• A fond ! Sur ma watch list dès que possible.

      Première impression de la bande annonce... c’est bien joué, mais les textes sont dits sans le niveau requis pour les langues utilisées.
      Je trouvais que dans Le Jeune Karl Marx , cette erreur n’était pas commise.

    • Vu hier soir... film très lent. Je ne sais pas trop quoi en penser.
      Intéressant, comment Kropotkin explique sa mission de proposer une nouvelle #cartographie_anarchiste de la région... et l’absurdité de la présence de 4 heures différentes dans la petite ville de Saint-Imier : l’heure de l’usine, celle de la municipalité, celle de la poste et celle de la gare (si je ne me trompe pas).

    • Vu.
      La collection de photos d’anarchistes en vantant leurs mérites et actes militants, j’aimerais trop voir ça dans la cour de récré.
      Ca serait vachement plus censé que tout ce que j’ai pu connaître, qui existe actuellement ou existera dans l’avenir.
      Ravachol = 100 points

  • Pas de la dynamite mais du tabac

    Transcription intégrale, accompagné d’une introduction, du dossier contenant les interrogatoires des anarchistes en Suisse romande (parmi lesquels Jean Grave, Élisée Reclus et Jean-Louis Pindy) dans le cadre de la première opération de la police suisse contre les anarchistes. Ce livre est plus amusant qu’il n’y paraît du fait que la police et la magistrature cherchent de la dynamite et trouvent du tabac mais aussi des réponses ironiques et des moqueries des militants les plus expérimentés parmi les interrogés...

    https://www.editions.federation-anarchiste.org

    –—

    Quelques citations :

    « La Confédération helvétique était alors considérée comme une terre de refuge par toute l’Europe. Sa relative tolérance est particulièrement notable par l’absence presque totale de sources de police concernant des villes comme Genève avant les années 1880, ce qui indique l’application d’une vraie démarche libérale, selon laquelle aucun résidant n’était surveillé ni inquiété tant qu’il ne commettait pas un délit de droit commun. La police ne s’occupait donc pas a priori de la surveillance des exilés politiques, même s’ils professaient les idées les plus radicales. » (p.15)

    « Cependant, les réfugiés en Suisse ne se sentent plus à l’abri des persécutions, et les épisodes d’expulsions se multiplient : l’un des cas les plus célèbres est celui du décret fédéral du 19 janvier 1895, qui décrète l’expulsion de 18 Italiens ’indésirables’ parmi lesquels un anarchiste très connu, #Pietro_Gori (1865-1911), et dont une grande partie échappaient aux lois spéciales du gouvernement réactionnaire de #Francesco_Crispi. A partir de cet épisode, Gori écrit la plus célèbre chanson anarchiste italienne, Addio a Lugano, dont le texte retranscrit précisément la déception des expulsés quand à la fin du mythe de la ’libre Helvétie’, en accusant la Suisse d’agir pour le compte d’autrui :
    Elvezia il tuo governo schiavo di altrui si rende
    di un popolo gagliardo la tradizione offende
    e insulta la leggenda del tuo Guglielmo Tell. » (p.28)

    #anarchisme #livre #Suisse #fédéralisme #histoire #Internationale_antiautoritaire #Saint-Imier #Addio_a_Lugano #Addio_Lugano_bella

  • Une librairie victime d’une attaque raciste et anti-féministe à Montreuil
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-saint-denis/une-librairie-victime-d-une-attaque-raciste-et-anti-fem

    Dans la nuit du mercredi 16 au jeudi 17 août, l’entrée des locaux du café-librairie Michèle Firk à Montreuil (93) a été fracturée, quelques tags ont été faits et des livres ont été volontairement détériorés. Le collectif de bénévoles ne comprend ni le but ni les intentions de ce vandalisme.

    En ce début de vendredi après-midi, les bénévoles sont encore dans l’incompréhension. L’un est venu avec des chouquettes pour remonter le moral, un autre propose un café et un troisième a apporté un livre qu’il avait en double : Travail gratuit et grève féministe (éditions Entremonde). Un début pour reconstituer le stock perdu. Tous ici se posent la même question : « Pourquoi notre petit café-librairie associatif autogéré a-t-il été attaqué ? »

    #false_flag #café_librairie_Michèle_Firk #Parole_errante #Montreuil

    • suite à quelques absurdes vandalismes, Café-librairie Michèle Firk
      https://laparoleerrantedemain.org/index.php/2023/08/18/cafe-librairie-michele-firk-communique-sur-quelques-vandalism

      Si de tels actes d’hostilités envers notre café-librairie sont anecdotiques dans les circonstances de répressions policières, de défaites du mouvement social, de renforcement des frontières et de multiplication des discours racistes que nous traversons tous et toutes de nos jours, nous trouvons cette attaque minable et pathétique. Loin de nous l’idée que le vandalisme soit nécessairement stupide, mais on ne peut négliger pour autant les circonstances et les raisons de tels gestes. Certains devraient plutôt se demander pour qui et pour quel monde ils travaillent quand ils aspergent des livres sur l’histoire des luttes décoloniales en brandissant des slogans confus. Ils jettent pour ainsi dire de l’huile sur des combats douteux et que nous refusons.

      Nous restons du reste abasourdis de tant de bêtises. Si ce n’était pas triste, il suffirait d’en rire. Cela ne va rien changer aux questions qu’on veut discuter, aux luttes qu’on veut défendre, aux personnes qu’on veut accueillir et rencontrer, bien au contraire. Nous aurions par contre bien mieux à faire que nettoyer ces dégâts absurdes.

      D’autres locaux militants en région parisienne sont parfois attaqués, cela ne nous semble pas des pratiques défendables et encore moins des occasions de discuter des désaccords éventuels. Cela participe plutôt de ce qui rend trop souvent la fréquentation des dits milieux politiques peu désirables à priori. Ce n’est absolument pas ce que nous construisons au café-librairie Michèle Firk depuis des années.

      Nous paierons les livres abîmés à leurs éditeurs et proposerons vite des événements pour discuter, se rencontrer, s’organiser autour d’un café ou d’un livre. Nous remercions toustes les habitué.es, usager.es du lieu, maisons d’éditions, collectifs, camarades et ami.es de leur soutien.

      Vous pouvez nous aider via notre appel à dons habituels sur hello-asso : https://www.helloasso.com/associations/cafe-librairie-michele-firk.

    • Communiqué bis sur "l’attaque" du café-librairie

      Que dire ? Au matin du 31 août, des affiches signées d’un mystérieux groupement "père duchêne" couvrent la vitrine du café-librairie Michèle Firk : « stop fascisme intersectionnel lors des rassemblements anti-autoritaires ! Saint-Imier 19-23 juillet 2023 On n’oublie pas, on ne pardonne pas ». Les individus qui s’en sont pris aux livres des étagères féministes, queers, et décoloniales de la librairie persistent et signent. Ces individus mystères sont lancés dans une campagne contre ce qu’ils appellent le "fascisme intersectionnel". Ils ne pardonnent et n’oublient pas des querelles lors des rencontres internationales anarchiste à #Saint-Imier en juillet dernier (dont on peut trouver un récit ici : https://renverse.co/infos-locales/article/ria-2023-livres-islamophobes-action-directe-et-evacuation-de-la-critique-41). Nous précisons qu’aucun-e membre du collectif du café-librairie n’était à Saint-Imier, la Suisse étant bien trop chère pour nous.

      Cela dit, l’expression "fascisme intersectionnel" en dit assez sur les esprits confus qui s’acharnent à nous nuire et le revendiquent. Il est probable qu’ils n’aient effectivement plus leur place à des rencontres anti-autoritaires, ils devraient se faire oublier. Le "groupement père duchêne" redouble le racisme ambiant. Le fascisme ici n’est pas dans l’atteinte faîte aux sacro-saints livres ou à la culture. Il s’affirme dans l’amalgame confus qui, par un retournement typique des discours d’extrême-droite, fait des luttes et perspectives minorisées la cause même du racisme ou plus largement des impasses politiques actuelles. Nous n’oublierons pas cette confusion, et ce qu’elle dit de tout ce qu’ils se refusent à voir et entendre.

      Ils nous font tout au plus perdre bien du temps, des livres et des fonds collectifs. Le café-librairie Michèle Firk fait partie de la Parole Errante Demain, qui, depuis 2016, lutte pour imposer au propriétaire légal des murs, Conseil Départemental, des suites pour l’ensemble du lieu. Nous avons bien d’autres ennemis, ainsi que d’autres priorités, que la gestion des conséquences de ces petits actes minables.

      Nous remercions toustes les habitué.es, usager.es du lieu, maisons d’éditions, collectifs, camarades et ami.es de/pour leur soutien. Après la soirée frites de ce soir, la librairie réouvrira ces portes mercredi. Nous sommes heureux.ses de vous retrouver et n’hésitez pas à venir nous voir pour un café, une discussion ou un livre !

    • L’hypothèse qui me semble la plus probable de l’origine de l’agression de la librairie est à chercher du côté des services de police ou de composantes d’extrême droite (la vraie), ayant observé à plusieurs reprises que leurs ennemiEs s’employaient désormais à régler publiquement manu militari leurs différents en se traitant mutuellement de fascistes. L’extrême droite étant notoirement connue pour son savoir faire dans l’art de l’embrouille et de la manip, tout laisse à penser que pour ces gens, il y aurait probablement matière à tirer les marrons du feu dans la généralisation de ce types de situations conflictuelles internes au camp opposé en les provocant. L’épisode Saint Imier étant largement documentée sur le web, il n’y aurait plus qu’à continuer de l’alimenter.

      On ne peut malheureusement pas écarter complètement l’hypothèse que cette action ait été menée, ni par la police, ni par l’extrême droite, mais par des individus dont le profil idéologique auraient plus à voir avec St Imier : des « anarchistes ». La revendication n’étant pas publiée, on en reste à des suppositions. Cela signifierait alors que ces individus n’aurait pas attendu la généralisation des hauteurs de plafond à 1,80 m. pour se faire raboter la cervelle. De la connerie à l’état pur.

    • J’ai aussi cru qu’il s’agissait d’un sketch à la cointel pro (non pas ici les volets élimination physique ou judiciaire, mais l’alimentation de guerres internes), mais si c’était des fafs estampillés, ou des policiers, il me semble que cette « attaque » aurait été moins cosmétique (2500 balles de livres et du taf), plus destructrice.

  • Des anarchistes du monde entier affluent à Saint-Imier, berceau du mouvement ats/edel - RTS

    Les rencontres internationales anti-autoritaires (RIA), qui doivent rassembler jusqu’à dimanche des milliers d’anarchistes venus du monde entier, ont débuté mercredi à Saint-Imier. Cette commune du Jura bernois est considérée comme le berceau de ce mouvement.

    Des centaines d’anarchistes et de libertaires ont rejoint mercredi cette commune de 5200 habitants. Ce rassemblement commémore l’anniversaire du Congrès de Saint-Imier qui a vu la fondation de l’Internationale anti-autoritaire en 1872, événement qui donna naissance au mouvement anarchiste.


    Pendant cinq jours, les participants peuvent suivre des conférences et des ateliers. Ils ont l’occasion de prendre part à des rencontres destinées aux collectifs partageant les mêmes priorités. Les RIA ont aussi mis sur pied un salon du livre et une radio anarchiste. Des films et des concerts sont aussi au programme.

    Vision anti-autoritaire
    Il s’agit surtout pour les activistes d’échanger des idées, de faire connaître des luttes et de resserrer les liens entre sympathisants du mouvement et de convaincre d’autres à le rejoindre. « Ce qui nous rassemble est la vision anti-autoritaire », souligne le comité d’organisation.

    Des centaines de jeunes se réclamant du mouvement anarchiste ont sillonné Saint-Imier, souvent un plan à la main. Vêtus pour la plupart d’habits noirs, ces touristes d’un genre un peu particulier ne passaient pas inaperçus.

    Randonneurs retraités, cyclistes et libertaires se côtoyaient dans la cité imérienne. Des dizaines de tentes étaient dressées dans un camping éphémère, donnant à la manifestation un air de festival.

    Deux cuisines et quatre bars proposant des boissons non alcoolisées sont répartis dans la commune. Tout est à prix libre. Même une garderie est à disposition. Le coût de l’événement s’élève à 200’000 francs. Les échanges se font surtout en anglais, mais l’on entend aussi d’autres langues comme le français, l’allemand, l’italien ou l’espagnol.

    Visibilité au mouvement
    Ce rassemblement doit permettre de donner une visibilité nouvelle à ce mouvement de pensée qui s’oppose à tout pouvoir centralisateur et autoritaire. Les organisateurs expliquent que l’anarchie n’est pas le chaos et l’absence d’ordre, mais un mouvement qui prône une « organisation personnelle et sociale anti-autoritaire ».c

    « Nous attendons entre 2500 et 4000 personnes », avait avancé un membre du comité d’organisation quelques jours avant l’événement. « Comme nous ne demandons aucune inscription, nous ne connaissons pas le nombre précis. » Le collectif fixe une exigence : être respectueux et avoir un comportement pacifique.Les organisateurs attendent entre 2500 et 4000 personnes. [Peter Klaunzer - Keystone]

    La commune s’est préparée depuis des mois à accueillir un événement de cette ampleur. Les bâtiments municipaux qui sont proposés à la location, comme la patinoire ou la salle de spectacle, ont été réquisitionnés pour offrir des lieux de débats. Cet événement devrait aussi faire marcher le commerce.

    Berceau de l’anarchisme
    Le choix de la commune de Saint-Imier ne doit rien au hasard. Un hôtel de la place a accueilli, il y a 151 ans, le Congrès libertaire qui donna naissance à l’Internationale anti-autoritaire. Parmi les participants à ce congrès de septembre 1872 se trouvait le révolutionnaire et philosophe russe Mikhaïl Bakounine.

    Ce Congrès libertaire avait été convoqué après l’éclatement de la Première Internationale. La rencontre mettait un terme au conflit opposant Karl Marx aux représentants du courant libertaire incarné par le Russe Michel Bakounine et le Suisse James Guillaume.

    Ce pan de l’histoire reste vivace à Saint-Imier. La ville a baptisé en 2017 une rue au nom de Bakounine. En 2012, elle avait accueilli 4000 libertaires. La commune abrite une coopérative culturelle à l’âme libertaire, Espace Noir. « Nous sommes fiers de ce passé sans pour autant être tous des anarchistes », avait souligné le maire Corentin Jeanneret quelques jours avant l’événement.

    #Anarchistes #Libertaires #Suisse #Saint-Imier #anti-autoritaires #Congrès #Luttes #Bakounine #Karl_Marx

    Source : https://www.rts.ch/info/regions/berne/14186051-des-anarchistes-du-monde-entier-affluent-a-saintimier-berceau-du-mouvem

    • Le trafic ferroviaire coupé entre St-Imier et La Chaux-de-Fonds à cause du rassemblement anarchiste

      La ligne ferroviaire qui relie La Chaux-de-Fonds à Saint-Imier est interrompue depuis jeudi jusqu’à lundi matin. Les CFF ont pris cette décision en invoquant des questions de sécurité en raison des Rencontres Internationales Anti-autoritaires à St-Imier. Les trains sont remplacés par des bus.

      Les Rencontres Internationales Anti-autoritaires, rendez-vous qui célèbre les 150 ans de la naissance du mouvement anarchiste, attirent en effet des milliers de personnes au coeur du Jura bernois.

      La manifestation s’attendait à une affluence d’environ 4000 personnes sur l’ensemble de l’événement. Mais jeudi soir, les organisateurs annonçaient déjà la présence de 3000 personnes en se basant sur le nombre de plats servis à la cantine pour communiquer ce chiffre.

      Sans compter que la part la plus importante des participantes et participants est attendue à partir de ce week-end seulement. Il ne serait donc pas surprenant que la manifestation accueille 5000 à 6000 personnes au total.

      Le danger de traverser de voies
      La suite : https://www.rts.ch/info/regions/berne/14189821-le-trafic-ferroviaire-coupe-entre-stimier-et-la-chauxdefonds-a-cause-du

  • Maurice Born

    Daniel de Roulet

    https://lavoiedujaguar.net/Maurice-Born

    Il y a différentes manières d’évoquer un homme comme Maurice Born. On peut donner deux dates entre parenthèses et un trait d’union au milieu (1943-2020), calculer qu’il est mort le 9 juillet à soixante-seize ans et trouver une signification au trait d’union entre les deux dates. On peut parler de ce qu’il a fait, des films, des livres, des débats et même des maisons en dur.

    Mais il ne faut pas oublier Maurice en mouvement. Plus d’une fois, il a déménagé, s’est posé en nous jurant qu’il ne bougerait plus. Au bout d’un certain temps lui venait l’envie de repartir. Françoise, sa femme, me dit que si la maladie qui lui a rongé les poumons ne l’en avait pas empêché, il aurait peut-être une fois de plus décidé d’abandonner la Crète.

    Il a commencé sa vie à Saint-Imier où sa mère nous faisait d’excellentes tartines pour le goûter tandis que son père installait l’électricité dans les maisons et vendait des postes de radio. Quand on naît à Saint-Imier dans le Jura suisse à la fin de la Seconde Guerre mondiale, on est imprégné par la tradition horlogère et par la révolte qui en a fait partie. Dès le début, les horlogers, travailleurs indépendants, refusaient les transformations qu’apportaient les manufactures. D’où, à la fin du XIXe siècle, le développement des idées anarchistes dans tout le Vallon. (...)

    #Maurice_Born #biographie #Daniel_de_Roulet #Jura #Saint-Imier #Bakounine #anarchisme #Laborit #cinéma #Jean-Daniel_Pollet #Crète #lépreux #Istrati #Orwell #édition

  • Dix petites anarchistes

    Suisse, fin du xixe siècle. A #Saint-Imier, on vivote entre misère et exploitation, entre les étables et une #industrie_horlogère encore balbutiante. La visite de Bakounine, tout plein de l’ardeur de la Commune de Paris, éveille l’idée qu’une autre vie est possible. Dix jeunes femmes font le pari insensé de bâtir, à l’autre bout du monde, une communauté où règnerait « l’#anarchie_à_l’état_pur ». Valentine, dernière survivante des « #dix_petites_anarchistes », nous fait le récit de cette #utopie en acte qui les conduit de Suisse en #Patagonie jusqu’à #Buenos_Aires, en passant par l’île de Robinson Crusoë. L’extraordinaire #épopée de femmes soudées par un amour farouche de la #liberté, qui ont choisi de « se réjouir de l’imprévu sans perdre la force de s’insurger ».


    https://www.daniel-deroulet.ch/dix-petites-anarchistes
    #anarchisme #Suisse #livre #femmes #horlogerie #histoire #Daniel_de_Roulet

  • Reprise rapide du travail

    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? C’est fou comme les étés se suivent et se ressemblent… Me baladant tranquille dans un Saint-Imier noir d’anars (là-dessus, nous reviendrons), j’avisais la Une de Libé : « Roms, le devoir de la France » , annonçait-elle en gras. Suivait un blablabla signé Duflot, sans conséquence. (lire la suite ici) http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com/article-reprise-rapide-du-travail-109474411.html

    #Saint-Imier #Pussy Riot #Roms