Sortir de Noir Désir en beauté, #Serge_Teyssot-Gay
1/20 (feat. Cazey, Zone Libre) · Hamé
Sortir de Noir Désir en beauté, #Serge_Teyssot-Gay
1/20 (feat. Cazey, Zone Libre) · Hamé
je suis fière d’avoir les mêmes que celles de mes ainés
Les mains noires
▻https://www.youtube.com/watch?v=nEDhEp8jB1Y
J’ai du mal à aimer, à trouver mes mots
Et le sommeil sans prendre de comprimés
Je suis inanimé, énormément abîmé
Probablement mort-né et déjà embaumé
Je n’ai le goût de rien, mais je sais le mimer
Et mon entrain n’est qu’un écran de fumée
J’ai toujours su très bien jouer à l’humain
Manier les banalités et les lieux communs
Mon prénom a été gommé du roman
J’ignore tout simplement où, quand et comment
Et pourquoi je me suis sur moi-même renfermé
Endormi apparemment pour un moment
Je ne suis ni exigeant, ni borné
Ni sournois, ni attachant, ni acharné
Ni content, ni méchant, ni charmant
Seulement peu concerné et désincarné
Comme à pas grand chose d’être interné
Ou l’invité d’honneur de mon propre enterrement
Détourné du monde, seul et épargné
Par ces petits bonheurs ou ces grands tourments
J’ai beau prendre le problème et le retourner
J’ai effectué un très gros travail sur moi
J’ai occupé la longueur de mes journées
Je ne ressens ni l’envie, ni l’émoi
Ni la peur, ni l’ennui, ni l’effroi
Ni la lenteur des heures, ni le compteur des mois
Pas une seule fois le poids des années
Même une bonne déprime m’aurait bien dépanné
Mais il n’y a que mon crane noyé dans le néant
Et mon corps broyé par un trou béant
Alors dites-moi comment être foudroyé
Sortir souriant, hilare et puis débraillé
Bâtir un foyer, y être choyé
Pouvoir bavarder sans bafouiller
Être le bon voisin ou le bon employé
Le bon mari, le bon ami à côtoyer
Ou ébloui par la nuit et ses néons
Le vent, la pluie, le soleil et ses rayons
Et j’ai essayé de crier mon tourbillon
Mais ma voix n’a pas pu ôter son bâillon
J’ai un bataillon d’histoires à vous détailler
De petits soirs sans festins ni cotillons
De gosses que je ne verrai jamais brailler
En se réclamant être de mon sillon
Donc si vous me voyez qui que vous soyez
Pitié, ne tentez pas de me réveiller
D’être bienveillant, de vous apitoyer
Car les morts-vivants ne savent pas s’émerveiller
Sinon Sylvain Luc est subitement mort d’une crise cardiaque ya 2 jours… 😢
« Le guitariste préféré de tes guitaristes préférés » comme on dit dans le rap.
▻https://www.youtube.com/watch?v=ycbbWvcOLWY
Surf music
"Le surf rock débute véritablement en 1960 avec la sortie d’une série de 45 tours explosifs, expédiés en deux minutes chrono. La musique surf dérive du télescopage entre le rythm’n’blues et le rock’n’roll des pionniers. La guitare est, plus que tout autre instrument, mise en valeur, une Fender si possible. Robert J. Dalley, spécialiste de ce style, identifie plusieurs critères caractéristiques de la surf music. Le morceau est un instrumental. La guitare solo passe par une boîte de réverbération, avec un son aussi « dégoulinant » d’écho que possible. La musique se doit d’être crue, brutale, énergique, avec un tempo rapide. "Chaque fois que vous passez le disque en question, il doit donner la chair de poule à votre planche de surf", écrit-il. Géographiquement, le genre s’épanouit principalement au sud de la Californie. Dès 1960, les Belairs font danser les teenagers au cours de fêtes sur les plages de Hermosa et de Redondo avec leur morceau "Mr Moto". "
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2023/07/surf-music.html
en version podcast : ▻https://podcasters.spotify.com/pod/show/blottire/episodes/Surf-music-e1u5lrk
Un danseur :
« Plus tu as vécu des trucs durs, plus il t’arrive des #potentiel pour faire des #trucs_de_ouf. Si tu comprends comment toute ta #haine, tes patates, boum, tu peux le mettre dans la danse. Eh bhein, c’est une #réussite. Toute ta haine, tu vas arrêter de frapper des gens, tu vas commencer à frapper en l’air et voir comment tu peux faire un truc constructif ».
dans la vie, plus ça monte à l’intérieur, plus tu as le
▻https://www.dailymotion.com/video/x8lwuiv
Bach Nord
Pour #Marina_Gomes, culture #hip-hop et #engagement_citoyen sont indissociables, comme en témoigne Bach Nord, créée en réaction au film polémique de Cédric Jimenez, #BAC_Nord. Sur une composition musicale d’#Arsène_Magnard inspirée de Jean-Sébastien Bach et naviguant entre #guitare, #drill et musique #shatta, la pièce déconstruit les #clichés sans occulter les situations de vie, la #violence et les #ségrégations multiples, l’#enfermement. Là encore, la chorégraphe met en avant le #talent de la jeunesse, particulièrement des collégien·ne·s et lycéen·ne·s des 3e, 13e, 14e et 15e arrondissements de Marseille accompagné·e·s au long cours par les danseur·se·s de sa compagnie Hylel lors d’ateliers. Marina Gomes propose une vision nuancée de la vie des jeunes des cités, témoins de premier plan, en les invitant à transcender leur réalité. Et à devenir partie prenante d’une véritable création artistique, esthétique et puissante, qui leur ressemble.
▻https://www.festivaldemarseille.com/fr/asmanti-bach-nord
#jeunes #jeunesse
VIDEO. « Bach Nord », des jeunes des quartiers nord de Marseille brisent les préjugés à travers la danse
En réponse au film « Bac Nord », et pour briser les préjugés qui stigmatisent les jeunes des quartiers, Marina Gomes, chorégraphe marseillaise, les met en scène dans son œuvre « Bach Nord ».
« J’ai été heurtée par l’image qu’on renvoie des jeunes de cité, comme le mauvais objet de la société. » Ce sont les paroles de Marina Gomes, chorégraphe marseillaise. Cette jeune femme, qui a vécu de nombreuses années à Felix-Pyat, veut véhiculer, à travers son art qu’est la danse, une autre image des jeunes des quartiers qui « sont juste des jeunes comme ailleurs ».
Pour Wiame, 14 ans, qui participe au projet, « c’est important de dire aux gens que ça suffit de juger sans connaître. Ce n’est pas parce qu’on habite les quartiers nord qu’on est des mauvaises personnes. Voir tout le monde nous applaudir, ça montre que quand on est ensemble ça se passe bien. »
« Ce film justifie qu’une police ne respecte pas la loi, comme si on ne méritait pas mieux »
Du côté de Marina, tout est parti d’un tag sur un immeuble de son quartier qui disait « écoutez Bach, évitez la Bac ». Alors, avec des « minots » qu’elle a rencontrés lors d’ateliers et sa compagnie de danseurs professionnels, elle construit son œuvre chorégraphique Bach Nord. Un titre en référence au film Bac Nord sorti en 2021. « Il nous a heurtés parce qu’il justifie qu’une police ne respecte pas la loi, comme si on ne méritait pas mieux », souligne Marina Gomes.
On dirait qu’il n’y a pas d’émotion autour de tout ce qui se passe dans les quartiers nord
Marina Gomes, chorégraphe marseillaise
Avec le compositeur Arsène Magnard, ils sont partis de la Sonate pour violon n°1 BWV 1001 du célèbre Jean-Sébastien Bach. Ils se la sont appropriée en « naviguant entre la guitare, la drill, la shatta… qui sont des évolutions récentes de la musique hip-hop ». Une volonté également de mettre en avant l’évolution de la culture hip-hop dans les quartiers. La guitare n’a pas été un choix anodin non plus, puisque c’est le surnom que l’on donne à la Kalachnikov dans les quartiers.
Riposte au film Bac Nord
En riposte à la réputation du film et pour briser les préjugés sur les jeunes de cité, elle a donc créé cette œuvre Bach Nord avec une quinzaine de « minots » qu’elle a rencontré lors d’ateliers. Younes est l’un d’eux. À 20 ans, son retour d’expérience est sans équivoque : « J’ai voulu participer au projet de Marina parce que c’est rare qu’on nous donne la possibilité de prendre la parole, avec Marina on s’est rencontré sur des ateliers rap, je lui fais confiance. C’était important de répondre au film bac nord parce qu’il rabaisse les quartiers, je voulais montrer qu’on est capable de bien plus que ce que tout le monde croit. Même moi je ne croyais pas que j’étais capable de danser ! »
C’était là aussi une volonté de Marina Gomes. « Mettre ces jeunes-là sur scène, c’est ouvrir le champ des possibles. À aucun moment ils ne s’imaginaient pouvoir le faire ». Ils se sont représentés pour la première fois au Festival de Marseille, un grand rendez-vous de la danse contemporaine. Le message est clair : « la jeunesse et les habitantes méritent une vision nuancée. Il se passe aussi des choses magnifiques dans les quartiers, c’est toute une palette de personnes, d’histoire de vie, de belles choses. » À travers cette performance, Marina Gomes espère « susciter un regard empathique, voire de la tendresse ». Si vous les avez manqués, vous pourrez les voir au festival d’Avignon au CDCN les Hivernales du 10 au 20 juillet 2023.
▻https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/video-bach-nord-des-jeunes-des-quartiers-nord-de-marsei
L’Internationale - Coco Briaval
▻https://www.youtube.com/watch?v=5FeciP-8HqQ
#musique #guitare #violon #Coco_Briaval #jazz_manouche #swing
Moskauer Nächte, Coco Schumann
▻https://www.youtube.com/watch?v=3T0hvV3qdbI
Coco Now! (Live)
▻https://www.youtube.com/watch?v=LwyI6Pf4PME&
Leben und Werk
Geboren und aufgewachsen in Berlin, kam Schumann in den 1930er Jahren in Kontakt mit den neu aufkommenden Musikrichtungen Jazz und Swing. Schumann, der autodidaktisch Gitarre und Schlagzeug erlernte, spielte bereits als Jugendlicher in verschiedenen Swingbands. Der Spitz- und Künstlername „Coco“ entstand zu dieser Zeit, weil eine französische Freundin den Namen Heinz nur als „-einz“ aussprechen konnte und seinen zweiten Vornamen Jakob zu „Coco“ simplifizierte. Schumann, dem dieser Kosename zunächst widerstrebte, ließ sich erst durch einen älteren Musiker-Kollegen zum Annehmen des neuen Künstlernamens überreden.
Mit der Einführung der Rassegesetze der Nationalsozialisten 1935 wurde Schumann als „Geltungsjude“ eingestuft: Seine Mutter war jüdisch, sein Vater war vor der Hochzeit vom Christentum konvertiert und pflegte eine, wenn auch lockere, Verbindung mit der jüdischen Reformgemeinde.
Schumann gelang es, in Berliner Bars und Tanzclubs zu spielen, obwohl er noch minderjährig war. Zudem durften Juden nicht Mitglied in der Reichskulturkammer werden, also nicht als Musiker arbeiten und Geld verdienen. Die Nationalsozialisten erklärten Musikrichtungen wie Jazz und Swing für „undeutsch“. Dreifach der Illegalität ausgesetzt[3] spielte Schumann mit Hilfe einer falschen Steueridentität bis 1943 unter anderem in den Orchestern von Ernst van’t Hoff und Tullio Mobiglia. Im März 1943 wurde Schumann verhaftet und in das Ghetto Theresienstadt deportiert.
In Theresienstadt gelang Schumann der Anschluss an Fritz Weiss und andere Musiker, denen es ausdrücklich erlaubt war, Jazz und Swing zu spielen. Die Nationalsozialisten hatten Theresienstadt als Vorzeigeghetto geplant, um der deutschen Öffentlichkeit und dem Ausland den Eindruck zu vermitteln, die jüdischen Insassen würden human behandelt. Zu dieser Illusion gehörten insbesondere vielfältige Musik- und Kulturveranstaltungen. In dem von den Nationalsozialisten zu Propagandazwecken produzierten Dokumentarfilm Theresienstadt – Ein Dokumentarfilm aus dem jüdischen Siedlungsgebiet von Kurt Gerron ist Schumann in einer kurzen Szene als Schlagzeuger der von Martin Roman geleiteten Jazzband Ghetto Swingers zu sehen. Als Belohnung wurde allen, die an dem Film beteiligt waren, versprochen, sie würden freikommen. Aber nur drei Mitglieder der 16-köpfigen Band überlebten. „Nach den Dreharbeiten“, sagt Coco Schumann, „wurden wir gleich nach Auschwitz, die meisten ins Gas geschickt.“
Im September 1944 wurde Schumann zunächst ins KZ Auschwitz-Birkenau gebracht. Dort gehörte er zu den Musikern, die an der Todesrampe La Paloma und andere Lieder spielen mussten.[5] Im Januar 1945 wurde er in den KZ-Außenlagerkomplex Kaufering des KZ Dachau verschleppt. Von dort aus wurde er im April 1945 mit anderen Häftlingen auf einen Todesmarsch in Richtung Innsbruck geschickt. Unterwegs wurde er von amerikanischen Soldaten befreit.
Tout un focus sur Ebo Taylor hier sur Bandcamp Daily : Eight Essential Releases From Highlife and Afrobeat Legend Ebo Taylor
▻https://daily.bandcamp.com/features/ebo-taylor-album-guide
Born in 1936 in the Ghanaian city of Cape Coast, Ebo Taylor is a living avatar of two great West African musical traditions: Ghanaian highlife and Nigerian Afrobeat.
Highlife, with its bright, ecstatic, guitar-driven melodies, encompasses the joy and optimism of the African people in the face of global anti-Blackness. On the other hand, the driving funk rhythms and revolutionary themes of Afrobeat characterize the emotional temperature and political ambitions of Black people around the world. By expressing all of these complex sociopolitical dynamics, highlife and Afrobeat represent two musically distinct but historically interrelated sides of the African cultural experience.
Life Stories
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/life-stories
My Love And Music
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/my-love-and-music
Ebo Taylor
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/ebo-taylor
Conflict
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/conflict
Palaver
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/palaver
Love And Death
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/love-death
Appia Kwa Bridge
▻https://ebotaylor.bandcamp.com/album/appia-kwa-bridge
Je réécoutais For Sephora pour m’endormir, comme de temps en temps, et je revois que j’en parlais ya 6 ans, avec @lazuly ▻https://seenthis.net/messages/567571
►https://www.youtube.com/watch?v=Kp4K-DLv4oQ
#musique #jazz #jazz_manouche #Rosenberg_Trio #Stochelo_Rosenberg #guitare
Une autre version superbement enregistrée
▻https://www.youtube.com/watch?v=e2zTZ4c7GNg
Et plein de djeuns qui s’amusent avec, c’est super aussi, vive les standards
▻https://www.youtube.com/watch?v=ta0b9Ob-vQk
Straight male guitarists play extreme metal to impress other men, study suggests | Guitar World
▻https://www.guitarworld.com/news/straight-men-play-extreme-metal-to-impress-other-men
The study – entitled Extreme metal guitar skill: A case of male-male status seeking, mate attraction, or byproduct? (opens in new tab), authored by Tara DeLecce, Farid Pazhoohi, Anna Szala and Todd K. Shackelford – suggests that heterosexual extreme metal guitarists, for the most part, don’t play to increase their mating chances, but rather to show off to other straight male guitarists.
La présidentielle, tout ça, et du coup l’essentiel risque de t’avoir échappé : Jack White n’a plus les cheveux noirs.
Jack White - What’s The Trick ? (Official Video)
▻https://www.youtube.com/watch?v=WOZwxqQlyLg
C’est le retour du punk, isn’t it ?
“le punk, c’est dire au punk d’aller se faire foutre.” Lester Bangs
▻https://officialjackwhite.bandcamp.com/album/fear-of-the-dawn
Je le trouvais quand même mimi avec ses cheveux noirs.
J’aime beaucoup les Dead Weather, aussi. Dans le concert, il fait la batterie, et uniquement à la fin la gratte et le chant.
►https://www.youtube.com/watch?v=SRyYk0FBOXU
Et donc un concert de The Kills (le groupe d’Alison Mosshart) :
▻https://www.youtube.com/watch?v=8T2Vb9Q43Zg
more blue...
▻https://thirdmanstore.com/collections/blue-series
Musical artists traveling through Nashville are invited to stop by to record a song or two with Jack White as producer at Third Man Studio. These 7" recordings become what we call our Blue Series, named for their cover photos captured in our Nashville Blue Room.
and green too...
▻https://thirdmanstore.com/collections/green-series
▻https://jackwhiteiii.com/news
Jack White has released his second new album of the year, Entering Heaven Alive, available everywhere now via Third Man Records. The new album, which features such acclaimed singles as “If I Die Tomorrow” and “Love Is Selfish,” is offered on all formats, including standard black vinyl, CD, a limited edition #Bandcamp exclusive white cassette, and digital download.
Entering Heaven Alive | Jack White
Stevie Ray Vaughan - Live at Capitol Theatre 1985 Full Concert (Remaster 96kHz.24-Bit. 1080p HD)
▻https://www.youtube.com/watch?v=9RaLmiUgl9k
Opinion | Tom Morello: The skies parted and my future was decided - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/interactive/2021/11/10/opinion/tom-morello-guitarist.html
By Tom Morello
Mr. Morello has spent over three decades melding music and political activism as a power guitarist with Rage Against the Machine, Audioslave and Bruce Springsteen and the E Street Band, with the acoustic chords of the Nightwatchman and in protests around the country.
Songs provided by Spotify
I didn’t choose to be a guitar player. It chose me.
It was on an ordinary afternoon in the spring of ’83, my freshman year at Harvard, that I trudged down to a small basement rehearsal room between some vending machines and a foosball table. With the neon lights blazing overhead I was crunching power chords and wailing pedestrian solos when I unexpectedly slipped into a higher gear and felt a moment of transcendent improvisational bliss. The skies parted and my future was decided.
I had received a calling. I had no choice in the matter. My other interests retreated. I would be a guitarist.
Now, my great-uncle Carlo did play violin for 40 years in the Chicago Symphony Orchestra, and my grandfather was a talented pianist, but here I was, clad in spandex, with the prison notebooks of the Italian Marxist Antonio Gramsci in one hand and a Gibson Explorer in the other, just another radical leftist heavy-metal dreamer in an honors major at an Ivy League school.
I started seriously playing late, at 17 years old. I had heard of only one guitarist who made records who began playing at such an advanced age. That was Robert Johnson, and he had to sell his soul to the devil to get good!
This is the third in a 12-week series of essays.
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My Catholic upbringing precluded that option, and so there was only one way to fulfill my calling. Practice my ass off. First it was two hours a day, every day, without fail, noodling away in an empty campus stairwell. Then four hours, then six, then eight! Every day. Without fail. Fever of 102, exam in the morning. Eight hours. Not seven hours and 56 minutes.
Two hours technique, two hours music theory, two hours learning songs, two hours freestyle jamming along with my favorite metal songs.
I’ve often reflected on this maniacal, perhaps somewhat unhealthy, practice regimen. Perhaps in a world in which I felt I had control over very little in the way of romance and race relations, the guitar provided a clarity of purpose where my will, which was not lacking, would be the sole determiner of success or failure. And no one was going to stop me.
Once saddled with this calling, though, I had to figure out how to use the damn thing to great purpose.
I loved metal but it was silly. I loved punk but they couldn’t play their instruments very well. I loved the fledgling genre of hip-hop but those artists rarely used guitars.
And was it possible to combine revolutionary politics with screaming electric guitar? Was it possible to make my guitar a divining rod for truth? An Excalibur of righteous fury? Well I sure as hell wasn’t going to find out in Harvard Yard.
So after graduation I packed my bags and moved to Hollywood. I brought my practice regimen with me, tirelessly running through scales and amassing technique. But to what end? I was technically proficient but sounded like every other million-notes-per-minute wannabe on the Sunset Strip.
My playing transformed with Rage Against the Machine when I began to identify as the D.J. in the band. With the rise of hip-hop, music pundits at the time were saying that the guitar was obsolete, because D.J.’s could make any sound a guitar could make with samples. I took it upon myself to try to make D.J.’s obsolete by making any sound they could make with my bare hands. After all, the electric guitar is a relatively new instrument. It’s just wood and wire that can be manipulated in a variety of nontraditional ways. By deconstructing the possibilities of that wood and wire, I took the first tentative steps to be an artist. Simply being a musician requires technique. Being an artist requires ideas. Now my eight hours a day were spent practicing the eccentricities in my playing. Make a mistake? Repeat it 16 times and make it the cornerstone of the song.
The toggle switch, the tuning pegs, the power jack, every inch of the guitar became fair game for creating sound and texture. And more and more I became inspired by sounds, and ideas, outside of rock ’n roll: police helicopters, animal noises, sci-fi films. I began to find my own voice on the instrument and began forging a sonic vocabulary that was uniquely my own. The guitar was squealing, beeping, mooing! My playing was one part R2-D2, one part Old McDonald’s Farm. You can hear it when you listen to “On the Shore of Eternity” from my new album.
“On the Shore of Eternity” by Tom Morello feat. Sama’ Abdulhadi
I found inspiration even farther afield. The standup of Richard Pryor, the bravado of Muhammad Ali, the moxie of Evel Knievel and Secretariat’s 1973 Belmont Stakes victory were on my mood board as I tried to create a new way to look at the instrument.
I know, that Secretariat thing sounds crazy, but Secretariat was not just a great racehorse; there are plenty of those. That 31-length victory in the Belmont Stakes defied physics and biology. It was a supernatural performance that upended the sport and left everyone shaking their heads and marveling, “What the hell just happened?”
That’s what I was aiming for in my guitar playing. The blinders were off. I was for the first time hearing riffs and sounds come out of my guitar that I never heard coming out of anybody’s guitar. The sonic horizon was wide open, and on tracks like “Suburban Guerilla” from my “Commandante” album I could soar.
“Suburban Guerilla” by Tom Morello
I wish I had a dime for every time some jackass complained about me, a musician, mouthing off about a political opinion. As if strapping on a guitar somehow triggers a First Amendment exemption. But I realized that even with my mouth shut, I might still be able to stir up a good deal of trouble.
Music can be revolutionary even without lyrics. In the atonal glissando of John Coltrane, the cacophonic funk of Public Enemy, Hendrix feedback frenzy, the rhythm is the rebel.
If an instrument can be utterly transformed by creativity and will, might society be utterly transformed by creativity and will as well? It’s worth finding out.
Donc on est allés voir Piers Faccini en concert et c’était excellent :)
Faccini à la guitare, Malik Ziad au gumzbri (!) et je-ne-sais-plus-qui aux percus.
Album :
▻https://www.youtube.com/watch?v=bwq6vVyOi6E
Documentaire :
▻https://www.youtube.com/playlist?list=PLn_s1BlMYy7UeWooyX12fiS_Pt9XOSmm-
Live de salon :
▻https://www.youtube.com/watch?v=MoGvdEGxktk
Percus par Karim Ziad
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Karim_Ziad
Je l’ai découvert par Ben Harper en début d’année :
▻https://www.youtube.com/watch?v=6QkoUFFlKa4
#Piers_Faccini #guitare #chanson #blues #Cévennes #Nature #beau
Enfin sur le disque pour les percus, c’est les deux frères Ziad donc, mais apparemment en concert (en tout cas pour Bordeaux) c’est Simone Prattico.
Merci,
en concert c’est bien Simone Prattico ils se parlent en italien ♥
Encore quelques vidéos, mais il fait tellement de trucs chouettes ...
▻https://www.youtube.com/watch?v=Ha37vjDxr38
Django Reinhart et le Quintette du Hot Club de France, J’attendrai, 1939
▻https://www.youtube.com/watch?v=doVLqNn9j2I
Adieu, Jacob Desvarieux
https://pan-african-music.com/adieu-jacob-desvarieux
Et Jacob Desvarieux mourut aussi du Covid… Il en aura buté des artistes ce salaud, en plus des millions d’anonymes.
Le compositeur, guitariste et membre fondateur du groupe Kassav s’est éteint le 30 juillet en Guadeloupe des suites du Covid-19. Aux Antilles, en France et en Afrique, l’émotion est immense.
#musique #hommage #Jacob_Desvarieux #Antilles #zouk #guitare
Mais tu peux juste pas aller te coucher avec ça …
▻https://www.youtube.com/watch?v=Js0u184Hhng
▻http://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2Fculture-loisirs%2Fm
Peu importe leur différence d’âge. Ben Harper, 48 ans, et son illustre aîné Charlie Musselwhite, 74 printemps, génie de l’harmonica, ont tous deux l’amour du blues. Avec leur excellent nouvel album en duo « No Mercy in this Land », les deux compères se retrouvent pour sublimer cette musique.
Sister Rosetta Tharpe, l’âme sœur du rock
▻https://pan-african-music.com/black-history-month-rosetta-tharpe
Inspiratrice méconnue de Chuck Berry ou Elvis, cette chanteuse gospel et guitariste virtuose a longtemps été oubliée par l’Histoire avant qu’un récent revival ne lui rende enfin justice, près de quarante ans après sa mort.
▻https://www.youtube.com/watch?v=Y9a49oFalZE
#musique #Rosetta_Tharpe #rock #gospel #guitare #femmes #Histoire
Le livre s’intitule La femme qui inventa le rock ‘n’ roll , un choix qui ne doit assurément rien au hasard… On doit la belle illustration de couverture à Julien Mortimer, créateur de sa propre maison d’édition, le Trainailleur.
▻https://www.soulbag.fr/une-bio-de-rosetta-tharpe-en-francais
AVANT L’APRÈS - Ignacio Maria Gomez
▻https://www.youtube.com/watch?v=fkPs2styktQ
Le chant magique d’Ignacio Maria Gomez
▻https://pan-african-music.com/le-chant-magique-dignacio-maria-gomez
En remontant le cours des fleuves, le jeune artiste argentin a trouvé dans ses veines et celles de l’Amérique latine la mémoire de l’Afrique, et le rêve d’un paradis perdu baptisé « Belesia ». C’est le nom de son premier et… extraordinaire album.
#musique #chanson #afro-américain #afro-argentin #guitare #percussion #Ignacio_Maria_Gomez #beau
Kubix - Guitar Chant
▻https://reggae.fr/lire-article/4195_Kubix---Guitar-Chant.html
Excellent album de l’accompagnateur Kubix qui sort ici son premier album solo instrumental très fortement influencé par Ernest Ranglin et Monty Alexander mais pas que.
Kubix est un nom qui ne parlera pas forcément au plus grand nombre mais que les férus de reggae musique connaissent pourtant très bien. Presque 20 ans déjà qu’on le voit accompagner sur scène les plus grands artistes reggae comme Barrington Levy, Horace Andy, Mo’Kalamity, mais aussi des chanteuses pop comme Zaho ou Kimberose.
Kubix nous présente ce mois-ci Guitar Chant (dispo en digital et cd), un premier album solo 100% instrumental qui fait honneur aux instruments et à la guitare en particulier. Un premier opus inspiré par le travail d’Ernest Ranglin et pour lequel il s‘est entouré de nombreux musiciens venus des quatre coins du monde, tous plus talentueux les uns que les autres.
Deep Eyes
▻https://www.youtube.com/watch?v=6Fs7R1_T-2c
Mix up
▻https://www.youtube.com/watch?v=Ht5ZPhb-gYA
Still standing
▻https://www.youtube.com/watch?v=aGKuGs0X4GA
[Drache Musicale] #mali women’s ~ mixtape
▻http://www.radiopanik.org/emissions/drache-musicale/mali-women-s-mixtape
Malian female musicians & singers
REDIFFUFION
tracklist :
awa poulo - djara wilam
mamani keita – djekafo
Celu Mankan (Bambara ; Mali)
Coumba Sidibé – N’Taman
Fanta Sacko – Tubaka
Nahawa Doumbia - banani
Sali Sidibe - Djana Djani
Oumou Sangaré - Iyo Djeli
Ramata Diakité - Sigui Gueleman
saramba kouyate – jamdya
Air de Kel Ajjer (Rhythme Ellehelleh)
Hawa Drame – Syllamaramba Adja Est Quelei
(Photo> Fanta Sacko)
#folk #africa #world #malian #guitare #song #rododindron #chanteuse #purée_de_pois #malienne #sing #pelagie #mali,folk,africa,world,malian,guitare,song,rododindron,chanteuse,purée_de_pois,malienne,sing,pelagie
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/drache-musicale/mali-women-s-mixtape_09358__1.mp3
Denis Colin, Pablo Cueco, Julien Omé, Simon Drapier
▻https://www.youtube.com/watch?v=_wwQgJvnHvk
#musique #clarinette_contralto #viole_de_gambe #guitare #percussions
[Drache Musicale] #mali women’s ~ mixtape
▻http://www.radiopanik.org/emissions/drache-musicale/mali-women-s
Malian female musicians & singers
tracklist:
awa poulo - djara wilam
mamani keita – djekafo
Celu Mankan (Bambara; Mali)
Coumba Sidibé – N’Taman
Fanta Sacko – Tubaka
Nahawa Doumbia - banani
Sali Sidibe - Djana Djani
Oumou Sangaré - Iyo Djeli
Ramata Diakité - Sigui Gueleman
saramba kouyate – jamdya
Air de Kel Ajjer (Rhythme Ellehelleh)
Hawa Drame – Syllamaramba Adja Est Quelei
(Photo> Fanta Sacko)
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#folk #africa #world #malian #guitare #song #rododindron #chanteuse #purée_de_pois #malienne #sing #pelagie #mali,folk,africa,world,malian,guitare,song,rododindron,chanteuse,purée_de_pois,malienne,sing,pelagie
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/drache-musicale/mali-women-s_09102__1.mp3
Et FIP m’apprend que Ernest Ranglin a fait du disco…
« Be What You Want To Be » la pépite disco boogie d’Ernest Ranglin | Fip
▻https://www.fip.fr/actualites/be-what-you-want-be-la-pepite-disco-boogie-d-ernest-ranglin-37208
▻https://emotional-rescue.bandcamp.com/album/be-what-you-want-to-be
Étonnant et virtuose comme à son habitude le grand Ernest. Mais mon album favori restera l’album « Below the bassline » avec Monty Alexander au piano. ▻https://www.youtube.com/watch?v=PcMx7o2_L7I&list=PLcEqmivrznfmYVcuONVlpe4mjBuc-5axA&index=2
La version originale de In the rain par #The_Dramatics, quand même :
Alors au moment de la sortie même, PAM annonçait que l’album était déjà épuisé d’office.
▻https://pan-african-music.com/ernest-ranglin-be-what-you-want-to-be
Mais en fait depuis, sur le Bandcamp, ça dit qu’il en reste 4 en physique ! (merde c’était hier, plus que 3 aujourd’hui !)
(mais ça dit aussi qu’il devrait y avoir une réimpression fin septembre)
Cet album ayant été celui enregistré l’année de ma naissance, je crois que je vais pas attendre mon anniversaire…