film-grand-p
Black Panther de Ryan Coogler est l’un des films les plus attendus de l’année, et pour cause. L’excitation semble provenir à la fois de la situation politique actuelle ou d’une réaction instinctive face à une représentation sans précédent dans le cinéma grand public. Mais le film est tellement plus que l’un ou l’autre. Source : Etat d’Exception
Avant d’être un film, c’était une BD dont avait parlé #Casey_Alt, traduit en français dans Jef Klak :
Super Pouvoir Noir
Casey Alt, Jef Klak, le 15 mai 2015
►https://seenthis.net/messages/565695
1966, le mouvement Black Power est en pleine ébullition, le Black Panther Party vient de se créer et le premier super-héros noir apparaît dans les strips de Marvel Comics. « T’Challa, la Panthère Noire » évolue dans le Wakanda, nation africaine indépendante au développement technologique avancé. Les Noirs représentés au sein de cette Black Nation fictionnelle sont médecins, hommes politiques ou simples soldats pour le plus grand bonheur des jeunes lecteurs désireux de bousculer les représentations. Malgré les diverses tentatives de Marvel Comics pour en affaiblir la dimension politique, la Panthère Noire et le Wakanda ont porté haut les couleurs de la communauté africaine-américaine, comme en attestent les courriers des lecteurs, témoins de cette lutte symbolique au sein de la culture populaire des années 1960-70.
#Black_Panther #Cinéma #BD #racisme #Noirs
La Rumeur, le refus du silence des cimetières
entretien réalisé par Fara C. mardi 12 septembre 2017
▻http://www.humanite.fr/la-rumeur-le-refus-du-silence-des-cimetieres-641832
▻https://img.humanite.fr/sites/default/files/styles/abonnez_vous/public/images/51788.HR.jpg?itok=J3m4rxHx
Après son concert, vendredi sur la Petite Scène, Hamé débattra de la situation des quartiers populaires. Rencontre avec un poète sans langue de bois.
Fer de lance du #hip-hop revendicatif, le groupe #la_Rumeur galvanisera, vendredi à 21 h 45, la Petite Scène. Le 16, à 13 heures, à la Halle Léo-Ferré, Hamé participera à un débat sur les quartiers.
Que représente pour vous la Fête de l’Humanité ?
Hamé N’ayant pas grandi en Île-de-France, je l’ai découverte quand j’ai déménagé en région parisienne. C’est un rendez-vous fort de la gauche populaire, avec une intéressante combinaison de concerts et débats. Un point de ralliement pour la mobilisation. Outre le concert de la Rumeur, je participerai au débat animé par Daniel Mermet sur la situation des #quartiers_populaires. Un sujet capital, vu les mesures que Macron veut imposer et impose déjà.
Depuis le début du mandat d’Emmanuel Macron, qu’est-ce qui vous met le plus en colère ?
Hamé Il poursuit les travaux de démolition lancés il y a plusieurs décennies, puis durcis par Sarkozy et pérennisés par Hollande. Macron opère une phase d’accélération. Il a commencé à liquider le peu qui reste au peuple. Un processus qu’on observe sur le plan national, européen et international. Le président actuel a été placé par une poignée de milliardaires. Sa feuille de route se soumet aux bailleurs de fonds, qui édictent leurs intérêts, sans même prendre la peine de masquer leurs ambitions sous un discours pseudo-social. En s’attaquant à l’ISF, ce sont plusieurs milliards de cadeaux qu’il veut faire aux plus riches parmi les riches.
Le Défenseur des droits vient de remettre un rapport dénonçant les dérives de la chasse contre les fraudeurs aux prestations sociales…
Hamé Il s’agit d’une guerre économique sauvage, menée à l’échelle internationale, comme le montrent par exemple les offensives sociales d’un Trump. La différence entre le tournant du XIXe siècle au XXe siècle et celui avec le XXIe siècle, c’est qu’aujourd’hui le capitalisme pur et dur s’est généralisé à travers la planète, dans une pulsion de retour à une pureté idéologique. Le but ? Démanteler l’ensemble des droits et laisser aux gens d’en bas des miettes.
Vous travaillez à un documentaire sur #Adama_Traoré, mort en 2016 à la suite d’une interpellation…
Hamé Je le fais pour et avec la famille d’Adama et le comité de soutien, qui se battent avec une énergie admirable. Le comité de soutien constitue un lieu où se formule une véritable réflexion politique et où se réinvente une manière de militer. L’accumulation des #violences_policières exprime la volonté de soumettre les démunis ; depuis un certain temps, il y a un mort par mois dans les quartiers. Il faudrait rester calme, invisible, et laisser régner le silence des cimetières ? Pas question.
Ce que ne comprennent pas les couches qui se croient protégées, c’est que les quartiers populaires sont les pointes avancées où sont appliqués les mécanismes de domination. La problématique de la violence policière et, plus largement, antisociale ne concerne pas que les personnes ayant des origines africaines, mais tout le monde. Ce qui est appliqué aux plus fragilisés touchera bientôt les autres. Les quartiers populaires sont un laboratoire, au niveau économique, politique, policier, judiciaire… Le climat de guerre sociale va s’intensifier et se généraliser au-delà de leur périmètre. On en déjà fait l’expérience à travers la répression des manifestations. Il est crucial de mettre en tête de cortège de nos revendications les problèmes qu’affrontent les quartiers populaires.
Casey - Ennemi De l’Ordre - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=mJu4IMDbPhk&feature=youtu.be
Le texte (version bilingue est mis en ligne par DNDF (aticle de Pepe) consultable ici même :
#festival CONTRE LES DISCRIMINATIONS/ LYON ANTIFA FEST 3
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/11/17/festival-contre-les-discriminations-lyon-antifa-fest-3
#ACAB #ANTICOLONIALISME #ANTIFASCISME #EVENEMENT #LUTTES #MUSIQUE #black_bomb_a #burning_heads #casey #discrimination_lyon #original_tonio #the_foxy_ladies
SURL | Casey et Virginie Despentes, la rencontre (1ère partie)
►http://www.surlmag.fr/casey-et-virginie-despentes-interview-part-1-2015
Beaucoup de choses ont été dites sur la rappeuse Casey et Virginie Despentes, l’écrivaine. Complexes, provocatrices, engagées, viscérales, il n’y a qu’une chose qu’on peut affirmer sans avoir peur de se tromper : les deux sont à l’image de leur plume. Deux femmes ancrées dans leur temps, mais nées trop tard ou trop tôt pour accepter de vivre conventionnellement. On a souhaité provoquer leur rencontre, parce que leurs oeuvres racontent comme peu l’état de notre monde, et parce que dans leurs textes rôdent la mort, la violence, la politique et l’amour. La vie, en somme.
#Virginie_Despentes #Casey #interview #rencontre
via #Rocé autre part
cc @supergeante ! :)
Mortel ! Merci @rastapopoulos. A l’occase, quand j’ai le temps, on reprend le fil sur la common decency ... J’ai avancé dans mes lectures :P
Virginie Despentes, la fureur dans le sexe, Florence Aubenas (le titre est peut-être de la rédac’)
▻http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/07/31/virginie-despentes-la-fureur-dans-le-sexe_4705817_4415198.html
Dans cette mouvance, les filles traînent dans les mêmes endroits pourris que les hommes. Elles gazent les contrôleurs de la RATP et se font taper aux manifestations. Elles dirigent leurs propres groupes. Elles s’imposent, massivement, grandes gueules, envoyant se coucher la pin-up que l’imagerie classique du rock cantonne à la figuration à l’arrière des motos.
Il va falloir que les mères arrêtent d’être amoureuses de leur fils.
haha
@tintin Oui j’ai tiqué sur le même passage. C’est triste de voir que même dans des paroles un peu lucides t’as quand même des piques sur les mères dans le même temps que les pères restent dans un angle mort. Les deux interviewées ont des propos très juste sur les questions de classe, de racisme, de genre/sexualité, mais visiblement on dirait que dans leurs schémas le patriarcat s’arrête à la parentalité, comme si c’était une zone à part, alors que justement la parentalité dans un modèle patriarcal c’est pas anodin, et c’est d’autant plus injuste vis à vis des mères de leur faire des reproches sans parler en même temps du rôle des pères.
Je crois que c’est aussi, et avant tout, parce que là maintenant, très concrètement, ce sont en majeure partie les mères qui s’occupent des gosses. Genre elle considère que les pères de maintenant, déjà adultes donc, on peut peut-être en changer quelques uns à la marge mais c’est pas ça qui change grand chose. Et qu’il faut changer les enfants à la base, dès le départ, donc avec les personnes qui s’en occupent.
Mais bon peut-être que j’interprète trop…
(M’enfin je crois me rappeler que ça recoupe avec ce qu’elle disait à la BBC dernièrement : ▻http://seenthis.net/messages/391551)
euh... moi j’ai pas tiqué, ça m’a fait rire parce que j’ai été élevé comme ça (presque, ok), et sans père, donc euh voilà... Ça m’a saoulé et je l’ai souvent reproché à ma mère. Mais c’est vrai que maintenant je ne sais plus trop quoi en penser... Dans le fond, tout le monde lui reprochait ça (d’être amoureuse de moi, surprotectrice, méditerranéenne), et moi je jouais peut-être le jeu de tout le monde, comme un petit con. D’autant plus que finalement, je crois pas être devenu un gros con de macho (même si bon, ça me traverse hein) et qu’elle a plutôt bien fait son taf dans des conditions parfois assez hostiles... En même temps, parfois, c’était juste l’enfer la #Big_Mother, donc voilà, la question tourne et j’ai pas trop de réponse...
Faut pas oublier que Casey est d’origine martiniquaise, et que chez « nous » c’est la mère la boss, c’est le potomitan, souvent le seul point commun dans les fratries... Et que, bon, ça ne les empêche pas d’engendrer des petits machos de base, en vaste majorité, alors qu’on pourrait, dans un contexte comme ça, matrifocal, espérer autre chose. Mais, j’extrapole aussi :)
chanmé ce texte d’Aubenas dis-donc @colporteur , l’évolution de son regard sur le viol...
C’est arrivé à Despentes aussi. Elle avait 17 ans. Aux psys, elle balance systématiquement, comme un bras d’honneur : « Ça ne m’a pas marquée plus que ça.
[...]
J’imagine toujours pouvoir liquider l’événement (…). Impossible, il est fondateur, de ce que je suis en tant qu’écrivain, en tant que femme qui n’en est plus tout à fait une. C’est à la fois ce qui me défigure et ce qui me constitue.
L’entretien évoque les effets du passage du temps (ce que fait aussi le dernier Despentes). On peut vivre des moments paroxystiques, intenses comme dit l’une d’elles, et les regarder différemment selon les époques de sa vie. Nier l’importance d’un #événement (ici un viol) c’est (tenter d’)en triompher. Et puis #après_coup, le tableau initial s’enrichit (si il n’est pas gâché) d’autres touches. Les réminiscences réactualisent l’épreuve initiale. On gagne du champs, la surface se modifie. L’appropriation dure longtemps, surtout lorsqu’elle mutile (voilà ce que j’ai perdu, quand et comment j’ai perdu, une innocence, une confiance, ce soi que j’étais). L’expérience, « chaque fois, ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre », elle aussi ? Passant notre temps à reconstruire (cf la mémoire).
Ceci dit après boire, après avoir parlé ce soir avec un ami de moments brutaux que j’ai #vécu, et dont l’importance ne m’est apparue qu’avec le #temps. ’night.
@rastapopoulos ben justement, dans ce contexte rappeler aussi les pères à leur responsabilité me semblerait une réponse plus appropriée que de une fois de plus blamer les victimes en tapant sur les femmes sans plus de précision (et en laissant croire que les pères n’ont aucun rôle dans la reproduction des schémas patriarcaux).
Si on estime qu’on peut dès aujourd’hui appeler les mères à changer de comportement, pourquoi ne pourrait-on pas le faire dès aujourd’hui aussi pour les hommes ?
Les mères aussi sont déjà adultes là aujourd’hui, pourquoi estimerait-on forcément que c’est plus facile ou plus prioritaire qu’elles changent elles d’abord ?
Ah oui @supergeante ! ce terme de #potomitan m’avait été attribué par un ami antillais jusqu’à ce que je comprenne en questionnant que c’est le poteau central qui soutient la maison, celle qui porte l’ensemble du foyer domestique intérieur, famille ménage cuisine courses etc, tiens donc, jamais vu une poutre se plaindre … @chezsoi
@intempestive
Elle s’étonne de ce paradoxe de la société patriarcale, qui en laissant l’éducation des enfants aux femmes
J’ai plutôt l’impression que c’est surtout les soins de base (les moins valorisants) qui sont laissés aux femmes, l’éducation pas trop, d’autant moins à mesure que les enfants grandissent. Et ça fait beaucoup abstraction de l’influence du reste de la société, par rapport à laquelle les mères ont finalement une marge de manœuvre assez mince. La « possibilité à portée de main » elle me parait vraiment pas énorme. D’autant plus sachant la fatigue physique que sous-tend le fait de s’occuper d’un enfant, les double-journées, le travail domestique etc. C’est autant de temps et d’énergie qui ne sont pas disponibles pour s’informer, réfléchir, s’organiser etc.
@supergeante la potomitan a-t-elle vraiment une position de boss ou est-ce juste celle qui se ramasse le plus gros boulot ? Dans l’absolu matrilocal peut très bien fonctionner avec patriarcal.
@koldobika il faudrait que je recherche des références pour pas raconter trop de conneries. En fait, c’est la grand-mère ou la mère qui sont potomitan avec des pères absents, plusieurs différents pour une fratrie. La femme potomitan gère tout et tient aussi les cordons de la bourse (ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas précarité ou qu’elle occupe une position sociale favorable). C’est pour ça que je parle de matrifocal et pas de matrilocal. Ceci n’empêche pas les violences conjugales pour autant, ni la reproduction du machisme.
les plus zélées reproductrices de la domination masculine me semblent plutôt être les femmes des classes supérieures,
Ah bon. Du coup ce serait à elles que Casey s’adresse ?
Je crois en revanche qu’un point important est le souci, pour toute mère ou tout père, de rendre son enfant capable de se défendre. Je pense que c’est largement à travers cette logique-là que la domination masculine se maintient : il faut faire un garçon fort pour qu’il puisse bien s’en tirer parmi les autres garçons.
Rendre une fille aussi capable de se défendre seule [...] c’est déjà travailler à miner ce modèle.
Ou au contraire à le cristalliser. Bien sûr dans certains cas savoir se défendre peut sauver et l’autodéfense est toujours utile, par contre instituer et généraliser la chose risque d’entériner encore plus dans les têtes le darwinisme social, de faire une société encore plus guerrière.
Sans oublier que ce serait, une fois de plus, une injonction faite aux victimes (celleux qui en prennent déjà plein la gueule on leur dit en plus de se former au combat), qui laisse de côté les dominants, voir qui valide leurs schémas en faisant implicitement de la violence sociale un invariant.
Une chose est d’apprendre des gestes qui sauvent, une autre est d’instituer dans les têtes le darwinisme social.
#Lyon : #festival contre les #discriminations
▻http://lahorde.samizdat.net/2015/07/26/lyon-festival-contre-les-discriminations
Le 11 et 12 décembre 2015 aura lieu le festival contre les discriminations au CCO de Villeurbanne, 39 rue Georges Courteline 69100 Villeurbanne. « Le Lyon #antifa Fest est un festival militant annuel né suite à la répression d’un rassemblement antifasciste en mai 2013. C’est un évènement de lutte contre les discriminations et les rapports de [&hellip
#Initiatives_antifas #black_bomb_a #burning_heads #casey #scred_connexion
« Si les robes je m’en cogne ... comment je fais ! » Je l’adore !
@tintin je crois que ça va être mon motto pendant un certain temps.
ça m’a fait penser aux trucs qu’on se disait par là : ▻http://seenthis.net/messages/353799 en discutant charpente traditionnelle moulées à la louche...