• Brazil: Contemporary Slavery and Proposals to Fight the Practice · Global Voices
    http://globalvoicesonline.org/2012/04/09/brazil-contemporary-slavery-and-proposals-to-fight-the-practice

    Contemporary slavery in Brazil is akin to servitude and is present in both rural and urban areas. In the countryside, procurers hired by ranchers in areas of agricultural expansion recruit workers to clear the jungle and to sow seeds. Among the false promises used to persuade workers are offers of free transport to the ranch, a decent salary, and accommodation and food paid for by the employer. Workers then find themselves in an entirely different situation from that described, as reported on the website of the NGO ‘Repórter Brasil’, which describes [pt] how people come to be enslaved in the countryside:

    #Brésil #travail #esclavage

  • L’exploitation tranquille des travailleurs étrangers | Actualités
    http://www.cyberpresse.ca/actualites/201203/18/01-4506682-lexploitation-tranquille-des-travailleurs-etrangers.php

    Pour travailler au Canada, Antu (1), 35 ans, a consenti à bien des sacrifices. Partir loin de sa femme et de ses jeunes enfants, s’endetter pour verser 6000$ à une « agence » canadienne chargée de lui trouver un employeur. Accepter, enfin, de signer un contrat de travail en deçà des normes canadiennes.
    Une fois au Canada, il a toutefois dû se rendre à l’évidence. Ce n’était pas assez.
    Pendant près d’un an, Antu n’a eu aucun jour de congé. Il s’est échiné dans les cuisines d’un restaurant du nord de Montréal près de 50 heures par semaine. Le tout, pour un salaire hebdomadaire oscillant entre 225 et 275$.
    Son patron, qui l’a hébergé pendant plusieurs mois, lui a aussi imposé quelques travaux horticoles et ménagers dans sa résidence montréalaise.
    Il a été congédié pour insubordination, quand il s’est étonné de devoir verser 730$ au restaurateur pour renouveler son permis de travail, et qu’il a pris un seul jour de congé de maladie.
    Il a perdu son travail et son statut légal au #Canada. Pendant ce temps, dans son Bangladesh natal, ceux à qui il a emprunté ses 6000$ réclament leur dû.
    Pas de tristesse ni d’amertume chez Antu. Mais le sentiment de s’être fait avoir, quelque part, sur la route de ce qu’il pensait être une vie meilleure.
    « Je suis dans le vide, et je n’ai rien sur quoi m’appuyer », constate-t-il.

    #migrants #esclavage

  • Pascal Canfin “Des banques françaises parient sur le risque de faillite de la France... c’est délirant !” - Idées - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/idees/pascal-canfin-des-banques-francaises-parient-sur-le-risque-de-faillite-de-l

    Pascal Canfin, 37 ans, est un phénomène. Devant une crise financière qui n’en finit plus de dévaster l’Europe, il a choisi de se battre au cœur du système. Elu en 2009 au Parlement européen sur la liste Europe écologie, membre de la Commission des affaires économiques et monétaires, il a obtenu l’interdiction des « CDS à nu » - un produit financier toxique qui permet de spéculer contre les Etats. Il avait auparavant bataillé contre les bonus bancaires. Il est à l’origine de la création de Finance Watch, ONG qui tente de contrecarrer le lobbying de la finance. La semaine prochaine, ce jeune stratège de l’action politique, de la négociation acharnée, publie un petit bouquin pédagogique au titre implacable : Tout ce que les banques vous disent et pourquoi il ne faut presque jamais les croire...

    ...

    Obama a tout de même réussi à restreindre le secret bancaire avec la loi Fatca, qui s’appliquera en 2013.
    C’est une grande réussite, et soyons très clair : il ne faut absolument pas que les républicains gagnent en 2012, car ils ont annoncé qu’ils aboliraient cette loi. Elle va s’appliquer aux banques du monde entier qui ouvrent un compte à un citoyen américain - elles doivent le signaler à l’administration fiscale américaine, pour que cet argent soit taxé au taux où il aurait été taxé aux Etats-Unis. Faisons en France ce que Barack Obama a fait aux Etats-Unis, on donnerait l’exemple pour l’Europe ! Le manque à gagner de l’Etat français, évalué par la Cour des comptes, lié à l’évasion de l’argent dans les paradis fiscaux, est de trente milliards d’euros, soit plus de quarante fois la fraude aux allocations familiales.

    Et la taxe sur les transactions financières, la France pourrait la faire seule ?
    En 2010, le Parlement européen a dégagé une majorité pour le principe d’une taxe européenne, vote suivi d’une directive de la Commission. Mais le Royaume-Uni pose son veto, et il faut l’unanimité sur les questions fiscales. Si nous étions dans un cadre fédéral, avec un vote à la majorité des Etats, nous aurions déjà cette taxe. C’est donc bien parce qu’il n’y a pas assez d’Europe, et non le contraire, que les citoyens ne sont pas protégés. Tant que chaque Etat aura un droit de veto, on n’avancera pas.

    • Faisons en France ce que Barack Obama a fait aux Etats-Unis, on donnerait l’exemple pour l’Europe !

      Au secours !!!!! J’espère que le mec plaisante. Il le sait lui qu’Obama vient de faire voter la loi martiale au EU ? Il est pas au courant ?
      Le pire, c’est qu’il doit être de bonne foi :-( On lui agite une bougie sous le nez et ça devient « Obama y’a bon c’est le meilleur on le veut ».
      Obama est un bouffon au service de la Banque. Il est la marionnette
      qu’on a pris soin de déguiser en noir pour que l’ordurerie passe plus facilement. Obama en terme militaire a fait pire que Bush, oui pire que bush !! Il le sait pas notre écolo ? Il le sait qu’il y a un truc qui s’appelle Gantanamo ? Non ? Faut lui dire, faut lui dire aussi que son idole Obama non seulement ne l’a pas fermée mais y rajoute des mecs qu’on torture !!
      Ils finiront par l’avoir leur patriot act à l’européenne, ils le veulent et ils l’auront. Il faudrait expliquer à notre ami ce qu’est le OTC, il comprendrait ainsi qu’il vit dans un autre monde que celui qu’occupe les maîtres d’Obama.
      #banque #mensonge #esclavage_du_monde

  • Le travail gratuit stade ultime du capitalisme | HuffingPouf.fr
    http://huffingpouf.fr/?p=1

    Travail gratuit : le nouveau rêve de tout libéral (ou capitaliste, ça revient au même dans les faits malgré les dénégations des zozos en question) : déconnecter le travail de la rémunération et du capital. Précarité en hausse, stages qui s’enchainent dans l’espoir de trouver un travail rémunéré au prix “normal“.

    A se demander si on ne voit pas naitre une nouvelle classe sociale le précariat, à coté du salariat . Et si cette situation ne profite pas involontairement ou volontairement à certains salariés qui exploitent ainsi leur semblables pour éviter de tomber sous des sanctions ou de ne plus progresser dans leur carrière (en gros : font de la lèche et exploitent les stagiaires ni vu ni connu). Ce qui devait faire penser aux marxistes que la classe ouvrière ou le prolétariat (qui inclue pour eux les cadres) peuvent très bien se cannibaliser et toujours dans un même sens : les plus faibles en premier.

    Ce phénomène insidieux associé à l’apparition d’une nouvelle aristocratie aboutira si rien n’est fait à une ploutocratie où les salariés mettront leur force de travail en vente dans des marchés aux enchères… Vous allez voir que cela existe déjà !

    #précarité #esclavage #capitalisme

  • mon coeur de mèèèèère

    En suivant la logique de la Menthon (je ne donne pas de « madame » à un être pareil), on peut aussi considérer que prostituer des enfants est un mal pour un bien, quand on voit l’argent que ça rapporte à leurs familles...
    Sophie de Menthon justifie le travail des enfants.
    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=1HPhs881mVU

    , gerbante et au top la sophie les coms sont bien vue et la sophie s’y justifie

  • A Séoul, les « #femmes de réconfort » de l’#armée japonaise réclament justice | Rue89
    http://www.rue89.com/2011/12/15/les-femmes-de-reconfort-de-larmee-japonaise-reclament-justice-227542

    La fillette reste assise sur sa chaise, un moineau sur son épaule. Ses yeux tristes fixent le bâtiment de l’autre côté de la rue, attendant une réponse. En vain. Cette fois encore, l’ambassade du Japon à Séoul reste silencieuse.

    Pire : le gouvernement japonais persiste à protester contre la statue de la fillette récemment érigée en face de l’ambassade en hommage aux victimes coréennes de l’#esclavage_sexuel organisé par l’Empire pour ses troupes.

    Ces victimes attendent depuis plus de soixante ans que justice soit faite et que le gouvernement japonais fasse officiellement des excuses.

    #Japon

  • Salauds d’ouvriers anglais, vive Cameron,

    Ce projet supprimerait les indemnités de licenciement prévues par la loi (à ce jour entre 2,5 et 7,5 jours par année d’ancienneté, suivant l’âge). Ces dernières seraient remplacées par une « gratification » facultative, dont le montant serait déterminé « d’un commun accord » avec l’employeur, sans minimum légal, donc à la bonne grâce du patron.

    Et si un des ces salauds décidait quand même d’aller voir la justice alors heureusement on s’occupe de lui :

    à partir de 2012, il faudra payer 270 euros rien que pour déposer une plainte et 1 100 euros si le tribunal, ayant décidé que la plainte est recevable, accepte de l’entendre en audience.

    http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2260&id=36
    #lutte_des_classes #capitalisme #prolétariat #esclavage

    • Le medef n’est pas malin, fô demander aux anglais, ils savent eux au moins !

      Questions : Comment rendre irrecevable toute plainte pour licenciement abusif ?

      Simple : l’employeur ne doit plus avoir à justifier les licenciements !!!!

      Fallait y penser :-(

  • Exploités en #Tchétchénie
    http://www.lalibre.be/actu/international/article/704384/exploites-en-tchetchenie.html

    La découverte cet automne de seize ouvriers serbes, exploités sur un site de construction en Tchétchénie, sous le contrôle d’hommes en armes, révèle un trafic qui monte en puissance dans les Balkans à cause de la crise : celui d’hommes et femmes forcés à travailler dans des conditions extrêmes, sans aucune protection ni liberté de s’en aller.

    #esclavage

  • Prison slaves - Slavery : A 21st Century Evil - Al Jazeera English
    http://www.aljazeera.com/programmes/slaverya21stcenturyevil/2011/10/2011101091153782814.html

    China has the biggest penal colony in the world - a top secret network of more than 1,000 slave labour prisons and camps known collectively as “The Laogai”. And the use of the inmates of these prisons - in what some experts call “state sponsored slavery” - has been credited with contributing to the country’s economic boom.

    #chine #prisons #esclavage #reportage

  • Moi, Mende, esclave à Londres | Slate Afrique
    http://www.slateafrique.com/50123/soudan-esclave-des-temps-modernes

    Cette histoire n’est malheureusement pas un cas isolé. Selon le ministère de l’Intérieur britannique, il y aurait 5.000 personnes qui travailleraient à l’état d’esclave en Grande-Bretagne.

    « Beaucoup sont utilisés par des diplomates, mais ils ne vivent pas que dans ces familles. Il y a aussi des cas chez des hommes d’affaires. On trouve aussi des Chinois qui travaillent contre leur volonté. Une des affaires récentes concerne une femme malaysienne qui travaillait pour une famille de diplomates de ce pays. Cela ne concerne pas seulement la communauté arabe. Il y a beaucoup de nationalités différentes », explique le réalisateur.

    Cette réalité est pourtant peu connue en Angleterre. Après sa diffusion à la télévision sur la chaîne Channel 4, le film a suscité beaucoup de débats. Des téléspectateurs ont même découvert l’existence de l’#esclavage_moderne : « Quelqu’un a appelé la police car il pensait que ses voisins avaient une esclave. Les autorités ont enquêté et trouvé qu’il y avait effectivement quelqu’un qui travaillait contre sa volonté ». I Am Slave est aujourd’hui utilisé dans des campagnes de sensibilisation contre le trafic d’êtres humains, notamment par l’association Unchosen. Mais pour Gabriel Range, il reste encore beaucoup à faire :

    « C’est difficile car les diplomates ont des immunités. Ils sont un peu au-dessus des lois. J’espère que ce film va permettre d’encourager plus de dialogue pour voir comment nous pouvons résoudre ce problème. C’est désolant de voir que cela se passe de nos jours dans une ville moderne. »

  • Al Jazeera propose une série de reportages sur l’#esclavage (travail forcé, prostitution ). Le prochain est consacré au #travail_des_enfants

    Child slaves - Slavery : A 21st Century Evil - Al Jazeera English
    http://english.aljazeera.net/programmes/slaverya21stcenturyevil/2011/10/20111010152040468529.html

    There are at least 8.4 million child slaves in the world today. Nearly two million of these are forced to work as prostitutes, while almost half a million are child soldiers.

    “It’s like living in a family, but you’re not a part of the family. It’s like living in a home that’s not your home, because eventually you know they’re going to tell you to get out. It’s living in fear - fear of the adult and fear of the unknown.”

    But the largest proportion of child slaves - more than five million - are held as forced labour.

    In some countries, these child slaves are simply juvenile victims of a thriving adult slave culture, but in other countries children are bought and sold specifically as child labourers.

    In this episode of Slavery: A 21st Century Evil, Rageh Omaar investigates the plight of child slaves in Haiti.

    They are known as ’restaveks’ from the French words ’rester avec’, meaning ’to stay with’. This is the practice of poor families giving their children as domestic help to wealthier acquaintances or relatives.

  • Profit from its people: North Korea’s export shame - Asia, World - The Independent
    http://www.independent.co.uk/news/world/asia/profit-from-its-people-north-koreas-export-shame-2370220.html

    Sent in their hundreds, under an agreement between Mongolia and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK), the North Korean workers take jobs on construction sites and in factories across this Central Asian state, where they are closely monitored by overseers from their homeland. Some of them were found to be producing goods for popular UK clothing brands such as Edinburgh Woollen Mill (EWM).

    Another Eermel employee told The Independent that the women’s labour fed the coffers of the North Korean regime, echoing the North Korean practice across Asia where tens of thousands of North Koreans are estimated to be employed on behalf of their government. “We are paying to Korean workers like Mongolians, the same salary,” said Bayar, Eermel’s director for exports, who like many Mongolians uses only one name. “But... we are transferring the money to the account of the [North Korean] embassy. How they split the salary, we don’t know.”

    #travail #esclavage #Corée_du_nord #dictature

  • Congo: Blood, gold and mobile phones - video | World news | guardian.co.uk
    http://www.guardian.co.uk/world/video/2011/sep/02/congo-blood-gold-mobile-phones-video

    Democratic Republic of Congo’s rush for an estimated £15tn in gold and rare earth minerals is fuelling a culture of violence and forced labour and exploiting some of the most vulnerable people on earth. At Kamituva gold mine in South Kivu Province, women are raped while men work for 33p per day

    #esclavage #viols #RDC

  • Brésil : Les griffes épinglées pour travail esclave | Green et Vert
    http://www.greenetvert.fr/2011/08/29/les-griffes-epinglees-pour-travail-esclave/30756

    Le cas de travail esclave découvert chez des fournisseurs de la marque Zara au Brésil ne semble être que la partie immergée de l’iceberg. 20 autres enquêtes sont en cours, portant sur des griffes nationales et internationales.

    Dans un des ateliers de ce fournisseur, les inspecteurs ont trouvé 16 adultes et 5 enfants, tous boliviens, vivant et travaillant dans des conditions insalubres et risquées. Ces ouvriers ne pouvaient pas sortir de l’atelier sans autorisation, avaient des dettes auprès de leurs patrons et touchaient seulement 2 R$ (un peu moins d’un euro) par pièce produite.

    #esclavage #mode

  • Pulp Fiction, c’est arrivé pour de vrai :

    Robber who broke into hair salon beaten up by black-belt owner and kept as sex slave for three days... fed only Viagra
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-2013870/Robber-broke-hair-salon-beaten-black-belt-owner-kept-sex-slave-days--fe
    A Russian man who tried to rob a hair salon ended up as the victim when the female shop owner overpowered him, tied him up naked and then used him as a sex slave for three days.

    #faits_divers #pulp_fiction #russie #esclavage_sexuel #séquestration #cambriolage #insolite

  • Blog de Paul Jorion » OPTION FINANCIÈRE DU TRAVAIL ET DU SALAIRE : RESTAURER LA LIBERTÉ DU TRAVAIL, par Pierre Sarton du Jonchay
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=24229

    Le contrat de #travail souffre de la même déformation cognitive que le contrat financier : confusion entre l’objet et le sujet, entre la réalité matérielle, sa conceptualisation et la finalité des sujets. La confusion se concrétise dans la monnaie qui dans une matérialité unique paraît absorber toutes les dimensions du travail et de la finance. La déformation cognitive s’exprime dans l’incapacité où la monnaie nous a amenés de différencier la finalité de la matérialité : une fois attribué un prix en monnaie à quelque chose, nous tendons à croire que ce quelque chose contient les finalités que nous poursuivons. Nous enfermons nos finalités sans limite dans la matérialité monétaire qui peut tout recouvrir. Comme l’ #argent ne fait pas le bonheur, il est tout simplement devenu le bonheur.

    Si la monnaie est remise à sa place comme outil de conceptualisation de la valeur dans les limites de la matière, le salaire, comme le crédit, s’analysent tout autrement. Le salaire est déjà la mesure de la valeur du travail distinct de son sujet. Historiquement, le salaire apparaît quand l’homme devient le sujet de son travail, quand le travail devient un objet conceptuel distinct de son sujet, quand il devient concevable de posséder le travail sans posséder son sujet, quand l’homme peut travailler sans être un esclave. Avec le salaire, l’homme peut acquérir la valeur de son travail auprès d’un autre sans se vendre lui-même. Le salaire est le crédit du travail entre l’employeur et le travailleur : le travailleur n’est plus légalement la propriété de l’employeur.

    L’abolition morale de l’ #esclavage objectivise le problème de la valeur du travail. Entre le producteur de travail et l’employeur de travail, qui ne sont pas nécessairement distincts, se pose la question de la variabilité de la valeur du travail d’un sujet dans le temps. L’objet travail n’est pas une fin en soi. Sa finalité est de répondre au besoin du sujet ; du sujet du travail et du sujet acheteur de l’objet du travail. Ces besoins varient dans le temps et il en va donc de même de la valeur du travail qui les satisfait. La question est inévitablement posée de répartir la variabilité de la valeur travail entre le sujet du travail et le sujet de l’objet du travail. C’est ici que se distinguent et se différencient l’employeur et le salarié dans un régime de liberté de travailler et de la valeur libre du travail.

  • Bury the Chains : Prophets and Rebels in the Fight to Free an Empire’s Slaves: Books: Adam Hochschild
    http://www.amazon.com/gp/product/0618104690/104-7342584-2633545?v=glance&n=283155&n=507846&s=books&v=glance

    (voir aussi http://seenthis.net/messages/8951)

    #histoire #esclavage #livre

    An Interview with Adam Hochschild | Mother Jones
    http://www.motherjones.com/politics/2005/01/bury-chains-interview-adam-hochschild

    In the late 18th century, a small group of Englishmen went out on a limb and put forward the radical notion that slavery was wrong. At first, their proposal that Enlightenment ideals of equality and liberty should be extended to the millions of African slaves held in Britain’s colonies looked like a non-starter. “The idea of ending slavery seemed totally utopian, crackpot, wildly too idealistic,” says journalist and writer Adam Hochschild. Yet, as Hochschild recounts in his new book, Bury The Chains: Prophets and Rebels in the Fight to Free an Empire’s Slaves, these abolitionists proved themselves right in far less time than anyone might have imagined. Slightly more than 50 years after its humble birth in a London print shop in 1787, the British antislavery movement overturned the atrocity that had formed the economic backbone of the world’s most powerful empire.